Chapitre 19 : Mireille En Manque De Sexe... À La Folie

Traversée du désert affectif et sexuel (3/4) Mireille et ses troubles.
Après l’arrêt de ma relation avec Catherine, nous sommes le 18 mai 2000, c’est le jour de ma fête…
Je me sens bien seul, mais cette femme a permis de me libérer de l’ombre de Marie, bien sûr elle est bien présente dans ma mémoire, même encore aujourd’hui, mais grâce à Catherine j’éprouve de nouveau de bonnes sensations en baisant avec une femme. Elle a débloqué quelque chose. C’est important pour moi.
Donc, j’ai de nouveau recours aux plaisirs solitaires, je ressorts ma panoplie de jouets divers et légumes de saison pour des pénétrations bien virulentes. Et puis, comme à chaque fois au bout de deux ou trois mois, je me reconnecte sur mon site pour effec des recherches : hommes ou femmes, peu importe, c’est le profil de la personne qui m’intéresse.
Je trouve un profil intéressant, nos échanges sont agréables et variés et nous décidons de nous rencontrer un vendredi, exactement le 25 aout 2000, mon journal intime est bien à jour…
Petite présentation de la personne : c’est une femme divorcée avec deux s, elle a 42 ans, elle s’appelle Mireille, elle avait épousé un pilote de la compagnie aérienne « Singapour Airlines », elle s’est mariée à Singapour, elle y a vécu avec son mari et ses deux s et toute sa belle-famille sous le même toit. Au début c’était parait-il merveilleux, puis au fur et à mesure l’ambiance s’est dégradée, Mireille n’ayant aucune liberté. Ses s ayant grandi, elle recherche un travail pour avoir un peu d’indépendance et de liberté. Elle maitrise parfaitement l’anglais et trouve rapidement un poste d’interprète. La belle-mère réagit très mal à cette situation, dégradation des relations, divorce, elle part avec rien, mais en contrepartie elle obtient la garde des s en France avec retour pour les vacances scolaires à Singapour.
C’est le début de la galère, maison de location vétuste près de Lisieux, elle est originaire de Bernay, petits boulots, puis un poste pour un remplacement à l’hôpital de Lisieux, difficultés financières, dépression…C’est compliqué pour elle.


Elle rencontre un type bizarre, un vieux garçon, garde forestier dans le Vexin, il dispose d’une maison de fonction, l’homme est un peu plus âgé qu’elle, il est parait-il, pas très beau, grand, fort, les cheveux longs bouclés et une grande barbe rousse. Mais il est très gentil, doux, courageux, il a surtout sorti Mireille de la mouïse, elle ne pouvait plus payer son loyer, enfin c’était très compliqué pour elle.
Mais son garde forestier est impuissant, ils couchent nus l’un contre l’autre, mais malgré toutes ses tentatives, caresses, fellations, tendresse, sa queue reste petite et molle.
Il lui caresse les seins et sa chatte, et elle jouit avec ses doigts et sa langue, mais il ne la baise jamais. Il lui achète des godes pour la faire jouir par des pénétrations.
Mireille s’accommode de cette situation, l’homme est peu bavard, il ne sort jamais, n’a pas de vie sociale, il passe tout son temps dans la forêt.
Elle a l’impression d’être sa femme de ménage, sa cuisinière, mais ses s apprécient le confort de sa maison.
Puis, un jour il la demande en mariage, mais Mireille refuse, prétextant différentes raisons, ne voulant pas lui avouer qu’elle ne l’aime pas. L’homme ne comprend pas, mais il lui propose de rencontrer un homme marié bien monté pour bien la faire jouir, elle qui aime sucer les grosses queues et l’avoir dans sa chatte et dans son cul. Il lui demande donc de prendre un amant pour la satisfaire et éventuellement, souhaite assister aux ébats…
C’est une possibilité pour lui, si elle accepte le mariage, Mireille lui demande du temps, et propose de commencer les recherches pour une éventuelle rencontre…
Voilà comment nous nous sommes retrouvés sur le site, mais je ne suis pas marié, je suis veuf et disponible, et Mireille oublie volontairement de lui préciser.
Donc nous nous retrouvons le 25 août dans la matinée sur un parking à Rouen, puis j’emmène Mireille à Deauville pour faire connaissance.
Mireille n’est pas une beauté, on ne se retourne pas sur son passage, mais elle a un certain charme, blonde aux cheveux courts, elle mesure environ 1.
65m peut être plus, une belle petite poitrine.
Elle est surtout agréable, douce, calme, et sa voix est sensuelle, elle me plait bien.
Promenade sur la plage de Deauville, déjeuner, boutiques, puis Mireille me demande que l’on trouve un petit coin tranquille sur la route du retour. Un petit parking semble faire l’affaire.
Dans la voiture, nous continuons de bavarder, elle m’embrasse dans le cou en me disant tout bas à l’oreille
- J’ai envie de toi…Éric.
- Ici ?
J’ai à peine terminé ma phrase, qu’elle extirpe de mon pantalon mon sexe plutôt bien membré à ce moment-là.

Je la prends alors par le cou et d’un geste, je lui fais comprendre que je veux qu’elle me suce. Elle se retrouve avec ma queue au niveau de son visage et de sa bouche. Je la caresse, lui caresse son visage, je veux la regarder faire. Très vite elle commence alors une belle et douce fellation. Tout cela se passe sur un parking mais pas aussi isolé que nous aurions souhaité. Mais cela ne semble pas la gêner.
Mireille apprécie d’avoir une queue en bouche, elle suce bien, elle est très douée, elle a surtout faim de bite…
Puis, Mireille arrête sa bonne fellation, sentant certainement que je suis sur le point d’exploser, elle me demande si nous pouvons passer sur la banquette arrière.
En descendant de la voiture, elle en profite pour retirer sa petite robe avant de se faufiler à l’arrière de ma voiture simplement vêtue d’un string.
Un coup de Klaxon de camion me surprend et me fait comprendre que le chauffeur garé dernière nous, a du bien profiter du spectacle avant de repartir.
Mireille est vraiment très excitée, car plus prudent qu’elle, je choisis de me déshabiller à l’intérieur de ma voiture. Mais elle est si excitée, qu’elle glisse encore un peu plus dans le siège pour remonter les genoux en les écartant, et elle se titille le clito, elle s’occupe bien de sa chatte, elle adopte un rythme plutôt effréné, je me débats toujours avec mes vêtements, je bande comme un malade, cela m’excite aussi.
Elle est là, juste à côté de moi, en train de se masturber. Je vois tout, je me régale à la mater jouir comme une petite salope. Un nouveau coup de klaxon de camion me surprend et me fait comprendre que le chauffeur a du prévenir ses copains.
Pour le coup je suis sûr qu’elle sait qu’elle se fait mater par un gros cochon de camionneur et je pense que ça l’excite. Pour l’instant et pour faire simple son autre main se pose sur son sein et elle se caresse. Après environ 30 secondes, impatient, je n’en peux plus, j’ai une trop forte envie de lui fourrer ma queue au fond de son trou trempé.
Il serait raisonnable de se garer un peu plus loin pour être un minimum à l’abri des regards. Mireille n’est même pas gênée et continue de se caresser. Je passe à mon tour ma main entre ses cuisses pour lui masser grandes lèvres et petites lèvres et clitoris à mon tour. Sa jouissance ne connaît pas d’interruption. Tant bien que mal et tout en maintenant mes deux doigts bien enfoncés dans sa chatte trempée je passe le dos côté passager. Je me tiens à genoux devant elle, je prends ma queue bien raide et lui glisse dans le vagin en allant directement bien au fond. Elle sent mon gland s’installer et me le prouve en poussant un cri de plaisir. Je commence à la limer. Ses deux seins sont biens ronds et fermes et elle se les caresse.

A travers le pare-brise arrière, tout en continuant de la baiser contre le siège, j’aperçois le camion qui nous a klaxonné. Le chauffeur est positionné entre son camion et ma voiture. Afin de la faire complètement décoller et parce que la situation me plait de plus en plus je me dégage de son trou de fontaine et glisse mon sexe dans son anus. Tout doucement, je l’encule jusqu’à la butée. Son cul n’est pas tout neuf, certainement bien dilaté dans le passé, car je l’encule sans difficulté. Je reste comme ça le temps de regarder sa chatte au-dessus de ma queue qui l’a sodomise. Quel beau corps elle a. La bouche bien ouverte je regarde sa langue, elle gémit, elle bave de plaisir.
Je commence mes mouvements de va et vient dans son cul et savoure le spectacle. Sa vulve bien écartée, son petit trou bien dilaté, sa bouche et son regard de salope qui ne demande qu'à se faire défoncer comme une chienne. Elle me fait bander de façon excessive. Au fur et à mesure que le chauffeur approche de notre voiture j’accélère mon mouvement de pénétration anale afin de faire monter son orgasme. Le chauffeur arrive enfin à notre voiture, au niveau de la porte arrière droite. Je continue de lui remplir le cul de ma queue pendant qu’elle se penche pour regarder le chauffeur en train de se branler. Elle me fait comprendre qu’il faut que je me retire puis se tourne afin que ses cuisses biens écartées se retrouvent maintenant face au chauffeur. Celui-ci redouble de vigueur pour sa branlette. La tête de Mireille maintenant tournée vers moi, elle peut me sucer de nouveau. Je sens son souffle sur mes couilles et le long de ma tige. Elle est excitée par la vue du chauffeur en train de se branler derrière la vitre près de son cul. Je suis aux anges de regarder cette femme aussi excitée, anormalement excitée. Cette salope me rend dingue. Je baise sa bouche et attends le bon moment pour lui lâcher tout mon sperme dedans. La voir se trémousser du cul devant un inconnu, pendant qu’elle me suce... Elle lève et écarte les genoux bien hauts afin de lui ouvrir son cul. Je mate le tableau. Sa chatte bien ouverte et son trou du cul bien ouvert et bien écarté par ma grosse bite. Elle pose sa main sur son clito et recommence à se caresser. Elle atteint l’orgasme en quelques secondes et je ne peux retenir une grosse giclée de sperme bien chaud qui lui remplit la bouche.

Je ne vois pas beaucoup de sperme couler de sa bouche. Elle avale au fur et à mesure tout mon jus et continue de me sucer tant que je bande. Ma queue a pris son temps avant de se calmer pas vraiment aider par ses cris de chienne en chaleur qui ne lâche pas sa chatte pour autant et continue de se masturber. Elle a du sperme sur la joue, et ça coule sur son menton. Il faut dire que je lui ai mis le paquet car cela fait quelques mois que je n’ai pas baisé une salope. Quelle petite pute. Ça fait du bien de rencontrer une femme, une vrai salope qui a vraiment aimer ce plan cul avec en prime le gros cochon de camionneur qui frappe à la vitre et la remercie.
Pour une première rencontre, c’est plutôt surprenant, mais j’ai apprécié.
J’ai bien noté quelques petits troubles du comportement chez Mireille mais je suis ravi.
Pendant trois mois, nous allons nous rencontrer six fois, en fonction de mon emploi du temps et de ma possibilité de « découcher » par rapport à mon fils qui a maintenant 13 ans.
Et surtout du bon-vouloir de son ami, qui organise et accepte qu’elle me consacre un après-midi, une nuit complète et retour chez lui pour midi. La situation est particulière, elle doit lui donner les détails de notre relation en pensant toujours que je suis marié, car elle n’a pas osé lui avouer que je suis veuf. Mais Mireille baise bien, elle qui est très bon chic, bon genre, jouit sans commune mesure avec moi qui ne voit en elle que sa bouche pour me sucer, ses mains pour me branler, ses seins pour que je puisse les pétrir durement ainsi que sa chatte et son petit trou pour les limer sans ménagement. Elle jouit comme une folle dans ces rapports dénués de toute tendresse et de tous sentiments en tout cas en ce qui me concerne, car elle pense échapper avec moi à son garde-forestier.
Nous organisons des petits séjours de 24 heures à Rouen, Le Havre, Lisieux, Bernay deux fois, c’est sa ville natale, et le Mans et sa région pour 48 heures. Mais je note quelquefois des comportements particuliers chez Mireille, cela se manifeste par des « absences », elle ne répond pendant quelques minutes, ou elle commande plusieurs plats au restaurant pour finalement ne rien manger, tout va bien, et puis un maux de tête se déclenche, elle est fatigué, puis quelques minutes plus tard, elle peut, être excitée, c’est troublant.
Ces symptômes s'aggravant à la pleine lune, d’après les déclarations de Mireille qui m’a avoué avoir été envoûtée par sa grand-mère. Bon, je dois vous avouer que je ne crois pas du tout à ce genre de chose. Et puis elle n’est pas envoutée lorsqu’elle baise, je peux vous l’assurer. Je pense surtout qu’elle souffre de troubles physiques et psychologiques, mais ce n’est que mon avis.
Et puis au retour du Mans, son garde forestier m’appelle, il a réussi à avoir mon numéro sur le portable de Mireille, il me dit que je détruis Mireille, qu’elle est fragile, que je dois faire attention, que dorénavant, il sera présent, qu’il veut la voir en train de se faire baiser, qu’il est très voyeur, il veut vraiment la voir se faire prendre comme une chienne par un type vicieux comme moi, car je suis un vicieux pour lui faire, faire toutes ces cochonneries.
Qu’ils sont très complices. Que je la baise, mais que je ne compte pas pour elle. Ou si peu. Que je suis qu’un objet, un jouet pour sa jouissance.
C’est uniquement la relation qui la lie à lui qui a de l’importance. Elle est à lui, toute à lui et en même temps, très amoureuse même s’il y a une différence d’âge entre eux. Mais c’est lui qui l’a sauvé, qui la nourri, qui lui offre son toit, participe à l’éducation de ses s.
Il me prévient que je ne la connais qu’elle est malade, que c’est une malade.
J’avais déjà des doutes avant cette conversation troublante, mais après celle-ci, je suis dans d’expectative.
Je décide néanmoins de joindre Mireille pour avoir des explications, celle-ci me tient des propos incohérents, me demandant de patienter, que son conjoint doit se rendre dans cinq ou six semaines pour trois jours dans les Vosges pour une sorte de séminaire avec l’ONF.
Elle va en profiter pour déménager et s’installer chez moi, son fils est scolarisé à Bernay et sa fille est étudiante à Paris, ils pourront revenir le week-end.
Sauf, que je ne souhaite installer personne chez moi, je ne souhaite pas installer une femme dans l’univers de Marie, et puis je ne l’aime pas, je pense que cette femme est folle…
Elle pense dans ce cas me faire installer un Mobil home dans le parc de ma maison, comme cela elle respectera la mémoire de Marie…
C’est du pur délire, elle me supplie, hurle, commence à m’insulter…
Mais je n’aime pas cette femme, c’est juste un plan cul pour moi, je dois avouer qu’elle m’a donné beaucoup de plaisir, et même pendant nos ébats, elle était aussi peut être dans un état particulier, notamment lors des sodomies, des sodomies vraiment hard, violente, elle aimait vraiment amplifier le mouvement avec des coups de rein puissant, limite hystérique…
Voilà, c’est la fin de l’histoire, enfin pas tout à fait, car elle va m’harceler pendant six mois.
Pendant cette période, c’est le calme plat, peu de sortie, pas de relation. Cette liaison m’a beaucoup marqué, je ne suis pas ressorti indemne de celle-ci, je vais avoir quarante-cinq ans, je suis toujours seul, après le décès de Marie, je ne suis pas heureux.
Pendant neuf mois, j’ai de nouveau recours aux plaisirs solitaires, beaucoup de pénétrations bien virulentes, mais il me manque les mouvements de va-et-vient. Et puis, et puis en manque de sexe, il me faut trouver rapidement un partenaire très actif.
Patientez, un peu, le chapitre 20 va vous permettre de découvrir mes prochaines aventures.



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