Un Viol
Tout le monde se souvient de cette fameuse prise dotage
de la rue Dorlot. Mais on ne sait pas tout. Après ma
libération, jai été longuement interrogé par les flics. Jai dû
répondre à des tas de questions, mais je suis loin davoir
tout dit. On comprendra facilement pourquoi. Il y a des
choses comme ça quon préfère garder pour soi.
Mes ravisseurs étaient au nombre de trois, dont une fille,
qui pouvait avoir dans les trente ans, plutôt mignonne. Ils
mavaient embarqué dans leur voiture, les yeux bandés.
Quand nous sommes arrivés dans la villa, ils ont retiré le
bandeau que javais sur les yeux, et je me suis retrouvé
adossé à une sorte de colonne en fer qui soutenait le
plafond. Mes menottes, derrière moi, pouvaient coulisser
librement le long de la colonne, si bien que je pouvais
rester debout ou masseoir, au choix. Le confort, quoi
Ils
mont dit de ne pas ménerver, quils navaient rien contre
moi et quils voulaient seulement assurer leur propre
sécurité. Pas vraiment des monstres, en somme. Il y a en a
même un qui ma donné un boire un grand verre deau,
cest dire ! Puis ils mont laissé seul.
Je suis resté comme ça je ne sais pas combien de temps.
Je me disais que ça ne me servirait à rien de maffoler et je
me suis tenu tranquille. Seulement il y avait un détail que je
navais pas prévu, cest quau bout dun certain temps jai
été pris dune sacrée envie de pisser. Au début, jai essayé
de rester stoïque. Mais le temps passait, mon besoin
devenait de plus en plus pressant et mon ventre
commençait à me faire mal. Jaurais pu pisser dans mon
froc, mais ça ne me plaisait pas tellement. Alors jai appelé.
Personne. Jai appelé encore, et encore, de plus en plus
fort. Un des gars sest pointé et ma demandé pourquoi je
gueulais comme ça.
Le gars a haussé les épaules, et il a quitté la pièce en
gueulant : " Il a envie de pisser. " Jai entendu la voix de la
fille qui répondait : " Je men occupe ! " Et moi, je me
demandais bien comment elle allait sen occuper. Je suis
du genre pudique, moi, et je me sentais un peu mal à
laise.
Elle est entrée dans la pièce avec une sorte de saladier en
plastique. " Jai pas de pot de chambre à vous offrir, mais
ce truc-là ça doit pouvoir aller ", dit-elle en se marrant. Elle
trouvait ça drôle, la vache ! " Il faut me détacher ", que je lui
ai dit. " Ah ! non, pas question, on ne peut pas prendre de
risque. Mais ne vous faites pas de souci, je vais vous faire
faire pipi, vous allez voir. Comme une gentille maman qui
fait faire pipi à son petit garçon
" Elle sest approchée de
moi et à commencé à déboutonner mon pantalon. "
Quest-ce que vous faites là ? ", que je lui dis, plutôt gêné.
Si vous préférez pisser dans votre froc, il faut me le dire
tout suite
Elle a tiré à fond sur la fermeture éclair et puis,
tranquillement, elle a fait glisser mon pantalon le long de
mes jambes et la enlevé entièrement. Je me sentais plutôt
ridicule et humilié de me tenir comme ça en slip, debout
devant une jeune femme qui, elle, était tout ce quil y a de
plus habillée, et qui me regardait avec une insistance que
je ne trouvais vraiment pas discrète. Mais je ne suis pas
longtemps resté dans cette position, parce quelle sest
ensuite attaquée au slip, quelle a fait glisser tout
doucement le long de mes fesses, puis le long de mes
cuisses, puis le long de mes mollets et quelle a finalement
envoyé promener comme le pantalon. Je me sentais en état
dinfériorité, cest le moins quon puisse dire, et je
commençais à être salement troublé, parce quelle avait
une façon de fixer mon sexe que je commençais à trouver
un peu vicieuse.
allez savoir. Heureusement je ne me suis pas mis à bander
tout de suite. Jétais trop gêné pour ça et mon envie de
pisser devenait panique !
Alors elle ma dit de bien écarter les cuisses, elle a
approché son saladier en plastique, et la placé juste sous
ma verge et sous mes couilles qui pendaient
honteusement devant elle. Jai pu enfin pisser. Jy suis allé
de bon cur, je vous assure ! Il était plus que temps ! Ça
me faisait tellement de bien de pouvoir enfin me soulager
que jen oubliais mon humiliation. Quest-ce que jai pu
pisser ! Incroyable ! Ça semblait devoir ne jamais sarrêter.
Jai rempli le saladier, et pour un peu il aurait débordé. La
jeune femme nen croyait pas ses yeux. Elle répétait
seulement : " Ah ! dis donc !
Ah ! dis donc !
Jai jamais
vu ça. Elle était à la fois amusée et admirative. Elle a
emmené le saladier, en faisant bien attention de ne pas
répandre son contenu. Quand elle est revenue, elle avait un
mouchoir en papier à la main : " Alors, le petit garçon est
content davoir fait son gros pipi ? Il va mieux, le petit garçon
? Et maintenant on va essuyer sa jolie bite pour quelle soit
bien propre
"
Maintenant que jétais débarrassé de mon épouvantable
envie de pisser, je me sentais tout drôle. Cest difficile à
décrire. Je me sentais toujours ridicule et humilié, devant
cette femme qui riait et qui me regardait sans pudeur, mais,
comment dire ? Jéprouvais en même temps une sorte de
plaisir trouble à être ainsi humilié et des tas didées
cochonnes me passaient par la tête.
Elle sest de nouveau approchée de moi et, de sa main
gauche, elle a pris ma verge entre deux doigts, avec une
délicatesse incroyable. Vous ne pouvez pas imaginer ce
que jai ressenti. Une douceur, un bien-être incroyable ! Je
navais plus peur que dune chose, cest quelle lâche ce
quelle tenait dans la main et quelle quitte la pièce en me
laissant tout seul.
deux doigts elle repoussait un peu la petite peau et, de la
main droite, elle me tamponnait délicatement le gland avec
son mouchoir en papier. Vous imaginez le résultat
Je nai pas eu tout de suite une érection complète. Ça été
progressif. Je voyais (jaime me regarder) et je sentais ma
bite prendre de la consistance, se gonfler lentement,
grossir tout en restant encore un peu molle sous les doigts
de ma geôlière. Mon gland devenait humide, comme il fait
toujours quand je suis excité. Jai dit : " Vous mexcitez. "
Elle ma répondu : " Et du crois que tu ne mexcites pas,
moi, avec ta jolie bite, petit cochon ? " Elle sétait
débarrassée de son mouchoir en papier et continuait à faire
coulisser, dans une sens et dans lautre, mais très
lentement, la peau qui recouvre mon gland, pendant que sa
main droite tripotait délicatement mes couilles. Je
nessayais plus de jouer les indifférents ou les offensés, je
me laissais faire, en gardant les cuisses bien écartées, elle
passait sa main sous moi, je la sentais qui tripotait mes
fesses, je sentais ses doigts qui me fouillaient la raie et
senfonçaient dans mon anus. Elle me disait : " Tu aimes
bien, hein ? que je te tripote le trou du cul, espèce de petit
cochon ! Jai bien envie dappeler les copains pour quils
tenculent. "
Elle navait pas besoin des copains, la cochonne, elle se
débrouillait très bien toute seule pour menculer avec ses
doigts et moi, je bandais si fort que ça en devenait presque
douloureux. Elle maurait fait nimporte quoi, jaurais dit oui.
Jaurais voulu quelle me pince, quelle me griffe, quelle me
donne de grandes claques sur lintérieur des cuisses,
quelle pisse sur moi, quelle mhumilie. Javais peur
déjaculer trop vite. Je voulais que ça ne sarrête pas.
Heureusement, elle a écarté ses mains. Il était temps. Elle
ma dit : " Tu aimerais bien que je me masturbe devant toi,
hein ? Ça te ferait plaisir que je me tripote. " Et elle a
commencé à se déshabiller. Elle sest débarrassée de son
jean. Ah ! lémotion quand jai vu ses cuisses nues, je ne
vous dis pas ! Comme jaurais aimé les tripoter, les lécher !
Et coller ma bouche sur sa culotte ! La respirer ! La manger
! Ensuite elle a fait glisser la culotte le long de ses jambes
en me regardant avant insistance. Elle a écarté les jambes
et ses doigts fourrageaient dans les poils de sa touffe et
senfonçaient dans sa vulve. Elle se branlait sans pudeur
devant moi, ça faisait un bruit liquide qui augmentait encore
mon excitation. Puis elle sest retourner pour que je voie
ses fesses. Elle les tendait vers moi en se penchant un
peu, pour que je voie bien. Je voyais ses doigts mouillés
passer sur son anus et sy enfoncer. Alors elle a pris ma
bite à pleine main, et se frotta lanus avec mon gland,
pendant quelle continuait de lautre main à se masturber
frénétiquement la vulve. Alors, dun seuil coup, ma bite est
entrée au fond de son cul. " Oui !
Oui !
Encule-moi !
"
et elle poussait son derrière contre moi, pendant que je
donnais de grands coups de reins. Javais limpression
dêtre au fond de son ventre. Elle a poussé un long cri
pendant que moi-même je déchargeais de grandes giclées
de sperme au plus profond delle-même.
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