Une Promenade En Forêt

Nous nous connaissons depuis peu, mais nous avons vite
sympathisé. Elle a, je crois, dans les trente cinq ans. Elle
est belle, gaie. Elle parle volontiers, mais reste parfois
silencieuse, perdue dans ses pensées. Comme moi, elle
aime les longues promenades en forêt. Il fait beau, ce
jour-là. Elle porte une robe légère qui lui tombe jusqu’aux
genoux. J’aime, quand elle marche, regarder ses jambes.
Entre les troncs de deux grands hêtres, un petit talus
recouvert d’herbe. " On dirait un fauteuil ", dit-elle, et elle
s’assied. Je m’installe sur une souche, devant elle. Je la
regarde, sans rien dire. Un mouvement qu’elle fait dérange
un instant sa robe : une blancheur soudaine, au fond, puis
plus rien. Elle a serré ses jambes l’une contre l’autre,
comme si elle avait conscience de mon regard.
Elle me dit que nous sommes bien, ici, que la forêt est à
nous. Elle se repose. Sans qu’elle y pense, ses jambes
s’écartent peu à peu l’une de l’autre. Puis soudain : " Il me
semble que vous regardez ma culotte… Ce n’est
convenable du tout. " — Oui. J’aime vous regarder. Mais
cela vous gêne peut-être… " Elle sourit. Après un silence : "
Cela ne me gêne pas, cela me trouble. Il me semble que
vous entrez dans mon intimité. " Je lui dis : " Je vois vos
cuisses. Je vois la blancheur de votre culotte. Je vois
l’arrondi de vos fesses. " — " Cette fois-ci, vous me gênez ",
dit-elle, et elle serre de nouveau les jambes. — " Vous
n’aimez pas que je vous regarde ? " — " Si, j’aime… " et ses
jambes s’écartent peu à peu. Elle se renverse en arrière, en
s’apuyant sur ses coudes. Cette fois-ci, elle ne fait plus rien
pour se cacher. J’aperçois même quelques poils noirs qui
dépassent légèrement du bord de la culotte. Une partie du
tissu disparaît dans le sillon.

Je vois très bien ses
adorables fesses. Elle en approche sa main, tire un peu
sur le tissu pour être plus décente. Je lui dis : " J’aime voir
votre main se poser sur cette partie si intime de votre
personne. "
Elle a posé un doigt sur la partie légèrement bombée de sa
culotte. Je lui dis : " Cela vous arrive-t-il de vous masturber
lorsque vous êtes toute seule ? " Elle me dit : " Oui… Assez
souvent… Et vous ? " —" Oui. J’aime beaucoup toucher
mon sexe. J’aimerais le faire devant quelqu’un qui me
regarderait attentivement. Cela me ferait honte et plaisir à la
fois. "
Elle ne répond pas. Ses doigts sont posés sur l’endroit où
se trouve son sexe. Ils enfoncent un peu le tissu, la fente se
dessine. Je lui dis : " J’aimerais vous toucher. " — " Il ne faut
pas ", dit-elle. — " J’aimerais que vous retiriez votre culotte.
Cela ne vous gêne pas que je vous dise cela ? — Non,
continuez à me dire ce que vous aimeriez. — J’aimerais
vous voir tripoter votre vulve, y enfoncer vos doigts,
j’aimerais que vous soyez sans pudeur devant moi et que
vous vous masturbiez. "
Elle ne dit rien mais, se soulevant un peu, elle fait glisser
sa culotte et s’en débarrasse. La vue de ses poils et de sa
vulve m’excitent énormément. Elle me dit : " Voulez-vous
que je vous montre mon derrière ? "
Elle se lève, la robe entièrement retroussée, elle se
retoune, les mains appuyées contre le talus qui lui servait
de siège. Elle tend vers moi ses fesses splendides. " Vous
me regardez ? ", demande-t-elle. En même temps je vois
qu’elle contracte machinalement les fesses, comme si elle
craignait que je pusse la voir trop profondément. Cet accès
de pudeur contribue à augmenter mon trouble et mon
excitation.
Je m’approche d’elle. Ma main se pose sur elle. Je caresse
doucement ses fesses.
Je sens qu’elle se détend. Je lui
dis : "Je vais vous écarter pour mieux vous voir. " Elle dit : "
Oui, écartez-moi. " Je saisis ses fesses à pleines mains, je
les écarte, très fort, très violemment, découvrant bien le trou
de son derrière. Je lui dis : " J’aime regarder votre anus. "
J’approche mon visage, je pose ma langue sur son anus. "
Oui… ", dit-elle. Je le lèche. Je le mouille abondamment de
ma salive. Je n’arrête pas de le lécher. Ma langue essaie
de le pénétrer. Je lui dis : " Je vais vous enculer avec mon
doigt ." Son anus est trempé de ma salive. Mon doigt
commence à s’y enfoncer, toujours plus loin. Je suis à
l’intérieur de son ventre. Je lui dis : " J’aimerais vous
enfoncer ma bite dans l’anus, j’aimerais vous enculer, vous
fouiller le ventre avec ma bite. " Elle me dit : " Pendant que
vous êtes en train de m’enculer, je me masturbe la vulve
avec mes doigts, je me branle comme une cochonne… "
Je sens sa respiration qui s’accélère. Je la sens frissonner
de tout son corps. Je l’entends gémir, puis crier. Je lui dis :
" Retournez-vous maintenant et regardez-moi me
déshabiller devant vous. " Elle se retourne. Elle est calme,
un peu sérieuse. Elle me regarde avec attention. Je défais
mon pantalon et je m’en débarrasse. Je fais glisser mon
slip le long de mes jambes. Je caresse mes testicules,
puis je prends ma verge dans ma main. Je dis : " J’aime
tripoter ma verge ". Je lui dis : " Je voudrais aussi caresser
mon anus ". Je mouille un doigt, je l’enfonce dans mon
anus. Je me retourne pour qu’elle me voie. J’ai un peu
honte. J’enfonce encore mon doigt. Je dis : " J’imagine que
quelqu’un enfonce sa bite dans mon anus. J’aime qu’on
m’encule. "
Elle retire sa robe. Elle est entièrement nue. Elle s’étend
sur l’herbe. Je suis accroupi au-dessus d’elle.
Je me
branle la verge devant son visage. Je lui dis : " Enculez-moi.
" Elle passe une main derrière moi et enfonce son doigt
dans mon anus. Mon excitation devient panique. Je sens
que je vais éjaculer. Je dirige ma verge vers ses seins. Je
crie. J’inonde ses seins de mon sperme.
Elle me dit : " J’aimerais faire pipi sur vous. " Je suis couché
sur le dos. Elle m’enjambe, elle est a genoux au-dessus de
mon visage. Je vois ses poils, sa vulve. Elle pisse. Elle
éclabousse mon visage…



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