Mon Dépucelage
Je vais vous raconter une aventure qui mest arrivée alors que javais 18 ans.
Jétais un jeune homme timide et réservé ayant eu une éducation rigide qui se caractérisait surtout par une absence déducation sexuelle.
Tout ce que javais pu voir des femmes était lorsque je me promenais sur la plage pendant les vacances .
Jétais toujours excité par les poils pubiens qui dépassaient des slips de bain.
Il se trouve que tous les ans était organisé par la communauté paroissiale une kermesse à laquelle tous les ans je participait en tenant un stand .
Cette année là, le prêtre de la paroisse mavait demandé daider madame Germaine D, une bigote à lorganisation générale de cette festivité.
Cétait une femme, veuve depuis une dizaine dannées et âgée de 65 ans.
Elle avait un visage assez dur, mais ce qui était fascinant chez elle était quelle était très grande et très forte.
Elle avait de plus une poitrine démesurée à la limite de lanormal mais qui me fascinait.
Nous primes donc rendez vous et je me rendis chez elle un mercredi en début daprès midi.
Elle habitait une petite maison en plein bois .
Lorsque jarrivais chez elle , je remarquai une voiture qui nétait pas la sienne ; cétait celle dune autre bigote du village, Marie Paule qui était aussi assez grande avec une poitrine imposante également.
Lorsque Germaine mouvrit, je fus très surpris de sa tenue ; elle était en jupette de tennis avec un pull qui cachait sa poitrine ; vu le ballottement et mon regard au travers de léchancrure je remarquai quelle ne portait pas de soutien gorge ; Quant à Marie Paule, même jupette de tennis avec un tee shit au travers duquel on pouvait voir les aréaoles de ses seins .
Nous nous asseyions dans le salon ; moi dans le fauteuil ; elles sur le canapé en face de moi
Pendant environ une heure nous parlâmes de la kermesse mais javais du mal à me concentrer car elles écartaient les jambes et je pouvais voir leur entrejambe sans culotte.
Javoue que jétais dans un état dexcitation important et mon survêtement laissait apparaître une bosse significative.
Vers 15h30, Germaine me proposa un café que jacceptais volontiers .
Partie, dans la cuisine, son amie en profitait pour me questionner sur mes petites amies .
Je bredouillais que je ny pensais pas et tout de go me demanda si jétais puceau ; jétais complètement déstabilisé car de telle mots dans sa bouche paraissaient inconvenants ; je lui répondis que oui bien malgré moi devant son insistance.
Germaine revint avec le café .
Lorsque je pris ma tasse, jétais tellement troublé que je renversais mon café sur mon survêtement.
Germaine sapprocha de moi en disant
« Attends, enlève ton jogging, tu vas te brûler, je vais ten prêter un de mon fils qui la laissé la dernière fois quil est venu »
Elle partit le chercher ; pendant ce temps, Marie Paule se précipita pour me le retirer.
Jétais debout, elle me poussa sur le canapé et me retira mon pantalon ; au moment ou elle terminait, Germaine rentrait dans la pièce.
Ce que je navais pas prévu, cest quen tirant sur mon pantalon mon slip descendrait aussi.
Je me retrouvais le sexe dressé avec les deux femmes en train de le regarder
Germaine savança vers moi et dit « mais cest quon le fait bander le petit ».
Je ne savais plus où jétais mais dans un état dexcitation pas possible .
Germaine pris délicatement avec la main mon sexe et commença à me masturber ; je sentis que jallais exploser, mais avant davoir le temps de dire ouf, elle avait introduit mon sexe dans sa bouche et commença à le pomper.
Moins de 2 mn après je me mis à jouir, jessayais bien de sortir mon sexe de sa bouche mais elle me maintenait et me but jusqu'à la dernière goutte.
Dans un état second je me tournais vers Marie Claude qui sétait mise nue.
Elle me dit « viens mon chou », viens me téter je mapprochais delle et commençait à lui sucer violemment les seins.
Elle me demanda de faire doucement et je sentis la pointe durcir.
Elle guida ma main vers son sexe ; mon doigt était vite enduit de sécrétion.
Elle se mit à feuler et pris ma tête quelle posa à hauteur de son sexe.
Puis elle écarta ses lèvres en me demandant de sucer son clitoris.
Je trouvais le goût assez agréable, elle aimait visiblement beaucoup et au bout de quelques minutes jouit en criant très fort ; je reçus sur la langue et sur mon visage le fruit de sa jouissance.
Je ne métais pas préoccupée de Germaine qui lorsque je me tournais était également nue ; elle avait un corps absolument magnifique pour un gamin comme moi ; ses seins étaient énormes et même sils tombaient un peu, ils mexcitaient ce qui fait que je commençais à rebander.
Par contre ce qui était surprenant cest quelle avait ramené un petit tabouret sur lequel était dressé et fixé dessus un engin exceptionnel
Cétait un olisbos en ébène qui mesurait au moins 35 cm de long et faisait 10 cm de diamètre; elle me demanda de lui faire la même chose quà Marie Paule lorsque je mapprochais delle je vis quelle avait enduit le gode de gel et commençait à se lenfoncer dans lanus en sasseyant dessus ; elle semblait y prendre beaucoup de plaisir et attira violemment ma tête vers son sexe ; je lui tenais les hanches et suçait son clitoris , je montais et descendait au rythme de lintroduction de lobjet dans son anus
A un moment elle se mit à hurler de plaisir et me lâcha sa jouissance sur la langue, jouissance quelle me demanda davaler .
Je nétais toutefois pas au bout de mes surprises .
Elle se retira de lobjet sur lequel sempala avec délectation Marie Paule ; elles avaient visiblement lhabitude de lobjet .
Pendant que Marie Paule se masturbait en se faisant enculer par lobjet, Germaine avait mis ma bite entre ses seins et me masturbait ainsi .
Je finis par éjaculer dans un verre dans lequel elle récupéra le fruit de ma seconde jouissance .
tout le monde saffala sur le canapé .
Je mapprêtais à partir, mais elles ne le voyaient pas de cette oreille ; je devais rentrer chez moi, mais Germaine téléphona à mes parents en leur signalant que nous avions du travail, quelle me gardait à dîner afin de travailler jusqu'à 22 heures ; mes parents étaient loin de se douter que les deux bigotes faisaient mon éducation.
Germaine me porta dans ses bras comme si jétais un et me fit mallonger sur son lit à baldaquin à lancienne ; elle me dit quelle revenait ; en regardant autour de moi, je vis que sur le lit il y avait des points dancrage et dans une vitrine une collection dolisbos dont la taille allait de 10 cm à 35cm avec des diamètres en augmentation.
Vraiment jétais en train de devenir le jouet de vraies salopes.
Elles revinrent toutes les deux dans la chambre au bout dune demi heure et me réveillèrent en me léchant le sexe et en me suçant goulûment
Quand elles jugèrent que jétais de dimension suffisante, elles se mirent à 4 pattes et je pénétrai leur vagin à tour de rôle, je mis un peu plus de temps mais je finis par éjaculer dans le vagin de Marie Paule.
Nétant pas satisfaites, elles en profitèrent pour entamer un 69 du diable un peu surprenant ; tandis quelles se titillaient le clitoris avec leurs langues, elle me demandèrent dintroduire mon poing à tour de rôle dans leur anus et de plus en plus violemment
Je trouvais cela choquant mais elles avaient lair dadorer et finir par jouir toutes les deux.
Germaine se releva et commença à me parler avec un ton méchant
« Tu sais que tu nous a fait mal au derrière, tu mérites une punition, tu ne crois pas Marie Paule »
« Oh que oui répondit elle »
Germaine me souleva du lit et me prit sur ses genoux me demandant de la téter comme un bébé.
Pendant ce temps là je voyais dans un miroir Marie Paule installer une forme de hamac dans
les points dancrage du montant du lit .
Germain me releva et me coucha dessus en me demandant de ne plus bouger ; je commençais à être inquiet lorsque elle me coinça les chevilles et les poignets et que je me suis trouvé dans la position de lécartelé
Jentendis alors Germaine dire « maintenant on va punir notre petit »
Dabord, elles me firent boire mon sperme en me disant que je navais pas pu me retenir avec elles que je devais faire pareil .
Je bus mon sperme et jy trouvais même un bon goût.
Ensuite, elles se mirent à me lécher la rondelle de mon anus en disant « tu vas voir, tu vas aimer »
Elles me badigeonnèrent lanus de gel puis à tour de rôle mintroduirent un doigt puis deux puis trois dans lanus, cela me faisait mal mais le gel quelles mirent ensuite avait le don daténuer la douleur
Germaine et Marie Paule avaient introduit dans mon anus 2 doigts chacune ce qui lorsquelles les tournaient me procurait une forme de plaisir
Je vis alors Germaine sortir les olisbos de la vitrine et les deux femmes men introduirent un dans lanus dune grosseur déjà importante .
Jétais dans un état second et elles samusaient à men introduire de plus en plus gros ;
A un certain moment, alors que javais encore dans lanus un olisbos elles me détachèrent et Marie Paule me porta dans le salon en continuant à manier lolisbos dans mon anus ;
Je vis alors Germaine astiquer lolisbos qui était sur le petit tabouret en lenduisant de gel
Elle revint vers moi, retira lengin que javais dans lanus et menduit le cul et lintérieur de mon anus de gel
Comme elles étaient très douces avec moi, je me laissais aller, elles en profitèrent même pour faire à tour de rôle une fellation effrénée.
A un certain moment, alors que je reprenais de la vigueur, je les vis se lever et me prendre chacune me tenant une jambe et moi avec mes bras sur chacune de leurs épaules
Elles me soulevèrent et je compris rapidement ce quelles voulaient faire .
Germaine me dit " pas la peine de crier, on est en pleine forêt "
Elles mamenèrent délicatement au dessus de lolisbos
Je sentais lénorme engin au niveau de mon anus elles me descendaient et me remontaient ;
Je perdis un peu connaissance au moment ou lengin me pénétra
Je me réveillais au moment ou elles se mirent à menfoncer dessus et à me relever
Elles furent raisonnables et ne firent rentrer que 20 cm dans mon anus.
Cela visiblement les mettaient dans un état dexcitation telle quelles finir par me retirer ;
Elles sallongèrent sur le sol et introduisirent mon sexe malgré tout en érection dans leur vagin en me faisant passer de lune à lautre ;
Au moment où jétais sur le point de jouir, Germaine me souleva et me glissa le sexe dans la bouche de Marie Paule et dans laquelle je finis par éjaculer
Nous finîmes par dîner
Elles me demandèrent de ne jamais dire ce qui sétait passé et je dus subir dautres traitements pendant encore quelques mois
Le lendemain, javais très mal à lanus ; je me rendis chez le médecin qui était une femme, ne sachant comment expliquer mon état
Celle-ci me rassura en me disant « tu sais je tai vu rentrer chez Germaine, tu nes pas le premier puceau quelles déniaisent et je suis toujours là pour aider les pauvres malheureux »
Le médecin a été une autre aventure qui est loin dêtre aussi intéressante que celle que javais vécu avec mes deux bigotes
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