Salle De Classe
Il neige ce matin là. Je décide donc de mettre un pantalon accompagné dune chemise en soie rouge sous un léger pull. Je ne cherche pas spécialement à être séduisante, car jai un petit ami.
Je me rends à mon premier cours, qui dure et dure, mais japerçois dans la salle deux ou trois garçons qui me plaisent bien physiquement, je les observe donc à la dérobée. Cela me passe le temps.
Il y a tout dabord Mark, il doit avoir à peu près mon âge, il est plutôt mignon et me fait craquer avec ses lunettes et sa manière de dire quil sait des choses, mais quil na pas envie de se prendre au sérieux.
Il y a ensuite Eric, il me fait penser à un don juan, son petit air timide est si craquant.
Puis Laurent, il semble si sage, et si sérieux, il me rappelle les personnages de film qui derrière leurs aspects sérieux sont des vraies bêtes de sexe.
Le cours se termine enfin, je vais manger avec des ami(e)s, puis ils vont prendre un café à la cafete, mais puisque jai du travail, je décide daller misolez dans une salle.
A 14h , jen trouve une au 4ème et dernier étage du bâtiment de lettre, elle est petite, mais il est inscrit quil ny aura pas cours durant tout laprès midi. Parfais pour que je puisse travailler sur mes maths. Le professeur du cours précédent en sort, il sapprête à fermer la porte.
- Excusez-moi monsieur, serait-il possible que vous ne fermiez pas la porte, je voudrais y travailler.
- Bien sûr. Je vous laisse la clé, lorsque vous aurez terminez, laissez la clé au secrétariat se trouvant au rez-de-chaussée.
- Daccord, merci beaucoup.
Il laisse glisser son regard brillant sur mon corps, puis il part. Lorsque je pénètre dans la salle, les volets sont déjà baissés, mais ce nest pas grave, jallume juste léclairage dune partie de la pièce, je place la clé sur la serrure pour penser à fermer la porte lorsque je men irai et je minstalle donc au fond de la salle.
Je sort toutes mes affaires et commence donc à travailler. Une demi-heure passe, puis la poignée de la porte cliquette, signe que quelquun louvre. Je lève les yeux et aperçois Mark qui entre, une tasse café à la main et son sac sur son épaule.
- Excuse-moi, tu es toute seule ?
- Oui. La salle est libre pour laprès midi et comme tu peux le constater, un professeur men a laissé la clé.
Je lui dis cela en désignant la clé sur la poignée de la porte. Son regard suit le mien et constate quen effet la clé se trouve sur la serrure.
- Ca te dérange si je travaille ici aussi ?
Son petit air canaillou me fait craquer.
- Non pas du tout, installe toi où tu veux, le principale étant que lorsque je men aille, tu quittes également la salle.
- Pas de problème, ajoute-t-il avec un clin dil. Puis il dépose son sac non loin de moi et sapproche, sa tasse toujours dans sa main. Que fais-tu ?
- Mes maths, je nai pas compris un exercice alors jessaie de le revoir, pour ensuite faire les exercices pour mercredi.
Il se penche vers moi et ajoute :
- Tu veux un peu daide ?
- Et bien, si cela ne te dérange pas, je ne suis pas contre, répondis-je avec un grand sourire.
Il se penche un peu plus et mexplique deux ou trois choses, ce qui fit quen 10 minutes, lexercice était pour moi limpide, ainsi que la leçon. Les autres ne devraient plus me prendre très longtemps. Je me retourne pour le remercier sûrement trop brusquement car il renverse sa tasse sur mon chemisier, fort heureusement le café nest plus aussi chaud, mais cela me brûle tout de même un peu.
- Aie, je crie et me lève.
- Retire ton chemisier, il est trempé.
Je le regarde dun air bizarre, ce qui le fait ajouter :
- Tu vas attr froid et tu tes peut-être brûlé.
Je mexécute avec son aide pour défaire les boutons, je le dépose sur le radiateur qui est à côté du bureau, et me retrouve donc en soutien gorge.
- Tu as froid ?
Sa question nen est pas réellement une, car avant même davoir fini de la prononcer, il se penche sur moi et se met à embrasser et à lécher ma poitrine. Entre mes jambes, je commence à ressentir de la chaleur.
- Arrête, jai un petit ami, lui dis-je dans un souffle qui naurait convaincu personne, même la plus crédule des personnes existant sur terre.
- Laisse-toi faire, tu ne fais rien de mal.
Je me laisse convaincre. Cest si bon.
Sa main ségare dans mon dos et dégrafe mon soutien gorge, je ne suis plus sûr dêtre daccord et il sen rend compte :
- Laisse-toi faire, regarde cela te fait du bien. Ce ne sont que de petites caresses, elles ne signifient rien du tout.
Déjà il mort la pointe de lun de mes seins et je gémis, une nouvelle fois je lui cède, la chaleur entre mes cuisses sintensifie. Sa langue savoure ma poitrine comme sil sagissait dun cône glacé en train de fondre. Cest un délice dans lequel je me laisse emporter.
Lune de ses mains descend jusquà mon pantalon, le déboutonne et en fait glisser la fermeture pendant que lautre sactive à faire descendre le sien. Il a vite fait de se retrouver en slip. Je cherche à lempêcher de faire glisser mon pantalon le long de mes jambes, mais il reprend ses caresses sur mes seins pour maffaiblir, et je gémis encore. Je narrive plus à la repousser, je suis comme sans force.
Je ne porte à présent plus que mon string ficelle et lui est entièrement nu. Il se colle à moi tout en continuant ses caresses pour me montrer à quel point son sexe est dur et ferme.
- Sil te plaît, je limplore, mais je gémis en même temps, mes paroles ont le double sens de mes pensées, jai envie quil me prenne là, maintenant, tout de suite et en même temps je sais que je ne devrais pas.
- Tu es si belle, dit-il en me caressant, nai pas peur, je serai doux et tendre.
Sur ce, il défait les ficelles de mon string de sa main libre. Je suis nue, il porte sa main à mon sexe, je cherche à nouveau à len empêcher, il sent comme mon entrejambe est brûlant et rit à nouveau. Il répète à nouveau à mon oreille « Laisse-toi faire ». Je nai plus de volonté, mes dernières résistances commencent à céder. Il mallonge sur le sol, puis il me pénètre dun doigt, puis dun deuxième et dun troisième. Ils bougent en moi de plus en plus vite, je gémis plus fort, mes lèvres formes des ouis incontrôlés. Il sarrête, « et maintenant ? » me demande-t-il. Je voudrais lui dire que lon en arrête là, mais mon corps réclame son sexe en moi. « Viens en moi, je veux te sentir en moi ». Il rit, mais ne se le fait pas dire deux fois. Je sens alors son sexe dur pénétrer en moi, cest un délice. Un gémissement séchappe de ma bouche. Il commence à remuer en moi doucement. Son va et vient est une . Je lui crie alors « plus vite, va plus vite ». Il rit à nouveau, je sens son sexe durcir encore un peu dexcitation et son mouvement de rein saccélérer.
- Espèce de petite salope, taime ça hein ? me demande-t-il.
- Oh oui, oui, continue.
Cest bon, je nai jamais ressentit cela, cest une pure extase. Puis brusquement il ralentit.
- Quest-ce que tu fais ? je lui demande sur un ton attristé.
Il me soulève et me place debout, la poitrine plaquée sur le bureau.
- Je veux tenculer salope. Je suis sûr que tu vas aimer ma salope.
Et au même instant je sens son sexe dur me pénétrer dun coup sec lanus. Je ressens une douleur, mais il recommence à me pénétrer rapidement, pendant quil me met deux doigts dans mon vagin. La douleur est vite oubliée face au plaisir intense que je ressens, je gémis de plaisir de plus en plus fort. Il en profite pour enfourner sa main entière dans mon vagin, je crie, de plaisir ou de douleur, je lignore.
- Suce salope.
Je mexécute. Il se met à gémir de plaisir et sexcite de plus en plus avec mon vagin. Je tremble de plaisir. Il éjacule une nouvelle fois dans ma bouche. Ses petites affaires faites, il se lève, shabille et sen va.
Depuis, toutes les semaines, la salle devient notre lieu de rencontres favoris.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!