L'Abattage

Mon ami m’invita chez lui un soir. Nous avons dîné et il me proposa de m’emmener dans une boite qu’il connaissait sur Paris. Nous arrivâmes donc à l’entrée de cette boite. Le Parthénon était son nom (les Grecs ont une réputation qui n’est plus à démontrer…) L’ambiance était conviviale et la lumière tamisée, presque sombre. Un grand bar courait le long du mur à droite en entrant dans l’immense pièce enfumée. Plusieurs personnes, uniquement des hommes y étaient accoudés et discutaient en consommant. Des groupes se trémoussaient sur la piste de danse au rythme entêtant de la Techno. Au fond de la salle, on distinguait des escaliers ( trois nichés dans des alcôves) qui descendaient on ne sait où. Mon ami, Pierre, m’offrit un verre au bar. On se fraya un passage, non sans peine pour l’atteindre et nous nous sommes accoudés à notre tour. Pierre fouilla dans sa poche et me tendit un objet : « Tiens ! Mets ça ! » Dans la pénombre je distinguais mal l’objet en question en quand je l’eus dans les mains je me rendis compte que c’était un collier en cuir avec des clous, du type de ceux que l’on met pour les chiens dangereux. « Tu veux vraiment que je le mette ? » « Oui, ça me ferait plaisir ! » J’attachais donc le collier autour de mon cou, me demandant ce que penseraient les personnes autour de nous. J’aime bien mettre ce genre de collier, je trouve que ça fait ressortir les traits du visage… Pierre sortit de son autre poche une grande laisse qu’il fixa à l’aide d’un mousqueton au collier. « Tu te sens en forme ce soir ? » Pourquoi cette question ? « Oui, bien sur, ça va … » lui répondis-je. Nous continuâmes à vider nos verres et Pierre se leva ; La laisse m’entraîna à le suivre et je dus me lever précipitamment pour ne pas tomber de mon tabouret. « Eh ! Doucement, j’ai failli tomber ! » Pierre se retourna et me toisant du regard me lança « Ta gueule ! Suis-moi sans rouspéter ! » J’ai compris que Pierre était dans son trip et qu’il avait envie de quelque chose d’inhabituel.

Son intonation reflétait autant l’autorité que l’excitation. « Oui maître ! » ai-je répondu simplement. Pierre me fit traverser la piste de dans en me tirant par la laisse. Il ne courrait pas, prenant presque son temps pour que tout le monde me voie. La chienne de son maître, bien docile et obéissante. Au bout d’un moment, Pierre se dirigea vers l’un des trois escaliers. De la musique remontait du sous-sol et nous nous engageâmes dans le conduit. Il y faisait encore plus sombre et des sons de voix se mêlaient à la musique. Mes yeux s’habituèrent à l’obscurité et je pus distinguer un couloir avec des portes de chaque côté. Nous avancions dans ce couloir lentement. La chaleur y était étouffante et l’odeur de renfermé oppressante. Passant devant une des portes qui était restée entrouverte, j’aperçus une croupe poilue s’activer entre deux jambes relevées. Visiblement l’endroit n’était pas fait pour s’ennuyer ou pour dormir. Pierre ouvrit une des portes du fond, comme s’il était chez lui. La lumière était plus que tamisée et le sol semblait recouvert d’une épaisse moquette souple. Au mur, un téléviseur diffusait un film X gay où les protagonistes s’enfilaient à qui mieux-mieux, se suçaient ou se jouissaient dessus sans retenue. Au milieu de la pièce trônait une espèce d’instrument de , comme une planche recouverte de moquette de 50 cm de large environ, reposant sur des tréteaux et fixée un peu en pente. Deux étriers partaient de chaque côté et des chaînes pendaient du plafond. « Déshabille-toi ! » Je m’exécutais et Pierre en profitait pour se rincer l’œil. Une fois nu Pierre tira sur la laisse et me fit allonger sur l’engin de . En fait, ce n’était pas si inconfortable que cela. « Sur le ventre, pas sur le dos ! » Je me couchais donc sur le ventre les bras ballant de chaque côté attendant la suite des évènements. Pierre attrapa les chaînes et m’emprisonna les mains. Il écartait mes bras, tenus uniquement parles menottes fixées au bout des chaînes. Il me recula un peu pour libérer mon pubis et laisser dans le vide mes couilles et ma queue.
Il attacha mes pieds dans des courroies qu’il fixa à d’autres chaînes. Je me retrouvais ainsi pieds et poings liés faisant dos à la porte à la merci de mon maître. L’excitation et la nouveauté de la situation me faisaient perler et je mouillais abondamment « ça t ‘excite tout ça hein ? Attends un peu, tu n’es pas au bout de tes surprises. » Pierre sortit un martinet et commença à me flageller les fesses. Les coups étaient savamment administrés, alliant douleur et plaisir à la fois. Leur force était constamment maîtrisée et me procurait un plaisir fou. Pierre retourna le martinet et passa le manche entre mes fesses. « Tu te sens comment, ma salope ? »



« Excitée, maître ! Très chaude et très salope ! » « Ca tombe bien ! » Pierre lâcha le martinet et sortit de la pièce. « Maître ! Où vas-tu ? Me laisse pas tout seul dans cet état ! » Pierre sortit sous mes protestations et je restais seul dans cette tenue, dans le noir, attendant et redoutant la suite des évènements. La porte était restée ouverte et n’importe qui pouvait entrer. Je me sentais humilié et honteux. Pierre revint et au bruit, je compris qu’il n’était pas seul. « Je vous présente ma petite chienne ! C’est une véritable furie si vous ne l’attachez pas ! C’est pourquoi je vous l’ai préparée et vous pouvez en disposer comme il vous plaira, moyennant 15 Euros la passe. » Je n’en revenais pas de ce que j’entendais. Pierre se servait de moi comme d’une pute à l’abattage. Il m’offrait à ceux qui voulaient de moi et pouvaient payer. Je voulais que tout s’arrête et je commençais à me débattre. J’étais bien attaché et je ne pouvais échapper à mon destin. « Pierre ! S’il te plaît ! Ne fais pas ça ! » Des larmes de honte et d’effroi commençaient à couler le long de mes joues. « Tais-toi ! Salope, tu vas savoir ce que baiser veut dire ! Tu me supplieras et tu m’en redemanderas ! Chienne comme tu es, ça ne peut que te convenir ! » « Allez-y ! Faites en ce que vous voulez ! Elle aime tout cette garce ! Venez vous purger les couilles ! Elle suce, avale, se fait baiser à un, deux ou plusieurs en même temps ! Laissez libre cours à votre imagination ! Cette pute est là pour vous satisfaire ! » Pierre reçu les premiers clients et il les invita à m’utiliser à leur guise.
Des mains parcouraient mes fesses, mon dos, mon sexe, mes cuisses… des doigts s’insinuaient dans mon sillon anal et s’introduisaient dans ma bouche. Une queue en pleine érection s’appuya sur mes lèvres « Ouvre ta bouche, salope ! Suce-moi la bite ! » Et elle s’introduisit dans ma bouche. Son propriétaire ne devait pas être très propre car elle avait un goût acre de transpiration et de mouille mélangées. Ses mains me tenaient la tête et il me violait la bouche sans ménagement. Une bouche s’écrasa sur mes fesses fouillait mon anus de sa langue. Elle remontait et descendait rapidement comme pour lubrifier ma rosette. Une deuxième queue rejoignit celle que je suçais. Elles entraient et sortaient alternativement dans ma bouche ou les glands se frottaient contre mes joues, étalant leur mouille sur mon visage. Mon sexe fut happé par une bouche chaude et humide. La personne qui me suçait aspirait très fort et mon sexe enfla rapidement. Mes couilles étaient palpées, tiraillées, caressées ou pincées. Tout comme mes tétons d’ailleurs qui subissaient les outrages de quelques doigts fébriles ou de bouches baveuses. De la vaseline fut appliquée sur mon anus, déjà dilaté par des doigts inquisiteurs. « Ah ! Ma salope, je vais t’enculer ! Je vais te faire jouir du cul, petite pute ! » Le gland d’un sexe gonflé s’appuya sur mon petit trou et s’enfonça jusqu’à la garde. La sodomie était menée à un train d’enfer. Il s’agitait en moi comme un forcené. Une bite dans le cul, une dans la bouche, parfois deux et ma queue aspirée par une bouche experte, l’orgasme ne se fit pas attendre. Je hurlais de plaisir au moment ou je me vidais dans cette bouche. Mes couilles se contractèrent et mon anus aussi, renforçant la pression autour de la queue de mon enculeur. « Tu es étroite, ma chienne ! Oui, tu me serres bien le nœud ! » C’était involontaire car à chaque giclée de sperme, mon anus se contractait convulsivement. J’entendais la bouche suceuse avaler mon nectar et réclamer « Encore ! Donnes moi tout ! » Je n’y pouvais rien mais je larguais ma purée sans retenue.
D’ailleurs, immédiatement après, je reçus de fortes giclées de sperme sur le visage et dans la bouche. Les deux queues éjaculaient avec un synchronisme calculé. J’étais inondée de foutre, n’arrivant pas à tout avaler. Mon cul ravagé par cette énorme queue, n’en pouvait plus de s’ouvrir sous les coups de boutoirs et je sentis qu’il m’envoyait lui aussi sa semence dans les entrailles. C’était comme un électrochoc que de se sentir rempli par tous les orifices à la fois. Mon corps était parcouru de frissons et de soubresauts. Je pensais que le calme viendrait à présent mais c’était sans penser aux « clients » qui attendaient patiemment leur tour après avoir payé pierre. Immédiatement après, une autre queue vint remplacer celle que j’avais dans le cul. Bien lubrifié et dégoulinant de sperme, il laissa entrer sans mal, le cortège de queue qui allait suivre. C’était une file ininterrompue de bite qui s’enchaînaient dans mon intimité. Toutes me pénétraient plus ou moins violemment, plus ou moins profondément mais toutes sans exception, se purgèrent dans mes entrailles. Je n’étais qu’une cuvette à sperme. Mon anus ne se refermait pas entre deux intromissions. Il restait béant, dégoulinant de semence, ouvert et offert à la volonté de celui qui voulait s’y introduire. Il y en eut au moins six, mais à partir d’un moment, je ne comptais plus le nombre de sodomies accomplies. Je dégoulinais de foutre, léchais les queues qui s’étaient épanchées dans mes entrailles, nettoyant les glands de ma langue et avalant la plus petite goutte de sperme qui en sortait. Tous ceux qui se vidaient en moi, se faisaient nettoyer la pine par ma bouche, appuyant sur leur tige pour en faire sortir les ultimes gouttes de plaisir. Ma bouche ne désemplissait donc pas et j’en attrapais des crampes dans les mâchoires. Bousculée, maltraitée, remplie, sodomisée, violée, enculée, je n’étais plus moi-même. Je n’avais jamais ressenti autant de honte, de plaisir et de jouissance à la fois. L’humiliation et l’excitation me menaient au paroxysme du plaisir. Parfois, elles étaient trois queues à éjaculer en même temps sur mon visage. Je n’avais plus une partie de mon visage de sèche. La transpiration mêlée au sperme recouvrait mon visage. Même l’urine car l’un de mes violeurs eut la mauvaise idées de me pisser dessus. Debout devant mon visage il tenait sa queue encore gonflée et déversa ses flots d’urine. Cela donna des envies aux autres et je me transformais en urinoir humain. Des hauts le cœur me prenaient de temps en temps, lorsque après m’avoir enculé, le violeur venait pour se faire nettoyer le gland. Le sperme mélangé à mes excréments et à l’urine, tout n’était qu’avilissement et humiliation. Une queue toujours fichée dans mon cul, je compris qu’il allait se passer une chose encore inédite. Du moins pour moi. Un des types qui attendait son tour lança : « Eh ! Il doit être suffisamment préparé maintenant et son cul doit être un vrai garage à bites ! On doit pouvoir tenir à plusieurs là-dedans ! »Joignant le geste à la parole, il se plaça sous moi et demanda à celui qui me sodomisait d’écarter les jambes pour lui faire de la place. Alors, il approcha son gland de mon orifice déjà occupé par une queue et s’enfonça lentement mais sans s’arrêter. Mes gémissements ne lui faisaient ni chaud ni froid, au contraire cela semblait l’exciter encore plus « Oui ! Vas-y ! Couine ma salope ! Je vais te faire hurler ! On va t’éclater ton cul de pouffiasse ! On a payé, c’est pour t’enculer, sale pute ! » Et inexorablement son membre entrait, bousculant encore, s’il était possible, mes chairs. A présent, les deux bites se trouvaient en moi, dilatant mon sphincter au maximum. C’était ma première double pénétration. Je me sentais ouvert en deux. Mon anus n’avait jamais pris deux queues en même temps et j’étais surpris de ne pas hurler de douleur. J’avais été tellement bien bourré auparavant, que les deux bites semblaient à l’aise et pouvaient même bouger. Elles me pilonnaient en cadence, frottant l’une sur l’autre, les glands entrants et sortants alternativement. Ma bouche fut de nouveau prise d’assaut par un gland surdimensionné. Le « supplice » dura environ dix bonnes minutes et l’explosion fut en rapport avec la situation : gigantesque ! La première salve fut tirée par celui qui était dans ma bouche. Instantanément je fus inondé et submergé par un flot de sperme lourd et épais. Bien fiché au fond de ma gorge, impossible pour moi de recracher le jus de ces immenses couilles écrasées sur mon menton. Immédiatement après ou pour ainsi dire en même temps, les deux queues qui me ramonaient, avec une précision diabolique, explosèrent en cœur. Les deux hommes crispaient mes fesses et mes cuisses et se vidaient en même temps en moi. Je ressentis très nettement les jets puissants de foutre m’envahir les intestins. C’était comme un lavement, tant la puissance et la quantité étaient importantes. Devant tant de bonheur, je jouis instantanément et mon sperme s’écoulait par saccade, retombant en gouttes épaisses sur la moquette de la pièce. Nous sommes restés un petit moment sans bouger, attendant que le calme revienne. Nous étions vidés et retombions lentement des cimes où l’extase nous avait projetée. Les deux queues se dégonflaient et sortaient de mon anus qui ne pouvait plus les contenir. Je bavais de longues traînées de salive, de sperme et d’urine, n’arrivant plus à avaler quoique ce soit ; Je n’étais plus moi, et ne voulais plus le redevenir. L’extase avait été si forte que je ne pouvais réprimer les larmes de joie et d’apaisement qui coulaient de mes yeux clos. Exténué, repus et reconnaissant envers mon maître qui une fois de plus avait su avant moi et pour moi, ce que j’allais aimer.

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