Je Fantasme Sur Ma Tante Qui M'A Provoqué
Ma tante s'appelle CAROLE, a actuellement 48 ans, mariée, délaissée corporellement par son époux de 60 ans mais lui est totalement dévouée.
Elle est blonde, a une voix très douce, une ligne très attirante pour son âge, un corps très souple, un visage sans rides, ce qui est rare.
Je tiens à préciser, que son mari est le frère de mon père, dc je nai aucun lien par le sang avec Carole, et cest peut-être pour cela que je ne ressens aucune honte sur mes envies delle.
J'ai pour ma part 35 ans. A aucun moment je nai cherché à la séduire ou provoquer.
Tout à commencé qd j'avais 15 ans. Je ne faisais pas attention à elle.
Elle était à lépoque nerveuse, un peu autoritaire, sèche, austère, une allure coincée, soumise et maniérée.
J'ai été faire du baby-sitting chez elle à 15 ans.
CAROLE fait couler un bain. Pendant que je lisais des BD, Carole m'appelle ds sa cuisine pour me faire des recommandations.
Je me pointe, et stupeur, une flamme m'aveugle le visage, mes yeux firent « oh putain ! »:
Carole était en petite tenue, en peignoir, pieds nus, les jambes nues avec une peau bronzée, et son sein droit largement visible, ferme, qui bougeait à chacun de ses déplacements. Elle avait à l'époque des cheveux blonds d'or, elle était i r r e s i s t i b l e.
La vue d'un corps de femme adulte,à moins d'un mètre de moi très attirant, s e n s u e l, je la devinais toute nue sous son peignoir, me fit un effet très fort, mon « entre jambes » était en alerte, c a p t i v é par ce que je voyais, et surpris par cette beauté cachée (à lopposé de son aspect extérieur), et très bien dessinée. Incroyable ! ma tante est passée dun look de femme quelconque à celui dune belle
l i o n n e c h a u d e.
J'avais un autre regard sur ma tante maintenant: je la d é s i r a i, faisais tout pour ne pas bander, et écoutait ses paroles.
Je rejoignais malgré moi mes copains de classe qui avaient des pensées obscènes sur des femmes adultes.
Je la vis ensuite g a m b a d e r d'un pas léger pour arrêter son bain.
Carole séloignait dune manière coincée, craignant ds sa course que le bas de son peignoir allait dévoiler ses fesses nues ou sa c u l o t t e que je devinais
i m p r é g n é e de son o d e u r vaginale, et enveloppant une fente chaude, cachée précieusement.
Elle avait une telle souplesse au niveau du b a s s i n, elle r o u l a i t du c u l difficilement.
Le tout me faisait ouvertement b a n d e r.
Cétait un moment rare, mais quel plaisir j'en étais le témoin privilégié.
Mais je ne savais pas si c'était volontaire ou pas de sa part. Jai comme même ressenti visuellement cela comme une invitation.
Tel un jouisseur Je la m a t a i s ds son dos insolemment,et étais encore + excité à lidée que Carole peste de me voir profiter de son intimité.
Javais lenvie soudaine, de courir derrière elle, de la plaquer sur le sol, de lui soulever son peignoir de la pénétrer fougueusement par derrière, en lui soufflant « tu es si excitante », et de peloter ses fameux seins tombants, sa peau, sa ligne sont tellement excitantes,quitte à se faire remarquer ou se faire gronder par elle, mais loccasion était trop belle, je suis sûr que jaurais eu le dessus.
Autre idée + prudente mais risquée : attendre quelle disparaisse ds sa salle de bain, monter, et me cacher ds une pièce tout à côté, me livrer au plaisir dun g r o s v o y e u r se branlant, et/ou écouter avec précision ses gestes, déplacements de sa silhouette, sa respiration.
Mais jétais contracté par lenjeu, très timide, trop sous lemprise hiérarchique adulte/, et surtout craintif dêtre découvert honteusement ds une attitude obscène par une tierce pers.
Je m'asseyais au salon, qui était situé juste en dessous de la salle de bain (je le découvrais à laide des bruits du dessus).
Jentendais ses pieds nus se déplacer et sarrêter , elle plongeait sa main ds leau et faisait un petit va et vient pour tester la température.
Je limaginai, de dos ,son corps penché vers lavant, sa tête orientée vers le bas, ses jambes légèrement écartées, entraînant sans surveillance ses fesses nues à découvert et son sexe tout chaud, ses seins fermes magnifiques se balançant doucement(ouille ! ouille !), le tout dégageant des effluves fortes de corps féminin.
Je salivais de la situation.
Je fut pris d'un f a n t a s m e le plus bandant possible sur elle (mes sens se développaient à une telle vitesse à cet âge là), faisant d u r e r mon plaisir.
Un film é r o t i q u e se mettait en place ds ma tête, jen étais le m a î t r e absolu, pas dinterdit sur ma route.
J'imaginais Carole laissant tomber son peignoir sur le sol, entrer toute n u e sur la pointe des pieds ds son bain d é l i c a t e m e n t, mettant p r u d e m m e n t un pas après l'autre c a l m e m e n t, émettant des petits cris de sa voix si douce au toucher de l'eau brûlante, touchant son corps, ses seins, tellement la chaleur est forte .
Tout à coup je rentre ds son bain, en chaussure, ne lui laisse aucune chance (elle ne peut crier,ses s jouent à côté). Je m'élance derrière elle, en lui disant « Attends Carole », elle : « mais quest- ce que tu fais ? ».
J' a b a i s s e brutalement mon jean, elle entend :le glissement de mon slip le long de mes jambes ainsi que le bruit sourd de ma bite libérée par le coton du slip, un hennissement masculin silencieux hautement motivé.
Je lui souffle à voix basse :
« bon sang, que tes belle !», tout en posant mes mains sur ses hanches elle réagit par des vifs « mais
ça va pas non », hennissant denvie, je continue « oh Carole, jai envie de toi, je vais te b a i s e r, .
Je me colle n u contre cette vraie belle femme toute n u e , là mon corps apprécie et se lâche.
je la ceinture lentement avec mon bras gauche (sa peau est tellement bonne au toucher),
je tiens ds ma main droite ma b i t e,
à l a i r l i b r e , chauffée , qui monte à lhorizontal et qui se gonfle très vite.
Je m'apprête à g l i s s e r mon pénis, Carole rouge de honte de se retrouver ainsi, dans cette position impuissante, à lidée de se faire
t i r e r p a r s u r p r i se, sentant comme un gros v e r s immonde, affamé frôlant lextrémité de son corps, se retourne et laisse échapper en chuchotant:« cest mal, ne fais pas ça ».
Elle tente de protéger son derrière,en
p l o n g e a n t ses m a i n s à lentrée de ses fesses, avec son comportement maniéré, me lance des t a p e t t e s sèches à laveuglette qui atteignent le bout de mon sexe
(qui s e n i v r a i t du contact physique de ses jolies mains), Carole narrivant pas, lâche, en vain : «je vais crier ! », je sais quelle ne le fera pas,je lui répond « oh oui excite-moi ! ».
Je ne me contrôle plus, je suis ds un état second, mon côté animal prend le dessus au contact de ce corps et de cette peau , imprégnée dune odeur érotique trop forte.
Malgré ses protestations,et ses tentatives de dégagement,elle se déplace ds sa baignoire, entraînant des mouvements de vague ds son bain,moi toujours agrippé contre elle,
ma b i t e coincée dans la rayure de son délicieux postérieur , b a l l o t é e entre de belles fesses moelleuses ,
je n'arrive pas à la plonger ds une ouverture, que je sens à ma portée.
Je tente de limmobiliser, lui lance « laisse toi faire, tu vas jouir », elle me jette des petits coups de pieds en arrière, qui en fait la déstabilise.
J' é c a r t e enfin ses fesses si appétissantes, elle r e t i e n t son souffle,je sens mon gland prêt à entrer ds ce petit trou, tel un suppositoire ,
qui s' i n t r o d u i t enfin en e l l e et r a m p e p u i s s a m m e n t:
Carole pousse un long petit cri, je savoure linstant.
En revenant à la réalité, mon excitation montait, montait, jentendais des frottements lents du corps de Carole contre les parois de sa baignoire, des mouvements plongeant ds leau, comme si elle se lavait.
Je repris mon rêve :
Mon attention délicate à légard de ma tante, disparaît.
Un comportement macho sans retenue se met en place , pour faire céder « jouissivement » la sévérité de Carole.
En plus leau de son bain, faisait monter des vapeurs chaudes, qui accentuaient encore plus mes envies.
Je nous voyais de biais telle une caméra : ma tante o combien d é s i r a b l e ,
se faire e n c u l é e par m o i à lair hyper ravi, fermant les yeux de plaisir.
Je regardais de profil ses joues devenir roses, elle ressentait de la honte de se faire pénétrer par son cul : des « oh la là » de surprise, et sur un ton grave jaillissaient de sa bouche, mindiquant que cétait la 1ère fois quelle se faisait e n c u l é e.
je savais que javais touché un point très sensible chez elle, interdit à lhomme, à son époux, je bravais linterdit, cambriolais sexuellement en toute impunité..
Je la p é n é t r e nettement en
e x a g é r a n t mes mouvements de bassin humant tel un taureau, des lâchers de sperme facilite mes allers-retours en elle. Je pelote sans honte ses seins magnifiques qui se dressent à mon toucher et les touche intensément, fais descendre mes mains le long de son ventre, caresse ses jambes, touche parfois
f o r t e m e n t ce corps si délicieux, le tout
l e n t e m e n t, en accroissant la
s e n s u a l i t é de la scène.
Jentendais les « flops
flops », frottements de mon pénis en elle (je jouissais de cet instant), et poussa des « mmm ! mmm ! », dans son oreille pour la stimuler.
Elle résiste verbalement difficilement :Je la sens e x c i t é e, désireuse que je continue, des «mmm!, mmm !», et inspirations sifflantes en cul de poule « schhh » commencent à arriver de sa bouche.
elle m'excite de + en + par ses expressions , je continue plus profond et varie mes mouvements, passe mes lèvres lentement sur ses épaules,
h u m a n t fort sa chair, et remonter vers son cou, je la m a l a x e sans relâche et dis presque à voix normale « bon sang que tes bonne ! » .
Me sentant complètement d o m i n a t e u r,
p r e s s a n t, d é p l o y a n t une
i n t e n s i t é ascendante, e l l e, engluée, vulnérable à la merci dun gros
p r é d a t e u r en r u t qui luse,
me dit « attends ».
Carole tente d'attr devant elle en faisant un effort, le rabattant pour nous cacher, de ces ébats de plus en plus torrides, elle n'arrive pas.
Je me dégage de son cul m i e l l e u x,
r u i s s e l a n t de sperme, ses fesses restaient agitées un court moment.
Je souriais et était fier en voyant des poils à moi laissés à lentrée de son cul, son anus imbibé, vulgairement écarté, et laissant des empreintes de mon passage.
Je la pousse r a p i d e m e n t en avant en me c o l l a n t toujours contre e l l e et en la calant entre mes jambes, moi râlant denvie, pour qu'elle ressente toujours cette emprise masculine, ferme cette porte qui nous dissimule des regards, l' e n c u l e de nouveau, elle, toujours surprise de mon culot,
pousse des cris plus j o u i s s i f s mais toujours silencieux.
Durant mes agissements, Carole subissant la position,appose ses coudes sur le mur en face delle.
je fus pris dune ENERGIE encore + FOUDROYANTE, et encore + s t i m u l é par ce geste soudain!
Je pénétrais + rapidement ses fesses profondément en apposant mes bras sur les siens, et nous voyaient sur le lit en position levrette, moi au dessus delle.
A lidée de baiser une belle femme adulte, je commençais à éjaculer, jabusais de ses seins très secoués pendant la scène, je les touchais intensément, en passant mes pouces sur ses tétons, je pressais ses belles mamelles, et les faisait se toucher entre elles, jimaginai les voir pisser quelques gouttes de lait !
Carole était incroyablement b a l l o t t é e , ramonée sans relâche, elle soufflait, balbutiait.
On entendait nettement le bruit sourd des frottements de mon entre - jambe avec le haut de ses cuisses. Tout en la pénétrant je faisais frotter mon corps en hauteur du haut de ses cuisses jusquà ses épaules, qui la faisait vivement réagir . Jimaginais son visage en transe , fondre,ses yeux appréciant lacte.
Son attitude maniérée disparaissait rapidement : elle émettait des frémissements, des pincements de lèvres jusquà éjecter de la salive. Je sentais quelle allait haleter bruyamment !
Je fis couler un jet deau puissant par la pommette de sa douche ds le bain pour couvrir nos ébats.
Elle lâchait des cris stridents : AH
AH.. HUM
HUM !!!! à chaque passage de mon pénis emballé par lentre -jambe de ma tante.
Je passais longuement mes lèvres ds son cou, ses épaules.
je lui caresse le bas de son ventre, elle accompagne ma main ds son sexe en faisant des allers-retours, je l'entends couiner: ahhh! humm! moui...oui! ohh..mmm
.p f f f f !.
Un de ses bras se retourne vers moi, pose sa main sur ma tête et caresse mes cheveux comme pour mencourager, sa jambe gauche se frotte contre moi, je sens la sève arriver.
Mais je voulais + égoïstement.
Je désirai profiter de son visage, écouter et sentir au plus près cette femme si sensuelle.
Je me r e t i r a i delle à son étonnement, je me f r o t t a i s doucement mais
"j o u s s i v e m e n t" sur chacune de ses jambes en remontant vers ses fesses, fit pivoter ma tante en face de moi.
Son visage remplit de sueur, respirait une chaleur mélangée de colère davoir été abusée de la sorte et de plaisir difficilement dissimulable.
Je caressais les poils de son sexe, et remontait mes mains sur ses hanches et la fit avancer vers moi.
Carole, de face, retrouvait un peu ses esprits, craignant mes intentions toujours présentes, tentait un refus autoritaire et coincé dun « Mais.. », en me collant ses mains contre mon ventre, je lui plaque mes mains contre ses fesses et les caresse allègrement, lembrasse en passant longuement mes lèvres sur sa joue, et lui glisse ds loreille « c o m m e
t u es b e l l e
. t u es à m o i ».
elle retire ses mains : son corps, son sexe métaient complètement s o u m i s.
Carole était assez subjuguée de mon envie perpétuelle de la toucher, la façon de la caresser, savourer sa peau.
Je lève lentement sa j a m b e gauche pour la coller autour de moi,Carole sait maintenant ce que je veux,son visage si b a i s a b l e, se prépare à de nouvelles extases.
Mais sentant ma b i t e se tendre au niveau de son sexe et f r ô l e r son entre - jambe, Carole prend conscience de lacte qui va suivre, devient frileuse, voire menaçante.
Ne lui laissant pas le temps de minfluencer, jécarte vite son autre jambe tout en lentourant autour de moi, qui me dévoile un volcan b r û l a n t irrésistible : je la p é n è t r e.
Elle réagit très vite en se retenant par mes épaules.
Ses 2 j a m b e s é c a r t é e s autour de ma taille, je la regardai comme un vicieux qui avait pris le dessus sur une femme intouchable.
Je la tiens fermement par ses fesses toujours dégoulinantes, mon sexe est e n g l o b é de
sa c h a t te tout excitée,
je donne limpulsion de coups de bassin en avant.
Jentends ses expirations régulières plus insistantes. Elle se mit à menlacer de ses 2 bras.
Là, je la pris intensément en arc boutant , du sexe pur, nous jouissions ensemble pendant ce rythme torride.
jétais excité, et r a v i davoir ses seins contre moi, ses bras qui se frottaient contre moi, ses mains collantes caressantes mon dos , son visage et ses lèvres si sensuelles face à moi.
Son corps tout entier était à moi, je voulais
f u s i o n n e r au maximum avec elle.
Je voulais la goûter, mon visage en biais sapproche de sa face, je mextase »ma beauté, ma beauté », mes lèvres aspirent ses lèvres qui ne me quittent pas, son haleine chaude mexplose littéralement. Je suis envahi par son odeur de lionne excitée.
Au bout dun moment je sens sa langue désireuse contre mes lèvres, et cède à cette envie, nos baisers devinrent littéralement langoureux à nen plus finir, je pinçais ses fesses de plaisir.
Jétais en transe au salon, les yeux fermés, je couvrais à laide dune BD, ma bite à la verticale , en direction dailleurs de ma tante allongée ds son bain , à 3 mètres au dessus de moi, jambes légèrement écartées, détendue, son corps frottait encore.
Limpression jouissive était trop forte :
j é j a c u l a i s ds mon slip, remplit de sperme tout chaud.
Ce rêve a comme même duré une demi heure .
Je rouvris mes yeux, je craignais de voir apparaître en face de moi ma tante habillée, l'air sévère, choquée par mon attitude.
Ouf, il ny avait personne, dailleurs je lentendais se sécher les cheveux.
Depuis, elle est la femme de mes rêves!
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