Aventure (Suite)

(suite )

Voilà une dizaine de jours que je n’ai eu aucune nouvelles de Sylvana et de Françoise. Alors que j’allais faire des achats en ville, j’ai rencontré Françoise avec son charmant petit garçon de 3 ans. Je suis grand-père et aussi cette rencontre m’a beaucoup plu, surtout du fait qu’elle m’a donné des nouvelles de Sylvana (elle a bien noué une relation avec quelqu’un, je lui demanderais confirmation lorsque je la véhiculerai un de ces prochains jours, mais depuis plusieurs jours elle n’est plus dans son arrêt de bus le matin… a-t-elle changé d’horaire ou est-elle véhiculée ? ) et elle m’a proposé une rencontre à deux chez elle, nous avons aussitôt fixé rendez-vous (les tests sont négatifs, chouette) afin qu’elle puisse donner ce soir là son fils chez sa grand-mère.

Françoise m’a adressé par e-mail un scénario de notre soirée ….. Elle désire expérimenter plusieurs positions d’un livre sur le Kamasutra qu’elle a reçu. Il va y avoir quelques acrobaties à mon avis suite à la description succinte sur le mail. De plus, elle désire que je joue un rôle de « méchant » en lui arrachant ses habits qu’elle aura préparé auparavant en décousant certaines pièces ou coupant un peu quelques bretelles afin qu’elles craquent de suite, ces habits sont destinés ensuite à la poubelle me dit-elle. A voir, j’enregistre ce texte en attendant la soirée et le reprendrai plus tard.

J’avais écrit cette introduction il y a une dizaine de jours. Nous nous sommes vus hier soir avec Françoise chez elle. Après discussion, boire un café, reprise de contact, elle m’a demandé de passer dans sa chambre pour débuter selon le scénario qu’elle m’avait envoyé. Brrr……. !

Je l’ai suivie et arrivé dans la chambre ai commencé à la caresser par dessus ses habits, enlève tout me dit-elle. J’ai alors commencé à lui arracher son chemisier qui s’est déchiré là où elle l’avait préparé, tiré sur son soutien-gorge, me suis ensuite déshabillé pendant qu’elle me regardait en se masturbant par dessus sa jupe, lui ai ordonné d’enlever tout et de se mettre à genou au bord du lit en me présentant ses fesses.

J’ai alors introduit un doigt dans sa chatte en écartant le string qui restait, elle mouillait autant que la fois précédente, le string lui aussi arraché (un si petit fil c’est facile), j’ai présenté mon sexe à sa vulve et le tenant l’ai promené si je puis-dire sur ses lèvres sans entrer.

Son clitoris était gonflé, je l’ai frotté encore pendant quelques minutes avant de la pénétrer d’un coup sec, debout derrière son cul qui se trémoussait et elle qui laissait échapper des râles de plaisir. Je me suis retiré aussi vite que j’étais entré, ce qu’elle ne voulait pas sur le moment, j’ai ensuite procédé par quelques coups de langue à un nettoyage de son cul, lui ai léché, mordillé, aspiré en lui soulevant les reins et écartelé ses globes pour procurer à mon doigt un meilleur accès à sa rondelle foncée. Elle a tout de suite voulu que je continue et m’a reproché de changer de scénario. Un doigt, puis deux se sont introduits et en voulant plus elle à écarté ses fesses avec ses mains, c’est à ce moment là que je me suis mis à lui lécher le cul pendant que j’enfilais néanmoins une capote, pas facile de faire les deux choses en même temps. Aussitôt prêt, j’ai présenté ma queue à la cible et l’ai pénétré tout en douceur jusqu’à ce que mon gland soit entré et ensuite d’un seul coup. J’ai eu peur de ses cris et ai cru tout d’abord qu’elle souffrait, mais ce n’étais pas le cas, heureusement. J’ai mouillé de salive un doigt et l’ai fait glisser sur sa chatte, pas facile avec ses fesses bien remplies, mais elle a apprécié en me demandant d’aller jusqu’au bout et de jouir en elle. Chose faite en très peu de temps.

La salle de bains s’imposait. La cérémonie achevée, nous avons essayé quelques positions du Kamasutra dont elle avait envie, mais devant quelques difficultés, elle m’a demandé de me coucher sur le dos sur son lit. Sa bouche est partie de mes lèvres tendrement, s’est promenée sur ma poitrine, mon ventre et, parvenue tout en bas elle a commencé à couvrir ma bite de petits coups de langue, de me la lécher, la sucer, la tèter, l’aspirer, la gratouiller avant de l’emboucher. Je durcit et sent ma bite qui s’échauffe dans sa bouche, j’ai envie de la lécher aussi et elle vient positionner son sexe sur ma bouche. Je tiens ses fesses de mes mains et entre à petits coups tranquilles sans oublier son clitoris, ensuite à grands coups de langue, je l’amène à la jouissance, elle déverse des torrents de son jus dans ma bouche. Je lui demande avec peine de stopper sa fellation si elle en veut encore mais continue à lui lécher la vulve. Je crois que je n’ai jamais senti une femme en lâcher tant à la fois.

Je la fait asseoir au bord du lit, relève ses jambes et agenouillé par terre lui glisse mon pouce dans la chatte pendant que mon index titille sa rosette, ma langue elle s’occupe du clitoris. Ah « la jeune femme qui vient maintenant demander une pause, ce n’est plus moi qui réclame tout le temps un arrêt.

Je la lui accorde bien volontiers et, couchés côte à côte, nous laissons promener nos mains sur le corps de l’autre. Je cherche son vagin avec mes doigts. Je lui écarte les jambes et finalement me glisse à l’intérieur toujours aussi chaud. Je la pénètre jusqu’à ce que mes couilles touchent le haut de ses cuisses. Nous baisons très lentement couchés sur le côté toujours jusqu’à ce que ses cris de plaisir se réveillent. Je me met sur le dos, elle toujours sur moi, j’en profite pour caresser ses seins tièdes et veloutés, les pointes sont toujours dures. Elle va maintenant me baiser, je lui demande de me faire jouir pendant que je vais rester le plus tranquille possible, c’est elle qui va se démener pour m’amener à la jouissance, pour elle je sais déjà à l’humidité et à la chaleur de sa caverne, à ses spasmes qu’elle viens d’avoir un très bel orgasme. Les ondes de plaisir viennent en moi et je me laisse emporter irrésistiblement.

Je me préparais à m’en aller mais je restai troublé par le désir ardent de retrouver ses caresses, son attirance pour le sexe. Mon envie d’être à nouveau avec elle était très fort. Nous remetttrons certainement le couvert un de ces soirs.