À 38 Ans La Révalation D'Une Femme
Jai 41 ans et je suis chef dentreprise dans une ville bourgeoise de province. Comme régulièrement, ma femme et moi sommes invités à dîner chez des gens bien élevés, faisant partie de la bourgeoisie catho de cette petite ville.
Les femmes portent la robes en dessous du genou, les chemisiers fermés jusquau ernier bouton sous un collier permettant dentre apercevoir leur train de vie. Alors que je discute, je suis surpris de croiser, au loin, le regard dune femme dune quarantaine dannée qui me fixe sans baisser les yeux. Elle porte son age assez joliment dotées de quelques rondeurs que les hommes apprécient tant. Au moment de passer à table, la maîtresse de maison place ses convives et je me retrouve à lautre bout de la table, loin de ma femme avec pour voisine cette femme. Le repas sanime de rires et de discussions plus ou moins sérieuses et je ne peux mempêcher de sentir régulièrement la jambe de ma voisine se frotter à la mienne. Je me dis que je me fais des idées mais cette jambe se frotte belle et bien à ma cuisse. Une envie soudaine me pousse à laissé tomber ma serviette et de me servir de cette ruse pour laisser courir ma main genre « je vos demande pardon je nai pas fait attention ».ou plutot pour lui faire remarquer que, si c'est le cas, j'ai reperé son manège.
Quelques semaines passent et nous nous retrouvons chez dautres amis. Je navais pas oublié son regard et souhaitais secrètement quelle soit là. La chance était avec moi Caroline puisque cétait son nom, était comme par hazard a coté de moi. Cétait maintenant certain sa jambe cherchait le contact de la mienne sans quelle ne me montre un encore un intérêt particulier. Je me mis alors à limaginer autrement que dans son rôle de mère de famille rangée prônant le catéchisme
et allant à léglise tout les dimanches. Je sentais des picotements dans mon bas ventre. Mon sexe commençait à vibrer et une irrésistible envie de passer ma main entre ses cuisses naissait en moi au point de regarder mes interlocuteurs sans entendre un mot de ce quil me disait.
A son retour, je la vis remonter légèrement sa jupe. Je voulais la caresser tout en essayant de toucher du bout des doigts son sexe au travers de sa culotte. Elle laissait mes doigts la caresser mais elle mempêchait datteindre son sexe. Ses joues étaient roses et je la sentais inquiète si bien que jarrêtais avec la ferme intention de lui laisser ma carte de visite.
Ce fut chose faite lorsquelle et son mari nous saluèrent avant de partir.
Le lundi matin mon portable sonna et elle minvita à prendre un café chez elle vers 13h00. Son air de sainte ni touche mexcitait et je sentais en moi un certain trouble à lidée de ce couple dont la femme était probablement délaissée depuis longtemps. Son mari ne devait plus la regarder et leurs années de mariage devaient rendre leurs relations sexuelles dune banalité à toute épreuve. Je ne voyais que cela ou sinon quelle était une vraie salope habituée à ce genre de chose auquel cas il me faudrait assurer pour ne pas la décevoir et au cas où je m'étais munis de quelques artifices.
Lorsquelle ouvrit la porte elle semblait gênée, se rendez vous ressemblait pour beaucoup à certain rendez professionnel ou il est si difficile de rentrer dans le vif du sujet. Jessayais dêtre avenant et de détendre latmosphère en parlant de connaissances communes, de la pluie et du beau temps. Le café était servit, la demeure était vaste et décorée avec beaucoup de goût. Jétais assis sur le canapé en face delle. Je remarquais que son chemisier était ouvert et que sa jupe létait aussi sur le coté. Lorsquelle changeait ses jambes de place je pu remarquer quelle portait des bas. Une demi heure après mon arrivée aucune signe dune quelconque envie de la part de Caroline.
Il me vint alors une idée.
« et si je te bande les yeux tu ne me verras pas et je pourrai te voler un baiser déjà pour commencer «
Je pris alors le foulard quelle portait et elle me laissa lui bander les yeux. La prenant par la main je la conduis vers le canapé pour linstaller assise en appuis entre laccoudoir et le dossier.
Lentement sans lui parler je déboutonnais son chemisier laissant apparaître une poitrine généreuse. Sa bouche était légèrement ouverte et sa respiration se faisait de plus en plus rapide. Puis mes mains ôtèrent sa jupe la laissant ainsi en culotte chemise ouverte et chaussures à talons hauts. Masseyant à coté delle je commençais à goûter à ses lèvres. Sa langue était hésitante jusqu'à ce quune de mes mains repousse les bretelles de son soutient gorges et que ses seins soient libérés de leurs bonnets. Hummm ses mamelons étaient larges et leurs bouts étaient durs. Jhumidifiais mes doigts et entrepris de caresser leurs pointes. Caroline se cambra en gémissant sa bouche aveugle attrapa la mienne et sa langue maintenant caressait mes lèvres avec une formidable douceur. Ma bouche descendait pour lécher et sucer ses seins. A chaque coup de langue, son bassin bougeait d'avant en arrière comme pour mappeler. Je me reculais pour mieux la regarder senflammer et gémir. Jécartais ses cuisses tout en la regardant et faisait glisser sa culotte sur le coté.
Son sexe était brillant de mouille, je ne lavais pas encore touché à cet endroit et javais envie de jouer avec elle. Elle était ma proie et javais bien lintention de la faire jouir de . Je lui demandais dune douce mais ferme :
« Écartes tes lèvres, plonges tes doigts dans ta chatte et donnes les moi à sucer »
Caroline sexécuta immédiatement en lorsquelle me mis ses doigts dans ma bouche mon érection devint épouvantablement douloureuse tellement elle mexcitait.
Son orgasme explosa si violement que son corps fut prit de spasmes et elle me supplia:
"GREG prends moi prends moi vite pénètre moi je n'en peux plus"
Il fallait d'abord quelle me prenne dans sa bouche. Je lallongeais et avant de la rejoindre javais pris soin, au cas ou, de prendre dans mon cartable deux gods; un de taille normal et un dun diamètre très gros. Pendant quelle me suçait je laissais ma langue et mes doigts la branler. Ses gémissements devenaient des hurlements comme si elle jouissait encore. Sa bouche me dévorait. Sans quelle le sache japprochais le gros god de sa chatte et délicatement présentais le gland du jouet en latex à l'entrée de son vagin. Je du dabord un court instant avant que son sexe, complètement remplit, lavale. Elle fut alors prit d'autres spasmes et dans un hurlement étouffé se mis à me crier;
" VAS Y GREG DEFONCES MOI GREG DEFONCES MOI HAAAAAAAAA JE JOUIS JE JOUIS!!!!!"
Le god allait et venait en elle. Je le ressortais pour mieux la baiser. Puis ayant lubrifié de ma salive et de ma langue son anus et l'autre jouet je la double pénétrait sans aucune difficulté tellement elle était ouverte et coulante. Je la retournais, la mis a genoux, cambrée pour mieux faire aller les jouets. Un court instant elle tenta de se débattre supplia quelle ne voulait pas puis lui tenant les bras tendus vers larrière, les jouet appuyé contre mon ventre elle céda tant et si bien qu'elle seule maintenant donnait le rythme.
Elle se mit à avoir un orgasme extraordinaire dans lequel elle cria;
"HAAAAA GREG, JE JOUIS ENCORE, MAIS QUEST-CE QUE TU ME FAIS HAAAAAAAAA !!"
Une fois les jouets hors de ses trous mon sexe passa de son sexe à son anus.
Cétait réellement son premier écart et une révélation pour caroline qui m'avoua plus tard se masturber très très souvent et dont les fantasmes qu'elle estimait inavouables étaient multiples. Depuis ce jour, jai fait vivre des tas dexpériences insolites à cette néanmoins adorable Caroline mais ces histoires seront pour une prochaine fois si vous le souhaitez.
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