Ma Femme...
Je suis dans une situation compliquée
il faut que je vous raconte ça !
Je suis marié depuis 7 ans avec Valérie. Pas véritablement un canon, mais plutôt « plantureuse », si vous voyez ce que je veux dire
1.60m, des rondeurs et un bon 95 E, vraiment de quoi tomber dans la luxure !
Nous avons vécu heureux pendant quelques années, elle aimait le sexe presque autant que moi, en restant toutefois dans des pratiques assez banales et convenues. Mais ça me suffisait.
Malheureusement, depuis la naissance de nos s, elle ne se consacre plus quà eux, et néprouve plus de désir physique. Que ce soit pour moi ou pour un autre, elle semble éteinte.
Jaurais pu la tromper, mais me connaissant, je me serais fait prendre ! Je décidais donc dagir autrement.
Un soir, je lui parlais ainsi :
- « Valérie, nous ne faisons quasiment plus lamour toi et moi, et cest une situation très difficile pour moi. Je pourrais aller baiser ailleurs de temps en temps, mais je nen ai pas plus envie que ça. Et je pense que ça ne te plairais pas non plus.
- Non mon chéri, je ne veux pas. Et je taime, tu le sais.
- Tu maimes, oui, mais tu minterdis les plaisirs du sexe. Alors moi je vais tobliger à avoir des relations. Mais je ne te violerais pas. Tu vas avoir des expériences sexuelles avec dautres personnes que moi. Comme je le voudrais, sans que tu ne dises rien.
- Mais ça va pas non ? Tes pas bien ?
- Cest ça où je me tape la première blonde qui passe, si possible dans notre lit, voire même sous tes yeux. »
Inutile de vous dire quelle nétait pas franchement daccord.
Quelques jours plus tard, elle donnait un concert avec sa chorale. Juste avant, je lui dit :
« - Ce soir, après le concert, tu choisiras un des types qui chantent avec toi, celui que tu veux.
Jétais persuadé quelle ne ferait rien. Pourtant, à la fin de la représentation, je me glissais en coulisse discrètement, restant bien dans lombre. Ma femme était au milieu dune dizaine de ses amis, buvant un verre pour fêter la soirée. Visiblement, elle avait déjà quelques verres davance, et me semblait plus détendue que dhabitude.
Elle était vêtue dun petit haut blanc assez décolleté qui moulait sa poitrine et dune jupe noire un peu courte. Elle était assise sur une table, ce qui laissait apparaître ses cuisses, et était en grande discussion avec un des chanteurs. A vue dil, celui ci devait avoir environ 45 ans, pas franchement beau, un peu bedonnant, mais très intéressé par ses seins si jen croyais ses regards
Elle semblait bizarre, peu farouche. Elle navait pas lair de me chercher !
Puis, le groupe se sépara. Elle resta encore en tête-à tête avec son soupirant quelques minutes, puis, dans le silence environnant, à peine éclairés par les lueurs des sorties de secours, elle lui prit la main et la posa sur ses seins.
Incroyable ! Elle passait à laction !
Lui devint comme fou. Il passa la main sous le tissu et je devinais quil la pelotait vigoureusement. Elle se laissa aller et sallongea sur la table.
Tout en continuant à lui pétrir les seins, il lembrassa à langue déployé. Elle ne se retint pas et lui rendit ses coups de langue passionnés.
Je commençais à bander sérieusement, et néprouvais étonnamment pas de jalousie !
Tout saccéléra alors très vite. Jentendis ma femme lui dire à haute voix : « Thierry, baise-moi, prend-moi comme une salope »
Ma femme ! Jamais elle ne mavais dit ça à moi !
Il enleva le petit haut blanc et arracha le soutien-gorge.
Sans sarrêter, il releva sa jupe, arracha ses collants (elle naime pas les bas !), et ne prit même pas le temps denlever sa culotte. Il sortit sa bite (plutôt petite dailleurs) et la fourra dun coup sec dans le sexe de ma femme, contournant la culotte.
Elle se mit à crier « vas-y Thierry, baise-moi, fais moi jouir comme un chienne, oui, oui, oui,
.aahhhaaaa »
Il se mit à la pilonner, de plus en plus fort. Elle criait si fort que le gardien de la salle allait finir par lentendre !
Elle le stoppa, le temps de lui mettre une capote. Il la retourna, et la prit de nouveau, en levrette, toujours allongée sur la table.
Jentendais ma femme souffles, gémir, crier
elle saccrochait à la table et se cambrait. Quelle salope !
« Taime ma bite Valérie ? Tu la sens bien ? Il y a trop longtemps que je veux te baiser, trop longtemps que tu mexcites ! »
« Oui, défonce moi encore, vas-y, plus fort ! »
Il ne résistèrent pas à la passion très longtemps. Environ 5 mn plus tard, à force de lui défoncer la chatte, il jouit en même temps quelle hurlait de bonheur. Elle tapait même la table de sa main droite
puis retomba, épuisée.
Enfin, pas tout à fait. Elle se retourna ensuite, enleva la capote, et entreprit de lécher la bite de Thierry, doucement, délicatement, avec amour.
Je méclipsai alors et rentrai à la maison.
Quand Valérie rentra, elle me raconta tout, en pleurant doucement. Elle mexpliqua quelle y avait pris un plaisir énorme, tout en se disant que ce quelle faisait était mal. Elle massura ne pas vouloir recommencer.
Je la consolai.
Javais dautres projets en tête pour elle
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