Sophie Ou Une Nouvelle Vie Épisode 1
Jeune femme très agréable à vivre, expérience, cherche place demployée de maison, nourrie logée, salaire à convenir.
Cette petite annonce, je la connais encore par cur et pour cause ! Dans une période pour le moins délicate, elle fût en effet à lorigine
disons
de quelques changements dans notre vie à deux, annonce passée par une épouse faisant preuve de beaucoup dhabileté et approuvée par un mari faisant preuve
dune naïveté certaine ! Mais je memballe quelque peu ! Pour la bonne compréhension de lhistoire, il serait préférable de tout reprendre au commencement, au moment où nous décidons de prendre les choses en main avant quil ne soit trop tard.
Notre couple ? Mon épouse Claire, attachée commerciale et moi, Alain, cadre technique dans une petite boite dingénierie, tous deux la quarantaine. Un couple qui fonctionnait bien, avec ses qualités et ses défauts jusquà ce que survienne une période difficile, en grande partie due à des activités professionnelles envahissantes et à des horaires impossibles. Claire, faute de temps, a du mal à faire face en ce moment dans notre trop grande maison, je ne la seconde pas autant quil ne le faudrait et il nen faut pas plus pour détériorer le climat. Elle se plaint très souvent de mon manque de coopération, notre entente se dégrade progressivement et les problèmes les plus ordinaires prennent tout de suite des proportions excessives. Même notre sexualité sen trouve affectée et pourtant, nous avions limpression dêtre épanouis de ce côté-là. Petit à petit, les relations se tendent, la cohabitation devient difficile et lorsque nous faisons lamour, par hasard jallais dire, cest sans passion, par habitude!
Et puis un soir, Claire me fait part de son inquiétude au sujet de notre couple et me propose den discuter avant quil ne soit trop tard. Je rejoins évidemment son point de vue et après une franche discussion, le constat est plutôt rassurant : le mal nest pas très profond, quelques efforts de la part de chacun et une aide pour les tâches domestiques seront probablement suffisants pour revenir à un meilleur climat.
- Il nous faudrait une aide à plein temps. Suggère fermement Claire.
Je me montre quelque peu sceptique :
- A condition de trouver une personne vraiment sérieuse
et ça, ce nest pas gagné davance !
- On peut toujours essayer les petites annonces, on ne sait jamais !
Avant même de pouvoir exprimer mon point de vue sur la fiabilité de ce genre dannonces, elle a déjà le journal en mains, à la page des employés de maison.
- Regarde celle-là, on peut dire quon a de la chance ! Bondit-elle en me mettant presque le journal sous le nez :
Jeune femme très agréable à vivre, expérience, cherche place demployée de maison, nourrie logée, salaire à convenir.
- Les choses sont claires, il faudra la loger. Lui dis-je avec un zeste dirritation.
- On a une chambre damis indépendante, ça ira très bien ! Me fait-elle remarquer toute excitée.
- Tu ne sais même pas si elle conviendra ! Lui répons-je du tac au tac.
- Mais Alain, on ne le saura jamais si on nessaye pas !
Décidément, elle a réponse à tout et je dois mincliner devant sa logique, finissant par admettre quune employée à plein temps serait un vrai plus. Elle se chargerait de la tenue complète de la maison et nous aurions ainsi un maximum de temps libre pour penser un peu à nous. Claire semble très satisfaite de la tournure des événements :
- Et si on téléphonait tout de suite ?
Le numéro de lagence est composé à la hâte et cest une charmante voix grave qui prend nos coordonnées en nous promettant un rendez-vous rapide, si la personne est disponible
- Voilà, il ne nous reste plus quà attendre. Dis-je dun ton prudent.
Le reste de la journée se déroule sans histoire
. mais sans nouvelle de lagence. Je me plonge sans conviction dans quelques comptes de fin de mois mais narrive pas à me concentrer. Je suis en effet trop préoccupé par la décision que nous venons de prendre et crains pour nos petites habitudes.
Cest pendant le petit déjeuner du lendemain que le téléphone retentit. La directrice de lagence de placement nous annonce que la jeune femme est libre de suite et nous propose aimablement un premier contact en fin de matinée
à notre domicile
si ça nous convient . Claire, qui a tout suivi en écoute amplifiée, me fait une mimique de contentement et nous acceptons la proposition.
- Pourvu quelle soit bien ! Me lance-t-elle les yeux brillants.
- Tu sembles très motivée ! Lui réponds-je avec un petit sourire inquisiteur.
Elle marque un léger trouble puis se reprend rapidement, comme pour couper court à toute réflexion.
- Normal, tu te rends compte du changement pour moi
enfin
. pour nous deux ! Se reprend-elle rapidement. Maintenant, on va préparer la chambre sans perdre de temps, on ne sait jamais !
En sy mettant à deux, la chambre est vite prête. Quelques roses sur la petite table ajoutent une touche finale à un cadre contemporain très agréable, avec salle de bains attenante tout confort. Nous sommes fiers du résultat et prêts à recevoir notre visite.
Notre empressement était plus que justifié car la sonnette retentit presque aussitôt. Le temps dun petit coup de peigne histoire de parfaire la présentation et nous ouvrons la porte à nos visiteuses.
- Monsieur et madame T
. ? Je suis Madame Mercier, de lagence N
Je viens vous présenter Sophie.
Elle sefface légèrement et fait place à la jeune femme qui se tenait timidement en retrait.
- Bonjour, Mademoiselle, soyez la bienvenue !
Son bonjour est aussi chaleureux que notre accueil et notre première impression est favorable.
Nous nous retrouvons très vite tous les quatre dans le salon autour dun bon café. La chaleur de la pièce aidant, lambiance se décontracte très vite et notre conversation à bâtons rompus nous laisse tout le loisir dobserver discrètement la jeune femme. Au fil des minutes, celle-ci se révèle agréable, avec un solide bon sens et une intelligence vive, ce qui ne gâte rien ! Son habillement est sobre mais chic : jupe longue de bonne coupe et pull griffé assez ample, certainement pour atténuer ses formes rondes, bien portées par une taille au-dessus de la moyenne.
- Voudriez-vous visiter le logement de service ? Lui propose finalement mon épouse.
Elle accepte avec plaisir et nous lui montrons la chambre. De toute évidence, les lieux lui plaisent, avec semble-t-il un petit faible pour la salle de bain et elle nous en fait compliment :
- Cest adorable, vraiment !
- Cétait la chambre damis. Lui répond gentiment Caire.
Lusage de limparfait amène aussitôt un léger sourire sur son joli visage. Décidément, elle ne manque pas de vivacité !
La suite nest évidemment quune formalité et le contrat vite finalisé à la satisfaction générale.
- Quand pouvez-vous commencer ? Lui demande Claire.
- Tout de suite si vous le voulez, je suis complètement libre.
- Disons
le temps daller chercher vos affaires personnelles, est-ce que ça vous convient ?
- Alors ce sera vite fait, elles sont dans la voiture de Madame Mercier. Nous répond-elle en souriant. Jai pensé que ça pourrait vous rendre service.
Elle a dit cela tranquillement, sans fausse modestie ni forfanterie et nous apprécions beaucoup le ton. Elle cherche ses bagages et avec notre permission, commence à sinstaller dans sa chambre.
Nous prenons congé de Madame Mercier et réalisons soudain que nous ne sommes plus seuls dans notre grande demeure !
Après une période dadaptation quelque peu hésitante, chacun prend progressivement ses marques et Sophie se révèle très vite comme une vraie perle, disponible, pleine dinitiative. Notre vie sen trouve changée du tout au tout, Claire est enchantée de ses services et me vante très souvent ses compétences. Bref, le climat conjugal saméliore de jour en jour.
Cest un changement plutôt agréable et notre vie sécoule maintenant comme un long fleuve tranquille. Peu dimprévus, pas de conflits, je trouverais presque que cest trop parfait
jusquà ce fameux soir
Voyons, quel était le point de départ ? Oui
cest ça
Sophie est de sortie ce soir-là, nous regardons la télévision sans conviction, en bavardant de tout et de rien mais immanquablement la conversation revient sur notre employée et comme par hasard, cest Claire qui amène à chaque fois le sujet. Cest évident, en ce moment Claire me parle de plus en plus souvent de Sophie, en se troublant dailleurs et dun ton toujours plus chaleureux. Ce soir, en plus du côté professionnel, elle me parle de son caractère, de ses goûts et même de son physique «agréable» Cest vrai quelle a une silhouette très attirante mais venant de Claire, je suis quelque peu surpris !
Soudain, son visage sassombrit imperceptiblement :
- Alain, il faut que je te raconte quelque chose
- Je técoute. Lui dis je un peu inquiet.
- Un matin jai surpris Sophie presque nue dans sa salle de bains
sa porte était grande ouverte et elle na même pas semblée gênée quand elle ma vue la regarder ! Jai même eu limpression quelle lavait fait exprès. Quen penses-tu ?
Ce que jen pense, ma petite Claire, cest que dabord, tu rougis beaucoup en me le racontant et quensuite, jaurais bien voulu être à ta place mais je ne peux quand même pas te dire le fond de ma pensée ! Alors, je décide dadopter la langue de bois :
- Je pense que ça ne veut pas dire grand-chose, les femmes ne sont pas très pudiques entre elles ! De plus, elle fait peut-être du sport et ce genre de situation est courant dans les salles de gym, tu ne penses pas ?
- Tu as certainement raison, je me fais sans doute des idées !
Je pense lui avoir donné le change mais je partage largement ses doutes ! Dans de telles circonstances, il aurait été normal quelle essaie de cacher sa nudité...Alors pourquoi ne la-t-elle pas fait ? Etait-ce pour provoquer et si oui dans quel but ?
.Jobserve Claire un peu plus attentivement et lui trouve les joues bien rouges ! Est-ce que cela a un rapport avec Sophie ! Prudemment, je décide de taire mes soupçons et la conversation repart enfin
ou plutôt le monologue car Claire semble bloquée et mobserve discrètement.
Elle semble plus nerveuse que tout à lheure, croise puis décroise plusieurs fois les jambes en passant négligemment une main sur ses cuisses pleines
sa jupe remonte de plus en plus, laissant presque voir sa petite culotte. A quel jeu joue-t-elle, veut-elle éviter des questions gênantes, au sujet de Sophie par exemple ? En tous cas, le but est atteint car mes préoccupations laissent peu à peu place à une sourde excitation. Cette jupe qui remonte bien trop lentement me fascine, javais oublié quelle pouvait être si désirable et ce nest pas un coup dil vers sa poitrine qui me calme, bien au contraire ! On dirait que ses seins ont encore grossi, elle est dans la plénitude de sa quarantaine et pour tout dire, je la trouve terriblement attirante !
Nos yeux se croisent, mon regard lascif ne lui a pas échappé pas et elle poursuit ce nouveau jeu en écartant lentement les cuisses puis en posant un pied sur lassise. Je ressens immédiatement une lourdeur agréable dans le bas-ventre et trouve quune petite sauterie ne serait pas pour me déplaire !
Alors que jébauche un mouvement pour aller la rejoindre, à mon grand étonnement elle marrête aussitôt :
- Reste à ta place
sil te plaît!
Malgré le sourire, le ton est plutôt autoritaire et je reste prudemment assis. Où veut-elle en venir ?
Décidément, la soirée sort de lordinaire et le meilleur est peut-être à venir !
Elle a déjà relevé lautre jambe, puis lécarte lentement, en ouvrant grand le compas de ses jolies cuisses. Bon dieu quelle est bandante dans cette position, offerte sans aucune pudeur ! Le bombé de son entre jambes me fascine.
- Continue ! Lui dis je dans un souffle.
Alors en me regardant droit dans les yeux, elle saisit délicatement sa petite culotte à la taille puis tire létoffe vers le haut, toujours plus loin...
- Comme ça ?
Le tissu moule si étroitement sa chatte quil ne cache absolument plus rien ! Au contraire, il épouse si bien le sillon de ses lèvres intimes que la vérité mapparaît soudain : sa chatte est rasée de prés ! Pourquoi aujourdhui alors quelle ma toujours refusé ce plaisir, malgré mes demandes répétées, depuis des années ! Mon sexe de plus en plus douloureux soulève mon pantalon léger par saccades. Jesquisse un geste pour lempoigner lorsquelle me lance en riant :
- Ny pense même pas !
Le ton est toujours aussi ferme mais cest sa clairvoyance qui mirrite. Une fois de plus, elle ma devancé et ça me vexe :
- Garce !
Elle est sûre de son pouvoir, cela se lit dans ses yeux. Elle ne relève même pas cette insulte dérisoire et se contente dun léger sourire :
- Cest ma règle du jeu
si tu te touches, jarrête tout !
Elle en serait parfaitement capable et je me garde bien de tenter quoique ce soit ! La détermination de son regard mincite à essayer autre chose :
- Aller, quoi, juste une petite sauterie, tu verras, tu vas aimer !
La maladresse de ma proposition ne lui inspire quun sourire moqueur. Non seulement elle ne cède pas un pouce de terrain mais elle en rajoute encore en promenant tout doucement son index sur sa fente, grattant délicatement le tissu avec ses ongles parfaits.
- Je suis sûre que tu mimagines toute nue, hein, petit cochon, avec ma chatte tout rasée, comme dans tes rêves les plus coquins ! Avoue-le et je ten montre encore plus !
Cette soudaine impudeur métonne et me fascine à la fois ! Cela ne lui ressemble pas trop mais ce nest pas le moment dapprofondir le sujet, elle me plait comme ça et je décide de rentrer dans son jeu.
- Ce ne serait pas la première fois que je te verrais nue ! Dis-je ironiquement.
- Tu ne sais pas ce que je te réserve ! Me lance-t-elle comme un défi.
Alors, en me regardant droit dans les yeux, elle commence à faire sauter les premiers boutons de son chemisier.
- Ca risque dêtre un peu juste ! Lui dis-je, quand même un peu inquiet.
Elle se contente dun nouveau sourire ironique en poursuivant imperturbablement le déboutonnage de son corsage et lorsquelle a terminé, je suis bien obligé dadmettre quelle ne manque pas
darguments ! Ce nest sûrement pas par hasard quelle a mis un soutien gorge trop petit, histoire de faire gonfler ses gros seins et damplifier la profonde vallée qui les sépare ! Tout dun coup, jai bien du mal à avaler
- Toujours insuffisant ? Murmure-t-elle, me défiant du regard.
- Je suis sûr que tu peux mieux faire ! Lui répons-je dune voix cassée en jouant mon va-tout.
Alors progressivement, ses dernières inhibitions volent en éclat. Les effleurements deviennent caresses puis empoignades, sa respiration saccélère, ses gestes sont de plus en plus violents tant et si bien que son soutien-gorge remonté
.ne soutient bientôt plus rien. Ses seins débordent généreusement sous larmature et lorsquelle se débarrasse enfin du sous-vêtement devenu inutile, sa poitrine saffaisse à peine, avec des mamelons pointés vers moi comme pour une provocation supplémentaire !
Je suis sans voix devant la beauté de cette scène mais je nai même pas le temps den profiter car elle saisit soudain ses seins par les mamelons, les soulève tous les deux très lentement en les étirant vers son visage pour les laisser retomber brusquement de tout leur poids ! Ces masses tressautantes me laissent bouche bée et ma fascination devient brusquement supplice lorsquelle se prend un sein à deux mains et létire vers sa bouche pour en sucer la pointe. Ma queue tétanisée tressaute dangereusement, je suis au bord de la rupture, je voudrais hurler, mais cest un gémissement qui sort de ma bouche :
- Tu nas pas le droit !
- Mais si, jai tous les droits, dailleurs ça ne fait que commencer ! Me répond-elle dans un état second.
Devant mon regard incrédule, elle se lève lentement, dégrafe sa jupe en la laissant tomber à terre puis la dégage négligemment du pied.
- Tu ne trouves pas quelle serait plus excitante, ma petite chatte, si je tirais sur le tissu, comme tout à lheure ?
Cette fois-ci, elle tire si bien sur létoffe que celle-ci disparaît presque entièrement entre ses lèvres pulpeuses, rasées aussi loin que je puisse voir. Elle ne semble pas complètement satisfaite du résultat car elle saisit délicatement ses lèvres lun après lautre pour les étirer au maximum et enfouir sa petite culotte devenue ficelle au plus profond de son intimité.
- Cest encore plus obscène comme ça, tu ne trouves pas ?
Jessaie de donner le change mais je suis en sursis et Claire nest pas dupe. Alors elle abat ses dernières cartes en se débarrassant en un clin dil de sa petite culotte. Je nai même pas le temps de profiter du lourd balancement de ses seins quelle sest déjà rassise, les fesses cette fois-ci tout au bord du canapé. Alors sans cesser de me regarder dans les yeux, elle sadosse confortablement, très en arrière et remonte ses jambes lentement, les mains sous les genoux qui touchent bientôt sa poitrine. Cette fois-ci, il ny a pas de slip pour mempêcher de mater sa chatte totalement épilée et son petit anus entouré dune légère pilosité collée par le désir. La tension monte dun cran lorsquelle saisit délicatement ses grandes lèvres en les écartant doucement, faisant apparaître le cratère rose de son vagin et dégageant son clitoris gonflé. Pendant tout ce temps, sa langue sagite et me provoque, comme pour dire : avoue que tu as perdu et que tu nes pas de taille !
Elle a raison la garce, ma défaite est consommée et je nai même plus envie de lutter. Même plus envie de sauver la face, de faire semblant! Cuit, quil est, le mâle de service ! En ce moment, je nai plus quune seule idée en tête, cest la sauter, le plus vite possible, pour soulager mon sexe douloureux.
- Je taccorde une défaite honorable !
- Accepté davance !
Ma réponse a très vite fusé, comme un aveu mais elle prend volontairement tout son temps pour me lancer :
- Je te propose un marché : tu auras bientôt le droit de me baiser mais si par malheur tu ne tiens pas la distance, ce sera un gage immédiat, à ma façon. Tu tengages à jouer le jeu ?
Je suis trop heureux daccepter un marché qui ne présente pas trop de risques. En effet, jai rarement eu de tels soucis et en général, cest elle qui cède en premier.
- Promis juré! Lui répons je solennellement.
- Tu accepterais le gage ?
- Evidemment !
- Alors place-toi debout devant moi !
Je me lève et me plante devant elle, le cur battant en attendant ses instructions.
- Baisse ton pantalon !
Celui-ci se retrouve vite en tas à mes pieds, je suis entièrement nu devant elle, le sexe à lhorizontale.
- Tu mouilles déjà, cest mal parti ! Me dit-elle sarcastique.
Elle a effectivement raison, une grosse larme transparente est en train de sourdre au bout du gland.
- Recueille ta mouille avec ton doigt et suce-le !
Cest très habile de sa part, elle sait que ce genre de truc mexcite terriblement. Par forfanterie, je décide den rajouter en décalottant largement ma bitte de la main gauche puis en massant consciencieusement le gland avec mon index droit avant de recueillir les sécrétions transparentes qui en sortent toujours. Mon gland est hypersensible dexcitation, le moindre attouchement est un réel supplice mais à tout prendre, cest mieux que rien, même sous contrôle.
- Noublie pas de sucer !
Quest ce que je disais à propos de contrôle !
- Ca ne risque pas avec toi !
Léchange a eu beau se faire avec le sourire, je dois quand même mincliner et je suce mon doigt sans déplaisir, retrouvant un goût poivré que je connaissais déjà.
- Cest mieux ! Maintenant, mets-toi à genoux devant le canapé !
Son autorité mexcite et je mexécute en présentant ma queue raide à quelques centimètres de sa chatte. Quelle tentation de la fourrer dun seul coup mais jai trop envie de connaître la suite pour y succomber !
- Maintenant, tu vas te servir de ta queue pour me branler le bouton, très lentement et très longtemps !
Jadmire cette trouvaille étonnante, surtout venant delle et à haut risque pour moi : plus je masserai son clitoris, plus je sensibiliserai mon gland et plus jaurai de chances dy laisser du sperme dans laffaire ! Peu importe, le jeu en vaut la chandelle et jaccepte le risque avec un frisson de bonheur !
- Noublie pas de mouiller le bout de ton gland dans ma chatte
mais seulement le bout, noublies pas !
On entre dans le vif du sujet si jose dire et je profite de cette petite liberté pour fourrer lextrémité de mon sexe dans son vagin et le ressortir à regret, tout luisant de mouille. Si seulement elle avait profité de cette brève pénétration pour me prendre par les hanches et pour mattirer vers elle
. Seulement voilà, elle a eu la force de résister et elle sempresse de décapuchonner son clitoris gonflé. Elle est terriblement bandante depuis un moment, je ne vais pas men plaindre mais je ne peux pas mempêcher de me poser des questions sur son attitude. Quest-ce qui a changé en elle et pourquoi ?
- Branle-moi maintenant !
Jy suis maintenant : son langage est nettement plus crû que dhabitude et elle fait preuve de plus dimagination, cest ça qui a changé en elle, cest une évidence ! Alors mon cur fait un bond dans ma poitrine en pensant à la tournure très intéressante que pourraient prendre nos ébats amoureux, les pensées les plus folles tourbillonnent dans ma tête et tout ça me redonne immédiatement le sourire.
- Quelque chose de drôle ?
Décidément, cest le contrôle continu et je men tire avec une pirouette :
- Tu sais, chérie, le monde est merveilleux !
Elle me regarde dun air de pitié amusée, feignant de douter de ma bonne santé mentale puis me lance :
- Et ma chatte, elle nest pas merveilleuse ?
En plus, elle a de la répartie ! Décidément, elle a bien mérité que je moccupe enfin delle et que je pose délicatement mon sexe décalotté sur son bouton. Elle tressaille au contact chaud et doux de mon gland puis donne très vite des signes dimpatience en se frottant elle-même, très vite, en imprimant son propre rythme.
- Plus fort, gémit-elle.
Je suis sur la bonne voie, cest sûr et ce nest pas le moment de la décevoir ! Alors je redouble dimagination pour varier mes caresses, pour mappliquer comme jamais, jusquà ce quelle gémisse pour de bon et quelle me supplie :
- Je nen peux plus, baise-moi!
Enfin les mots que jattendais, juste à temps pour mon self contrôle mal en point !
- Tiens, prends ça ! Dis-je en lui enfonçant dun seul coup toute la longueur de ma bitte.
Elle pousse un long feulement de plaisir tout en pétrissant violement ses gros seins :
- Elle est bonne, ta queue
Pour une petite salope comme moi
vas-y, mets-la moi très profond, fourre moi la bien !
Oh ! Quel supplice et surtout quelle ironie car cest au moment où nous sommes enfin sexuellement au diapason que je dois tout faire pour résister au plaisir ! Et ce langage crû qui me rend dingue...ces mots qui me pénètrent, qui entament peu à peu ma volonté...Je nai plus quun seul but : tenir...tenir encore...elle doit jouir avant moi...jai ma fierté tout de même...et puis ce maudit vertige qui me prend brutalement...cette chaleur qui irradie mon corps tout entier...Je nai même pas le temps de me maudire que jexplose déjà en longues giclées au plus profond de son intimité.
Bien plus tard, lorsque le calme est revenu, Claire tout sourire me demande innocemment :
- Cétait bon ?
- Jamais joui comme aujourdhui
et toi ?
Aïe...La gaffe
cétait la question à ne pas poser avec notre petit contrat en cours et immédiatement, la réponse fuse !
- Il ma manqué quelques secondes ! Je suis désolée mais tu sais ce que ça veut dire ?
Tu parles quelle est désolée, lhypocrite, elle nen a pas du tout lair ! Jessaye de noyer le poisson :
- Je ne vois pas !
- Un petit effort !
Je prends mon air de chien battu :
- Le gage ?
- Tu vois que tu sais ! Me lance-t-elle triomphante.
Je dois avoir lair inquiet car elle sourit. Je parviens à murmurer dune voix qui se veut détachée :
- Raconte !
- Voilà ce que jai décidé : non seulement tu ne mas pas fait jouir mais en plus tu mas inondée la chatte de sperme, tu es daccord ?
- Jusque là, oui.
- Donc je mérite compensation sur ces deux points, OK ?
- Si tu veux, lui dis-je prudemment.
- Alors voilà comment je vois les choses : dabord tu fais très soigneusement ma toilette intime et ensuite tu me fais jouir avec ta jolie petite langue, seulement
- Seulement ?
.
-
Seulement, pas de kleenex pour la toilette intime, ce sera la même petite langue qui remplacera les mouchoirs ! Ce serait trop facile et en plus il ny aurait pas de gage, tu penses bien !
Nous y voilà ! La garce avait bien pensé son affaire et en mexcitant comme elle la fait, elle était certaine du résultat.
- La toilette intime, cest un vieux fantasme à toi ? Lui dis-je un peu crispé.
Après un long silence, elle finit par avouer :
- Un film porno, il y a quelques jours
- Tu regardes des films pornos, maintenant ? Où ça ?
- Prêté par une amie
répond-elle évasivement.
Je tombe des nues à lidée quelle ait de telles amies mais décide de reporter lexplication :
- Alors ce fantasme ?
Elle hésite encore une fois puis finit par poursuivre :
- Cétait un couple
la femme était dominatrice
lhomme était sur une table, attaché sur le dos et les yeux bandés
.
- Alors ? Lui dis-je à loreille.
Elle hésite de nouveau puis se lance :
- Elle lui fait dabord toutes sortes de sévices, avec des accessoires, des cordelettes, des poulies, des pinces et tout
Bon, ça, à la limite, ça nest pas trop mon truc mais cest la fin qui ma fait craquer !
- Raconte
- A la fin, elle sempale sur lui et il éjacule longuement dans sa chatte
Elle respire très fort et continue avec peine :
- Alors quand il a eu fini de jouir, elle sest relevée très vite...en maintenant ses lèvres serrées avec deux doigts
puis elle a été saccroupir sur le visage du mec en posant son sexe rasé sur sa bouche.
Mon cur bat plus fort en imaginant la suite.
- Tu ne vas pas me dire que
.
- Si
je tassure
cette vicieuse la obligé à avaler tout le sperme qui sortait de sa chatte !
- Et il la fait ? Dis-je dune voix blanche.
- Bien sûr, il était encore plus vicieux quelle et en plus il était totalement soumis ! Alors elle a libéré sa chatte et il a tout léché au fur et à mesure que le sperme sen écoulait, cétait extraordinaire comme scène, il avait lair daimer ça, ce cochon ! La preuve, cest quil a rebandé en un rien de temps !
- Et ça ta plu ?
- Tu ne timagines pas, jai joui presque sans me toucher, en me pinçant deux ou trois fois le bouton !
Je la regarde avec étonnement :
- Tu es devenue une belle petite salope ! Lui dis-je tout bas.
Ses yeux sont brillants en me répondant :
- Men fout, ça me plaît ! Dailleurs, je suis sûre que ça texcite aussi, hein, ose dire le contraire !
Elle a évidemment raison et ça me coupe presque le souffle. Je fais une ultime tentative :
- Quest-ce qui te fait dire que je vais accepter ça ?
- Quelque chose me dit...que tu es aussi cochon que le type du film, ai-je raison ?
Cest finement joué et je me retrouve dos au mur : je lui donne raison et je suis bon pour le gage ou je refuse et je me saborde sexuellement pour un bon moment, avec tant de promesses entrevues !
Je résiste encore un peu, pour la forme mais finis par lâcher :
- Si je comprends bien, je dois faire comme le type du film ?
- Tu as très bien compris ! Alors si tu acceptes, allonges toi par terre ! Me souffle-t-elle en me regardant droit dans les yeux.
A moins de perdre la face, je nai pas le choix
Dailleurs, pour être tout à fait honnête, je nai pas beaucoup à me forcer pour mallonger sur la moquette, le sexe de nouveau dressé par lexcitation.
- Serait-il possible que tu soies réellement aussi cochon que ce type ? Me souffle-t-elle, les yeux brillants dexcitation.
En un clin dil, elle enjambe mon visage en se plaçant tête-bêche au-dessus de moi, le sexe maintenu clos par deux doigts puis elle descend lentement vers ma bouche.
- Tu es prêt ? Me glisse-t-elle dune voix étranglée par lexcitation.
Sa chatte libérée laisse immédiatement échapper un long trait de semence directement sur ma langue tendue. Elle se penche pour mieux voir :
- Tu ne peux pas savoir comme ça mexcite, ton propre sperme sur ta langue...mais tu dois tout avaler...tu te rappelles...hein...petit cochon !
Je suis si excité quelle pourrait me demander nimporte quoi ! Alors je mexécute sans hésiter, retrouvant le goût épicé de tout à lheure.
Tu vois, ça sort toujours, ne laisse surtout rien perdre ! Senhardit-elle en constatant ma docilité.
Alors comme le type du film, javale tout au fur et à mesure ! La source semble inépuisable et je nen perds pas une miette. A la fin, jécarte largement sa vulve, histoire de bien nettoyer tout au fond.
- Tu es sûr quil ny en a plus ? Gémit-elle en se frottant sur ma bouche.
Je fais alors semblant de recueillir les dernières gouttes, juste pour lui faire plaisir et je me jette avidement sur son clitoris.
- Tu me rends folle ! Souffle-t-elle avant dengloutir ma queue.
A partir de cet instant, nous perdons tous les deux la notion du temps ! Cette fois, plus de gage, plus de calculs, que du plaisir, pur sucre. Elle ne ma jamais aussi bien sucé et je ne me suis jamais aussi bien appliqué sur son bouton mouillé de plaisir ! Sa respiration salourdit déjà, ses déhanchements se font plus amples et son doux feulement presque animal devient gémissement.
- Continue
! Souffle-t-elle en haletant.
Linstant daprès, le plaisir la foudroie sans prévenir, violent, intense, comme décuplé par tant de débauche. Mon sexe se crispe à son tour et sabandonne aussitôt dans sa bouche gourmande en longues saccades. Cest une véritable déferlante qui nous submerge tous les deux et nous entraîne très longtemps, comme dans un rêve. Longtemps après, nous finissons pourtant par nous réveiller, tout engourdis de plaisir et cest Claire qui rompt timidement le silence :
- Alain
?
- Oui ? Lui dis-je dune voix endormie.
- Tu maimes très fort ?
- Bien sûr, pourquoi me demande-tu cela ?
- Parce que jai un truc délicat à te dire.
- Grave ?
- Je ne sais pas
peut-être....en fait ça dépend de toi.
- Cest à dire....
Jessaie de rester zen mais mon cur semballe un peu.
- Voilà, quand je tai parlé du film porno prêté par une amie
eh bien je nétais pas seule pour le regarder
Je suis de moins en moins zen, mon cur est maintenant en surrégime.
- Raconte....
- Jétais avec Sophie !
..
A SUIVRE
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