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Au détour de surf et de liens sur le Web que je découvre votre site. Cest à peu de chose prés ce que je cherchais, dune part pour raconter mon histoire et dautre part, pour lire celles des autres, et voir que je nétais pas si « original » que cela. Et peut-être pour revivre ce que je vais essayer de raconter.
Amélie (je change le prénom, excusez-moi) et moi avions le même age (la trentaine), et une attirance physique lun pour lautre qui a fini par se concrétiser. Blonde, taille moyenne voir menue, un physique assez juvénile et uns style vestimentaire faisait quelle mattirait énormément : jupes et robes simples, chaussures plates, parfois peu sexy au sens « commun » du terme mais qui moi, mattirait beaucoup. Jai toujours aimé les longues robes, très ajustées en haut mais très évasées en bas.
Alors que nous nous étions plus ou moins perdu de vue, la vie a fait que nous nous sommes à nouveau croisés, et avons rapidement fini par sortir ensemble, malgré sa situation conjugale (relation assez ancienne). Notre complicité intellectuelle se compléta rapidement par la partie physique, même si nous avons mis du temps à consommer.
Tout commença par un WE quelle vint passer chez moi. Perturbée malgré tout par cet adultère auquel elle ne pouvait résister, nous nous sommes contentés de caresses le premier soir, mais au matin, alors que nous nous embrassions, elle me demanda de quoi javais envie, et, sans lui répondre, je dirigeas sa tête vers son ventre. Nue, elle me caressa longuement avec sa bouche. Maladroitement, au moment de jouir, je me retirais de sa bouche. En souriant gentiment, elle me demanda pourquoi javais fait cela, que je navais pas voulu jouir dans sa bouche, car elle en avait très envie.
La journée, nous nous sommes baladés et au détour dune halte, je glissai ma main dans son pantacourt et sa culotte et la caressai longuement, avec dautres promeneurs qui passaient pas loin.
- Quest-ce que pour toi être mon esclave ?
- Je veux être à toi, à chaque instant, je veux que tu mutilises quand tu veux et que tu fasses ce que tu veux de moi. ». Elle me caressait en même temps quelle me déclarait ses vux de soumission. Ses mots faisaient mouche.
- Alors pour commencer, ne te présente plus devant moi autrement quen robe. Je veux te prendre dans chacune de tes robes. Tu ne thabilleras plus que comme je te le dirais. Et un jour, je tattacherais.
Entre tant, je lavais retourné et mis à 4 pattes. Devançant mes envies, elle mavait saisit le sexe pour le placer à lentrée de son ventre. Je my engouffrais facilement. Tout en faisans lamour, nous parlions de ce que nous avions envie de faire de lautre, ou de subir.
Tout senchaîna après assez vite. Notre relation était tout sauf vulgaire, mais très forte. La soumission dAmélie était tant physique quintellectuelle et ce qui me fascinait et mexcitait le plus était le plaisir quelle prenait à se soumettre à mes moindres désirs.
Comme je lui en avais intimé lordre, elle ne portait plus que des robes ou des jupes. Puis rapidement, elle ne fut plus autorisé à porter de dessous (on était en été). La première fois que je lui ordonnai dêtre nue sous sa robe, elle en fut très gênée, surtout que nous nous sommes promenée au milieu dautres gens assez longtemps, et que je prenais un malin plaisir à caresser ses fesse par-dessus sa robe, pour lui rappeler sa nudité.
A chaque nouvelle entrevue, elle portait une nouvelle robe et elle avait pris le pli de rien porter en dessous, ce qui me ravissait. Un matin, elle travaillait et moi pas. Juste avant de partir, elle vint membrasser mais je me levais du lit, magenouilla nu devant elle, lui demandai de retrousser sa jolie robe vert deau assez courte et lui retirai sa culotte de dentelle blanche en lui disant quelle nen porterait plus aussi au travail. Puis je me le relevai et lui signifiait du regard ce quelle avait à faire. Sans rien dire, elle sagenouilla puis me donna du plaisir avec sa bouche et partit, le ventre nue sous ses habits (javais toléré le soutien gorge). Elle revint le midi et me confia sa gêne dévoluer nue sous sa robe au milieu de ses collègues, quelle avait limpression que tout le monde sen rendait compte et la regardait, amis que quelque part ça lexcitait. A la fin du repas, je lui demandai de venir à côté de moi et tout en la caressant entre les cuisses, je lui demandai :
- cest ce que tu voulais comme relation ?
- Oui, jadore ça » Son souffle tournait court
- Tu veux aller jusquoù ?
- Jusquà ne plus exister, jusquà ne plus compter que par le plaisir que je pourrais te donner.
- Tu feras tout ce que je veux ?
- Tout ce que tu veux.
- Tu thabilleras comme je te le dirais ?
- Je serais tout le temps en robe et sans culotte, disponible et prête à être utilisée, pour te donner du plaisir.
Elle savait trouver les mots qui me rendaient fou. Je découvrais également en même temps les plaisirs de ce genre de relation. Ce jour là, avant quelle ne reparte, je la couchais sur la grande table en bois de son salon puis lui écarta les jambes et la pris debout, sans ménagement.
Puis la belle saison se termina. Alors sans rien lui ordonner, je lui confiais que jaimais beaucoup les portes jarretelles mais je nosais pas lui demander den porter (elle était plutôt du genre « naturelle » comme style). Je restais encore très timoré dans mes ordres. Jusquà un soir où on sest retrouvé chez des amis pour le WEet en caressant machinalement sa cuisse en prenant lapéro, je compris quelle ne portait pas ce jour là de dim up (les collants étaient aussi interdits) mais bien des jarretelles. Cela mit le feu à mon ventre et avant la fin de lapéro, jai prétexté nimporte quoi pour quon aille dans notre chambre. Elle souriait car elle était arrivé à ses fins, c'est-à-dire me rendre fou.
- Enlève ta robe.
- Tout de suite » Elle fit glisser la fermeture éclair dans le dos de sa petite robe marron, dégagea ses épaules et fit glisser la robe à ses pieds. Jen avais la chair de poule. Elle portait des petites chaussures assorties à sa robe, avec des talons moyens, un porte-jarretelles saumon, une culotte en dentelle assortie et une combinaison qui faisait office de soutien gorge par-dessus. Et des bas fixés assez haut, beiges, légèrement brillants. En me regardant et en me souriant, elle enleva sa culotte sans que je lui demande (qui était passée par dessus les jarretelles, elle savait parfaitement comment la situation allait tourner) et recula pour sappuyer contre le mur, en relevant sa combinaison qui ne dissimulait pas grand chose de son ventre et ses seins. Elle écarta légèrement les cuisses, soffrant sans retenue. Je mapprochais delle, elle me déboutonna le pantalon et sortit mon sexe qui nen pouvait plus et la pris debout contre le mur, avec encore moins de ménagement. Je me vidais rapidement au fond delle, lembrassa dans le cou en la remerciant. « Ajuste-toi maintenant, nous allons rejoindre les autres. Je suis fier de toi, tu es habillée très convenablement.
Une fois la soirée terminée, et rentrée dans la chambre, elle me prit à genoux dans sa bouche sans sa robe, puis je la mit à 4 pattes et comme dhabitude, ce fut elle qui me guida vers lentrée très humide de son ventre. On fit lamour une partie de la nuit et je lui ordonnait de garder ces dessous pendant la nuit.
Le lendemain, on en rediscutait et elle me confiait quelle portait ce genre de dessous pour la première fois, pour moi, et peu importe si ce nétait pas confortable, tant quelle me plaisait, ça lui plaisait. Et cest ça qui mexcitait réellement.
Notre complicité saccentuait de semaine en semaine. Un jour, je la retrouvais en guêpière et bas blancs sous une nouvelle robe très sage. Ce sont certainement les dessous qui me plaisaient le plus. Je lui interdisais ce jour là de porter des dim ups et dêtre toujours en guêpière ou porte-jarretelles, ventre nu. Ce soir là, elle du me préparer et me servir mon repas dans cette guêpière et sans culotte, et dernière lubie de ma part, sans lever les yeux vers moi. Je lutilisais ce soir là contre lévier, alors quelle faisait la vaisselle et me fis nettoyer le sexe par sa langue et sa bouche. Elle me confia quelle était comblée, de sexhiber et de soffrir comme ça, alors que cest quelquun de très pudique.
Puis je jugeais qui lui manquait une guêpière noire. Un matin, je lui ai demandé de se préparer, en shabillant comme une jeune fille, jupe plissée au genou et des bas blancs, avec des petites ballerines noires, t-shirt blanc sans soutien gorge et un gilet par-dessus (vieux fantasme). Je voyais ses seins pointer sous le t-shirt. Et comme dhabitude, pas de culotte. Comme depuis quelque temps, elle sépilait le ventre (à ma demande) ça allait bien avec sa tenue.
Habillée comme une jeune fille modèle, on samusait du regard des gens dans les magasins de lingerie. On trouvait (enfin, surtout moi, qui décidait) tout un peu trop vulgaire puis nous sommes tombé sur un modèle en satin, assez strict et surtout avec un laçage à larrière, tel un corset. Jexigeais dAmélie quelle lessaye immédiatement, ce quelle fit sans hésiter.
- Passe dans une cabine et essaye la en gardant tes bas et tes chaussures. Puis tu demanderas à la vendeuse que je vais tenvoyer des renseignements sur la taille, le corsetage, la manière de lacer
- Mais je nai pas de culotte ?
- Justement ! Allez, obéis »
Sans hésiter, elle pris un modèle en théorie à sa taille et séloigna vers la cabine la plus proche, sous lil de clientes très bourgeoise interpellée par cette jeune fille qui allait essayer des dessous si sophistiqués, réservé normalement à des femmes plus âgées.
Elle mappela et le spectacle qui mapparut dans la cabine me ravit. Debout dans ses ballerines avec ses bas blancs, la guêpière moulait sa taille et sa poitrine et la naissance des jarretelles descendait très bas sur le haut des cuisses. Je lui demandai dapprocher et passait machinalement la main entre ses cuisses. Son ventre était trempé. Cétait très important pour moi, quelle profite de la situation comme moi. Je lui demandai de se tourner et vue quil y avait pas mal de mou dans le laçage, lui dit :
- Tu dois porter ce genre de dessous très serré. Je veux que tu sois contrainte, quà chaque instant la gêne que te procure tes habits te rappelle ta condition ». Elle me sauta au cou et me dit que oui, elle aurait la taille réduite et quelle maimait plus que tout.
Jinterpellais une vendeuse qui sapprocha de la cabine et découvris mon objet dans cette tenue singulière, la jupe plissée accrochée au portemanteau. Elle lui expliqua quun corset se resserrait progressivement et quil fallait faire plusieurs essais avant, mais avec quelquun. Elle lui répondit que « son propriétaire ferait les choses comme il faut les faire ». La vendeuse ne répondit pas mais laça plus serré le corset, feignant de ne pas voir la demi nudité de mon Amélie. Elle était aux anges, comme moi. Elle mappela pour me montrer et membrassa devant la vendeuse, le rideau de la cabine entrouvert, permettant à pas mal de clientes de regarder ce qui se passait, de voir cette pseudo adolescente embrasser à moitié nu un homme a priori plus âgé quelle. Javais gagné, elle était complètement à moi. Pendant quelle se rhabillai en jeune fille, la vendeuse emballait la guêpière, une culotte (vue la fréquence où Amélie dorénavant en portait, pas besoin de plus) et plusieurs paires de bas noirs, voile, foncés, opaques
En rentrant, je la pris dans lescalier de mon immeuble, sans la déshabiller, puis une fois rentré, me fit administrer une fellation, dans ma position favorite, moi debout et elle à genou, dans sa tenue de collégienne. Que cétait pratique, ces robes ou jupes qui se retroussaient aussi facilement. Avant de jouir, je la prit par le bras et lamena dans ma chambre. Je lui demandai de me déshabiller entièrement et en mallongeant sur le lit, lui fit reprendre sa besogne à 4 pattes sur le lit, jupe relevée sur les fesses pendant que moi, je fouillais lintérieur de son ventre. Nous nous sommes endormis pour une longue sieste après, béat.
Le soir, je décidais de lemmener au cinéma, mais habillée dune manière un peu particulière : devant moi, elle reçu les consignes (quelle exécuta sans mot dire) de vêtir sa nouvelle guêpière et denfiler des bas devant moi en les fixant très haut, puis de chausser ses escarpins à talons hauts. Après, elle du aller se maquiller puis je lui dit de mettre un foulard en soie autour de son cou en denfiler son long manteau dhiver, car nous allions sortir.
Elle obtempéra sans broncher, ce qui mexcita une nouvelle fois (je crois que ce jour là est le jour où jai du avoir le plus de rapports sexuels). Je serrais un peu plus le laçage, rendant son ventre assez dur. « Je marquerais chaque fois que je lacerais ton corset, pour quil soit encore plus serrée la fois suivante ». Une fois habillée ( !), nous franchîmes la porte elle nue (ou presque) sous son manteau, et par ce samedi fin daprès-midi, nous traversâmes la ville, passablement excitée par la nudité insoupçonnée de mon Amélie. Elle était terriblement gênée, surtout quand les hommes se retournaient sur son passage. Alors que quelques heures avant, on ne lui donnait pas 15 ans.
Jachetais des billets pour un navet, pour pas quil ny ait trop de monde et une fois les lumières de la salle étaient, exigea dAmélie quelle enlève son manteau. Puis je lui demandais de joindre les poignets dans le dos pour les lui attacher. Elle hésita un moment puis accepta. Par manque dhabitude, je ne serrais pas trop fort les liens. Une fois ses poignets entravés, je déboutonnais mon pantalon et appuya sur la nuque dAmélie pour lui montrer ce quelle avait à faire. Le film avait commencé depuis quelques minutes (impossible de me rappeler le titre). Puis au milieu de sa fellation quelle me faisait sans les mains, je lai faite mettre à genoux entre mes jambes, avec toujours les poignets attachés. Il ny avait personne dans notre rangée et la voir me caresser avec sa bouche, entravée, le ventre à lair (qui serait lisse le lendemain) était délicieux.
Malgré mon envie de prolonger ce moment, jexplosais au fond de sa bouche. Elle poursuivit malgré tout assez longtemps ses caresses (elle mavait dit quelle adorait me « nettoyer »). Je me rajustais puis la fis revenir sur son siège. Jai passé une bonne partie de la séance à la caresser, à lembrasser, à jouer avec ses seins. Elle venait au devant de mes caresses, de manière maladroite, à cause de ses liens. Je lui dis alors à loreille :
- Tu as aimé ? Je nai pas été trop loin ?
- Non, et merci, cest ce que je veux. Jai le sentiment quand je suis comme ça, attachée, le sexe à lair, de nêtre vraiment quun objet. Et te sentir prendre autant de plaisir à mhumilier et à me rabaisser à létat dobjet découple mon plaisir. Jespère que les cordes laisseront des traces.
- Pourquoi, tu veux des marques ?
- Oui, je veux voir tout le temps combien je tappartiens ». On sembrassa alors longuement, comme deux amoureux. Puis, le film se terminant, je la détacha et avant que les lumières en se rallument, elle renfila son manteau.
- La nuit est loin dêtre fini lui dis-je
Et les perspectives qui soffraient à nous étaient encore immenses.
Cette histoire est vraie, et sest poursuivie pendant plusieurs semaines avec dautres expériences, avant de finir brusquement. Je raconterais volontiers la suite mais jaimerais que lire vos sentiments ou vos expériences sur la question, enfin surtout (même uniquement) les vôtres, mesdemoiselles et mesdames ! Car indépendamment du fétichisme évident qui mhabite, je suis autant excité par les situations que nous avons créées que par la manière dont elle a pu vivre cela. Et peut-être allez-vous être surpris, mais il était important pour moi que son plaisir soit équivalent au mien.
Je nai jamais réussi à recréer une telle « complicité ». Ce qui minterroge, cest de savoir si les JF comme Amélie sont rares ou bien si je ne sais pas le proposer.
En tout cas, jespère que je reproduirais un jour cette complicité. N'hésitez pas à me contacer
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