Taxi Driver
Je m'appelle Albert, j'ai 36 ans et je suis chauffeur de taxi à Pointe Noire au Gabon. Avec le pétrole, il y a beaucoup d'argent à Pointe Noire. Moi je fais taxi tous les jours et je ne m'arrête qu'au petit matin parce que je gagne plus avec les fêtards qu'avec les travailleurs. Les blancs aiment dépenser avec les filles. Ceux qui veulent la discrétion laissent leurs beaux 4x4 à la maison pour monter dans nos vieux taxis fatigués. D'habitude, les blancs sont corrects. Ils draguent les filles dans les boites et les emmènent à l'hôtel. Mais il y en a qui commencent leurs affaires dans le taxi. Ca ne me plait pas a cause de la police mais ça m'excite, alors je dis rien. Et puis les filles, je les connais toutes. On s'entend bien parce qu'on prend l'argent au même endroit ! Un jour un jeune blanc pas bien rasé mais bien musclé est monté avec Justine. Justine, c'est ma nièce. Elle a le teint noir comme du charbon et son cul est énorme et magnifique. Elle a les seins pointus et elle ne porte jamais de soutien. Les blancs n'aiment pas les soutiens. Ils veulent voir directement si la fille a des jolis seins. Justine, son bizness marche bien parce qu'elle est toujours de bonne humeur. C'est pour ça qu'elle n'a jamais eu un problème avec un blanc. Son blanc de ce soir, Justine l'appelle Christian. Il doit être plongeur sur les plateformes offshore parce qu'il a les yeux boursouflés. C'est ce qui leur arrive quand ils augmentent trop les cadences sans respecter la sécurité. Ces gars-là sont durs au mal. Ils se ruinent la santé sur les plateformes pour gagner toujours plus. Alors quand ils viennent à terre, ils veulent l'amusement et pas les discussions. Les filles, elles font tout ce qu'ils demandent parce qu'elles veulent l'argent et pas les baffes. Moi, dans mon taxi, je ne regarde que la route, mais j'entends tout. Alors voilà ce que j'entendais ce soir-là.
"Pourquoi tu t'assoies loin de moi comme ça ? Tu sais pas que je vais te baiser tout à l'heure ? Approche toi ma petite chérie que j'aime.
"Eh, Taxi, arrête-toi ! Justine, regarde devant l'Africa Bar ! Cest pas ta petite sur qui est là bas avec ses petits seins de vierge ? Fais la monter, je vais vous baiser toutes les deux en même temps ! C'est comment son nom déjà ?"
La fille qu'il a vue, c'est Emilie. Elle vient du même village que Justine, c'est pour ça qu'elles disent qu'elles sont soeurs. Elle est un peu timide ; c'est pas sa nature mais elle vient de commencer à sortir avec les blancs alors souvent, elle sais pas ce qu'il faut faire. Emilie, elle est menue et mince, mais mignonne comme tout. Nous les noirs, on aime pas les filles menues parce qu'on aime pas sentir des os quand on baise, mais les blancs, ils adorent ça. C'est comme des poupées pour eux. Ils peuvent les soulever d'une main et ils en font ce qu'ils veulent. Après, quand je les ramène chez elles avec mon taxi, elles ont mal partout, elles peuvent presque plus marcher.
Emilie monte et le Christian se retrouve assis entre les deux filles. "Bonjour ma chérie. Comment tu t'appelles ? Emilie ? C'est joli Emilie. La dernière Emilie que j'ai connue, c'était une vraie reine pour sucer mais une vraie cochonne pour se faire enculer. Elle gueulait comme une vache même le gérant de l'hôtel a tapé à la porte pour la calmer. C'était super ! Tu as la peau douce et tu sens bon. J'adore ton odeur. Donne-moi ta culotte je veux vois si c'est elle qui sens comme ça."
Emilie ne voulait pas enlever sa culotte dans le taxi mais Justine lui a dit de le faire, alors, elle s'est dandinée de droite à gauche en serrant pudiquement les jambes et elle lui a donné. "Ah ! Ah ! Ah ! J'avais deviné ! C'est de là qu'elle vient ta bonne odeur. Allez, suce moi pendant que je sens ta culotte. Et essaie de faire aussi bien que ta sur tout à l'heure. Ta bouche est magnifique, cest une vraie bouche à pipes. Et ton petit cul, quest-ce quil est mignon lui aussi ! Je vais bien le défoncer tout à lheure quand on sera arrivé. Regarde ces mignonnes petites fesses. Elles ne sont pas plus grosses que des mangues. Tu aimes quand je les écarte comme ça ? Et mon gros doigt, tu le sens bien qui caresse ton petit trou du cul bien lisse et bien serré ? Ah ! Ah ! Ah ! Toit t'as pas été maligne comme Justine, t'as pas mis de la crème dessus. Heureusement ta chatte mouille comme une fontaine. Allez je vais t'aider tiens ! Regarde comme je suis gentil je te lubrifie le trou du cul avec ta mouille ! Ca rentre tout seul maintenant ! Ouah ! Qu'est-ce qu'il est doux ton petit trou ! et vachement serré j'ai jamais vu ça.
Après je n'entendais plus rien. Emilie le suçait comme il faut et Justine l'embrassait pendant qu'il lui pelotait les seins et le cul. Il était trop occupé pour continuer son parler de soulard. Je n'entendais plus que la mignonne petite bouche d'Emilie grande ouverte sur son énorme gland et qui faisait de temps en temps des petits bruits en le pompant. C'est comme ça qu'on a fini par arriver au Continental. Emilie a réclamé après sa culotte mais le blanc a refusé. Il a dit qu'elle en avait pas besoin parce qu'il allait l'enculer dans l'ascenseur. Avant de descendre, Justine s'est collée à son blanc, lui a fait une bise sur les lèvres et lui a dit comme si elle demandait une cigarette : "S'il te plait je dois donner quelque chose au taxi parce que c'est mon grand frère. Si ça avait pas été lui, on aurait pas pu s'amuser comme ça dans la voiture". Le blanc bandait tellement qu'il avait déjà plus toute sa réflexion. Il lui a donné deux fois ce qu'elle voulait et j'ai eu un pourboire de premier ministre. C'est ce que j'aime le plus chez Justine : elle a la manière d'avoir toujours en douceur ce qu'elle demande et elle pense toujours à l'entraide.
Emilie avait honte de marcher vers l'hôtel sans culotte avec sa mini jupe qu'elle devait tirer dessus pour pas qu'on lui voit la moule entre les jambes à chaque pas. Elle faisait des tout petits pas rapidement, comme si elle avait envie de faire pipi. Le blanc marchait entre les deux en leur pelotant les fesses pendant qu'Emilie tirait sur sa jupe. C'était trop mignon. Je les ai regardés en souriant et en me branlant jusqu'à ce qu'ils disparaissent dans l'hôtel.
Le lendemain, c'était dimanche. J'ai revu Emilie et Justine à l'église vu qu'on habite le même quartier et je les ai invitées à boire une bière pour les remercier du pourboire de la veille. C'est là qu'elles m'ont raconté leur nuit avec le plongeur.
"J'en voulait plus de ton blanc Justine ! Je regardais partout comment fuir ! Si je suis restée, c'est à cause de toi parce que tu avais l'air de trouver tout ça normal alors je voulais pas avoir honte devant toi" dit-elle en buvant une gorgée de bière alors que les deux copines riaient encore de leurs aventures.
"Hi ! Hi ! Hi !" dit Justine en redoublant de rire. "Moi aussi j'avais tellement peur de lui que j'ai fait pipi dans ma culotte mais moi aussi je voulais pas avoir honte devant toi, alors j'ai fait la dégagée". Eclat de rire général. Les deux filles se tenaient les côtes en s'envoyant mutuellement la palme de la plus peureuse.
Emilie a fini par continuer son récit : "Je n'avais plus de culotte depuis le taxi et ma minijupe avait été tellement malmenée dans l'ascenseur qu'elle m'était remontée jusqu'au nombril. J'avais très honte de me promener comme ça les fesses à l'air mais Christian continuait de me les peloter. Les blancs ne nous respectent pas. Ils veulent juste s'amuser et faire avec nous ce qu'ils peuvent pas faire à la maison".
"Quand On est entrées dans la chambre", continua Justine, "il bandait tellement qu'il n'avait plus besoin de préliminaires. Il a jeté Emilie à plat ventre sur le lit, il a attrapé ses chevilles dans chaque main pour les remonter bien écartées sur le lit de chaque côté d'elle et il a pressé ses fesses comme des oranges pour en faire du jus. Il s'était mis à genou derrière elle et il regardait son petit trou se déformer pendant qu'il s'amusait avec ses fesses. A force de s'exciter comme ça il s'est mis à lui donner des fessées et elle a commencé à se débattre et à crier. C'est tout ce qu'il voulait ! Moi pendant ce temps, je suis passée derrière lui et j'ai mis les mains dans son pantalon. Il bandait terriblement et je ne pouvais pas faire le tour de sa bite avec ma main. J'étais jalouse d'Emilie parce que je voulais qu'il me baise la première. Sa bite était trop énorme, je pouvais pas arrêter de la regarder et je mouillais tellement en le branlant que ça me coulait entre les cuisses. Finalement, il s'est tellement excité à fesser Emilie qu'il a mouillé le cul d'Emilie avec sa salive et il a approché son énorme nud du petit trou. C'était tellement démesuré que je ne croyais pas qu'il allait l'enfiler. Il a poussé de toutes ses forces tout en lui écartant les fesses avec les deux mains et, centimètre par centimètre, tout a fini par rentrer au milieu des cris d'Emilie qui appelait sa maman".
Cette évocation fit redoubler le rire d'Emilie qui n'avait pas cessé depuis le début du récit. C'est elle qui voulut continuer : "Ouaillle Aie Aie ! le Salaud ! Il m'a fait tellement mal ! J'ai tout fait pour l'arrêter mais il avait trop de force. Quand son truc est rentré j'avais tellement mal que je savais plus mon nom mais ce salaud ça l'excitait. Plus je criais, plus il me bourrait. Jusqu'à ce matin au nom de Dieu je te jure que je ne peux pas marcher normalement ! Quand je me suis assise sur le banc de l'église tout à l'heure, mon anus m'a fait tellement mal que je me suis dit que c'est Jésus qui me demandait d'aller me confesser !"
Elle voulait nous apitoyer mais n'a fait que provoquer un grand éclat de rire. "Celui-là, il m'a fait trop mal ! Si je le revois encore, je vais lui frotter son gros truc avec du piment. Dès qu'il voudra bander le feu va en sortir et c'est avec sa bite que je vais allumer ma cigarette !" Et elles rirent toutes les deux de leur vengeance imaginaire. Justine repris son récit :
"Là, Emilie s'est tellement mise à crier que ça m'a fait pitié. J'ai essayé d'imaginer comment la délivrer. Alors je me suis mise debout devant lui, à califourchon au-dessus d'Emilie et je l'ai embrassé tout en déboutonnant sa chemise. Quand il a été torse nu, je suis passée derrière lui et j'ai fini de défaire son pantalon et je lui ai caressé les fesses, je lui mordillais le bas du dos tout en lui caressant les couilles par entre les fesses. A la fin je lui ai mis le doigt dans le cul. Ca l'a tellement excité qu'il a fait crier Emilie encore plus fort, j'ai cru qu'il allait la . Ses mains étaient deux fois grosses comme les fesses d'Emilie. Il la plaquait sur le lit et la faisait aller et venir sur son énorme bite. Elle était baladée d'avant en arrière comme une poupée et ne pouvait rien faire d'autre que de crier. Evidemment personne n'est venu. Ceux qui l'entendaient se disaient tout simplement que tu étais entrain de prendre ton compte et puis c'est tout. Comme les cris sortaient de ta bouche au même rythme que sa bite t'entrait dans le cul, personne ne pouvait pas savoir si tu souffrais ou si tu jouissais."
Cette explication bien claire m'a fait éclater de rire au beau moment où je buvais ma bière, si bien que j'ai failli m'. Mais Emilie nous coupa la parole en lui tendant un doigt accusateur : "Tu es méchante. Je sais bien pourquoi tu l'as laissé me maltraiter. Albert ! Elle doit te dire la vérité ! Elle doit te dire qu'elle est tombée amoureuse de ce cochon !"
Justine attrapa tendrement le doigt accusateur et le posa sur sa cuisse, puis elle enlaça gentiment sa petite sur et repris la parole sans répondre à l'accusation ni se départir de sa bonne humeur : "Laisse-moi parler" di-elle en riant, "sinon, Albert va rien y comprendre."
"Alors j'ai laissé le derrière de Christian et je suis revenue debout face à lui, au-dessus d'Emilie, et j'ai commencé à me déshabiller. Pour l'exciter, je me caressais les seins de la main gauche et de la droite, je me masturbais le clitoris qui était quasiment à hauteur de son visage. Petit à petit, je me rapprochais de lui. Quand mon plaisir a commencé à monter, je ne pouvais plus tenir debout sur le lit alors je me suis mise à genou, à califourchon sur Emilie et j'ai continué à me masturber. Mon plaisir montait toujours et ma chatte était toute mouillée. J'avais les yeux qui se brouillaient et je n'arrivais plus à le fixer des yeux. Déjà il avait ralentit le bourrage du cul d'Emilie en me regardant. C'est là que j'ai eue l'idée qui l'a sauvée : je me suis mise à uriner par petits jets tout en me masturbant. Mon pipi tombait sur le dos noir et brillant de sueur d'Emilie et commençait à couler sur les draps. Une partie restait dans le sillon de son dos. Alors, je me suis couchée sur elle et je l'ai léchée. C'était bon. Ca sentait le goût d'Emilie mélangé à celui du pipi frais, un peu salé et un peu poivré."
Les deux filles éclatent de rire en regardant l'air que j'ai en écoutant leur récit. Mon verre de bière s'est arrêté à mi-chemin de la table à mes lèvres et ma bouche reste ouverte d'étonnement. "Ah ! Ah ! Ah ! Albert ! Pourquoi tu ouvres tes yeux comme une carpe, là ! Tu crois que notre travail c'est de l'eau à boire." Et elles rient toutes les deux de leur plaisanterie. Emilie doit avoir bien mal à l'anus, mais ça ne lui a pas ôté sa bonne humeur. C'est les jolis billets qu'elle a gagné avec son blanc qui doivent la rendre joyeuse comme ça. Je suis sur qu'elle les garde avec elle bien pliés dans une poche de sa robe du dimanche. Je me mets à rire moi aussi. Il fait chaud ce midi, la bière est fraîche, les filles sont magnifiques et la vie est belle. "Emilie, Va commander trois poissons braisés, c'est moi qui vous invite !". Emilie partit vers la vieille qui tient son fourneau à deux pas et je la vois marcher de dos. C'est vrai qu'elle est jolie. Moi je voudrais bien attendre qu'elle devienne une vraie femme avant de la goûter, et surtout qu'elle grossisse un peu pour avoir des bagages arrière comme Justine, mais ses petites fesses sagement rangées dans sa robe du dimanche et qui basculent de droite à gauche à chaque pas, je peux plus les regarder comme avant après le récit de Justine ! Imaginer ses fesses bien rangées dans sa jolie robe du dimanche et en même temps défoncées par l'énorme bite de son blanc d'hier soir, ça me fait tourner la tête. Ma main se porte machinalement à mon sexe qui commence à bander, ce qui fait redoubler le rire de Justine. "Eh Albert ! Arrête ça ! Tu es un homme marié depuis l'an passé et même père de famille. Ton truc, tu dois plus le mettre dans toutes les sauces !" Justine est décontractée avec moi parce que c'est ma parente. Selon notre tradition, elle est comme ma petite sur et je n'ai pas le droit de la toucher.
Emilie est de retour, très heureuse des beaux poissons qu'elle a commandé à griller. Elle s'assoie et demande encore de la bière et puis d'une voix bien claire elle commence : "Ah ! Justine, tu t'es bien moquée de moi en racontant comment le blanc m'a maltraitée. Maintenant, c'est moi qui vais raconter à Albert tout ce que tu n'as pas osé dire."
"Tu sais Albert ! La vérité c'est que Justine est tombée amoureuse de son blanc. J'ai beaucoup appris ce soir là car je ne pouvais jamais deviner jusqu'à où une fille ne peut plus s'arrêter quand elle a décidé de satisfaire un homme par amour. Ca, je vais te le raconter aujourd'hui".
"Quand Justine a eu fini de lécher son pipi sur mon dos, le blanc m'a retournée et m'a attrapé les pieds pour m'écarter les jambes comme un poulet. Il m'a tirée vers lui pour que j'aie les fesses qui dépassent du lit et il a demandé à Justine de me tenir les pieds bien haut pour que mon cul soit à la hauteur de sa bite. Là, je pouvais plus bouger et il m'a pénétré d'un coup avec son énorme truc. Justine, je la voyais pas mais je sentais bien qu'elle ne regardait que ça. Son énorme sexe la fascinait complètement. Comme elle t'a dit elle était jalouse que tout soit pour moi. Au début j'ai eu mal mais quand il a commencé à piler et que mon con s'est bien mouillé, j'ai senti le plaisir monter petit à petit et finalement, j'ai fermé les yeux et je me suis mise à gémir. J'ai appuyé mon doigt sur mon clitoris pour mieux sentir son gros truc me rentrer dedans. Lui, comme il a compris que je voulais jouir, ça l'a excité et il a augmenté sa force. C'est là que Justine a lâché mes pieds et qu'elle est venue se mettre au-dessus de moi, face à lui, et qu'elle s'est mise à caresser son torse et à l'embrasser sur la bouche. Finalement, elle s'est complètement collée à lui alors qu'il continuait à me bourrer. Ca a du l'exciter de baiser une fille et d'en embrasser une autre en même temps. Tout en continuant à me baiser, il s'est mis à peloter les fesses de Justine qui l'embrassait. Moi j'avais ouvert les yeux et je voyais tout. Les grosses fesses de Justine se balançaient au même rythme que sa bite allait dans mon con. C'était comme si c'était mes propres fesses que je voyais tout en me faisant baiser. Le plaisir continuait à monter en moi et c'est quand Christian a bien écarté les grosses fesses de Justine comme si il voulait déchirer les feuilles d'un cahier et qu'il lui a enfoncé les doigts dans le cul que j'ai joui. Justine a joui en même temps en me faisant pipi dessus. Ca coulait entre les doigts de Christian, le long de son ventre, sur sa bite, sur ma chatte et finalement ça a coulé de chaque côté de mon ventre sur les draps."
"Christian a senti que Justine jouissait et pissait en même temps quand il lui doigtait le cul et ça l'a excité à fond. Il est sortit de moi et a mis Justine sur le dos par terre dans la même position ou j'étais, en lui tenant les chevilles. Il s'est mis à genou assis sur ses talons devant elle lui a attrapé les pieds qu'il s'est mis sur les épaules. Il l'a enculée dans cette position en continuant à la tenir par les pieds et il lui a dit de continuer à lui pisser dessus. Justine a poussé tout ce qu'elle pouvait pour pisser ce qui lui restait encore dans le ventre. Le pipi est sortit avec un joli bruit de fontaine, a éclaboussé le ventre de Christian et est retombé sur Justine. Comme elle avait le cul plus haut que la tête, ça lui a ruisselé sur le ventre, autour des seins et jusque sur le cou."
"Moi, je venais de jouir et j'étais pas contente que Christian m'ai laissée tomber alors je le suis accroupie sur la bouche de Justine et je lui ai dit de me lécher. Pendant ce temps, j'en profitais pour étaler son pipi sur tout son corps. Justine jouissait et criait comme un cochon. Elle arrivait plus à se contrôler et ne pouvais plus me sucer alors je lui ai pissé sur le visage. En poussant pour pisser, la merde est sortie en même temps parce que mon cul ne pouvait plus se fermer depuis que Christian l'avait maltraité. Christian était tellement excité par ce qu'il voyait qu'il avait passé la vitesse surmultipliée et Justine était maintenant secouée comme un manguier. Elle s'est agrippée à moi, et moi à elle, si bien que mon cul lui frottait sur le visage et lui étalait ma merde dessus. J'ai continué à pisser et à chier et c'est en criant tous les trois qu'on a joui tous ensemble."
"Dès que Christian a déchargé, Justine s'est traînée sur le sol tout en continuant à le regarder dans les yeux. Elle ne faisait même pas attention qu'elle nageait dans la merde et le pipi q'on avait répandus sur le sol et elle l'étalait avec son ventre en rampant dessus. C'est vrai qu'elle était belle comme ça parce que son regard était plein d'amour. Elle s'est approchée de lui lentement et a pris dans sa main son gros sexe qui bandait encore. Très délicatement, elle a mis beaucoup de salive sur ses lèves et lui a léché le bout du gland tout en le branlant près des couilles pour qu'il continue à bander. Il y avait plein d'amour dans ses yeux, et plein de merde sur son visage. Christian n'en croyait pas ses yeux qu'une fille puisse être aussi chaude c'est là que j'ai vu que Justine était le meilleur coup de sa vie d'aventurier. Délicatement, Justine a réussi à le faire rebander encore plus dur qu'avant et là, c'est elle qui l'a guidé pour qu'il la prenne comme elle le voulait, pour son propre plaisir à elle : elle couchée sur le dos sur le lit, les jambes serrées, lui au dessus d'elle tout simplement, pour qu'elle puisse sentir son poids et son odeur, et quand elle serrait les jambes ça lui pressait sa bite contre son clitoris. Ils ont fait l'amour comme ça pendant longtemps. Il allait et venait avec force, mais pas brutalement. Ils s'embrassaient en se regardant dans les yeux. Elle lui avait demandé de lui caresser les fesses et de lui mettre un doigt dans le cul. Il lui en a enfoncé deux, l'index et le majeur, jusqu'au fond, et il se caressait la bite avec à travers l'anus de Justine. Pendant ce temps elle le serrait de toutes ses forces, une main sur la nuque et l'autre entre les épaules. Moi au début je les regardais tout simplement et puis l'amour de Justine a commencé à m'exciter et je me suis mise derrière Christian pour lui caresser les fesses. Son trou du cul était bien joli. Tout lisse, avec une rondelle brune tout autour. Ca m'a excitée encore alors je me suis accroupie sur lui et j'ai fait pipi sur lui en continuant à le caresser. Dès qu'il a senti la chaleur de mon pipi couler sur ses fesses, il a accéléré son mouvement dans Justine et j'ai su que ça lui plaisait. Quand je n'ai plus eu de pipi, je me suis mise derrière lui et j'ai commencé à le lécher. J'ai léché le bas du dos, et puis les fesses, et puis j'ai écarté ses fesses pour les lécher à l'intérieur et finalement je lui ai léché le cul. C'est ce que je voulais depuis le début. A la fin, ma langue s'était enfoncée dans son anus et je poussais pour qu'elle s'enfonce davantage à chaque mouvement de Christian qui pilonnait toujours Justine, si bien que j'avais l'impression que c'est moi qui faisait l'amour à Justine. C'est elle qui a joui la première. Alors il l'a attrapée de toutes ses forces et m'a fait tomber par terre. J'ai cru que Justine allait jamais pouvoir se relever après ce coup là tellement il l'a serrée en éjaculant. Ca a duré longtemps et ils criaient tous les deux comme des possédés."
Le récit d'Emilie avait tellement duré que les poissons étaient déjà cuits. La fille de la vielle femme aux fourneaux les amena sur un plat avec de la salade, des tomates, des oignons et du piment coupé en rondelles. Après un tel récit, toutes les filles de la terre m'auraient paru jolies tellement Emilie m'avait excité, mais celle-ci était particulièrement craquante. Elle a le teint clair, les seins lourds qui bougent à chacun de ses mouvements, de grands yeux brillants et très blancs, la bouche étroite et les lèvres épaisses et retroussées en un perpétuel baiser. Une vraie tête de reine. Je saisis son poignet avant qu'elle ait pu s'éloigner et lui demandais son nom. "Je m'appelle Elodie" dit-elle timidement, en regardant le sol en signe de respect.
- C'est ta maman qui cuit les poissons là-bas ?
- C'est ma tante.
- Tu es très jolie. Comment ça se fait que je ne t'aie jamais vue ici ?
- Je travaille ici chaque jour. Peut-être que tu as trop de copines pour t'occuper de moi, dit-elle effrontément, sans pourtant quitter le sol des yeux.
- A quelle heure tu descends ce soir ?
- Je descends quand le poisson est fini.
La conversation n'était pas facile à engager mais il n'y avait rien d'anormal à ça. Les filles ici ne cèdent pas au baratin, surtout les plus jolies ! Elles veulent y trouver leur compte. Mon taxi est stratégique pour ça. Il me donne l'occasion de rendre des petits services qui aident à la connaissance. Je lui présente Justine, "ma nièce", et Elodie, "sa petite sur". Message subliminal : "je ne les baise pas. C'est toi que je veux baiser." Quand Elodie a eu ma carte de visite dans la main, la promesse de l'accompagner demain chez sa tante, et qu'elle m'ait remercié d'un sourire de bon augure, je libérais enfin son poignet, lui payait les poissons et la regardait s'éloigner en balançant les fesses et en déchiffrant ma carte : "Albert ADZABE EBANG, toutes courses en taxi, sur appel ou sur rendez-vous, 653 12 15". Ma main se porta encore une fois machinalement à mon sexe pour le malaxer. Je voudrais bien expliquer à mon bras les bonnes manières mais il ne m'écoute pas. Du coup, dès que j'aie envie de baiser une fille tout le monde le sait. Justine et Emilie se tapent du coude et regardent ma braguette en riant des yeux. Je verrai demain pour Elodie. Aujourd'hui, c'est Justine et Emilie. La vie est belle et le poisson sent délicieusement bon.
Emilie crie d'un coup que Justine a mis trop de piment sur le poisson et qu'elle peut plus le manger. Elle se lève alors pour venir de mon côté, réputé moins pimenté. Et là elle mange avidement en claquant la langue de plaisir. Ca m'a étonné parce que j'avais mis encore plus de piment que Justine donc, je sais qu'elle a mentit. C'était mon bénéfice des avances que j'ai faites à Elodie qui a du m'amener la petite Emilie contre moi par pure jalousie. Les filles sont compliquées, mais Dieu est bon de nous en faire profiter et de faire briller le soleil chaque jour. Ya pas mieux qu'une jolie fille pour rendre délicieux le poisson grillé. Je commande encore la bière et, finalement, on repart tous les trois dans le taxi. Direction chez Emilie ou elles veulent rentrer pour dormir avant de sortir encore en boite. Les filles, la boite de nuit c'est tout pour elle : c'est leur amusement et leur gagne-pain en même temps.
La cour est grande et il y a du monde. Plusieurs familles y cohabitent. C'est la cour africaine ou chacun loue sa chambre et participe à la vie commune. Le jour commence à tomber et on ne voit plus bien les visages. Je salue poliment les parents d'Emilie et ne manque pas de leur donner le sésame : ma carte de taximan. Justine se mêle au groupe devant la télé tandis qu'Emilie m'entraîne sans autre cérémonie dans sa chambre. Je ne m'attendais pas à cette invitation mais c'est comme ça dans nos pays : parfois on souffre sans rien récolter, et parfois Dieu donne gratuitement. Ce soir, Emilie est heureuse car elle a gagné son premier gros cachet avec Christian qui a été particulièrement généreux. Elle se sent devenue totalement une femme et elle veut en profiter.
Dès la porte fermée, elle se met accroupie et descend mon pantalon. Sa nuit d'hier l'a rendue sure d'elle et le faire pour le plaisir lui donne un air de reine, avec le sourire heureux et effronté en plus. Sa petite bouche avale mon sexe qui bandait déjà à moitié et au bout d'une minute, il est monté jusqu'à mon nombril. Heureusement qu'il est discipliné et qu'il ne prend jamais sa vraie taille en ville sinon, il me sortirait du pantalon !
Emilie continue ses gestes précis et lents. Elle lève tout le temps les yeux pour capter mon regard. Et effectivement je ne la quitte pas des yeux. J'ai attrapé sa nuque pour la guider juste au rythme qui va faire monter mon plaisir sans le laisser éclater. Tout en me pompant, elle a écarté les genoux, remonté sa robe en la repassant dans sa ceinture, et commencé à se masturber à travers sa culotte. Elle continue comme ça, me branlant d'une main tout en me suçant, et se masturbant de l'autre. Moi, je suis déjà surpris de me trouver là sans avoir eu à rien faire alors je profite de la situation sans vraiment réfléchir. D'ailleurs mon plaisir commence à monter et je ne peux plus réfléchir à grand-chose.
Je commence à comprendre quand je vois qu'Emilie est en train de faire pipi dans sa main tout en se masturbant à travers sa culotte. Ses mouvements se sont accélérés et elle est déjà prête à jouir. C'est alors qu'elle arrête de me sucer et me tiens sa bouche ouverte devant mon gland. Ah la salope ! Quelle perversion ! Je n'ai aucun mal à la satisfaire vu toutes les bières qu'on a bues en attendant le poisson tout à l'heure. J'att une poignée de ses cheveux et je commence à lui pisser dessus. Elle ne me quitte pas de son regard amoureux et pisse elle même de plus belle dans sa main. Mon urine remplit sa bouche et tombe dans sa robe, fait le tour de ses petits seins et ressort au niveau de son ventre avant de se mélanger à la sienne. Alors de la main qui la tenait, elle dirige ma bite sur son visage et tout son corps pour s'asperger et elle se caresse le ventre et les seins de l'autre main avec laquelle elle se masturbait. Finalement, elle arrache sa robe, se jette sur le lit, me tire vers elle et s'enfonce ma bite dans la chatte. Elle est étroite, étroite, étroite. J'ai l'impression que je vais la déchirer mais c'est tellement bon que je pousse. Je pousse et elle m'aspire littéralement, collant son ventre au mien, suivant tous mes mouvements les jambes écartées et les pieds levés au ciel pour mieux se faire défoncer. Elle me regarde toujours de ses grands yeux amoureux mais n'a toujours pas dit un mot. L'excitation accumulée de toute cette journée se décharge en quelques coups de reins énormes qui la font crier et trembler tout son corps. Ses pieds se sont serrés sur moi et m'emprisonnent. Je jouis en lui attrapant ses petites fesses par derrière. Elle est si menue que j'ai l'impression de sentir le jet de foutre lui gicler sur le dos à travers son ventre. C'est aujourd'hui que j'ai compris le plaisir des blancs à baiser des filles menues.
C'est à ce moment-là que Justine rentre dans la chambre d'Emilie. Elle a amené un seau d'eau avec lequel elle essuie le pipi par terre, puis, à mon grand étonnement, elle se déshabille sans protocole. Justine est ma nièce. Il y a ne barrière entre nous et même l'idée de la voir nue ne m'a jamais traversé l'esprit. Je suis même gêné d'être nu à côté d'elle ! Sans me regarder, elle s'est couché à côté d'Emilie et elles s'embrassent toutes les deux en se caressant et en se léchant tout le corps. Emilie continue à m'embrasser amoureusement pendant que Justine la lèche et la fait jouir puis, tout naturellement, elle s'occupe d'elle à son tour et la caresse doucement jusqu'au plaisir en l'embrassant sur la bouche.
Je n'ai pas touché Justine et elle ne m'a pas touché, mais je sais que la barrière entre nous s'est brisée ce soir. Qu'on ait tous les deux fait l'amour à Emilie est comme un vrai e. La vie demain ne sera plus comme hier.
Nous nous rhabillons sans bruit, je prends congé d'Emilie en l'embrassant en amoureux et en lui pelotant les fesses. Au moment de saluer ma nièce Justine, j'ai un moment d'hésitation. Elle aussi. L'intimité soudaine nous a perturbés. Nous ne savons plus exactement comment nous saluer, mais nos corps s'approchent l'un de l'autre comme si nos têtes savaient ce qu'elles allaient avoir à faire. Mais non, nous ne savons pas, et nous nous approchons, et nos corps finalement se touchent, nos odeurs se mêlent, mon sexe se dresse et mes mains qui ne sont plus commandées par ma tête décident de faire ce qu'elles ont toujours voulu faire. Les seins lourds et doux, les fesses larges qui bougent si magnifiquement à chaque mouvement. Et les mains de Justine sur mes fesses à l'intérieur de mon pantalon. Sa jolie robe du dimanche qui remonte, ma main sous sa cuisse qui l'écarte et la soulève, son pied qui m'entoure et se pose sur le bas de mon dos, son ventre qui se colle au mien, son sexe qui me cherche, sa main qui att mon pénis par derrière et qui le guide jusqu'au bonheur. Nous faisons l'amour debout, presque sans respirer, les lèvres collées, les dents qui se mordent entre elles, une main sur la nuque, l'autre au bas des fesses, là où elles se rejoignent avec les cuisses et d'où un doigt en s'allongeant caresse l'entrée du con.
Puis nos têtes s'écartent, nos bouches s'ouvrent pour chercher l'air, nos mouvements s'accélèrent, nos yeux exorbités se fixent l'un à l'autre comme le seul repère qui nous empêcherait de tomber à la renverse. Nos mains pétrissent les corps, glissent sur la sueur, se ferment sur ce qu'elles convoitent avec la force que seule l'étreinte pardonne. D'un coup elle gémit comme un long sanglot. Et mes lèvres se crispent pour un cri terrible.
Justine fut la première à reprendre ses esprits. Elle remonta mon pantalon et le rattache délicatement, rajusta ma chemise et me poussa d'un baiser vers la porte avec un "Bonne chance demain avec Elodie". Message subliminal à Emilie, assise incrédule au bord du lit : "Excuses-moi pour Albert. Je ne devais pas. Il est à toujours à toi si tu veux".
Quand je fermais la porte, elles dormaient déjà, enlacées l'une à l'autre.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!