Hélène : La Confession D'Anne-So
Confession dAnne So.
Je suis bien. En paix avec moi-même, comme après une demi-heure de méditation.
Je me suis installée, nue, au milieu du salon, deux petits coussins sous mes genoux, pour attendre mes deux amies, jai croisé mes doigts derrière ma tête. Je suis leur jouet et jen suis heureuse.
Tout à lheure, je me suis apprêtée pour elles : douchée, pomponnée, et surtout je me suis nettoyée en profondeur. Je sais que je vais être tripotée, malaxée, et fouillée de partout.
Alors, je me suis fait un lavement. Jadore la sensation de leau tiède qui menvahie, puis celles de mes entrailles qui se relâchent. Et pour finir, je me suis injectée une infusion de thé à la menthe.
Je serai gouteuse, pour celle qui saventurera là.
Jai presque atteint la cinquantaine. Je suis ce quon appelle une belle plante. En avançant en âge, jai pris un peu de gras. Jai une très belle poitrine, mes seins ont une taille comprise entre le pamplemousse et le melon. Mais ils se tiennent bien. Et pour harmoniser le tout, jai un beau cul imposant.
Un jour, jai été prise dun coup de folie. Je me suis jetée à la tête dune agente immobilière, Mel.
Mal, ou plutôt bien men a pris. Dès le début, elle a entrepris de minitier à la domination féminine.
Puis, elle ma expliqué quelle était elle-même la soumise dune autre femme, Hélène.
Et un soir, je me suis livrée à elles. Jai aimé.
Mes chéries me sont partagées mon corps et mes plaisirs : mes seins à Hélène, et mon cul à Mel.
Mel est ma maitresse, mais Hélène est ma déesse. Elle me fascine.
Vu de dehors, cest une quinqua pétillante, et charmante. Ce nest certainement pas un canon, lâge et les vicissitudes de la vie lont un peu marquée, quelques rides, et peut-être un ou deux kilos en trop, mais bien placés.
Je ne lai jamais vu négligée. Toujours en tailleur, ou en robe, ou en jupe et chemisier.
Mais dessous ? Porte-telle une culotte, ou sa plaque de soumise se balance-t-elle en liberté entre ses cuisses. Son anus est-il enculé par un rosebud XL. Ses tétons sontils stimulés par les bijoux rouges. Ses fesses sont-elles marquées dune récente flagellation ?
Je ne peux mempêcher de me poser ces questions chaque fois que nous nous rencontrons.
Et puis un obscur désir mobsède : me permettra-t-elle dassister à une de ces sessions de soumission quelle réclame à son maître.
Cela fait maintenant deux mois que je me suis donnée à elles, et quelles ont commencé mon dressage.
Elles ont pris possession de mon corps. Pour elles, je me suis fait teindre en rouge acajou et maintenant, je porte une coiffure courte avec une nuque bien dégagée. Comme le dit Mel, cest bien pratique pour les bisous dans le cou. Et Hélène ajoute que ça met bien en valeur le collier de chienne et la laisse.
Elles m interdisent de mépiler, juste le maillot, mais je dois garder ma pilosité anale, à peine retaillée.
Jai dû faire teindre mon vison intime de la même couleur acajou que ma chevelure. Et puis, mes deux maitresses mont obligé à me faire décolorer lanus. Jétais rouge jusquaux oreilles quand je me suis mise à quatre pattes, devant lesthéticienne. Et quand elle a étalé le produit sur ma rosette, jai mouillé comme une salope. Ce que mes copines ont abondamment commenté pour ajouter à ma honte.
Jai longtemps été gênée par mon abondante poitrine, et pas seulement quand je faisais du sport.
Je ne supportais plus que mes collègues ne me regardent pas dans les yeux. Je traitais mes seins de nichonaille et plein dautres termes péjoratifs. Jen avais tellement marre que jenvisageais une réduction mammaire.
Et puis un jour, alors quelle avait glissé une main dans mon décolleté, Hélène ma déclaré quelle adorait mes poupoutes.
Depuis, cest toujours le même rituel. Elle fait glisser les bretelles de mon soutien-gorge, et défait lagrafe dans mon dos, elle ratt mes melons au vol, elle les pétrit avec douceur. Puis elle sattaque à mes tétons, elle les fait rouler entre ses doigts, puis les pince fortement, et les embouche pour les aspirer et les faire gonfler.
Depuis que je subis ce traitement, mes tétines sont devenues très excitables et hyper sensibles.
Elle les suce jusquà ce quelles soient grosses comme des framboises, et dures comme du bois. Puis quand je suis au bord du plaisir, elle les croque. Elle les coince entre deux canines, et les mord, jusquau sang parfois. La douleur est atroce, et délicieuse. Je me mords le poing pour ne pas crier, et pourtant, jappuie sur sa nuque pour plaquer sa bouche sur ma mamelle.
Quand elle me libère, elle magenouille et elle guide ma tête entre ses jambes, elle rabat sa jupe sur mes épaules. Je respire à plein nez son odeur de femme. Je me glisse jusquà sa chatte déjà trempée, et je la lape. Puis, quand elle en a assez, elle se cambre légèrement et pousse ma bouche, jusquà son anus pour que je lui mange le cul, jusquà la faire jouir.
Jadore ces moments de soumission. Et surtout, jai recommencé à aimer mes seins, sources de tant de plaisirs ignorés.
Jai changé de tenue, je mhabille bon chic bon genre, mais pas mémère. Avec Hélène, nous avons révisé ma garde-robe. Pour le boulot, rien que des tenues sages, mais pas de pantalons, que des robes ou des jupes. Et une taille au-dessus de mes anciens vêtements, pour ne pas être moulée, et ne plus avoir de marques de sous-vêtements. Comme ça, je fais bourge bien sage.
Mais dessous, cest bas, avec serre-taille, et soutien-gorge, ou guêpière obligatoire. Et quand nous sommes de sortie, les soutiens emboîtants sont interdits, je ne porte que des balconnets ou des redresses-seins.
Leur grand jeu, pendant le shopping, cest de me faire essayer des corsages ou des jupes avec une légère transparence. Et dentrer dans la cabine pour me débarrasser de mon slip.
Une fois, jai essayé une jupe plissée transparente, avec un ourlet juste au-dessus de ma cheville. Mais la doublure sarrêtait à mi-cuisse. A peine assez pour cacher la lisière de mes bas. Et elles ont confisqué ma culotte.
Dans lescalator du centre commercial, javais limpression que tout le monde voyait mon cul par transparence. Jétais à la fois honteuse et excitée.
Mais il ny a pas que lexhibition au menu. Il y a aussi les plaisirs de la flagellation
Jentends un bruit de clés dans la serrure. Puis un joyeux
- Salut ma chérie, et puis la voix dHélène
- Quelle jolie position de soumission.
Elles me prennent les lèvres, chacune leur tour, sans oublier de peloter mes nichons et mes fesses.
- On ta apporté des petits cadeaux, ma chérie, fait Hélène en déposant deux petites boites allongées.
Jouvre la première et jy trouve un gros paquet de baguettes cylindriques rouges, comme celles dun resto chinois. La deuxième contient les mêmes sticks, mais en blanc.
- Cest quoi ?
- Je vais texpliquer, mais dabord lève-toi, et tend moi tes seins, me répond ma domina brune.
Récit dHélène.
Jadore les seins dAnne So. Ils sont magnifiques, on dirait de gros pomelos, avec des auréoles rosées foncées. Et si sensibles, dès quon les touche, elles deviennent grumeleuses, comme si elles avaient la chair de poule.
Je fouille dans mon sac. Jen sors deux petites pinces circulaires, avec une légère dentelure.
- Ça te dit, fais-je en lui présentant les petits objets de .
Elle bat des paupières en guise dacquiescement. Je prends le premier téton entre pouce et index, je le fait rouler entre mes doigts, je létire. Elle soupire. Il grossit sous lafflux .
Depuis que nous avons entrepris léducation sensuelle dAnne-So, les délicieux mauvais traitements que je fais subir à ses merveilleux nichons les ont rendus très sensibles et extrêmement excitables.
Et en plus, elle aime ça.
Ses tétines sont prêtes, à moi de jouer. Jenserre la base de la framboise dans les deux demi anneaux circulaires et je serre. Je fais attention de ne pas bloquer la circulation , mais suffisamment pour que le gros bout soit congestionné, Il se gonfle encore. Le méat se dilate légèrement. Elle est à point. Je caresse son mamelon gorgé de sève. Elle râle, à la limite de la souffrance et de lorgasme.
- Maintenant, ma chérie, mets-toi à genou sur laccoudoir du fauteuil pour nous offrir ton trou mignon.
Elle sexécute. Cette position la met en valeur, le cul haut perché, les cuisses légèrement écartées, laissant voir sa moule au milieu de sa fourrure acajou, et ses gros seins pendant, à disposition.
- Ma poule, on va jouer au mikado avec ton petit trou si serré. Mel et moi allons y introduire une à une des baguettes. Pour moi ce sera les rouges, et pour ta chérie ce sera les blanches. Quand tu voudras que nous arrêtions, tu diras stop. Et tu donneras la couleur de la dernière baguette. Et si tu as vu juste, tu ne seras pas fouettée.
Elle marque une petite pause, et reprend.
- La couleur de la dernière baguette enfoncée désignera ta fouetteuse. Tu es daccord ?
- Euh
- Je prends ça pour un oui. Pour commencer, on va en mettre quatre, et on introduira les autres au sein du fagot, comme ça, tu seras dilatée progressivement, et elle poursuit
- Ouvre-toi, je vais te lubrifier
Je prends un petit flacon de gel, et jen fais tomber un mince filet dans la raie culière ouverte à deux mains.
Je câline lillet serré, puis je pousse mon index dans le cratère. Je le masse en cercle de plus en plus larges. Il sentrebâille. Il est à point. Je glisse les quatre sticks dans son anus.
- Je commence : jen mets une rouge.
- Cest à moi, une blanche, indique Mel.
Chacune notre tour, nous ajoutons en silence notre baguette à la botte qui élargit la rosette de notre victime.
Anne-So commence à avoir un petit fagot dans son trou du cul, presque aussi gros que la verge de mon chéri. Elle soupire à chaque nouvelle baguette. Je veux dilater son sphincter juste assez pour que ce soit inconfortable, ou même un peu douloureux. Mais je ne veux pas la blesser.
Je veux que son dressage anal la fasse un peu souffrir, mais que son entrainement lui donne en même temps lenvie de ces plaisirs pervers.
- Regarde, ça doit lui plaire, elle mouille, me confie Mel.
- Ça me donne une idée, arrête-toi cinq minutes, je reviens
Je reviens de la buanderie avec deux pinces à linge. Je lui tapote lintérieur des cuisses pour quelle les écarte un peu plus. Je fouille dans sa fourrure acajou. Jécarte ses grandes lèvres, puis je masse doucement les petites. Je les étire un peu pour quelles dépassent de la vulve, elle gémit légèrement de bonheur. Je saisis la nymphe gauche entre pouce et index, puis je lenserre entre les deux mâchoires de la pincette. Je les laisse se refermer délicatement. Un petit geignement me répond.
Lautre lèvre subit le même petit supplice.
Anne So.
Voilà, je suis le cul en lair, lanus dilaté, les tétons gonflés et étranglés, et les lèvres pincées.
Le tripotage de mon sexe ma fait perdre le fil. Je ne sais plus si la dernière baguette était rouge ou blanche.
Je me sens ouverte, e, ma rosette est douloureuse. Et en plus, je vais perdre. Allez encore cinq bâtonnets, et je fais arrêter mon supplice. Je compte dans ma tête, une, deux, trois, quatre, le dernier stick sinsinue dans mon derrière, mon cul va exploser.
- Jarrête, fais-je dans un soupir.
Mel se penche vers mon oreille.
- Quelle couleur ?
- Rouge !
- Perdu, cest blanc, tu seras fouettée, et cest moi qui aurait ce plaisir !
- On va vous installer en crapaudine, complète Hélène.
- Mais on va te débarrasser avant, décide Mel.
Je sens une sensation de coulissement dans mon illet, puis mon muscle cesse dêtre douloureux.
- Je tenlève les dernières en une fois, ça va te faire tout drôle, ma chérie.
Jai limpression de nêtre quun trou béant. Et pour ne rien arranger, Hélène souffle doucement sur ma rosette distendue. Il y a comme un courant dair qui me chatouille. Jessaie de resserrer mon sphincter, mais rien ny fait. Vais-je être déformée à vie ?
- Mets-toi à genoux et penche toi en avant, mordonne Mel.
- Maintenant passe tes mains entre tes jambes, et att tes malléoles.
Elle en profite pour lier mes chevilles et mes poignets. Charitable, ma déesse brune brune glisse un oreiller moelleux sous ma joue. Elle se débarrasse de sa jupe et de son chemisier, et se montre en guêpière et petite culotte. Je ne peux mempêcher de remarquer la tache humide qui macule sa lingerie. Elle la fait tomber avec grâce, et lenjambe. Elle sort ses seins du balconnet, et replie les bonnets pour former un petit coussin façon push-up, et repose ses poupoutes dessus.
- Voilà, comme ça, ils sont presque aussi gros que les tiens.
- Ton homme ta offert combien de roses, ma belle, la questionne Mel.
- Vingt et une.
- Alors, Anne-So, ce sera vingt et un coups de martinet sur ton beau cul
Hélène dépose un gros coussin en face de ma tête. Elle sassoit dessus, les jambes largement écartées. Elle me soulève aux épaules, et pose mon visage sur son con déjà trempé.
- Je me suis salie à cause de toi, alors tu vas me nettoyer.
- Tranquillement, elle appuie ses mains sur ma nuque, et se laisse aller en arrière.
- Commence Mel, lui ordonne-t-elle !
La première volée me fait me cabrer. Mais Hélène me plaque le visage sur sa vulve.
- Lèche.
Je gémis, la bouche dans sa chatte. Les lanières me cinglent alors que je mactive sur le bourgeon de ma belle.
Elle me bloque la tête, alors que le martinet martyrise mon pauvre cul.
Mes fesses me brulent. Je nai pas compté, Je me suis concentrée sur la jouissance de ma domina. Elle gémit de bonheur sans sarrêter. Je suis heureuse du plaisir que je lui donne. Je mange ses lèvres, je bois sa cyprine. Dès que je relève la tête, pour reprendre mon souffle, elle me plaque la figure sur sa moule odorante. Et pendant ce temps, Mel me flagelle avec une régularité métronomique.
Je ne suis plus quune bouche à jouir, et de la viande à fouet, je suis aux anges.
Je râpe son clitoris dun coup de langue. Elle part dans un violent orgasme. Elle serre brutalement ses cuisses et coince ma tête entre ses jambes, en mappuyant ma bouche contre son vulve. Jétouffe, la tête me tourne.
Mel a arrêté de me fouetter, Hélène libère mon visage. Je bascule éreintée et essoufflée sur le côté. Ma flagellatrice délie mes poignets, je me pelotonne entre les bras de ma déesse. Elle prend mon cou entre ses deux mains et mattire à elle, elle embrasse mes joues maculées de sa mouille, et fouille ma bouche de sa langue. Je me laisse faire, heureuse.
- Ma chérie, il va falloir te laver, et elle continue.
- Mais avant, je vais moccuper de tes seins.
Je baisse les yeux, mes tétons sont devenus presque violets, et gros comme mon pouce.
- Je vais y aller doucement, mais tu auras quand même un peu mal.
Je minstalle dans ses bras, et elle empaume mes seins par en dessous. Elle pinçote mes tétines. Je geins, les mâchoires serrées.
- Je vais dabord les desserrer un petit peu.
Mes bouts me picotent, quand le sang revient dans mes framboises martyrisées.
- Maintenant, je les enlève dun coup.
Jai mal à hurler, je me mords le poing. Mais Hélène commence à masser mes bouts douloureux. Petit à petit, la douleur se transforme en plaisir. Elle se dégage, et mallonge sur le dos. Elle embouche mon téton droit, et Mel le droit. Elles les aspirent, puis en cur, elles les croquent avec leurs canines. Je tremble et je perds pied.
Quand je reviens sur terre, elles sont penchées sur moi, et me sourient avec bienveillance. Hélène me lance
- Tu vois, deux maitresses cest sympa, ça fait une par poupoute !
- Ou une pour ton cul et lautre pour ta chatte, continue Mel.
- Ou une pour la cravache, et lautre pour le martinet, poursuit ma domina brune.
- Et on peut soccuper dune fesse chacune
- Surtout quavec ton cul, il y a de quoi faire.
Je les attire à moi, et chacune à leur tour, je leur roule une vraie galoche de lesbienne.
- Dommage que je nai quune bouche
- Viens, on va à la douche, conclut Hélène
Elles mentrainent dans la salle de bain. La pluie tiède qui marrose détend mes muscles crispée. Je suis épuisée, alors je mappuie à deux mains sur le carrelage. Quatre paumes me caressent, faisant mousser le savon. Elles en profitent pour me fouiller devant et derrière. Je plane, mais je sens une légère tension dans ma vessie.
- Pouvez-vous vous vous tourner, il faut que je me soulage.
- Bien sûr que non, fait Hélène, on veut assister à ce spectacle charmant.
Mel passe derrière moi et se colle à mon dos, elle passe ses bras sous mes aisselles, et empaume mes mamelles et commence à agacer mes tétons.
Je ne peux plus me retenir, jécarte légèrement mes jambes et je fléchis les genoux. Un jet doré jaillit de mon sexe.
Hélène prend la pomme et la règle pour concentrer obtenir un jet concentré.
Avec sa main droite, elle écarte mes lèvres, dégageant mon clitoris et mon méat.
Puis, elle dirige la douche sur mon urètre, forçant louverture de mon méat, bousculant au passage mon bourgeon décalotté.
Je spasme violement, mes jambes me lâchent, je glisse doucement entre les bras de ma maitresse blonde.
Mes chéries me rincent, puis messuient et mentrainent, nue dans la chambre Cest le moment que jadore, quand je me glisse entre ces deux corps voluptueux. Trop bon.
Hélène.
Anne-So sest placée entre nous deux, son somptueux derrière contre mon ventre. Je faufile ma main jusquà sa toison, et je joue à lébouriffer. Je murmure dans son oreille.
- Finalement, un vison bien entretenu comme le tien, cest plutôt sexy. Je crois bien que je vais faire comme toi.
- Mais que va dire Pierre ?
- Jattendrai quil fasse une mission de consulting un peu longue, et je lui ferai la surprise.
Un petit moment de silence, et Anne-So reprend.
- Pourquoi vous ne mavez pas marquée avec la cravache ?
- Nous ne voulons pas que tu aies des traces. Tu es mariée, il vaut mieux quil ne connaisse pas tes penchants.
- Je vais divorcer.
- Pardon !!!
- Le week-end, il ne venait plus à Chevreuse. Il disait quil avait du travail à finir à Paris. Et puis, un jour, il ma proposé de garder la maison, et lui il resterait avec lappartement. Jai pris un avocat, lui aussi, nous allons bientôt conclure.
- Ma pauvre
- Ne me plaint pas, il nest plus rien pour moi, il peut baiser toutes les maigrichonnes du monde si ça lamuse. Et puis je vous ai, toutes les deux maintenant.
Je glisse mes doigts entre ses fesses, pour me rendre compte de létat de son trou plissé.
- Tu vois, tu tes resserrée.
- Dis-moi, ton homme ta fait subir le supplice des baguettes.
- Non, il veut que je reste tonique, mais il a fait pire.
- Pire ?
- Oui, il ma fait faire casse-noisette
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