La Toute Première Fois

Elle date d’il y a bien longtemps, une quarantaine d’années mais je m’en souviens encore comme si c’était hier. La scène se passe en 2 épisodes.

Par un après-midi d’été pendant les vacances scolaires, j’avais 18 ans et une copine de classe 17. Nous étions chez elle, couchés sur son lit, tout habillés, ( enfin chemisette et short vu la chaleur) et nous nous caressions par dessus les habits, en osant un doigt dans son décolleté en pointe ou sa main sur mon short pour vérifier qu’il prenait bien de la grosseur, nos bouches s’essayaient à se mélanger, mais rien de bien méchant.

Nous écoutions « Salut les copains » en n’avons pas entendu sa mère rentrer, elle est venue dans la chambre et nous en avons pris pour notre grade, il ne m’est resté que le temps de prendre mon cou à 2 mains et de partir.

Quelques jours plus tard, je savais que ma copie était partie en vacances chez ses grands-parents. J’allais faire des commissions pour ma mère et au magasin, j’ai rencontré la mère de ma copine. Impossible de me défiler vu l’étroitesse des lieux. A la sortie elle m’attendait, j’ai dû rougir en passant devant elle en pensant à ce qu’elle nous avait dit auparavant. A ma grande surprise, elle m’a demandé de passer chez elle dans l’après-midi afin de l’aider à faire deux ou trois choses dans son jardin.

Ce fut fait mais au milieu de l’après-midi, un violent orage nous a surpris et nous sommes rentrés trempés de la tête aux pieds. Dans sa salle de bains, elle s’est dénudée devant moi et m’a aussi à enlever mes habits pour que nous nous séchions. Je n’osais pas car la voyant nue, mon sexe avait pris des proportions que j’essayais de cacher. A ma surprise, elle s’est trouvée enchantée de voir qu’elle me faisait de l’effet. Sa main a commencé à me caresser et après très peu de temps, j’ai joui dans sa paume. Elle m’a demandé si j’avais déjà connu une femme. A ma réponse négative, elle m’a dit qu’elle allait me montrer et comme cela, lorsque je retrouverais sa fille, j’aurais un peu d’expérience.

Sa première leçon de l’après-midi a été de me faire mettre une capote (elle était mère-célibataire et ne voulais surtout pas que sa fille connaisse le même problème) et elle m’en a donné deux afin que je ne sois pas démuni avec sa fille qui devait rentrer dans une semaine, j’avais le feu vert de la maman, je ne dit pas ma joie en pensant à ce moment là, mais surtout à ce qui allait suivre.

Nous sommes allés dans sa chambre et là, tout d’abord elle ma expliqué la sexualité féminine, m’a décrit son clitoris, les grandes lèvres en dirigeant un de mes doigts quelle avait humecté de sa salive. Sous ces caresses mon sexe avait repris de bonnes proportions, j’ai commencé à m’enhardir et mes mains ont caressé sa forte poitrine et tout son corps. Elle m’a laissé faire en me guidant vers ses zones érogènes toujours en me parlant et m’expliquant en détail tout sur le sexe. Au vu de ta jeunesse me dit-elle, tu va bander et jouir plusieurs fois, aussi pour commencer, je vais te faire une pipe pour vider tes couilles. Chose dite, chose faite, sa bouche est descendue sur mon bas-ventre , d’abord doucement en léchant ma queue puis en l’embouchant complètement, ses mains soupesait mes couilles et le tenait à sa base. Je me suis laissé aller et j’ai explosé en un rien de temps dans sa bouche.

Tu va te reposer un moment et ensuite je veux que tu me fasse l’amour m’annonça-t-elle, je te veux dur et long pense –y-. Elle écarta lentement ses cuisses pour me permettre d’admirer sa toison soyeuse, je pris plaisir à caresser de mon index une zone humide, à entrer en elle et bientôt un liquide chaud inonda mon doigt, suce me dit-elle tu connais le goût de la femme et tu va le connaître avec ta langue. C’est ainsi que ma langue commença à lui lécher le clitoris, les lèvres, à entrer dans sa chatte trempée, sa voix me guidait et au bout d’un moment tu le fais bien mon petit chou, je vais te surnommer langagile, tu apprend très vite, je crois que ma fille appréciera si tu continue avec elle.


Toute cette excitation m’avait de nouveau fait bander, elle me fit coucher sur le dos et vint sur moi prenant ma bite bien dure entre ses doigts pour la relever et la guider vers sa vulve trempée, je sentis mon gland entrer en elle doucement et je la laissais s\'empaler sur mon membre durcit. Son bassin ondulait, elle se mit à soulever ses fesses pour faire glisser ma bite dans son sexe ruisselant. Je fut fort surpris lorsque je me mis à jouir pour la troisième fois de l’après-midi d’entendre des gémissements de plus en plus fort, sa main titillait son clitoris en plus de ma queue qui lâchait son jus en spasmes violents au fond de sa chatte.

Cette première leçon fut suivie de plusieurs autres avant que je me décide à en parler à sa fille qui hésitait à perdre son pucelage avec moi. Ainsi tu a de l’expérience et avec ma mère, je ne pensait pas qu’elle aimait cela de cette façon me dit-elle, je dus d’abord tout lui raconter et, un après-midi pendant les vacances d’automne, nous sommes passés à l’acte.

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