Eloge De La Sodomie
Après 15 ans de vie commune et de plaisir sexuel partagé, je craignais vraiment la sodomie.
Javais bien essayé à de nombreuses reprises et malgré la douceur de mon partenaire jétais bloquée, pétrifiée. Javais limpression dêtre écartelée tant jétais contractée, la douleur était insupportable et il arrêtait.
Pourtant au fil des expériences la douleur disparut mais le sentiment dinconfort, de vague « honte » persistait. Je me demandais comment une femme pouvait tirer de la jouissance de ce genre dexpérience. Devant le plaisir intense quil ressentait à me prendre de la sorte, jacceptais finalement de lui offrir mon cul de temps en temps par amour pour lui.
Un soir, je lattendais au lit ; il rentrait après une longue route. Javais allumé des bougies et fait brûler de lencens, il y avait des boissons et des bricoles à grignoter.
Je portais, je crois, de la lingerie quil mavait offerte. Jétais couchée, les jambes largement écartées ; mon string se tendait délicieusement sur mon clitoris. Javais envie de jouir et de le faire jouir. Javais pris les précautions dhygiène afin de lui offrir mon cul pour quil sy enfile.
En se déshabillant il mit au jour une queue en pleine érection puissamment veinée avec un gland satiné et rebondi.
Il aspira mon clitoris, le faisant rouler sous sa langue, le lécha copieusement ainsi que mes lèvres, enfonça sa langue dans mon vagin, alterna avec une branlette en règle de ma petite bite.
Il me mena en quelques instants plusieurs fois au bord de lorgasme sarrêtant juste à temps en me laissant planer de longues minutes dans un état tellement proche de la jouissance quon sen contenterait presque.
Son érection ne faiblissait pas, que du contraire, javais beaucoup de mal à lui sucer la queue entière. Jaspirais goulûment son gland à genoux, tête-bêche, lui offrant mon entrejambe.
Pendant que je lui malaxais les couilles en le branlant fermement et en lui léchant le gland, il mexplorait dune langue pointue et humide.
Je me retournai et, à califourchon sur son ventre mempalai sur sa queue jusquà la garde. Ses couilles frappaient avec un bruit mat sur mes lèvres.
Je me cambrai pour offrir à ses mains mes seins généreux et mon clitoris. Il sempressa de le titiller me menant une fois de plus au bord de lextase.
Il me fit basculer, je me mis à 4 pattes offrant ma croupe à sa queue et à ses mains.
Il me sait très friande de fessées plus sonores que douloureuses.
Il me gratifia de quelques claques qui firent rosir mes fesses puis les empoigna afin de les écarter, de découvrir mon illet. Et de cette langue pointue qui écartait tous les replis de ma chatte il y a quelques instants, il entreprit de me lécher la rondelle. Leffet de surprise fit place en quelques coups de langue à un plaisir intense, une extrême douceur. Javais limpression que mon anus se dépliait comme une fleur qui éclot déploie ses pétales. Une grande chaleur envahit mon périnée et javais furieusement envie que la langue pointue me pénétrât plus loin encore.
Il minstalla sur le bord du lit, les jambes dans le vide et un coussin pour surélever mon bassin.
Il sagenouilla et je vins naturellement poser mes jambes sur ses épaules, découvrant impudiquement un illet en quasi explosion, un vagin humide et un clitoris en pleine bandaison.
Il me chauffait doucement en me branlant le clito (je suis, ou plutôt jétais, à 80 % clitoridienne).
Je laidais à lubrifier le pieu quil allait me ficher dans les arrières en frémissant.
Il glissa doucement, en tournant, son gland poli comme un galet dans mon cul. Le lubrifiant était appliqué si généreusement quil faisait un petit bruit de succion. Sa queue entrait, mm par mm, mais elle entrait me procurant une agréable chaleur dans tout le périnée. Les derniers cm, je les ai aspirés en magrippant à ses épaules pour menficher à fond sur son pal.
Il a commencé à bouger doucement en me branlant toujours, les coups de rein ont monté en puissance et en cadence.
Il a déchargé longuement et par saccades pendant que jatteignais un orgasme dune intensité et dune longueur jamais atteintes.
Ca faisait longtemps que nous navions pas joui aussi violemment et dune manière aussi synchrone.
Je venais de comprendre que je passais une étape capitale dans la quête du plaisir.
A suivre...
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!