Visite D'Un Ami À Paris

Un collègue de promotion résidant en province nous rendit visite à l’occasion d’un déplacement professionnel à Paris. Nous l’hébergeâmes pendant une semaine que durait son séjour dans la capitale.

Mon épouse, cordon bleu, nous offrit le premier soir un dîner bourguignon. Elle était vêtue dans une tenue avenante qui attirait le regard de notre invité. En effet, elle portait une robe courte et légère dans l’échancrure de laquelle on distinguait ses seins. Elle nous servit l’apéritif alors que nous évoquions nos meilleurs souvenirs communs. Notre ami mangea avec appétit à notre grand plaisir. Au digestif en se penchant pour poser les verres de cognac, elle nous laissa apercevoir involontairement ses deux fesses séparées par la corde d’un string mais la soirée se déroula sans coquinerie. En sortant de sa douche relaxante après son voyage, notre hôte croisa dans le couloir ma femme nue sous son peignoir. Elle se massait le visage avec un lait reconstituant avant de se coucher. Elle lui sourit et il la complimenta sur sa beauté.


Le lendemain, nous décidâmes de sortir dîner dans un restaurant pour soustraire mon épouse aux habituelles tâches ménagères. Alors qu’elle se parfumait et se maquillait avec le plus grand soin, j’expliquai à notre ami que nous avions une vie de couple libérée et qu’il ne devait pas se formaliser de nos initiatives et même qu’il pouvait en prendre s’il le souhaitait. Chaussée d’escarpins à haut talon et habillée d’une robe bleu foncé seyante, ma femme nous proposa de sortir pour rejoindre le restaurant italien où nous commandèrent un menu léger mais bien arrosé par un excellent Chianti. En posant sa main sur le genou de notre ami, ma femme lui demanda si une virée en voiture dans les endroits chauds de la capitale l’intéressait. Il répondit par l’affirmative aussi nous nous dirigeâmes vers la porte Dauphine et le bois attenant avec une certaine excitation.


Echangistes, hommes seuls, prostituées discutaient sur le trottoir dans une ambiance décontractée.

Nous descendîmes de la voiture et nous engageâmes dans les allées du bois pour mâter les ébats des protagonistes de relations exhibitionnistes. Sur le coin d’une pelouse, deux couples se tenaient debout en cercle : les femmes masturbaient les membres de leurs partenaires masculins, lesquels caressaient sous les robes les fessiers nus de leurs compagnes. Plus loin, deux hommes se faisaient sucer alternativement par un travelo. Nous nous assîmes sur un banc, mon épouse entre nous. Un couple se présenta et nous proposa de nous isoler derrière une haie. Bien physiquement, nous acceptâmes de les suivre. Assises sur l’herbe, les deux femmes (dont la mienne) se caressèrent le clitoris tandis que les trois hommes, restés debout, se branlèrent en regardant les chattes humides frictionnées par des doigtés experts. Après que chacun ait connu son propre plaisir, nous saluèrent le couple et poursuivîmes notre promenade.


Dans une clairière entourée d’arbustes, un groupe d’hommes et de femmes dansaient des slows que diffusait un appareil radio placé sur un branchage. Nous nous joignîmes à eux en épousant le rythme d’une musique langoureuse et sensuelle. Ma femme colla son corps contre celui de notre ami et l’embrassa en plaçant ses mains derrière la nuque de son partenaire. Je fis de même avec une jolie brune qui frotta son pubis contre mon sexe tout en me faisant des suçons sur le haut de ma poitrine. J’aperçus un homme qui se plaça contre le dos de ma femme tout en lui massant les seins. Je réalisai que ce groupe était adepte de mélangisme plutôt que de l’échangisme. Ma partenaire glissa sa main dans mon pantalon et y saisit mon membre qu’elle emprisonna fermement à la base du gland. Je lui pinçai les tétons en tournant ma langue autour de la sienne. Elle s’agenouilla et entreprit une fellation, mes mains sur sa chevelure donnant le rythme. A proximité, j’observai notre ami le torse nu que mordillait ma femme alors que son second partenaire, accroupi, lui léchait la chatte.
Ne souhaitant pas prolonger notre présence, nous regagnèrent la voiture. Ma femme me proposa de s’asseoir sur la banquette arrière avec notre ami.



Sur les quais, je regardai dans le rétroviseur et vis que ma femme avait relevé sa robe, découvrant ainsi ses cuisses fuselées. Notre compagnon caressa l’intérieur de celles-ci tout en regardant la Seine et les monuments historiques situés sur l’autre rive. Je parquai l’automobile près de notre immeuble et nous entrâmes dans notre appartement. Nous prîmes un digestif à l’issue duquel ma femme nous proposa de passer la nuit dans le même lit. Avec mon ami, nous nous déshabillâmes et nous plaçâmes sur chacun des bords du lit en attendant ma femme qui prenait une douche. Elle s’agenouilla au milieu et prit dans chaque main nos membres qu’elle masturba avec lenteur pour leur donner vigueur. Sous une lumière tamisée, nous la regardions faire avec ses seins qui se balançaient au rythme de ses massages. Puis elle inversa sa position pour nous sucer alternativement offrant à notre vue son cul. J’enfouis deux doigts dans sa chatte en les tournant comme une toupie. Notre ami titilla l’anus de ma femme, puis commença des va-et-vient pendant j’accélérai avec les caresses de mes doigts à l’intérieur de la chatte. Les deux orifices se dilatèrent sous les frétillements de ma femme qui nous masturbait en léchant nos couilles.


Cette position dura longtemps tant elle plaisait à tous : nous éjaculèrent tandis que ma femme inondait également nos doigts. Puis, nous laissâmes ma femme seule dans le lit pour nous laver. Notre ami m’expliqua dans la salle de bain qu’il allait prendre à présent l’initiative. En rentrant dans la chambre, il prit ma femme dans la position du missionnaire en soulevant ses jambes au dessus de ses épaules. Ma femme ayant la tête tombant sur le rebord du lit, j’introduisit mon sexe dans sa bouche et massai ses seins. Notre ami la baisait en variant le rythme ce qui influençait également la cadence de la fellation.
Il lui suça le nombril ; je léchais les tétons, nos deux membres bien au chaud dans deux cavités pourtant différentes. Le visage de ma femme révélait un état de forte jouissance, en particulier lorsqu’elle connaissait des orgasmes. Elle nous demanda de nous retirer de ses orifices et se branla en se contorsionnant sous des spasmes de plaisir. Elle se reposa et partit se refaire une beauté alors que nous reprenions un cognac en nous remémorant le passé de célibataires.


Revenue dans la chambre, ma femme passa sur nos queues un lubrifiant et nous demanda de nous lever. Elle enfourcha notre ami, se pencha sur lui et me demanda de la prendre par derrière. Je fis pénétrer mon membre graduellement dans le cul. Quand le sexe de notre ami entrait dans la chatte, je me retirai et inversement. Ces pénétrations s’accélérèrent à la demande de ma femme qui gémissait en s’abandonnant à ses instincts de luxure. Je la fessai ; il lui pinçait les tétons. Je lui caressai le dos ; il l’embrassait. Puis, je me retirai et introduisis mon sexe également dans la chatte en écartant les deux fesses. Le frottement des deux queues sur les parois du vagin était plus agréable pour chacun des partenaires. Les quatre couilles battaient contre le postérieur de ma femme qui tentait d’imposer son rythme à cette position. Les queues se raidir avant la libération du foutre dans la chatte.


Nous nous endormîmes jusqu’au petit matin. Au petit déjeuner, ma femme nous annonça qu’elle nous réservait une surprise pour la soirée. (suite au prochain épisode).

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