Sublimement Soumise
J'ai toujours été attirée par la soumission, mais il m'a fallu attendre mes trente ans pour m'y laisser enfin aller. Je suis grande, blonde et avec mon caractère j'ai toujours refusé de plier devant un homme. Il m'a fallu rencontrer mon petit ami actuel pour découvrir enfin les délices de la soumission.
Mon homme s'appelle Josh. Il est d'origine australienne : il est grand, brun, musclé et très beau. Il sait être doux mais aussi très dur et me mettre entièrement à sa merci.
Ma soumission a commencé un soir, quand je lui ai parlé de mon fantasme d'être attachée et possédée par plusieurs hommes, sans pouvoir me défendre. Il m'a écouté et n'a rien dit mais quelques jours plus tard, un vendredi à 20h00
J'étais dans mon bain, chez moi, attendant le retour de mon compagnon. J'habite la campagne et je ne ferme jamais la porte à clé. Soudain je sursaute violement car un homme vient d' entrer dans ma salle de bain mais ce n'est pas mon ami !!! Il est grand, châtain, avec des yeux noisette et le regard froid.
Il m'ordonne de me lever, de sortir de la baignoire et de me tenir debout devant lui. Il rajoute qu'il est envoyé par mon compagnon. J'aperçois deux autres hommes plus petits, tapis dans le couloir. Impossible de fuir
Très gênée, je sors nerveusement du bain et m'immobilise devant lui. Il m'essuie rapidement, sans un geste déplacé malgré la situation et sa retenue me surprend. Je vais comprendre progressivement ce qui m'arrive, pour le moment je suis sous le choc.
Quand je suis quasi-sèche, il m'entraîne dans ma chambre, suivi par les deux autres hommes que je distingue mal car ils se trouvent toujours dans la pénombre du couloir. Ces derniers sortent attendre dehors. L'homme châtain (j'apprendrais ensuite qu'il s'appelle Christophe) me dit " habille toi ". Je choisi un petit chemisier et une robe courte, il semble satisfait de mon choix.
Maintenant que je suis aveuglée, il m'entraîne dehors. Il fait frais pour un soir d'été, je frissonne. On me fait monter dans une voiture, et je me retrouve encadrée par les deux autres hommes. Je ne risque pas de me sauver ! Je devine que le grand type châtain prend le volant et nous partons.
" Denis, Eric, préparez là "
Et ce sera le seul ordre qu'il donnera. Immédiatement je sens qu'on déboutonne mon chemisier, et que quatre mains puissantes m'écartent les cuisses sans ménagement et remontent ma jupe. Une main indiscrète force le passage entre mes jambes et me touche, suivi d'un commentaire sans appel " tu mouilles petite garce, ça te plait on dirait
"
Effectivement je suis trempée et ce n'est pas le contact d'une main d'homme sur mon sexe qui va me calmer ! Cette main indiscrète frôle mon clitoris, puis descend plus bas et un doigt pénètre sans ménagement dans mon vagin. Je gémis. Le doigt s'insinue plus loin, bientôt suivi par un deuxième qui m'élargit. Je me tortille pour échapper à cette intrusion, mais sans plus de résultat que d'aider la main à progresser plus profond.
Une voix me demande : " tu as l'habitude de la sodomie ? " pendant que la main continue de me fouiller.
" Non ! " Je commence à être vraiment effrayée. Je n'ai essayé qu'une fois la sodomie et elle m'a laissé un souvenir cuisant. Il semble que même avec du gel et de la patience, je sois vraiment serrée de ce coté là
" tu t'y feras".
Et comme pour appuyer ces dires, je sens la main qui me pénètre se retirer puis descendre plus bas vers mes fesses et me chatouiller ma petite rondelle.
Nous roulons un bon moment, pendant que l'on continue à me caresser, manifestement pour m'exciter, sans pour autant me laisser jouir. J'ai le clito en feu je me sens devenir comme une petite chienne prête à céder à toutes les demandes.
C'est manifestement ce qu'ils veulent obtenir car je n'oppose plus aucune résistance à une situation qui pourtant n'a rien de normal ! Soudain la voiture s'arrête, on me débarque sans ménagement puis on me dirige en me tenant fermement. Je sens un carrelage sous mes chaussures à talons, nous sommes entrés dans une maison.
Je sens qu'un autre homme approche. On me laisse plantée là, à moitié nue, pendant que je me sens inspectée, épiée par des yeux dont j'ignore à qui ils appartiennent. Puis le verdict tombe : " rasez la, elle a trop de poils ".
Je suis déjà en partie rasée car mon homme aime bien ça, mais manifestement pas assez à leur goût. On me conduit à un siège gynécologique, avec les yeux toujours bandés, ou on m'allonge après m'avoir enlevé les menottes. Pas pour longtemps car on me refixe aussitôt solidement les bras et les jambes sur mon nouveau support avec des bracelets que je suppose en cuir. On me pose aussi un collier de chien autour du cou, qu'on attache de façon à ce que je ne puisse pas me redresser.
Je sens qu'on m'enduit la chatte de savon. Je me crispe en sentant la lame du rasoir, mais pas de coupures, juste la sensation que l'on m'enlève jusqu'au moindre millimètre de système pileux.
Satisfait du résultat manifestement, l'homme qui a donné l'ordre de me raser propose tranquillement aux autres de se servir un verre pendant qu'il s'occupe de moi. Je frémis, en me demandant ce qu'il va bien pouvoir m'arriver
Je le sens rapidement : un gode de bonne taille enduit de gel vient se poser contre mon sexe et me pénètre puissamment sans que je puisse me débattre. On le fixe avec des chaînettes assez serrées, une qui passe entre mes fesses et une autour de la taille, pour qu'il reste bien en place. Il s'enfonce profondément en moi et me dilate bien plus largement que n'importe quel sexe. Ensuite on me tourne la tête et je sens un sexe d'homme se présenter à mes lèvres : il faut que je suce. J'ouvre docilement la bouche et je commence à pomper l'homme bien membré, qui s'enfonce dans ma bouche comme il lui plait. Je ne peux pas bouger, il règle la profondeur de sa pénétration à son goût, même si je m'étrangle. Je sens qu'il m'empoigne par les cheveux afin de se branler dans ma bouche comme un vulgaire trou. Je fais de mon mieux pour me serrer autour de sa queue, je le titille avec ma langue, lui lèche le gland, puis les couilles qu'il me présente ensuite. La scène émoustille manifestement les autres hommes car je sens des mains courir sur mon corps, tirant sur les chaînettes toujours fixées sur mes seins et poussant pour m'enfoncer le god encore plus profond si c'est possible
Puis une bouche se pose sur mon clitoris, écartant un peu la chaîne qui tient le god et commence à me chatouiller délicieusement. S'en est trop, je jouis brutalement. Les spasmes de mon vagin se serrent autour du god toujours profondément planté en moi.
Le rythme du va et vient dans ma bouche s'accélère, je sens que l'homme va jouir dans ma gorge. Je déteste le goût du sperme, et malgré mon obéissance à mon homme, je n'arrive pas à l'avaler. Là je suis bien obligée, le type me décharge un jet crémeux dans le fond de la gorge et me tient la tête jusqu'à ce que j'ai tout avalé jusqu'à la moindre goutte.
Effectivement, il est immédiatement remplacé par une autre bite, qui me prend la bouche avec la même énergie que la première. Je dois tous les sucer à tour de rôle, et c'est 4 décharges que je prends dans la gorge et que je dois avaler sans sourciller.
Mon excitation retombe, je ne sens plus que mes liens bien serrés, le god enfoncé en moi qui me dilate, ma chatte sans poils au contact de l'air frais et leurs bites dans ma gorge. Quand le dernier a enfin jouit, on me détache et enfin on m'enlève mon bandeau, puis les pinces à sein. Je me lève difficilement : le gros god toujours planté en moi me gêne dans mes mouvements.
Je fais connaissance avec mes quatre maîtres, qui, je l'apprends à ce moment là, vont s'amuser avec moi tout le week-end. Josh m'a en effet prêté à eux pour me déniaiser pendant 48 heures
Doù les connaît-il ? Mystère
Le propriétaire des lieux s'appelle Yves. C'est celui que j'ai sucé en premier et qui m'a posé le god. Il est petit, brun, bien monté avec un regard bleu perçant. Le deuxième, Christophe, le conducteur grand, châtain aux yeux noisette est celui qui m'impressionne le plus. Ils semblent amis. Les deux autres, prénommés Eric et Denis sont plutôt des hommes de main. Eric est un beau noir, ce que je n'avais pas remarqué dans la pénombre du couloir, Denis est châtain comme Christophe mais plus rond. Ils sont tous les deux de taille moyenne.
Après cette séance mémorable, ils me laissent récupérer une petite heure dans une chambre, sans me laisser libre pour autant : ils prennent garde de m'attacher à la tête du lit avec une chaîne assez longue, reliée au collier de chien qui lui-même se verrouille avec un petit cadenas : même les mains libres, je ne risque pas de l'enlever !
Je garde aussi le god, qui me gêne un peu pour uriner et pour me laver rapidement dans la petite salle de bain attenante ou je traîne ma chaîne qui mesure environ deux mètres
Je suis tellement épuisée d'émotions que je m'endors ensuite presque instantanément. Il est 22 heures, je suis partie depuis seulement 2 heures de chez moi !
Je suis réveillée à 23 h 30 par des petits coups de martinet sur mes fesses. C'est Denis qui se charge de mon réveil. Il en profite pour glisser son sexe dans ma bouche histoire de prendre un peu de plaisir au passage. Là j'ai les mains libres je peux donc docilement lui saisir le sexe pour le lécher à mon aise : il semble apprécier mais je n'ai pas le temps de le faire jouir : au bout de quelques minutes, il att la chaîne reliée à mon collier, la détache du lit et m'emmène telle une vulgaire chienne au bout de sa laisse, me dandinant avec le god planté en moi.
J'arrive dans une grande salle que je ne connais pas encore. Au centre se trouve une grande caisse percée de trous, trous masqués par des rabats en caoutchoucs et tout autour du matériel effrayant : une croix, une table avec des fixations pour les membres, un poteau avec des attaches, des chaînes pendant du plafond, fixées à des poutres assez hautes. Une collection de martinets et divers autres objets sont posés sur un buffet un peu plus loin.
Yves m'enlève enfin mon god qui sort de ma chatte avec un bruit de succion, la laissant dilatée. Puis il m'enlève la chaîne de mon collier et me fait rentrer dans la grande caisse au centre ou je tiens debout sans pouvoir me plier d'aucune façon. Ca me fait penser à un cercueil et s'il n'y avait pas les trous qui laissent passer un peu de lumière je serais tentée de faire une crise de claustrophobie ! Dans la caisse, il me fixe les poignets au collier grâce aux deux bracelets en cuir qu\'il me remet. J'ai donc maintenant les deux mains coincées sous le menton, sans pouvoir bouger du tout, prisonnière dans cet espace réduit ou je ne tiens que debout.
J'entends des gens qui commencent à arriver. Manifestement il y a du monde, des voix d'homme et de femme, ça rit, ça discute. Puis je sens une main qui s'insinue dans ma cage par l'un des trous : je comprends alors ce qui va m'arriver ! En quelques minutes, mon corps est pris d'assaut : des mains inconnues me palpent, s'insinuent dans mes moindres recoins sans que je puisse y opposer la plus petite résistance : on me pince les seins, on les tire, des doigts pénètrent dans ma bouche, puis dans ma chatte, plusieurs doigts venant de plusieurs mains
Je comprend ensuite pourquoi maître Yves a laissé le god me dilater aussi longtemps : je sens une main qui tente de s'insérer entière dans mon vagin, me forçant à écarter les jambes autant que je le peux pour tenter de faciliter la pénétration : car j'ai compris qu'il ne sert à rien de résister, mes mouvements désespérés pour échapper aux pénétrations ne font qu'exciter mes agresseurs. La main mouillée de gel va et vient, s'enfonçant à chaque fois plus profondément. Je gémis comme une petite chienne, le fist me fait peur car je n'y ai jamais gouté auparavant : comme pour mon anus, je suis trop serrée. Enfin on me force un grand coup et je sens la main disparaître en moi puis le poing se fermer dans mes entrailles. Commence alors un va et vient puissant, qui me dilate comme jamais. Je crie, je me cale comme je peux dans le noir de la caisse contre la paroi de bois pour résister aux puissants mouvements. Je sens confusément une autre main qui me branle le clitoris, mais toutes les sensations se mélangent, douleur et plaisir, peur et excitation
Soudain je suis terrassée par une jouissance intense, la deuxième de la soirée. Celui qui me prend ainsi doit le sentir car la main ralentit puis se retire. Je ne sens plus que la douleur de mes entrailles trop élargies pour leur capacité. Je dégouline, ma mouille me coule le long des jambes, j'ai le souffle court et le cur qui bat trop fort.
Mais on ne me laisse pas de répit : maintenant c'est mon petit trou qui intéresse les explorateurs
Je sens un doigt se poser contre ma rondelle et je devine que ce soir je serai pénétrée par tous mes orifices, que cela me plaise ou pas : Josh m'a envoyé à une bonne adresse ! J'entend des coups de fouet et des cris : manifestement, une soumise passe un mauvais quart d'heure. Des gémissement s'échappent de plusieurs endroits de la grande pièce, je devine que je ne suis pas la seule ce soir dont on s'occupe des orifices
Pendant que je tends l'oreille, un pouce et un majeur s'insèrent en moi, un dans le vagin et un dans mon petit cul, bien serré pourtant. Les deux doigts se serrent ensuite rythmiquement, et je les sens se rejoindre à travers ma fine paroi de peau qui sépare le vagin de l'anus. Mon excitation qui retombait remonte, surtout qu'une autre main, féminine il me semble vu son toucher, me caresse le clitoris sensuellement, comme pour me faire oublier la morsure de la dilatation causée par le fist. Je me sens prête à jouir une troisième fois mais la caresse merveilleuse s'arrête à ce moment là, me laissant pantelante et trempée.
Puis l'intru change, à nouveau je sens d'autres doigts me pénétrer la chatte, puis le cul, je suis progressivement dilatée de partout : je sens confusément qu'on m'introduit trois doigts dans l'anus et que ma rondelle commence à en souffrir car elle arrive ses limites, tout comme mon sexe élargit de force tout à l'heure. Enfin la soirée se termine, les visiteurs s'en vont, le calme revient.
La porte de la caisse s'ouvre. Je cligne des yeux et je vois l'heure : 3 heures du matin, j'ai passé 3 heures trente dans ma prison à trou à mettre mes orifices à disposition des visiteurs. Soudain apparaît celui qui m'a ouvert la caisse : Josh ! Je suis soulagée de le voir, enfin un visage familier dans cette ambiance étrange qui me fait perdre mes repères depuis quelques heures.
" Ca va ma puce ? " Me demande t-il. Je ne peux qu'osciller de la tête, j'aurai trop de choses à lui dire et de questions à lui poser
Il me regarde amusé, puis me caresse la joue et me dis " j'espère que mes amis te plaisent, tu verras, tu vas apprendre plein de choses ". Maitre Christophe, celui qui m'impressionne le plus, s'approche et me détache enfin les poignets. Pour le première fois de la soirée, je suis entièrement libre de mes mouvements, ni entravée ni attachée. Ne sachant pas quoi penser je reste immobile.
Eric m'apporte un verre d'eau, et je suis autorisée à manger un peu, sur un coin de table dans la cuisine ou je suis laissé seule. Pendant ce temps les hommes boivent un dernier verre et discutent de la soirée dans le grand salon. Manifestement je suis la seule soumise de la maison, elle est vide à part eux cinq et moi. J'entends Josh parler de moi, j'att quelques mots dans la discussion que je comprends mal. " soumission "
"Double pénétration "
"Dilatation"
" dressage "
Cela suffit à me stresser car je me doute bien qu'ils parlent de la suite du programme.
Enfin Josh revient vers moi, me sourit, et c\'est lui qui m\'emmène dans ma chambre pour enfin m\'y reposer. Avec la chaîne il me re-fixe le collier au lit pour la nuit, puis en guise de bonsoir me fait l\'amour \" normalement \". Ses câlins me rassurent, mais pas pour longtemps, car il me laisse finir la nuit seule, après s\'être répandu dans mon sexe en quelques va et vient qui me laissent sur ma faim
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