Le Papier Cul Humain ( Nouvelle Version Augmentée )
Je suis allongé sur le ventre dans un étroit compartiment complètement obscur, les mains menottés derrière le dos et les pieds entravés et fixés au panneau coulissant qui me supporte. Je suis seulement vêtu dune paire de bas et dun porte-jarretelles. Jai un plug planté dans le cul. Et mes fesses se ressentent encore de la précédente fessée. On a pratiqué un trou dans le plateau coulissant ( lequel se termine juste avant mes épaules ) pour faire passer mon sexe ( actuellement en demi érection ) ce qui mempêche de le frotter contre ( parfois, en guise de punition , elles maffligent dune ceinture de chasteté pour mempêcher de bander! ). Jentends essentiellement des cris de jouissance, ahaner et des grincements de literies dans les chambres dà côté à longueur de journée.
Soudain, un plouf ! suivi dun bruit de chasse deau se font entendre dans les toilettes féminines den face . Puis le panneau de devant souvre en coulissant vers le haut et un mécanisme me propulse en avant jusquà que mes épaules sortent légèrement dans le vide. Je me retrouve en face dune belle chatte munie dune petite touffe triangulaire de poils pubiens située juste au dessus de la fente mon érection commence à augmenter.
Bonjour, madame ! , dis-je très respectueusement à la propriétaire du minou ( sans lever les yeux ça mest interdit ).
Sans répondre, la fille se retourne et se penche en avant me présentant ainsi son splendide cul constitué de belles fesses rebondies et fermes, et dun trou de cul maculé de merde. Ensuite, elle se recule un peu jusquà que mon nez sencastre dans sa raie de cul.
Nettoies le bien ! Léche-cul ! , mordonne t-elle.
Oui, madame !
Et je m'exécute servilement. Pendant que ma langue sactive, mon érection, malgré lodeur et le goût de merde, est à son maximum, et je sens une chaleur, provoquée par la honte, sur mes joues. La fille y prend aussi du plaisir car je la vois se branler en poussant de temps en temps des petits gémissements de plaisir.
Mais cest quil a lair daimer ça ! Lordure! Mon cul doit être propre maintenant ?
- Pas encore, madame ! , mens-je car, bien sûr, jai fini de le nettoyer mais je fais durer le plaisir ( malgré ma position inconfortable car je dois me cambrer en levant la tête ).
Ne te fous pas de ma gueule ! Sale esclave !
Puis brusquement elle se redresse, se retourne et me gifle avec sa main droite ( la gauche sactive sur son con ).
Voilà pour ta gueule de con ! Carpette ! , fait-elle dune voix acerbe
Ensuite, elle prend un tabouret et sassoit dessus, en continuant de se branler. Tout en évitant de croiser son regard, je ne puis mempêcher de mater cette splendide blonde aux yeux bleus.
Alors ! Mange-merde ! Je parie que tes beaucoup plus habile de ta langue que de ta queue ! Nest-ce pas ? Lopette !
- Oh ! Oui ! Madame ! Figurez vous que je suis complètement... impuissant. Bien que je sois âgé de 41 ans, je nai jamais réussi à accomplir lActe sexuel. Jétais tellement timoré envers les filles que je nai jamais pu avoir une petite amie. Certes, jai bien essayé de me dépuceler avec une jeune et jolie prostituée mais ma bite de looser a complètement baissé pavillon devant .... sa chatte ! A la suite de ce lamentable échec, jai progressivement compris que limplacable Destin me condamnait à vie à être un ....méprisable soumis impuissant .
Elle se met à rire puis me lance dun air moqueur et méprisable : Tes vraiment une grosse merde ! Tas pas honte ? Impuissant !
- Oh , Si ! Madame ! Jen éprouve une grande honte mais çà m'excite.
- D'être impuissant !?
- Oui ! Mais aussi d'être un soumis aimant subir toutes sortes dhumiliations, madame ! En ce moment même, ma honte et mon érection sont à leur maximum. Eh, oui ! Madame ! Figurez vous quon me contraint, dans ce tiroir, à être à la disposition de culs féminins ...à lécher, pendant plusieurs heures par jours , mais...quen plus mes impitoyables geôlières en profitent pour me corriger, minsulter et mhumilier pendant mes pauses à lextérieur de ce casier ! Heureusement, on moctroie 2 jours .
Ayant obtenu son orgasme, elle se lève puis avance sa main vers un bouton.
Jen ai assez ! Retourne croupir dans ton trou ! Espèce de minable ! , lance-t-elle dun ton cinglant, en appuyant sur le bouton commandant lingénieux mécanisme qui me renferme dans mon casier. Ainsi rangé dans mon tiroir, jentends à nouveau des cris de femmes jouissant sous les assauts dhommes ...bien virils, eux ! Je nai plus quà attendre un autre cul de jolie jeune femme à nettoyer en méditant jouissivement sur mon misérable sort, entouré par des bruyants et frustrants orgasmes.
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