La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1403)
Conte d'Halloween au Château - (suite de l'épisode précédent N°1402) -
Sandra se réveilla de son cauchemar, de son mauvais rêve à ce moment-là, brusquement, en proie à une douleur horrible, non du fait de l'attaque et morsures du vampire, mais de crampes causées par ses solides attaches
Soulagée un bref instant que ce ne fut qu'un cauchemar, avant de se rappeler, cherchant à se soulager, dans quelle situation tout aussi dingue et terrifiante, elle se trouvait. Sandra avait mal, seulement elle ne pouvait rien faire pour se soulager rapidement. Ne pouvant qu'endurer la douleur musculaire et attendre que les crampes passent toutes seules. Ouvrant les yeux, elle chercha Carole du regard dans l'obscurité se demandant si elle éprouvait également ce genre de chose et surtout pour se rassurer, car elle avait véritablement besoin dune présence après ce terrifiant rêve. S'apercevant alors avec surprise que celle-ci n'est plus là. Sandra cligna des yeux plusieurs fois, mais il n'y a aucun toute, Carole n'est plus là...
- Quoi ? Comment ? ... S'interrogea Sandra en regardant les entraves entrouvertes pendouillant au mur devant elle, regardant ensuite la porte de la cellule toujours fermée. Elle resta ébahie un instant telle une spectatrice devant un tour de magie, avant que la colère ne prenne le dessus ... Cette salope s'est tirée ! Sans un bruit ! ....
Puis la colère laissa place à la tristesse, puis à la peur et enfin au désespoir. Prisonnière de ses chaînes, elle se lamenta, cria, pleura... sa détresse était palpable. S'imaginant déjà qu'elle ne reverra plus jamais la lumière du jour et qu'elle allait mourir enchainée et cloîtrée en ses lieux dénués de présences humaines et pour toujours. Qui viendra à son secours ? Personne... nul ne sait qu'elle se trouve ici. Jack ?... oui Jack lui il sait où elle est... il la retrouvera ! ... S'il ne la pas déjà oublié dans les bras d'une autre ingénue... Alors le silence pesant stressa encore plus Sandra et ce sentiment dextrême solitude lenvahit avec angoisse
quand soudain, le bruit des gonds de la porte du cachot se fit entendre.
Carole se tenait devant elle, toute radieuse, bien que toujours entièrement nue. Lui souhaitant le bonjour, et s'excusant de l'avoir laissée seule. Sandra la voyait parler, mais ne lentendait pas car son cerveau resta bloquer sur les mots que Carole venait de prononcer : " Je vais te Libérer ". Tout son corps se crispa et se tenait en alerte, n'attendant qu'une chose que Carole la libère de ses entraves pour aussitôt se mettre à fuir à toutes jambes et oublier au plus vite ce lieu maléfique. Sandra la regarda s'accroupir devant elle, mais au lieu de la délivrer, sous la vision panoramique que Sandra offrait, malgré elle, avec ses jambes et cuisses ouverte sur la toison de son bas-ventre, rasé court, son sexe aux lèvres fines et à la fente quelque peu luisante, Sandra sentit soudain la langue de Carole venir s'insinuer entre les lèvres de son sexe...
- Huummm... fit Sandra à travers son bâillon tout en bougeant vivement la tête de droite à gauche exprimant son refus. Bougeant son basin sur le côté pour essayer d'esquiver la caresse buccale et de signifier à Carole son non vouloir à la chose. Désirant juste qu'on la libère et quelle puisse se sauver le plus vite possible
Carole n'était pas plus désireuse qu'elle de cela, n'ayant goût aux femmes, elle na jamais eu des tendances ou attirances lesbiennes. Sauf qu'elle n'était plus Carole, elle était la soumise esclave du Propriétaire de ce Château, Monsieur le Marquis D'Evans. Le Noble fantôme avait consenti à laisser partir sa prisonnière, mais avant il exigea que Carole se fasse pardonner de Sandra. Le Châtelain eut l'idée de faire d'une pierre trois coups, en lui ordonnant cela. S'offrant le plaisir de l'excitation des deux femmes ensemble, donnant une leçon à Sa soumise dapprendre à savoir faire un cunnilingus et pour finir afin de calmer et détendre Sandra par ce délicieux moment, espérant que cette dernière sera réceptive à la langue de Carole
.
Puis, Sandra ne bougeait plus, il lui fut quelques minutes pour quelle soit plus réceptive quand tout dun coup, elle se mit à gémir de plaisirs... Se cambrant dans ses entraves, les yeux mi-clos. Carole soumise poursuivit de ses doigts et de sa langue son uvre, laissant entendre de petits clapotis tandis qu'elle faisait fondre de plaisirs l'intimité de Sandra, qui maintenant s'offrait pleinement à la bouche de Carole qui se désaltérais littéralement à la source de son plaisir. Les gémissements étouffés de Sandra étaient accompagnés tel un instrument de musique par les cliquetis de ses chaînes, tandis qu'involontairement ses hanches se propulsaient en avant invitant Carole à ventouser plus encore sa bouche tiède sur son mont de vénus, pour y faire naître encore plus de volupté...
Sandra ne se contrôlait plus, se tordant dans ses entraves, jouissant pleinement des attentions buccales de Carole. Cela faisait longtemps qu'elle n'avait plus eu un orgasme aussi fort et plaisant. Hurlant et se tordant en tous sens, désirant resserrer l'étreinte de ses cuisses, malheureusement retenue. Pourtant étrangement au lieu den être détendue et reconnaissante envers Carole, comme le pensait Monsieur le Marquis, quand Sandra rouvrit les yeux, ce fut pour fusiller plus durement du regard Carole. Pour une raison qui échappait au Noble, Sandra semblait en vouloir encore plus, suite à cette jouissance pourtant sublime que venait pourtant de lui offrir Carole. Libérés, comme par magie, les bras de Sandra endoloris tombèrent le long de son corps, lui-même menaçant par ses jambes qui avaient du mal à la soutenir de choir en avant. Carole aidée du fantôme de Monsieur le Marquis et que Sandra ne voyait pas, la soutenait, le temps de la libérer pleinement, l'écartant du mur, avant de menotter de nouveau ses mains dans son dos pour éviter tout geste déplacé de violence de sa part.
Carole ressortie de la cellule, pour revenir quelques minutes plus tard, priant Sandra de l'excuser encore une fois pour tout ce qui s'était passé, lui promettant de la faire sortir du Château et de la reconduire à sa voiture. Carole, s'approcha ensuite d'elle et voulut lui mettre quelque chose autour du cou. Mais Sandra recula, marmonnant quelque chose d'incompréhensif du faite du bâillon, qu'elle portait encore. Sandra vit Carole se tourner vers le mur, en demandant quoi faire comme s'il y avait quelqu'un. Sandra ne le voyait pas ce fantôme ! Mais Monsieur le Marquis D'Evans était là, prêt de Carole soumise, lui donnant ses ordres. Carole expliqua à Sandra qu'elle allait l'aider à sortir de cette cellule et du Château, afin qu'elle puisse rentrer chez elle, seulement pour cela, elle devait accepter qu'elle lui mette ce Collier. Sandra ne voulait pas, continuant à mugir des paroles et des menaces de colère, tout en cherchant à se libérer. C'est alors qu'elle vit la porte de la cellule restée grande ouverte, derrière Carole.
Sandra joua la comédie, faisant semblent de se calmer et d'approuver la chose, s'aidant du mur pour se relever, puis malgré ses jambes encore chancelantes, soudain elle bondit vers la porte... heurtant brusquement comme un mur devant elle, qui la fit retomber sur ses fesses. C'était là, en fait, le buste invisible de Monsieur le Marquis, invisible aux yeux de Sandra. Carole ne put s'empêcher de rire par la vue de cette scène comique, alors que Sandra se tenait toute décontenancée, assise sur les fesses, les jambes allongées et écartées par terre, en regardant de manière stupéfaite la porte ouverte et libre pourtant, pour elle, de tout obstacle. Sandra n'était guère disposée et en joie, bien au contraire à devoir suivre Carole, surtout tenue en laisse tel un animal, comme elle l'était à présent vociférant et grondant pourtant comme une louve prête à mordre.
De la crypte, les deux femmes remontèrent aux rez-de-chaussée par les escaliers étroits et glissants en colimaçon. Seulement au lieu de directement rejoindre l'entrée principale du Château, Monsieur le Marquis amusé par le spectacle des deux femmes, nostalgique du temps de son vivant où nombre de soumises, mais aussi des mâles soumis, qui également étaient ainsi régulièrement menés en laisse à travers le Château, voulut prolonger la gêne et l'humiliation qu'éprouvaient les deux femmes. L'une clairement d'être dominée de force... Et l'autre de jouer les dominatrices, souhaitant au contraire se retrouver à la place de l'autre
(A suivre
)
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