Sans Titre
Ce matin, tout en prenant ensemble le petit déjeuner
sur la terrasse, nous observons le panorama de la
capitale sous un ciel bleu de fin d'été. En nous
embrassant sur la joue, Léa nous souhaite une bonne
journée de travail qui sera récompensée par une
surprise à notre retour, annonce-t-elle. Courbaturée
par une nuit « chaude », Léa prend une longue douche
qui raffermit les muscles de son corps soumis à un
système multi jets deau. Habillée, elle téléphone à
son amie Véronique à laquelle elle raconte ses
excentricités de la veille. Ses propos suscitent le
désir de son interlocutrice qui se montre vite
intéressée à rencontrer Marc, décrit par Léa comme un
amant énergique et attentif. Les deux femmes
s'accordent donc sur un dîner à la maison qui pourrait
évoluer vers une partie carrée.
Me doutant des initiatives de ma femme, j'achète des
fleurs et du champagne avec Marc avant de rentrer à
mon domicile dans la soirée. Sa longue chevelure
blonde tombant sur les épaules, Léa nous accueille
avec le sourire dans une tenue suggestive : sandales
avec lanières remontant sur les mollets et robe noire
voilée laissant deviner sa poitrine. Nous nous
affalons dans le canapé en étirant nos jambes au
moment même où la sonnerie de la porte d'entrée
retentit. Léa nous présente Véronique, une brune aux
yeux verts, avec un physique élancé et une démarche
souple. Vêtue dune courte robe blanche scintillante,
elle sassoit devant Marc et croisent ses longues
jambes. Je sers l'apéritif alors que Léa anime une
conversation sur l'actualité culturelle de la capitale
avec nos deux convives.
Marc prend part à la discussion tout en détaillant du
regard le corps de Véronique qui semble apprécier
l'intérêt que lui démontre notre ami. En déposant les
fleurs dans un vase placé sur la table du salon, je
constate que notre invitée ne porte pas de slip, ce
qui me permet d'apercevoir sa chatte surmontée d'une
toison pubienne triangulaire.
Léa face à Marc et moi-même face à Véronique. Après
une salade composée, Léa apporte un plat de fruits de
mer qui donnèrent à nos haleines une odeur iodée. Du
bout de son pied gauche, notre invitée masse
discrètement mon sexe tout en demandant à Marc s'il
était satisfait de sa première soirée à Paris. Léa
adresse un coup doeil à son amie à laquelle répond
sans détours notre hôte : « je serai enchanté de
découvrir les surprises que vous nous proposerez ».
Coquine, Véronique lui rétorque que les parisiennes
sont réputées pour leur libertinage et leur
connaissance des jeux de l'amour.
En prenant l'air frais sur la terrasse, nous buvons du
champagne en regardant Paris dans le crépuscule. Marc
passe sa main sous la robe de Véronique et lui caresse
le fessier. Fixant le paysage, les mains posées sur la
rampe en fer forgée, notre invitée cambre sa croupe
invitant ainsi Marc à redoubler d'audace. Notre ami se
place derrière elle, la pénètre et commence des
va-et-vient avec une lenteur calculée. Assis sur la
balancelle, Léa et moi-même regardons ce couple d'amis
avec une certaine excitation qui réveilla nos
instincts. Ma femme sort mon sexe du pantalon et
commence une savante masturbation. Elle relève sa
robe, écarte ses jambes et, de lautre main, se
titille le clitoris.
Un vent se lève, aussi les protagonistes de ces
premiers ébats rejoignent-ils le salon baigné dans une
musique hawaïenne. Véronique entreprend un strip-tease
au milieu des canapés disposés en carré. Nue, elle
invite Léa, toujours vêtue, à danser avec elle, alors
que les hommes prennent un digestif en matant leurs
proies. Les deux femmes sembrassent lèvres rouges
contre lèvres rouges. Véronique déshabille sa
partenaire quelle entraîne sur la moquette pour une
position 69.
clitoris de son amie en lui écartant les fesses ;
Véronique, à califourchon, lui frotte la chatte humide
avec trois doigts. Puis, elle saisit un godemiché de
taille moyenne et l'enfonce graduellement dans la
cavité. Léa poursuit son léchage en buvant le jus de
Véronique qui tourne alors le phallus plastifié
entièrement enfoncé dans la chatte dilatée. Les corps
féminins se contorsionnent amplifiant les mouvements
pour aboutir à l'orgasme.
Pendant que Léa et Véronique se refont une beauté dans
la salle de bain, Marc me suggère de nous dévêtir et
de les surprendre dans leurs ablutions. Nous nous
retrouvons donc tous les quatre dans cette pièce dont
les miroirs réfléchissent nos silhouettes. L'une se
coiffe et l'autre se maquille. Marc prend en levrette
Léa qui s'accroche au lavabo et j'en fais de même avec
notre amie. Nos couilles battent sur leurs culs et
elles se sourient dans la glace comme deux complices
amusées. Nous changeons de partenaires à plusieurs
reprises pour pimenter la situation. Ayant éjaculé sur
leurs dos, nous prenons une douche parfumée avant de
prendre le chemin de la chambre pour continuer notre
soirée érotique.
Enjouées, Véronique et Léa firent de nouveau leur
apparition dans des tenues aguichantes en cuir.
Véronique, habillée d'un bustier d'où sortaient les
seins et d'une culotte fendue au niveau du sexe,
demanda à Marc de s'allonger et commença à lui masser
le dos. Léa avait enfilé des bas et un string en cuir
et recouvert le haut de son visage d'un masque noir.
Elle s'empala sur mon membre et mis un doigt dans
l'anus de notre ami qui en fut surpris. Puis,
Véronique s'assit sur le haut du lit, les jambes bien
écartées offrant sa chatte aux lèvres de notre ami
dont elle continua à masser la nuque.
oscillait son bassin pour faire tourner ma queue dans
son vagin et enculait avec deux doigts à présent Marc
qui semblait apprécier par ailleurs les humeurs
coulant de la chatte de sa partenaire. Léa me tendit
une chaînette ayant deux petites pinces aux
extrémités. J'attachai celles-ci sur les pointes des
seins de Léa en tirant légèrement. Notre amie excitée
se frotta vigoureusement le clitoris au-dessus de la
langue active de Marc. Rapidement, elle connu un
orgasme qui la conduisit à un petit sommeil pendant
lequel ma femme acheva notre coït. Fourbus, nous nous
endormîmes sur le lit jusquà laube.
Au petit matin, je me rasai la barbe avec Marc dans la
salle de bain. Les deux femmes riaient dans la cuisine
en se rappelant certaines positions de la veille.
Véronique nous interpella à haute voix en nous
demandant si nous serions suffisamment endurants pour
poursuivre dans les prochains jours nos relations dans
un club fréquenté par des libertins. D'un esprit
curieux, Marc lui répondit par l'affirmative et
j'acquiesçai également en me parfumant à l'eau de
toilette avant de partir avec notre ami au travail.
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