Sans Titre
"Envoyée en mission par ma société, jétais seule en Afrique pour quelques semaines. Javais laissé à la maison, mon mari, mes s et comme à chacun de mes séjour je retrouvais là-bas, Samba, mon beau black, lafricain qui était devenu mon amant Seule dans ma petite maison, je me sentais bien, jy étais en parfaite sécurité. Un grand mur entourait la maison, un grand portail métallique en fermait laccès. Personne ne pouvait entrer sans que je ne le sache, sauf Mamadou, le gardien qui avait son logement dans le fond du jardin. Je profitais sans vergogne de tout le confort qui était mis à ma disposition, un jardin luxuriant entourait la maison, les massifs débordaient de fleurs, jétais entourée de citronniers, de bougainvillées.
Ce dimanche matin là, cest le grincement du portail que lon refermait qui ma réveillé : quelle heure pouvait-il donc être ? Javais si bien dormi quil était près de 10H, lheure à laquelle Mamadou avait lhabitude de sortir après avoir fait son travail.
Le soleil perçait au travers des persiennes, il était temps de me lever. Nue, jouvre la porte qui donne sur le jardin, et là une irrésistible envie daller me balader me prend : puisque je suis seule, pourquoi ne pas en profiter, dautant quil y a des bananes mures sur le bananier du fond du jardin.
Cétait la première fois que je me baladais nue sous le soleil, cest bon de découvrir cette liberté à 40 ans passé. Le soleil me chauffait le dos, je sentais lair qui passait entre mes jambes me chatouillant délicieusement, à tel point que je sentais le désir monter en moi. Debout sur la pelouse face au soleil, je me caressais les seins dont les pointes commençaient à durcir, le ventre, les fesses. Les jambes bien écartées, je pris un de mes seins dune main et de lautre, je caressais mon petit triangle bouclé qui mornait le bas-ventre. Je résistais finalement à la tentation de continuer mes caresses et je repris ma ballade.
Jen profitais pour cueillir quelques fleurs. Je me sentais merveilleusement libre. Cest en mordant à belle dents dans ma banane et tenant un petit bouquet de fleurs à la main que je me suis retrouvée nez à nez avec Mamadou au détour dune allée
La surprise ma cloué sur place et je nai pu que bredouiller « je croyais que tu étais sorti
. ». Il ne sen revenait pas non plus, jétais là devant lui, les bras ballants, et son regard allait de ma poitrine à mon pubis. Pourtant cest dune voix bien claire quil me dit quil était sorti plus tôt ce matin et quil était rentré il y a une vingtaine de minutes. Je continuais à bredouiller « excuses moi, je ne voulais pas te choquer ». « Pas de problème me répondit-t-il, tu es chez toi, tu fais ce que tu veux et en plus tu es très belle ! » jétais clouée sur place ne sachant quelle contenance prendre, je me sentais un peu gênée mais aussi curieusement excitée de me retrouver nue devant ce jeune noir. Nous avons finalement continué
notre chemin tous les deux, je sentais quil me suivait des yeux et quil continuait me regarder. Je ne men suis, bien sur, pas vanté à Samba, mon ami, mais le soir il a bien vu que jétais particulièrement déchaînée.
Je métais sentie si bien nue dans le jardin que je projetais dy faire une petite séance de bronzage intégral dès que loccasion se présenterait et que Mamadou serait sorti. Quelques jours plus tard, en sortant de la douche, je le vis alors quil sortait. La voie était libre : une serviette autour de la taille, me brossant les cheveux, je me suis dirigée vers un petit carré de pelouse derrière la maison.
Allongée sur le dos, joffrais au soleil ma nudité, espérant y gagner un léger hâle. De carnation très blanche, jai toujours beaucoup de mal à bronzer, le contraste nen est que plus saisissant avec Samba qui est dun noir vraiment foncé.
Jétais si bien que jai du mendormir un petit moment au cours duquel jai revu en songe Samba et son sexe dressé au dessus de mon visage.
devenait tout dur, javais une furieuse envie dêtre pénétrée pour atteindre lorgasme, javais envi dautre chose que mes doigts. Cest alors que jai pensé à ma brosse, le manche ferait laffaire, bien long, au bout arrondi, je commençais par en frotter le manche contre mon clitoris puis je lintroduis dun coup dans mon vagin. Cette pénétration brutale me fit très vite gémir. Les yeux fermés, je me laissais bercer par la vague qui était en train de monter de mon bas ventre. Mes doigts continuaient à caresser mon clitoris tout mouillé, de plus en plus vite, de plus en plus mouillé, de plus en plus chaud. Je ne contrôlais plus rien, dune main jimprimais un mouvement de va et vient à la brosse, de lautre je caressais mon clitoris, je gémissais de plus en plus fort et lorsque lorgasme arriva, brutal, je poussais un grand cri.
Petit à petit, je reprend le contrôle de mon corps, jouvre les yeux et là je pousse un autre cri, de surprise cette fois : Mamadou se tenait devant moi, debout, une serviette de bain autour de la taille, à quelques mètres, les yeux rivés sur mon entre-jambe, goûtant au spectacle qui soffrait à lui : une femme blanche, nue sur la pelouse en plein orgasme, un manche de brosse à cheveux dans le vagin
Il avait du revenir pendant que je métais assoupie.
« Quest ce que tu fais là ?»
« Jallais prendre ma douche, jai entendu du bruit.. je suis venu voir »
Et pour voir, il avait vu.. et cela ne lavait pas laissé indifférent daprès la bosse que faisait son sexe dressé sous sa serviette. Je ne cherchais même pas à me recouvrir, cela nétait plus la peine, Mamadou mavait vu me masturber, je navais plus rien à lui cacher.
Je restais là, à le regarder, encore sous le choc. « Tu sais, me dit-t-il, je navais jamais vu de femme blanche toute nue, je te trouve vraiment belle, et puis, ça marrive aussi de jouir tout seul, et même que là que tu mas donné drôlement envi ».
Mamadou avait mis la main sur sa serviette et commençait à caresser son sexe dressé. Jétais troublée par la présence de ce beau jeune homme presque nu qui me désirait, je le regardais se caresser, mes yeux ne quittaient pas sa main qui passait et repassait sur sa serviette. Mamadou sentit mon trouble, il sapprocha de moi et laissa
tomber sa serviette offrant à mon regard médusé un sexe dressé tel que je ne nen avais jamais vu : la taille était impressionnante. « tu as vu, me dit-t-il, dans la famille, on a de très grosses bites, mes frères sont pareils, cest bien, mais ça fait peur aux filles aussi ».
Moi, ça ne me faisait plus peur
la vu de cet énorme serpent noir à la tête gonflée de désir ne faisait que raviver mon envie. A genoux sur ma serviette, je plaquais mes mains sur les fesses musclées et fermes de Mamadou et jenfournais son sexe dans ma bouche, en partie seulement, ma bouche nétait pas assez grande pour le contenir entièrement. Je commençais à le faire rouler dans ma bouche avec ma langue, et de mes deux mains, je malaxais ses testicules. Jen avais plein la bouche de son sexe , avec mes lèvres et ma langue je jouais avec son gland et je le suçais vigoureusement. Jaime sucer, ça mexcite beaucoup. Je sentais que Mamadou nallait pas tenir bien longtemps, je voyais ses jambes trembler, ma bouche se faisait encore plus insistante.
javais jamais joui comme ça, tu as beaucoup dexpérience, cest bon »
Il me tendit sa serviette pour que je messuie le visage et sagenouilla auprès de moi : « est-ce que je peux te regarder ?, jai envi de te toucher aussi » Sa curiosité mamusait beaucoup, le sucer avait ravivé mon désir. Je le laissais faire bien sur. Mamadou commença à me caresser les seins, sa main descendit doucement sur mon ventre, sur mon pubis, ses doigts épousaient les contours de mon épilation bien nette « les filles que jai eues, elles avaient beaucoup de poils, cest plus joli comme ça » Jécartais largement mes jambes le laissant passer ses doigts entre mes cuisses. Mamadou mouilla le bout de son doigt et commença à me masser doucement lentre jambe. La caresse était douce sous le soleil. Je lui pris la tête entre les mains et, soulevant mon bassin, lui offrit à lécher mon entre-jambe redevenu tout humide. Jai bien vu quil navait pas lhabitude, aussi en quelques mots, je lui expliquais ce que jattendais de lui. La pointe de sa lange titillait mon clitoris puis
descendait jusquà mon vagin. Je sentais mon jus dégouliner entre mes cuisses. Le soleil était haut maintenant dans le ciel, jen sentais sa chaleur sur mes seins. Pris dune frénésie soudaine, mamadou plaqua sa bouche entre mes jambes pour des caresses de plus en plus vives. Je sentais sa langue aller et venir, je le sentais aspirer ma mouille, sa bouche était comme une ventouse accrochée à mon sexe. Je ne pouvais plus retenir mes gémissements et dans un spasme je lui arrosais le visage dun grand jet. Haletante après ces deux orgasmes, je le regardais sessuyer le visage avec sa serviette. Je savais que je nen avais pas fini , son énorme sexe noir se dressait à nouveau devant moi, mais cette fois cest lui qui allait mener la danse. Dun geste brusque, il me mit à quatre pattes devant lui et menfonça son pilon dans mon vagin béant, marrachant un grand cri. les mains sur mes hanches, il me faisait aller et venir contre son engin magnifique, javais limpression que chaque coup
de boutoir allait me transpercer, cen était presque trop douloureux pour être agréable. Nous avons fini par osciller au même rythme, mon vagin distendu épousait parfaitement son sexe énorme, je me laissais aller au rythme des sensations qui montaient, qui montaient, je mentendais hurler, jentendais Mamadou ahaner de plus en plus fort, plus rien nexistait que ce martèlement dans mon corps, jusquà ce que mes jambes prises de tremblements ne me portent plus, je mécroulais sur ma serviette en proie à un orgasme dune violence inouï. . Mamadou resta allongé sur moi de longues minutes.
Il se releva enfin, enroula sa serviette autour de sa taille et maida à me relever. Toujours nue, les jambes flageolantes je regagnais la maison où je passais un long moment sous une douche tiède.
Nous navons jamais reparlé de ce qui sétait passé dans le jardin ce matin là et jai renoncé à mes petites ballades toute nue dans le jardin. Le jour de mon départ, au moment de me dire au revoir, alors que Samba chargeait mes valises dans la voiture, Mamadou me dit simplement, un petit sourire au coin des lèvres « au revoir, Mary, je ne toublierai jamais, tu mas appris beaucoup de choses, merci. »
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