Heure Supplementaire
Je travaille dans une société à population majoritairement masculine comme toute société de travail physique. Le transport en fait partie et mon travail consiste à réguler les flux de transport en fonction de différents transporteurs en tenant compte des tarifs appliqués. Un jour, mon responsable hiérarchique directe me demanda de rester un peu plus tard le soir pour clôturer un dossier particulièrement volumineux et important. Je prévins ma femme linformant que je rentrerai plus tard que dhabitude et continuais mon activité. Arrivé le soir, je me présentais à la porte du bureau de mon « chef ». il était en compagnie de sa secrétaire et dun des responsables de lentrepôt. « Entrez, installez vous autour de la table avec nous. Nous avons commencé sans vous, prenez la discussion en cours. » Jécoutais attentivement les arguments de chacun quand un genou se frotta contre le mien. Cétait celui de la secrétaire, une femme aux proportions généreuses et aux lèvres pulpeuses. Je pris ce frôlement pour une inattention et ny fis même pas cas. Mais cette pression se fit plus insistante et le pied vint en renfort du genou. Là, ce ne pouvait pas être fait par inadvertance. Je tournais mon regard vers elle et nos yeux se croisèrent. Une sensation de chaleur se fit sentir dans tout mon corps. Je neu plus aucun doute lorsque elle fit tomber son stylo et quelle se pencha vers moi pour le ramasser. Sa main attrapa le stylo et lenvoya rouler sous la table vers le milieu, donc plus accessible pour elle si elle restait assise sur son siège. Elle se leva discrètement, recula son siège et partit à la recherche de son stylo sous la table. Sa main sagrippa à ma cuisse comme si elle voulait se rattr pour ne pas tomber. Je trouvais quelle la plaçait bien haut cette main, semblant même me masser légèrement. Pendant ce temps mon chef continuait à parler et sexcusa de devoir aller dans lentrepôt avec le responsable. Ils se levèrent sans même faire attention à la secrétaire qui remontait de sous la table et quittèrent la pièce, me laissant seul avec Daphné.
« il fait une de ces chaleur ! » dit elle en dégrafant deux ou trois boutons de son corsage, laissant deviner un sein lourd avec une aréole très large autours de son téton. Je me rapprochais légèrement et elle se tourna vers moi. « Vous navez pas chaud, vous ? » « moi ? Je suis en chaleur, voulez vous dire ! »
Lui répondis je. Sa main revint vers mon entrejambe sans ambiguïté et massa mon sexe qui commençait à enfler. « Effectivement ! Je vois que la situation est très tendue ! On ne peut pas laisser les choses dans cet état ! » Elle se releva, recula sa chaise et repartit sous la table. Cette fois, il ny avait pas de stylo à remonter ; Elle semploya à dégrafer ma braguette et sortit mon membre légèrement gonflé. « Attendez ! pas ici ! Si le chef revenait ? » « Peu importe ! de toute façon il est trop occupé par Léo le responsable de lentrepôt. Bavard comme il est, ils en ont au moins pour une demi heure. Largement le temps pour moi de moccuper de vous ! » Et joignant le geste à la parole elle happa mon sexe en semi-érection. La situation était nouvelle et je nosais pas me laisser aller. Je jetais des regards effrayés vers la porte, mattendant à les voir rentrer à tout moment. Elle savait y faire par contre, Daphné, car malgré mes craintes, je bandais dur et elle se régalait de ce que je lui offrait. Excité comme un fou, je lui pris la tête et enfonçais encore plus mon sexe tendu dans sa bouche : »Tiens, bouffe là ! prends là bien au fond ! » Je perdais contact avec la réalité, mabandonnant complètement à cette fellation e. Tout à mon excitation, je nai pas vu que mon chef et Léo nous mataient à travers la porte de la salle de réunion. En fait, ils ne faisaient pas que regarder mais prenaient des photos de nous ou plutôt de moi en train de me faire pomper le nud par Daphné. La porte souvrit brutalement et mon chef lança « Bravo, je vois quon ne sennuie pas ici ! » Un sursaut projeta mon sexe encore plus avant et Daphné faillit s. Je me perdais en excuses, bredouillant des mots inintelligibles, bafouillant plus que nexpliquant.
« Jai fait des photos de vous mon cher, et je peux les utiliser à mon gré pour vous faire chanter ! » « Jai compris votre manège ! Vous souhaitez obtenir quoi de moi en échange de ces photos ? » « Vous ! » « moi ? » « Oui, vous ! ou plutôt votre cul ! » « Pardon ? » demandais je interloqué. « Oui, vous avez bien entendu ! Votre cul ou plutôt ton cul de salope ! Je sais que tu communique par internet pendant ton travail et que tu « surf » sur des sites gays. Alors je tai laissé faire mais maintenant, cest à moi de jouer. Je tai mis sur écoute et jai toutes les bandes et enregistrements dans mon bureau. Tu es marié et je pense que personne naimerait que cette affaire sébruite. » Jétais piégé.
Impossible de faire autre chose que daccepter. « que voulez vous de moi exactement ? » « Déshabille toi ! »répondit Alex. « Là, maintenant ? » « Fais ce quon te dit et y aura pas de problème ! » lança Léo. Je me levais et commençais à enlever mes vêtements. Daphné quant à elle, sétait relevée et se faisait embrasser par Alex. Ses mains sactivaient sur la braguette de celui-ci ; Elle se frottait contre lui et ses caresses faisaient prendre une belle consistance au pantalon dAlex. Elle défit les boutons et sagenouilla devant lui. Elle extirpa, non sans mal, le membre impressionnant dAlex. Il était raide t volumineux, tendu vers la bouche de daphné qui le goba sans se faire prier. Je me retrouvais bientôt en caleçon, debout dans la salle de réunion. « Enlève tout ! » cria Léo qui ne lâchait pas du regard mon entrejambe. Je fis descendre le dernier rempart à ma pudeur et me retrouvait donc entièrement nu. Léo sapprocha de moi et me dit « Alors, on aime se faire sucer ? A ce quon ma dit tu serais à voile et à vapeur ? » Ce disant, il sagenouilla devant moi et caressa mon sexe qui pendait honteux entre mes cuisses. « Elle était plus fière tout à lheure, dis donc ! Va falloir sen occuper de ton engin ! » Sa main caressait lentement mon pénis, décalottant mon gland pour le laisser à lair libre.
La douceur de son geste ma fit frissonner et je sentis ma verge se gonfler petit à petit. « Ah ! je vois que je ne te laisse pas indifférent ! » Il approcha sa tête et introduisit ma queue dans sa bouche ; Dune main, il me branlait doucement, de lautre il caressait mes couilles, passant même de temps en temps par ma raie qui sétait humidifiée sous la caresse. « Mais tu mouilles » dit il « tu mouilles du cul, comme une petite salope que tu es ! Tourne toi et montre moi tout ça ! » Je me retournais et me penchais légèrement en avant pour faciliter son inspection. « hum ! Que tu sens bon ! il donne envie ce petit trou. » Alors il lança sa tête en avant et entreprit de me lécher lanus. Sa langue était chaude et humide, douce et puissante à la fois. Il écartait mes fesses de ses deux mains et maspirait le cul comme un dieu. Jaimais ce quil me faisait. Jen redemandais même puisque je me cambrais encore plus. « tu aimes ça, hein ! tu aimes quon soccupe de ton fion ! tu vas adorer ce qui tattend ! » Alex et Daphné se rapprochèrent de nous et il y avait à présent 6 mains qui parcouraient mon corps, le tâtant, le caressant , le fouillant dans les moindres replis de mon intimité. Léo me bouffait le cul, Alex me tétait les tétons et Daphné avait repris la fellation interrompue par larrivée des deux compères. Je me trémoussais sous leffet des caresses combinées. Je ne savais plus ce qui me faisait le plus de bien. Alex, Léo ou Daphné, tous les trois y mettaient une telle ardeur que jétais aux anges. Lincongruité de la situation ajoutait à lexcitation due au plaisir. Le doigt de Léo vint prendre la place de sa langue. Il introduisit ses phalanges dans mon anus lubrifié par sa salive. Il me pilonnait de sa main et je fléchis légèrement les jambes pour accen la pénétration. « Tu es bien ouvert, a salope ! Tu vas avoir droit au plat de consistance ! » Léo se releva et se planta derrière moi. Sa queue en érection se frotta le long de ma raie. Il cracha dans sa main et enduisit de salive son gland quil sapprêtait à introduire dans mon anus.
Il appuya lextrémité de son phallus et exerça une légère poussée en avant. Je me cambrais pour tendre mes fesses encore plus en arrière. Il me pénétra sans difficulté et il entama de rapides mouvements de va et vient. Alex sétait lui aussi agenouillé et cest avec daphné quils me suçaient à tour de rôle. Tantôt il suçait ma queue, tantôt il embrassait Daphné qui ne refusait jamais une seule de ses avances. Lexcitation montait dans ce bureau et lodeur qui se dégageait de nos corps accentuait le désir. Daphné se doigtait vivement alors quAlex se masturbait pendant quil me suçait. Daphné sallongea et suça Alex qui ne demandait que cela. Léo sen donnait à cur joie et me ravageait le fondement sans ménagement. Ses mains sur mes hanches, il me serrait contre lui à chaque avancée de son bassin, accentuant du même coup sa sodomie. Léo me fit mettre à quatre pattes et me prit en levrette, telle une chienne en chaleur. Alex se glissa sous moi et goba mon sexe pendant que Daphné le suçait goulûment. Léo sentit le moment de la jouissance arriver. Il grognait à chaque coup de boutoir et ses mains se crispaient plus fermement encore sur mes fesses. Je le sentis se cambrer son corps fut pris de convulsion. Un liquide chaud et épais emplit mon anus et je compris que son sperme se répandait en moi. De longues et puissantes giclées de foutre minondaient les entrailles. Alex avait senti que Léo jouissait et se releva. « A mon tour ! moi aussi je vais tenculer ma petite pute ! Je vais en profiter aussi de ton fion de pouffasse ! » Léo se retira, ne laissant quune longue traînée de semence se rependre le long de mes cuisses. Mon anus dilaté ne se referma pas et resta béant pour lintromission du membre dAlex. Beaucoup plus gros, son gland écarta encore mes chairs distendues. Je me sentais complètement rempli par ce dard impressionnant. Javais déjà été sodomisé mais jamais avec un tel engin. Le moment de surprise passé, je mhabituais à cette présence envahissante. Je lappréciais même et prenais un plaisir comme jamais je navais pris. Alex était plus brutal que Léo et cest bestialement quil me sodomisait. Ses assauts étaient ponctués de « han ! » et de « tiens salope ! ». Je me faisais littéralement bourrer comme une chienne par un mâle en rut. Alex me possédait et prenait lui aussi un plaisir énorme. Daphné sactivait sur ma queue, allongée sous moi, ayant pris la place laissée vacante par Alex. Le traitement quelle me faisait subir eut raison de mon endurance et je sentais la jouissance approcher. Je le lui dis et elle me répondit « Vas-y ! crache ta purée ! donne moi tout ! gicle dans ma bouche ! » Ses mots, si vulgaires, déclenchèrent mon orgasme sans plus attendre. Mon gland fiché dans sa bouche explosa littéralement et je me vidais entièrement dans sa cavité buccale. Elle nen laissa rien échapper et avalait tout ce qui sécoulait de mon sexe en feu. La jouissance contractait mon anus à chaque giclée et je serrais plus fort la queue dAlex qui me labourait toujours comme un damné. Je le sentis prêt à éjaculer lorsque ses mains se sont crispées sur mes fesses. « Oui ! ah ! je jouis ! » Lorgasme le secouait comme sil était électrisé, parcouru de soubresauts, hurlant de satisfaction. Une fois de plus, jétais rempli de foutre. Mmes sphincters ne pouvant contenir autant de sperme en une seule fois, je dégoulinais de semence ; mes cuisses ruisselaient de foutre que Daphné récupérait lorsque des gouttes venaient à sa portée. Elle me léchait lintérieur des cuisses, lavait de sa langue les traces des outrages laissées par mes deux violeurs. La fièvre une fois retombée, nous nous regardâmes, complices et amants, éreintés et fourbus des excès sexuels, sachant que chacun y avait été gagnant, que personne navait été lésé et que la prochaine fois, puisque prochaine fois il y aura, ne saurait se faire attendre
admin
Jan. 31, 2023
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