Ma Collègue De Travail
Je travaille en informatique. Dans mon bureau, nous sommes deux. Ma collègue se prénomme Armelle. Elle a 30 ans, de longs cheveux noirs, un visage et un corps superbe, mais surtout des jambes qui nen finissent pas.
Il y a quatre mois quelle est arrivée dans notre entreprise, comme chef de projet adjointe. Nous avons assez rapidement sympathisé. Jusquà ce jour, nos conversations étaient très banales, mais ce vendredi, je ne sais encore pourquoi, suite à une plaisanterie, sur les bits informatique, elle ma dit : « A force de triturer des bits, jai très envie den triturer une vraie. ». Je lui ai demandé quel genre dhomme elle aime et elle ma répondu : « Avec toi ça me plairait bien ! ». Jétais assez étonné, mais au fond de moi se nétait pas pour me déplaire.
Elle me demanda si jétais libre le soir même et jai naturellement répondu « Oui ». A 16h30, nous sommes allés prendre ma voiture au garage. En sasseyant, sa jupe est remontée le long de ses jambes et elle na rien fait pour la rajuster. Comme son manteau était ouvert, javais une vue merveilleuse sur ses cuisses gainées avec des bas noirs.
« Pour aller chez moi, le plus simple, tu prends lautoroute, et ensuite je te guiderais » ma-t-elle dit pendant que je sortais du garage. Javais énormément de peine à ne pas laisser aller mes mains se poser sur ses cuisses, chaque fois que je changeais les vitesse. Elle sen est vite aperçue et une fois sur lautoroute, elle me pris la main et la posa sur sa cuisse. Je devais fortement me concentrer pour me pas la regarder et moccuper de la circulation.
Lentement mes doigts effleuraient ses bas. Puis je remontais ma main vers son slip en retroussant sa jupe. Pour maider, elle écarta ses jambes et se laissa glisser en arrière sur son siège, puis elle retira son string. Je découvris alors quelle réalisait un de mes fantasmes, car elle était entièrement épilée. Sans plus attendre je glissant un doigt dans sa vulve.
Pendant que je la fouillais, elle vint caresser son clitoris avec vigueur. « Jai envie de jouir, fait-moi jouir, je le veux » hurla-t-elle soudain. Je la fourmillais et elle se caressait avec rage. Soudain, elle se cambra, poussa un long feulement et elle jouis dans ma main. Elle la pris et me lécha tous les doigts.
Elle mindiqua la route et 10 minutes plus tard, nous étions chez elle. Elle habitait une superbe villa, en bordure de la forêt. Elle me guida au salon et moffrit un verre. « Je reviens » me dit-elle en se dirigeant vers une pièce à lopposé du salon. 5 minutes plus tard, elle était de retour. Elle sétait changée. Elle avait mis des escarpins, gardé ses bas que recouvrait une jupe assez courte et fendue sur le côté. En haut, elle portait un bustier. Je pouvais voir ses mamelons durcis qui faisaient deux ravissantes bosses. Elle pris un verre et sassit à coté de moi sur le canapé. Une fois nos verres vides, elle vint se mettre à genoux entre mes jambes. Elle me retira mon pull, ouvrit ma ceinture, et me délesta de mon pantalon et de mon slip. Jétais en pleine érection. Elle saisit ma verge délicatement avec ses doigts et commença à me caresser. Ils glissaient doucement, me procurant de merveilleux fourmillements. Puis elle baissa sa tête et me prit entre ses lèvres. Sa langue tournait autour de mon prépuce, puis sa bouche montait et descendait le long de mon pieu de chair. Je sentais que je nallais pas tenir encore longtemps à ce régime, elle aussi. Elle sactiva à me sucer de plus en plus vite. Soudain jexplosais dans sa gorge en de longues saccades.
Elle se redressa et me dit : « Et si tu toccupais de moi maintenant ? ». Comme pour joindre je geste à la parole, elle se déshabilla, ne gardant que ses escarpins et ses bas. Elle sallongea sur la table de salon, écarta ses jambes en me disant : « Viens me rendre la pareille ».
Je vins me placer à genoux entre ses jambes et je posais ma bouche sur son sexe.
Il nopposait aucune résistance, alors lentement mon doigt pris possession de se tendre petit cul. En même temps ma bouche suçait son sexe doù coulait sa sève de plus en plus. En poussant un long « Ouiiiiiiii », elle jouit entre mes lèvres brûlantes et je buvais avidement sa liqueur.
Nous nous sommes remis sur le canapé, avons pris un verre. Elle me dit alors : Jai envie que tu me sodomise, mais attends, je vais chercher quelque chose. Elle alla à nouveau dans la chambre et revint avec un vibromasseur. Elle me le donna, puis elle sallongea sur le tapis en me disant : « Avant de me prendre, excite-moi avec ».
Je vins me mettre à coté delle et je mis en marche le vibromasseur. Doucement je le promenais dans son cou, sur ses lèvres. Du bout de lappareil, jeffleurais ses mamelons, la peau de son ventre, puis, dun coup, je le glissais dans sa grotte, le faisant aller et venir le plus vite que je pouvais. Avec ses deux mains, elle massait sa poitrine. Son souffle devenait de plus en plus cours et je navais pas encore envie quelle jouisse. Je lui dis : « Met-toi à quatre pattes ». Elle sexécuta, offrant à mes yeux ses fesses. Je posais mes mains dessus en les écartant. Son bouton dor mattirait comme un aimant. Ma langue se mis à le lécher, à se glisser en lui. Je savourais cette douce odeur poivrée. Elle me prit le vibro et le glissa dans son vagin. Ma bouche et ma langue sentaient les vibrations de lappareil. Je nen pouvais plus. Il fallait que je me glisse en elle. Je guidais ma verge vers ce doux orifice et je plongeais en elle dun puissant coup de reins.
Elle sallongea et je la suivis. Nous restâmes ainsi un long moment. Je me retirais delle et elle me guida à la salle de bain. Nous prîmes une douche ensemble, puis nous sommes retourné au salon. A ce moment là, la porte dentrée souvrit, et
Mais cest pour une prochaine histoire
.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!