Michele Et Aline
MICHELLE ET ALINE
Ceci est ma troisième confession et je réalise que je ne me suis pas encore présenté. Jai 60 ans passés. Ne voulant pas mourir idiot et pour occuper ma retraite, je me suis équipé en informatique et surfe sur Internet. Je ne suis quun débutant dans cette occupation. Par contre je peux prétendre avoir eu une vie sexuelle riche en diversité et bien remplie. Je veux la faire connaître et partager. Cest la raison de ma présence sur ce site. Depuis ma première masturbation et tout le long de mon activité de « mâle » jai toujours fais la différence entre plaisir sexuel et amour. Ce dernier sentiment implique un attachement fidèle à une ou un partenaire, toujours la (le) même si possible. Le plaisir sexuel, pour moi, est un plaisir comme un autre, un peu particulier peut-être. Je pense quil peut être solitaire (masturbation) ou partagé. Jai toujours admis que chaque individu (garçon ou fille) avait droit à prendre du plaisir. Ce nest que des siècles déducation judéo-chrétienne qui ont fait que tout ce qui concerne le sexe est sale, immoral, interdit, caché, etc. Cette même éducation a même relégué les filles et femmes pratiquement au même niveau que les serpillières. Si elles aiment le plaisir sexuel, elles sont réputées être « des pûtes, des salopes, des personnes aux murs légères quil ne faut surtout pas fréquenter ». Il ny a pas si longtemps, certaines périssaient sur les bûcher. Les garçons qui aiment les plaisirs sexuels sont, « des coqs, des conquérants, presque des dieux ». Cela je ne lai jamais admis. Cette petite présentation et mise au point faite, voici mon histoire.
Nous sommes en 1960. Léducation sexuelle nexiste pas, nous apprenons « sur le tas » par bribes, par les on dit, par les récits des uns et des autres, quelques lectures, etc. La France est « en guerre » avec lAlgérie ce qui mobilise les jeunes garçons de 19 à prés de 25 ans. Donc les filles du même âge se trouvent esseulées.
Vous connaissez Michèle ? (Lire : Michèle) Cest notre voisine. Elle a 19 ans passés et moi un peu moins. Elle vient souvent à la maison aider mes frères et surs à faire leurs devoirs du soir. Elle a un « amoureux » qui est en Algérie pour cause de guerre. Ils sécrivent tous les 15 jours à peu prés et quand Michèle reçoit sa lettre, elle sisole pour la lire, ce qui est normal.
Un jour, ayant ouvert la porte des W.C. un peu brusquement, je trouve Michèle en train de se masturber de bon cur. Le moment de surprise passé, nous avons eu une conversation franche. Nous en sommes arrivés à des rencontres sexuelles pour le plaisir sans jamais avoir de sentiments amoureux.
Michèle tenait à jour son calendrier intime (les jours « sans risques » avant et après les règles), mais nous avions peur daller trop loin. La pilule nexistait pas. Les I.V.G. étaient pratiquées par « les faiseuses danges », en catimini, avec une aiguille à tricoter, sur une table de campagnarde aux grands risques de la fille. Les seules méthodes de contraception connues sont : le retrait avant léjaculation, un tampon mis dans le vagin, la méthode Ogino ou, seul moyen efficace, le préservatif (ou capote anglaise), vendu assez cher très discrètement et exclusivement en pharmacie.
Comment en acheter quand on est jeunes avec peu dargent ? Quand on est une fille de 19 ans et que le « promis » est sous les daux outre mer ? Que nous habitons un petit village ou tout le monde se connaît et que les langues se délient facilement. ?
Il y a bien une solution : la pharmacienne du village a une fille (Aline). 19 ans elle aussi, étudiante, sans petit ami connu, dun rang social eu peu au-dessus du notre. Avec Michèle, elles se connaissent mais sans être vraiment amies.
La faim justifiant les moyens, sarmant de son courage, Michèle rencontre Aline et, sous le sceau du secret, lui demande si elle pouvait lui passer quelques uns des précieux latex. La réponse fut affirmative. Il était même possible den avoir gratuitement, mais Aline voulait savoir qui les utiliserait.
.Tout en parlant, avec Michèle nous nous caressions de plus en plus intimement à travers nos habits puis nous nous sommes mutuellement dévêtus en continuant toujours nos préliminaires sous le regard curieux dAline. Chacun de nous mouille tellement que nous en avons jusquà mi-cuisses. Voyant quAline était au bord de l, nous avons marqué une pause pour laider à reprendre ses esprits, laider à se déshabiller et constater quelle nétait pas restée insensible au spectacle : sa culotte était si mouillée que nous avons cru quelle avait uriné. Abandonnant Michèle, je lui donne quelques baisers derrière les oreilles, sur la nuque, sur le visage et en descendant vers sa poitrine dont je mordille les mamelons devenus aussi dur que des morceaux de bois. Michèle a une main qui soccupe de sa chatte, lautre qui lui caresse les cuisses et les fesses. Sa bouche distribue des petits baisers de ses orteils à son entrecuisse. Avec un tel traitement, Aline est très vite arrivée au bord de lorgasme. Une deuxième pause a permis de calmer un peu le jeu. Chacun a pu exprimer ses sensations et ses désirs. Aline ne veut plus rester « immobile » : elle veut participer et surtout perdre sa virginité.
Ayant promis darrêter à sa demande en cas de blocage ou de douleur, je mapproche delle, la couvre de petits baisers de la tête aux pieds en mattardant sur ses seins, son ventre, lentrée de sa vulve.
Michèle se sent un peu frustrée de ne pas avoir eu son orgasme. Après avoir soutenu et guidé Aline pendant son dépucelage, elle veut compléter son initiation en lui faisant voir comment il faut « opérer ».
Michèle et moi partons dans un 69 denfer. Je bois littéralement à la source son bonheur qui coule en abondance. Elle ne laisse rien perdre de mon liquide séminal. Puis nous sommes arrivés à prendre la position du missionnaire et, après avoir chatouillé son clitoris avec mon gland, jai commencée à la pénétrer très lentement afin quAline ne perde rien du spectacle.
La lubrification est si abondante que ça glisse tout seul. Michèle a le souffle court ; elle gémit de plus en plus puis se sont des petits cris avant le râle final.
Pendant la récupération un peu de sperme et de cyprine sécoule du sexe de Michèle. Voyant cela, Aline demande si elle pouvait sentir et goûter. « Pourquoi pas, et si tu aimes
ne te prive pas », répondit Michèle. Alors, goulûment Aline sapproche de la partie intime de Michèle, en écarte les lèvre, introduit sa langue et, telle une affamée, se met à lécher et avaler tout ce quelle pouvait. « Victime » de cet assaut inattendu, lexcitation de Michèle redémarre, ses glandes de Bartholin reprennent du service et Aline put étancher sa soif à tel point quen quelques minutes Michèle se met à crier de jouissance comme une damnée. Cest épuisés et heureux que nous nous sommes séparés en promettant de nous retrouver bientôt...
A suivre
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