Découvrir Qu'on Aime Se Faire Prendre
Javais, 18 ans, pendant mon service militaire, au cours des Sept mois de service qui me restait, il mavait fait découvrir une partie de moi que je ne connaissais pas. Après ma période dite, de « classes », javais été affecté à létat major et, à la place de gardes traditionnelles, jassumais des permanences de nuit et de Week-end. Un adjudant, 50 ans, bien bâtit et sportif, sétait vu confier la responsabilité de la surveillance de la caserne lors de ces gardes. Nous étions donc seuls dans un immense bâtiment, toutes ces nuits et aussi pendant tous ces Week-End. Ceci à nattendre quun satané téléphone se mette à sonner, annonçant une catastrophe. Cet Adjudant, était directif et assez tranchant. Dautre part, il sintéressait à ce que je faisais,a mes cours par correspondance, au fait que joccupais mon temps à apprendre, à découvrir ce qui mentourait. Nous parlions de plus en plus, de chose et dautre. Il me demanda un jour si mon envie dapprendre se limitait à des domaines intellectuels, je lui répondis, cest sur, avec mon physique, je ne risque pas de faire haltérophilie. Ca la fait rire de bon cur (je faisais 1m66 et 54 kilos). Et il me dit «il ny a pas que cela, tu fais du sport ??? ». Je lui répondis que oui du vélo en championnat régional. Assez vite, il sest fait assez proche Au bout de quelques semaines, nos rapports étaient devenus très fluide, il était devenu très sympathique. Un soir, il était différent qua lhabitude, lorsquil rentra du tour de garde, je men souviens bien, cétait un samedi, il vint derrière moi, me dit « alors ça avance ta formation ?? ». Je lui répondis, « ça avance, ça avance ». Et il me dit, » il va falloir que je te forme à dautres choses, plus physique, tu vas te ramollir à rester assis tout le temps et plongé dans tes cours »,. Il faisait chaud, il alla sasseoir en face de moi, sur une banquette que nous avions. Il sétait mis en short. Je lui répondis « Ah quoi tu veux me former ??? ».
Il répondit «On va voir, On va voir». De son cartable, il sorti des revus pornos et les poser devant lui, sur la table. Moi javais rougis. Sa voix se fit plus posée, plus amicale. Je me levais et allait minstaller dans le fauteuil, et feuillette les Pages. les images qui défilaient sous mes yeux ajoutaient à la chaleur et la tension. Des femmes nues dans plusieurs positions. Je fini de feuilleter, je repose la revue. Je nose en prendre une autre. Je crois quil le comprend. Il se repenche sur la table et en prend une bien précise et me la tend. Cest une revue en Allemand. Dans celle-ci, Il y avait comme une histoire, très diversifiée. Un strip-tease. A mesure des pages, des femmes, des couples, des hommes étaient de plus en plus nus. Puis un homme, le sexe imposant et dressé. La page daprès, une femme était prise en levrette par lhomme de la page davant. A la page daprès, un 2éme homme est dans la bouche de la femme, elle était en sandwich. La page suivante fut pour moi dune très grande surprise, lhomme qui était dans la bouche de la femme y était resté, lautre au sexe imposant, était derrière lhomme, le sexe tendu, dirigé vers les fesses de celui qui se faisait faire une pipe, je tourne la page. Et là, lhomme toujours dans la bouche de la femme est en train de se faire enculer par létalon. Jétais subjugué par la scène. Je fini par tourner la page et là, la totalité du pieux avait disparu dans le cul de celui qui se faisait sucer, langle de la photo ne laisse pas de doute sur la totale pénétration. Cest la première fois que je voyais une scène pareille, je la regardais avec insistance. Je me demandais comment, un tel sexe pouvait être englouti par un passage aussi étroit. Ladjudant se leva et passa derrière moi. Une de ses mains se posa sur mon épaule. Regardant la page ouverte me demanda si jaimai. Je ne répondis rien, rouge dexcitation et de honte. Il me dit « drôle, Non ». Je lui dit «cest truqué, cest pas possible ». Il me répondit « tu crois, moi je sais que cest tout à fait faisable ».
Jai très chaud, je ne répond rien. Je demande si je peux aller prendre une douche. Ladjudant me dit, «Bien sûr, il fait tellement chaud». Sans attendre je me dirige vers les douches. Cest une pièce ou il y a trois douches individuelles sans porte individuelle. Je me déhabille, allume leau et me met dessous. Leau me fait du bien. Jai très chaud et je bande irrésistiblement. Jentend la porte souvrir, je ne me retourne pas. Il me dit, moi aussi jai chaud. Il se déhabille, je tourne doucement mais irrésistiblement la tête, sa bite est conséquente. Il me regarde, ne se détourne pas, et entre dans la douche da côté. Je ne lentend plus, mis à part leau qui coule. Je reste comme cela un moment, je me savonne, avec une envie incroyable de baiser. Je me sens épié mais je ne me retourne pas, je reste à la vision de sa bite que je viens davoir. Puis; jai senti deux mains se poser sur mos dos. Et jentend, « je vais taider » il me frotte le dos, je sursaute. Je le sens de plus en plus près, il me carresse le dos de plus en plus, de haut en bas. Je sens une de ses mains quitter mon dos et passer jusquà mon ventre, elle descend et me prend la bite. La sienne effleure mon cul. Je suis statufié, je ne bouge pas dun pouce, je ne sais pas ce quil va marriver. De lautre main, il prend mon poignet gauche et le tire derrière moi. Il me fait prendre son sexe, plus gros et long que le mien. Je le branle. Je le sens se durcir totalement, je ne sais plus quoi faire
tout se bouscule dans ma têtes, jarrête de le branler, il me serre de près. Sa queue touche régulièrement mes fesses. Il soulève mes bras au dessus de ma tête et me les fait poser contre le mur qui est devant moi. Jessai mollement de bouger, je ne pense plus, je ne sais rien à ce qui est en train de se passer. Jai tout juste 18 ans et quelques mois dexpériences hétéro avant mon départ à larmée. Il se frotte contre moi, je sens son pieu glisser plus bas entre mes fesses. Jessai de me dégager, impossible. Il me serre de plus près, je ne peux plus faire de mouvement.
Il me dit « arrête de bouger ». Le ton est tranchant. Il dépose quelque chose de gras entre mes fesses et sur sa bite. Il se recule légèrement, sa bite sinsinue ente mes fesses, il pousse en me bloquant me tenant par le ventre et mempèche davancer ou de me dégager. Dans lagitation et avec cette cambrure, il trouve son ouverture, je le sens me forer, mon entrée finit par céder, je ressent une grande douleur. Sous une plus forte poussée, sa bite glissa en senfonçant en moi. La douleur me plie en 2, il en profite pour menculer un peu plus. Jai très mal, jai peur et je me met à pleurer. Sans mentendre ni lâcher la pression, il continue à me prendre je le sens respirer de plus en plus fort, et senfoncer de plus en plus en moi. Chaque mouvement de sa part me déflore un peu plus. Il me dit sans arrêt « Taime ça un » Jai limpression que ça dure longtemps. Je le sens profondément en moi. Il me fait mal, mais ne ralenti pas. A chaque coup de boutoir je me sens défoncé un peu plus, mon cul est en feu. Avec une voix de dominateur, il me dit «tu vois, que cest possible, de se faire enculer par une grosse queue ». Je sens son ventre claquer contre mes fesses. La douleur est violente. Puis il est secoué de soubressauts. Je me demande ce qui arrive, Cest ma fête, au mauvais sens du terme. Il finit par arrêter, reste comme ça planté au fond de moi, sans bouger. Je me sens pendu sur ce pieu, mes pieds touchant à peine par terre. Finalement, il me quitte aussi brutalement quil est entré et disparaît. Mes jambes ne me portent plus, je tombe. je me sens écartelé. Je continue à pleurer sous la douche.
Je me lave et comprend pourquoi il sest secoué de la sorte, son liquide quitte mon corps. Je nose pas revenir dans la pièce de garde. Au bout dun très long moment, il faut bien que jy retourne. Il est là habillé, il ne me regarde pas, il a lair très gêné. Je ne dis rien. Je vais dans un coin de la pièce sans rien dire. Je ne pense qua ce qui vient darriver, je ne me suis pas débattu, je suis resté passif.
La journée suivante sécoule difficilement. Nous ne nous parlons pas. 2 nuits plus tard, je rêve de ce qui sest passé. Ca me perturbe beaucoup, il me fait peur ce rêve, je lai ressenti comme un fanstasme, je pense sans arrêt à ce qui sest passé et quil recommence. Le Week-end daprès, il fait très chaud, les livres sont là. Je ny touche pas, je lui dis que je vais prendre une douche. Il me dit OK. En entrant sous la douche, je me mets à bander et ne pense quà ce qui cest produit la semaine précédente. Je me sens angoissé, palpitant, très inquiet mais comme bisard, je ne sais plus ou jen suis. 5 minutes plus tard, je lentend qui pousse la porte. Il me dis « jai aussi envie de prendre une douche ». Je ne bouge pas, Il enlève son vêtement devant moi. Mon regard croise cette bite dressé et ambitieuse. Il laisse tomber son vêtement par terre. Rouge de honte, je retourne sous leau. Je ferme les yeux. Jentend leau de lautre douche se mettre à couler. Je reste là, comme statufié, je me disais quil fallait que je parte, je ne lai pas fait. Un moment se passe. Je sens une caresse sur mes reins, je sursaute en restant face au mur, celle-ci descend. Cette fois je réussi à dire « pas ça, pas ça » mais au lieu de me retourner et partir, je reste là comme un idiot. Il me met, les 2 mains à plat sur le mur. Jétais très perturbé. Il me prend par la taille, et se frotte contre moi. Il se penche vers moi et me dit très convaincu « cest ça que tu veux ??? ». Il se frotte de plus en plus, je sens sa queue contre mes fesses. Je lui répond « pas ça, pas ça ». Il me serre contre lui. Je sens sa bite, dressée, conquérante et très grasse. Il la place entre mes fesses,, je lui dit « non ». Il me répond « ah Non
il appuie plus et commence ses mouvements Mon entrée cède doucement et il entre. Il me lime en long mouvements, il me possède. Son membre imposant prend possession de mon ventre, je le sens de plus en plus profond en moi, jen ai le souffle coupé, jai moins mal que la première fois. Puis, Je le sens sagiter fortement et je sais quil se vide en moi. Cétait un Samedi après midi. Je me disais «je ne peux pas me laisser faire ça », mais je navais pas bougé, je ne métais pas débattu, javais eu mal et en même temps, je le laissais me faire mal. Le lendemain en milieu de journée, « je vais prendre une douche ». Il ne répondit rien. Une fois dans la douche, je me déhabille, entre sous leau, je sais quil va venir, jai juste poussé la porte. A ma grande surprise, il nait pas venu. Trois jours durant, le soir, même manège sans quil ne vienne. Le Jeudi soir suivant fut un tournant pour moi. Je lui dis que je vais à la douche, Il se leva et maccompagna. Arrivé dans la douche, je me déhabillais, il en faisait autant. Jentrai sous leau, Il entre dans la douche da côté. Je me met à bander. Je me carresse doucement. Il me demande si ça va, je ne répond pas. Il me rejoint sans attendre. Leau coule sur mon corps. Je me retourne et lui fait dos. Il me touche et se met à me branler.Puis, il me retourne, je suis face à lui Il me fait mettre à genoux,. Jai la tête à hauteur de sa bite. Elle trône devant mes yeux, je la voie énorme. Il latt dune main, la met à lhorizontal et touche mes lèvres. Je suis stupéfais et il me dit « ouvre la bouche », ses mots claques. Ayant passé son autre main derrière ma nuque. Ma tête est coincée entre cette main et sa queue. Il appuie, jouvrai la bouche, quil rempli aussitôt. Une sensation incroyable et totalement nouvelle. Il faisait des aller et retour, mes lèvres épousant ce pieux. Je sentais chaleur et vibration, sa liqueur qui sécoule. Cétait la première fois et je me suis mis à le sucer et à pomper. Je me souviens très bien que, ce soir là, jai tout de suite aimé ça. Je ne lutais plus dans ma tête. Je lentendais souffler, il me releva, me retourna. Je me penchais un peu en avant en mappuyant contre le mur. Il comprit cela comme une invite. Je le vis enduire sa pine dune crème sorti dun tube, je me cambrais et il prit ce corps qui soffrait, son entrée ma fait beaucoup moins mal,. Je me cambrais un peu plus. Il fit des mouvements lents, la douleur disparaissait. il accéléra, et finalement, me chevaucha profondément, son ventre maintenant cognait contre mon cul. Je jouissais à grand jet pendant quil menculait. Javais joui et aimé mêtre fait défoncé. Le rituel de la douche devenait régulier et chaque fois, il me prenait copieusement. Moi, je prenais du plaisirs et jouissais très fort. Un soir, il ne déchargea pas en moi. Après une longue pénétration, il sorti de son logement, se lava le sexe, me retourna et me fit mettre à genoux. Il mit sa queue dans ma bouche et me fit lui faire une fellation, cette fois si, jeu la bouche rempli de ce liquide épais et chaud, par jets successifs. Ce fut une révélation, javalais de plaisirs, je le pompais aussi fort que je pouvais, jadorais ça. Il avait pris ma tête entre ses mains et se branlait avec jusquà ce quil finisse de décharger. Ca mavait fait un effet incroyable.
A partir de ce moment là, il me prit de plus en plus souvent et massura une « formation assidue », efficace et très régulière. Plus il me prenait et plus jaimais. Les 3 mois qui suivirent furent partagés entre des entraînements militaires courts et des gardes qui étaient largement ponctuées de pénétrations de plus en plus fréquentes..
Pendant une de ces manuvres, un de mes copains, le genre massif, mavait dit : « Fait attention, il paraît quil se fait les jeunes minus dans ton genre qui passent à côté de lui ». Je le regardai et lui dit « Ah bon, en tout cas il est bien plus sympa quand on fait des gardes que pendant ces exercices ». Il fut démobilisé bien avant moi. Lors de sa dernière soirée en Allemagne. Nous avions arrosé ça. Il étaient saoul et moi pas beaucoup moins. A un moment il me dit en rigolant « Jai envie de me faire tailler une pipe, ça tintéresse ». Lalcool aidant, je lui sortais «Depuis le temps que tu dis que tu as une grosse queue je veux voir ». Lalcool le rendait maladroit mais il se leva et baissa pantalon et Slip. Il navait pas mentis. Il venait de sortir de là, un pieu de 25 centimètres et dont ma main ne faisait que tout juste je tour. Il se laisse retomber sur son lit, me regarde et me dit « Alors, elle est assez grosse pour toi ?? ». Il rigolait. Je me baissais et lavalais en mappliquant, la bouche ouverte à fond. En peu de temps, il déchargea abondamment, jen pris plein la bouche et le visage tellement il y en avait. Il me regarda et me dit « alors tes PD », je lui répondis que non mais que pour ladjudant, il avait raison. il mavait bien dragué et sauté de nombreuses fois ». Il continuait à boire de lalcool fort. Il senhardi et commença à me déhabiller. Je lui dis « Non », il me dit, «laisse toi faire ». Je lui dis « Non » il finit par me mettre à poils. Il me retourna, me poussa sur son lit, et, bien que saoul, menfourna sans hésitation. Il avait du mal à entrer, il était redevenu énorme. Il lubrifia mon entrée avec sa salive, frotta sa queue contre mon trou pour y déposer son liquide et dune bonne poussée réussi à menculer. Je me sentais écartelé par cette pine, je le sentais coulisser très profond il était gros en moi. Cela dura longtemps. Finalement, il avait eu raison de moi et ne mavait pas ménagé. Javais joui aussi fort que cette bite mavait laminé. Il ne mavait pas épargné, 8 jours plus tard, jen sentais encore le passage.
De très nombreuses années se sont écoulés depuis. De longues périodes dabstinances et dautres plus actives, je ne regrette que linsouciante de lépoque et labsence de maladie dangereuse.
Je remercie finalement mes initiateurs, bien quils naient pensés quà eux à ces moments là, de mavoir déflorer de la sorte sans me demander mon avis.
admin
Jan. 31, 2023
415 views
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!