Promenade Au Parc (Suite)

Nous avons décidé de poursuivre notre aventure débutée lors de notre promenade au parc.

Donc, ce matin, je me prépare. Je choisis mes vêtements : un chemisier sans manche, une jupe droite, j'hésite pour les sous-vêtements, puis je décide de ne pas en mettre.

Bernard me propose de m'aider à m'épiler le minou. J'accepte, car j'adore quand il s'occupe de mon corps : massage, passage de crème etc. Je m'étends sur notre lit et il étale la crème dépilatoire. Pendant les quelques minutes d'attente, nous discutons de ce qui va se passer cet après-midi. Quand nous abordons le fait de savoir si nous allons accepter que "Il" me pénètre, Bernard me dit :



- Nous aviserons sur place, cela va dépendre du lieu, de tes sensations, de ton désir. Tu pourras toujours dire non.



Il me caresse les seins en même temps, je sens mon excitation monter. Ses attouchements, pour enlever la crème, ne font qu'augmenter mon plaisir. En plus, après m'avoir rincée, Bernard ne peut se retenir de me titiller le clito avec sa langue et d'introduire un doigt dans ma grotte d'amour. Je l'attire sur moi et nous faisons l'amour.

Je finis ma toilette, je me regarde dans la glace en sortant de la douche. Avec mon pubis nu, je me trouve désirable et érotique.

Après le déjeuner, nous prenons la voiture pour nous rendre à notre rendez-vous. Bernard ne peut pas s'empêcher de passer la main sous ma jupe pour me caresser.



- J'adore te sentir nue sous ta jupe, me dit-il.

- Et moi, je sais que tu apprécies, alors je le fais d'autant plus avec plaisir, d'ailleurs tu dois t'en rendre compte.



Et il est vrai que les caresses de Bernard ne me laisse pas indifférente.

Nous tournons un peu pour trouver une place de parking, proche de notre lieu de rendez-vous, où nous arrivons un peu en avance.

"Il" est déjà là. Même si j'en avais envie, je ne peux plus reculer.

Après les bonjours d'usage, Serge (c'est son prénom) nous montre l'entrée du chemin, qui longe le Rhône.

Bernard et moi avançons en premier. Après avoir parcouru quelques dizaines de mètres, je me retourne, Serge est juste derrière. Je peux donc commencer à jouer mon scénario. Je m'arrête, je dégrafe ma jupe et la laisse tomber au sol. Je fais un pas en arrière, écarte légèrement les pieds, puis je me baisse, sans plier les genoux, pour ramasser ma jupe. Je reste quelques secondes dans cette position, qui permet à Serge de découvrir mes trésors intimes. Pour ne lui laisser aucun doute sur la nudité totale de mon sexe, je me relève et me retourne vers lui. Il me fait un signe du pouce et je reprends ma marche.

Donc, je suis désormais nue, du nombril aux pieds, en pleine ville. Et cela ne me gêne pas, au contraire. Si, avant, je me suis posé la question de savoir, quelle serait ma réaction si d'autres personnes arrivaient en face, je peux dire que maintenant mon plaisir serait immense.

Comme convenu, à un moment Serge nous dit de tourner en direction du fleuve. Bernard, galant homme, me tient les quelques branchages qui masquent une petite clairière. Comme nous l'avait dit Serge, nous sommes au bord du Rhône, mais totalement invisibles, sauf par d'éventuels canoteurs et je m'en moque.



Sur la gauche, une grande serviette est disposée sur un tronc d'arbre mort. Je dirige mes pas vers ce dernier, pose ma jupe et m'allonge sur le dos, un pied de chaque côté du tronc et déboutonne mon chemisier. Mon corps est totalement exposé aux regards des deux hommes présents. Bernard se dirige vers moi. Il commence par me caresser les seins, dont les pointes se dressent. Une main se dirige vers mon pubis ; ses doigts font le tour de ma grotte d'amour, je me sens toute mouillée. Je déboucle la ceinture de son pantalon, le baisse sur ses cuisses, ainsi que son slip.

Son sexe apparaît, déjà en érection. Sans cesser de me caresser, Bernard se met à hauteur de ma tête. La serviette est si bien placée, que je n'ai qu'à tourner la tête pour pouvoir le prendre dans ma bouche. Je commence une fellation, qui est plutôt une gâterie qu'un préliminaire, car il bande très fort. Cela ne m'étonne pas, la vue de mon corps nu, dans la nature, le met toujours dans cet état.

Je ne sais pas si c'est la peur de jouir trop vite, ou parce qu'il n'est pas un fana de la pipe, mais il se retire assez vite de ma bouche et se positionne entre mes cuisses, pour me faire minette, une caresse qu'il affectionne particulièrement, et moi aussi. Je sens sa langue faire le tour de mes lèvres, puis darder à l'entrée de mon sexe. Il remonte sur mon clito, tout en continuant à me caresser avec sa main. Je mets un pied sur le tronc. Un doigt pénètre mon corps, puis deux. Ces caresses conjuguées augmentent mon plaisir, qui atteint bientôt son apogée, quand il introduit un autre doigt dans mes fesses.

Je jouis.



Je tourne la tête vers Serge. Il a sorti son sexe de son pantalon et se caresse. J'ai envie d'un sexe dans le mien. Je me relève et appuie mes mains sur le tronc. Bernard se positionne derrière moi et me pénètre sans attendre. Je suis tellement excitée, que, après quelques va-et-vient, je jouis à nouveau.

Je me souviens de la demande de Serge : je dis à Bernard de s'asseoir sur le tronc. Je me mets dos contre lui, donc face à Serge. Je dirige le sexe de mon mari dans ma grotte d'amour. Il doit être très excité, car il est dur comme du bois. Serge a enlevé son pantalon, il s'approche de nous et demande :



- Je peux vous caresser ?

- Oh, oui ! Allez-y !



Sa main caresse mon pubis nu, puis un de ses doigts titille mon bouton. Normalement, l'ennui de cette position, c'est que je suis obligée de monter et descendre sur mes cuisses pour atteindre l'orgasme. Mais là, mon sexe rempli par le chibre de mon homme, plus les caresses de Serge, qui s'accroupit pour me lécher, me suffisent pour atteindre le septième ciel, une nouvelle fois.

Bernard me soulève par les hanches, son sexe sort du mien. Il écarte mes fesses :



- Descends doucement, me dit-il.

- Tu veux vraiment ? Dis-je.

- C'est toi qui décides.



Sans répondre, je descends en m'écartant les fesses moi-même. Bernard dirige son pénis à l'entrée de mon petit trou. Je continue ma descente, je le sens entrer progressivement dans mon anus, bien lubrifié par mes jouissances précédentes. Je descends ma main vers mon bas-ventre, je peux caresser la verge de mon homme, ainsi que ses boules.



Serge me dit :



- Vous êtes magnifique avec votre sexe tout nu et bien ouvert.

- Caresses moi, lui dis-je. (A ce stade, je pense que l'on peut utiliser le tutoiement.)

- Si tu as un préservatif, tu peux même lui faire l'amour, ajoute Bernard.



Je me mets un doigt dans le vagin, dont je ressens l'étroitesse engendrée par la présence de Bernard dans mes fesses.

Pendant ce temps, Serge a récupéré un préservatif dans la poche de son pantalon. Il l'enfile. Sa main se dirige vers mon pubis, et remplace la mienne, il me caresse le clito. Ses doigts prennent possession de mon sexe. Mon excitation grimpe encore d'un cran.



- Pénètres-moi, lui dis-je.



Il se redresse et présente son pénis devant mon minou. Ce n'est pas la première fois que je vais bénéficier d'une double pénétration et je n'ai aucune appréhension.

D'ailleurs, la première fois, c'était déjà dans la nature, (un coin tranquille d'un camp de naturistes) et le souvenir que j'en ai est vraiment merveilleux.

Serge me pénètre doucement, car, comme je l'ai dit plus haut, mon sexe est assez étroit et, malgré mon excitation, il faut qu'il s'habitue.

Une fois complètement dans moi, Serge commence ses mouvements et mon excitation croit très vite, jusqu'à atteindre son apogée.

Serge a de la résistance, car cela dure assez longtemps et je jouis plusieurs fois. Lui aussi jouis, puis il se retire.



Mon homme est toujours fiché dans mon petit trou. Comme je n'aime pas trop bouger dans la position où je suis, je l'invite à changer. Nous nous relevons ensemble, et je me tourne de façon à appuyer mes mains sur le tronc. Bernard, qui n'a pas pu bouger pendant que Serge me pénétrait, débute aussitôt ses va-et-vient dans mon derrière. Quand je suis bien excitée, et c'est le cas aujourd'hui, j'apprécie la sodomie et, à nouveau, je sens mon excitation remonter. Le ventre de Bernard frappe mes fesses, et bientôt, je le sens éjaculer au fond de mon corps et je jouis une nouvelle fois.



Après quelques minutes de repos, Serge nous propose d'aller boire quelque chose. Les hommes se rhabillent. Je reboutonne mon chemisier, mais je ne remets pas ma jupe, j'ai décidé de leur faire profiter, encore un moment, de la vision de mon corps nu.