Découvertes 1- Un Professeur (Très) Particulier
-Je mappelle Jean-Louis Dubuisson, professeur particulier.
Cest de cette manière que je fus introduit à la famille Desroches. Les parents Desroches recherchaient un homme capable denseigner à leur jeune fille Julie tout ce qui devait être appris à une jeune fille de 18 ans. Ses parents navaient jamais souhaité, comme dans beaucoup de grandes maisons, faire souffrir à leur fille les risques et les désagréments de ces écoles cosmopolites publiques ou de ces établissements soi-disant privés ouverts aux nouveaux riches-parfois même aux anciens pauvres. Ainsi, cest bien à labri de leur demeure que Julie apprenait ce que lon enseigne dans les écoles dignes de ce nom. Le professeur précédent avait apparemment été congédié et je prenais donc sa place.
Julie était une jeune fille très sage. Elle apprenait bien, vite et était très attentive. Il faut dire quelle navait que peu damies pour la distraire (et, faut-il le préciser, aucun ami) : Annie et Marie-Ange Duruisseau, des filles de bonne famille du voisinage (aux murs cependant très peu conventionnels), ainsi que quelques cousines qui la visitaient parfois. Ainsi javais le rôle denseignant, de maître et de confident.
Quant à moi, autant sen tenir à la description que Julie avait faite de moi dans son carnet intime (elle me la montré plus tard) : « Le nouveau professeur est arrivé, aussi vieux que le précédent, et, même si je nai que peu de comparaison sur le sujet, doté dun physique qui mest très peu agréable. Il a cependant lair gentil et ouvert sous ses allures strictes
»
Les mois passèrent et nous en venions à évoquer parfois à demi mot ce quelle appelait encore pudiquement « la chose », « lacte ». Un jour, après une leçon, je lui demandai si elle avait connu un jour la moindre tendresse dun homme.
-Professeur, vous ny pensez pas ! Faire cette chose avant le mariage est un péché
-Navez vous jamais éprouvé de désir ou de curiosité ?
-
-Quen est-il ?
-Une seule fois, en rêve, je voyais un homme touchant mon corps, mais au réveil je trouvais cela répugnant, dégradant, pervers, diabolique
Sans savoir pourquoi, sans doute à cause de la blondeur de ses cheveux, de la douceur de son visage, de ces 18 ans resplendissant devant ma quarantaine finissante, je posai ma main sur son genou.
-Est-ce que ce geste vous semble répugnant ? Diabolique ? Mauvais ?
-Non, votre main est plutôt agréable, mais est ce que cela sied ? Cette attitude nest-elle pas punissable
-Laissons votre corps décider jeune fille, la nature nous guide toujours vers la vérité.
Ma main remontait doucement emportant la jupe toujours plus haut dans sa caresse. Je voyais doucement la peau apparaître et le bout de mes doigts sentaient sa douceur au gré de leurs mouvements.
-Quen pensez-vous la vérité est-elle plus haut ou plus bas ? Que dit votre corps ?
-Plus haut
mais
-Plus un mot. Ecoutez le, il vous mènera vers ce quil vous demande, son bien-être et son plaisir.
Je continuai mon geste jusquà atteindre un tissu délicat. Je sentais une douce chaleur sous létoffe. Je caressai doucement lintérieur des cuisses a cette hauteur, tournant autour de ce sexe totalement à découvrir. Je lentendais respirer plus fort. Je continuai ce petit jeu jusquà sentir son corps chercher une caresse plus précise.
-Croyez-vous que je mapproche de la voie ?
Ma main approcha de son sexe et elle ferma les yeux en guise de réponse. Je caressais à présent son sexe à travers sa culotte. Elle semblait apprécier. Ses yeux fermés et ses lèvres étaient un signe aussi grand que son bassin qui ondulait presque imperceptiblement. Je sentais ses lèvres sécarter à travers létoffe délicate, elle était délicieusement humide. J'osai embrasser délicatement son cou tout en la caressant.
La sentant monter de plus en plus, jécartai doucement la culotte pour oser aventurer un doigt en elle pendant quun autre cherchait le petit bouton damour de la jeune pucelle. Mes lèvres ne quittaient plus son cou, je me sentais de plus en plus fébrile. Elle soupirait de plus en plus, de plus en plus vite. Je murmurai a son oreille :
-Appréciez-vous la leçon chère élève ?
Elle ondula plus ostensiblement du bassin, mes doigts accélérèrent le rythme, mes baisers sont fiévreux. Elle eut comme un soubresaut et elle gémit trois fois ce mot divin :
-Oui
oui
oui
Elle retomba sur sa chaise mes doigts toujours en elle. Je les retirai délicatement, avant de les porter à sa bouche et de les passer délicatement contre ses lèvres. Le goût du plaisir lui était ainsi familier. Elle ouvrit les yeux. Je lui pris la main et la portai doucement vers mon sexe que je memployai ensuite à sortir de mon pantalon. Je mis lobjet de mon plaisir dans sa main
-Si tu veux encore apprendre le plaisir, il faut savoir le donner.
Sa main se referma sur mon sexe, ma main entourait la sienne et je la guidai dans sa première quête du plaisir dun autre. Elle était aussi attentive à cette leçon quà toute les autres, très vite elle put se passer de ma guidance. Elle me branlait un peu maladroitement mais avec tant de douceur. Lexcitation que mavait donnée cette jeune vierge ainsi que ces caresses hésitantes eurent raison de moi. Je repris sa main et accélérai le mouvement. Jéjaculai enfin sur cette petite main ainsi que sur sa cuisse dénudée.
A nouveau je recueillit un peu de mon sperme pour effleurer ses lèvres délicates.
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