Ma Cousine Amandine 02.

Après être, Camille et moi, entrées dans la chambre de mon petit frère Théo, nous lui exposons le but de notre visite.
Je lui fais lire la lettre d’Amandine.

Il la connaît comme moi et n’est pas surpris de son projet. Elle est tellement coincée.
Je lui dévoile une partie du programme que nous envisageons d’organiser et si, lui est d’accord, il pourrait faire parti du stratagème.

- Oui , nous dit-il, une bonne pipe c’est ce qu’il faut à Amandine. Tiens ça rime ! Éclate-t-il de rire.

- oui mais plusieurs bites c’est encore mieux, dis Camille.

- Pas de problème, je veux bien la partager, nous informe-t-il, pourvu qu’elle me suce à fond . D’ailleurs Camille ça fait longtemps que tu ne me l’as pas fait ! Tu n’as pas une petite envie ?

- Nous ne sommes pas là pour cela, rétorqué-je avec vigueur, même si je soupçonne que Camille ne soit pas contre car elle voulait entrer dans ta chambre sans frapper pour voir si tu n’étais pas en train de te branler, lui avoué-je.

Il la regarde avec un sourire en coin et des yeux qui veulent lui dire qu’il aimerait bien qu’elle lui fasse là maintenant.

Je ne suis pas dupe, je me doute bien que, depuis le 1er janvier que je vous ai raconté, la scélérate doit lui en faire de temps en temps mais aucun des deux ne me l’a raconté.

- je sais que notre petit voisin Hugo est là en ce moment, je propose de lui demander de faire parti de l’aventure, dis-je , de même qu’Alexis que j’ai croisé dans le village.

Hugo, vous connaissez, mon héros pendant le précédent confinement et Alexis avec qui j’ai fait des photos cochonnes.

Camille et Théo sont d’accord avec moi, et comme je me propose de le leur demander cela leur fait un sujet embarrassant qu’ils peuvent éviter. Je sais que ces trois garçons sont très respectueux des filles et cela ne pourra pas dér car c’est avant tout ce que je veux éviter et qu’ils sont assez expérimentés et délurés pour faire découvrir à Amandine des délices qu’elle ne soupçonne pas.

- Un dernier conseil, dis-je à Théo, j’aimerais bien que ce jour là ta bite soit impeccable, tu sais que Camille et moi nous les aimons fraîchement rasées.

- pas de problème, me réponds Théo, je la préparerai avec minutie.

- Qui c’est celle-là ? fait Camille, je sais c’est facile mais cela me fait toujours rire.

- vous savez, dit Théo , je me la rase très souvent, et les filles préfèrent sucer des bites comme cela sans risque de retrouver un poil sur leur langue.

Après cette petite plaisanterie, nous prenons congé de Théo, avec un brin de regrets pour Camille donc je devine l’envie de tailler une pipe à mon frangin, mais j’ai encore besoin d’elle pour peaufiner notre stratégie afin de convaincre notre Amandine de tester des chemins secrets et cachés dans le tiroir fermé à clé de son cerveau afin d’ éviter toute tentation contraire à sa morale mais qu’une fille normalement constituée doit avoir une envie irrésistible d’expérimenter.

Je demande à Camille si elle peut être avec moi en début de matinée avant qu’Amandine n’ arrive pour convainque celle-ci de ne pas quitter ce monde sans connaître ce qu’elle ne pourra plus découvrir après son enfermement. Nous serons toutes les deux ensembles avant de rejoindre les garçons si elle le veut bien.

- Nous devons nous aussi préparer notre fente ce jour là, dis-je à Camille, pour qu’elle soit toute lisse si elle veut nous la goûter.

- Bien sûr, me réponds Camille, de toute façon je l’entretiens très souvent pour qu’elle soit lechable à n’importe quel moment.

C’est vrai, qu’à chaque fois qu’elle me la présente, elle est impeccable et délicieuse à léchouiller . Je ne vois vraiment pas comment elle pourrait déplaire à Amandine.

- Réfléchis bien aux argumentaires que nous serons amenés à avancer pour la persuader d’oser transgresser sa morale, je pense que cela ne sera pas de tout repos.

- T’en fais pas, me rétorque Camille, je suis sûre qu’au fond d’elle-même elle doit avoir une tentation qui la démange d’enfreindre ses convictions, et c’est sans doute par le manque d’occasion et par timidité qu’elle a choisi cette voie et si nous lui servons sur un plateau une ribambelle de bites, tu verras qu’elle oubliera tout ingénuité pour se précipiter dessus.

- Puisses-tu avoir raison, répondais-je.

A suivre.