Jeux Troublants
Je suis attiré par les femmes mûres bien en chair. Cette attirance je lai depuis ladolescence, à lâge ou les femmes commencent à troubler les jeunes garçons. Lorsque je ressentis les premiers émois de la sensualité, étant allé, je ne sais pourquoi, dans la chambre de ma tante, une belle femme plantureuse, je remarquais en entrant, posés sur un siège, les dessous qu'elle venait de quitter. À quel mobile ai-je obéi en saisissant ces lingeries encore toutes tièdes du contact de son corps ? Peut-être n'était-ce que le désir de retrouver sa chaleur? Toujours est-il, que j'enfouis mon visage dans ces fins tissus odorants et c'est alors que je perçus, tout à coup... en certains endroits plus secrets, des parfums très intimes... que je trouvai suprêmement émouvants.
A cet âge là, les belles formes de ma tante me faisaient déjà souvent fantasmer le soir dans mon lit. Il est certain quelle avait du remarquer cette attirance sensuelle que javais pour elle et dailleurs, elle avait quelques fois surpris mon regard sur elle, et quand je croyait quelle ne sen rendait pas compte et que sa jupe remontait quand elle croisait et décroisait lentement ses jambes assise dans son fauteuil ce nétait pas si innocent.
Plus tard, avant ma seconde au lycée, mes parents quittèrent Paris pour sinstaller à Lyon à cause du travail de mon père. Moi, je navais aucune envie daller vivre à Lyon. Mon quartier à Paris, mes copains et une petite copine me retenaient ici ! Cétait très important pour mon équilibre et mes études. Alors il fut décidé que ma tante me garderait chez elle en banlieue. Jétais heureux de cette décision. Vivre avec elle, elle que jadmirai tant ! Elle minstallait donc une chambre dans une pièce de sa maison et tout ce passait bien.
Au fil des mois lattirance que javais pour elle prenait en moi avec force, de plus, je sentais une complicité de sa part et cela me troublait et mexcitait terriblement.
Un soir, jallais dans la salle de bain juste après ma jolie Tata pour me laver les dents.
Ensuite, nos regards se sont croisés. Ma tante se rendait compte que je la dévorait des yeux, et samusait de mon trouble. En madressant un petit sourire narquois, elle se dirigeait plus tard vers la cuisine sans dire un mot. Et moi je menfermais dans la salle de bain non sans, au par avant me retourner et jeter un dernier regard sur ses belles fesses larges et pleines quelle faisait danser dans sa démarche féline. Elle eut aussi le temps de se retourner sur moi et de fendre lair avec son doigt en surprenant mon regard sur sa croupe interdite.
Je crois que ma tante samusait de cet amour d que javais pour elles. Je ne pense pas quà cette époque elle pensait consommer le, mais cela germait en elle et elle ne le rejetait pas.
Avant de prendre ma brosse à dents, japercevais son petit linge abandonné sur la machine à laver, près du lavabo.
- Que veux-tu ? Me demandait-elle en gardant la position.
- Heu
Je vais me coucher Tata, je voudrais te dire bonne nuit.
- Très bien mon chéri, attends une seconde, je fini de ranger ma vaisselle et te fais un baiser tout de suite, tiens passe moi le saladier derrière toi que je le range la haut.
- Tu veux que je le fasse, Tata ?
- Non ! Regarde en montant sur la chaise je vais y arriver.
Elle moffrait encore un moment merveilleux. Tout près de moi, à lidée de savoir que sous sa tenue légère elle navait pas de culotte jétais très excité. Perchée sur sa chaise, si josais je passerais ma main sur ses jambes, sous sa combinaison! Mais je suis trop timide et je risque de recevoir une gifle et une bonne engueulée, du genre « Quest-ce que cest ces manières, tu nas pas honte
? » Je lui ai donc passé le saladier et elle est redescendue. Quand elle laissait tomber une jambe pour poser son pied sur le sol carrelé de la cuisine, sa combinaison remontait sur ses cuisses charnues.
-Allez, vas vite au lit et fais de beaux rêves, mon petit !
Je me suis couché, des images de ma tante plein la tête. Me masturbant tout en imaginant des scènes érotiques avec elle, et mendormais en reniflant son petit linge parfumé de délicieux interdits.
Le lendemain matin elle venait me réveiller, elle mappelait doucement tout en retirant le drap qui recouvrait mon visage, et quelle ne fut pas sa surprise quand elle reconnaissait sa culotte coincée entre mon visage et loreiller, elle la retirait délicatement en sexclamant à voix basse :
- Mais quest-ce que tu fais avec la culotte à Tata ? Je la cherchais partout hier soir pour la laver ?
Pris de panique, je me sentais comme un petit animal pris au piége, ma tante sen rendait compte et ne me grondait pas, je voulais me lever et sortir de la chambre, menfuir ! Mais, assise contre moi, elle men empêchait en me repoussant par les épaules.
-Reste là et sois bien sage !
Ecrasé dans mon lit, je ne disais rien et ne bougeai plus. Le moment était grave et il régnait un silence lourd. Elle faisait tourner son petit linge intime entre ses mains au-dessus de mon visage, un sourire narquois et amusé détendait son visage.
Elle cherchait lentre jambe, lendroit taché qui collait à sa vulve.
-Tu las pris pour la sentir et tendormir avec, petit chéri ? Cela ne se fait pas tu sais Regarder sa tante comme ça, qui sort de la salle de bain à demi nue ! Et prendre sa culotte quelle vient juste de retirer, pour la sentir hein !.
Tout en me parlant ainsi, avec une voix douce et chantante, elle approchait ses mains de mon visage et appliquait délicatement son petit linge porté sur ma figure, finissant en appuyant légèrement avec ses doigts sous mes narines
-Là, ne dis rien, laisse toi faire
cest là que tu as senti ?
Sa question ne demandait pas de réponse. Elle plaçait précautionneusement le côté le mieux parfumé de sa culotte sous mon nez, jen humais lodeur aphrodisiaque.
Ma gorge se nouait, javais du mal à avaler ma salive dans une émotion forte et étrange.
Ma tante glissait une main derrière ma nuque et me relevait la tête en maintenant sa culotte contre mon visage avec lautre. Puis elle faisait glisser les bretelles de sa combinaison sur ses bras pour libérer sa lourde poitrine quelle laissait tomber sur mon visage. Ainsi réfugié dans son corps, je pouvais me délecter à souhait du parfum piquant que me rendait sa culotte attisé par la chaleur exquise de ses gros nichons qui menfermaient dans leurre douceur charnelle. Tata était très douce, mais elle me maintenait avec fermeté. Sous mes draps, elle glissait une main à la rencontre de mon sexe, elle fut heureuse de constater leffet quelle me faisait.
- Comme tu bandes, petit chéri !
Elle enserrait entre ses doits mon sexe et commençait un mouvement caressant, de haut en bas. Cétait doux, délicat. Puis à un moment, elle retirait le drap nerveusement en accentuant sa pression sur mon visage.
Je me laissais faire, guidé dans un bien-être charnel et tourbillonnant
- Allez ! Respire bien fort, sens mes odeurs de femme, ça te fera bien bander petit garçon
!
Tu vas vider tes petites couilles, tata va taider ! Tu seras si bien après.
Jai joui au bout de quelques minutes, tant linstant était intense, ma tante transpirait entre ses seins
-Oui jouis, jouis mon amour
Oh ! Ouiii
Là
Puis elle me félicitait longuement en gardant sa culotte sur ma figure
Elle membrassait, me serrait contre son corps en chuchotant des promesses et des mots tendres à mon oreille.
Je serais heureux de correspondre avec une femme qui a aimé mon récit et lui écrire la suite pour partager ce plaisir.
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