Mon Premier Travail 01
Mon premier travail
Mon premier jour
Je venais davoir mes 18 ans et pendant la période des vacances, je souhaitais travailler pour macheter un cyclomoteur.
Une voisine mavait donné ladresse dune société quelle connaissait bien et qui recherchait des manutentionnaires.
Elle me dit que sa nièce (Maria) que je connaissais pas devait, elle aussi travailler pendant un mois.
Elle avait tout arrangé avec le service du personnel.
Elle me dit que le mieux serait dy aller avec elle, comme elle connaissait bien car elle y avait déjà travaillé lannée précédente.
Elle avait donc organisé un RDV pour que lon puisse partir ensemble.
Nous devions prendre le bus, puis le métro, pour allez jusquà Bécon-les-Bruyères.
Dès le lundi matin, à lheure dite, je me rendis sur place avec une certaine curiosité et appréhension.
Au lieu dit, il ny avait personne et je minquiétais déjà, je regardais ma montre, jétais en avance.
Le soleil brillait déjà quand je vis sur le trottoir den face, une jeune fille qui me faisait signe.
Cétait elle, sa ligne était élancée dans une robe blanche, et une jolie chevelure brune tombant sur ses épaules.
Elle avait un petit pull bleu clair posé sur ses épaules et un sac à main en toile beige.
Je mappelle Maria et je suis la nièce de Mme xxx, tu es Patrice ! dit elle en me souriant et en avançant sa tête vers moi pour me faire la bise.
Un peu surpris, et hébété, je lui répondis par laffirmative.
Elle avait un joli visage et elle respirait la joie de vivre, un peu plus petite que moi malgré ces chaussures à talons qui laissait voir ces orteils peints en rouge.
Tu as déjà travaillé ? demanda-t-elle, non cest mon premier travail ! Répondis-je !
Tu vas voir cest super là-bas, les gens sont sympa, jy ai travaillé lannée dernière,
Je la regardais mexpliquer tout cela alors que le bus arrivait,
Je la laissais passer devant moi pour monter dans le bus et déjà des pensées menvahirent en voyant ses formes ondulées en montant les marches du bus.
Ma tête était à quelques centimètres de ses fesses (alors que je venais de faire sa connaissance) et jimaginais déjà plein de folies.
A cette époque, javais une « petite amie » Marie Christine, qui était plus une amourette de passage.
Donc coté sexe, cétait bien calme et la petite Maria réveillait dès ce matin dété des pulsions bien naturelles.
Arrivé dans le bus nous avions choisis de nous mettre lun en face de lautre pour se parler et mieux faire connaissance.
Assise, sa robe révélait ses genoux quelle maintenait bien serrés lun contre lautre, je pus aussi voir que sa poitrine était plus que généreuse. Ses mains étaient fines et bien jolies avec des ongles ornés de rouge.
A lun de ses poignets une montre quelle regardait souvent indiquait déjà 7heures 30.
Elle poursuivait la discussion en me demandant ce que je faisais comme études, mes passe-temps favoris, un tas de questions pour combler la conversation.
Jappris que ses parents étaient marchands de légumes, quelle était fille unique, quelle pratiquait la gymnastique et quelle adorait la musique.
Son sac était posé à coté delle et elle en sorti un petit portefeuille noir.
Tu as des tickets de métro, sinon jen ai ? Me dit elle en sortant son ticket
En même temps elle fit tomber un morceau de papier quelle sempressa de ramasser mais en se baissant, je remarquais léchancrure de sa robe qui moffrait une vue imprenable.
Je fis celui qui navait rien vu mais que cétait beau, ce soutien gorge blanc avec une dentelle qui comprimait sa jolie poitrine.
Nous arrivions à la station de métro et nous remarquions que malgré lheure matinale, il y avait déjà pas mal de monde sur le quai.
Alors que nous nous engouffrâmes dans le premier wagon tant bien que mal et nous nous sommes retrouvés serré lun contre lautre ce qui la fit sourire.
Nous étions comme des sardines et les mouvements du métro ne faisaient quaccen les frottements de nos corps bien malgré nous.
Pour commencer la journée, cétait vraiment du « tout bon », mais rien à coté de ce qui mattendais par la suite.
Nos visages étaient à quelques centimètres et je voyais ses yeux marron clair qui ne me quittaient pas du regard.
Elle continuait à me parler delle et de sa famille, de ses copines et je répondais par quelques phrases banales.
Jétais fasciné par ses yeux légèrement maquillés et sa bouche qui sentait bon la menthe.
Ses fines lèvres découvraient de jolies petites dents blanches parfaitement alignées.
Les stations défilaient et le monde augmentait dans le wagon, nous étions face à face et de plus en plus serrés.
Avec les mouvements, son pull avait glissé de ses épaules et était maintenant sur le sol.
Après bien des efforts, elle réussi à se baisser pour le ramasser, mais un virage plaqua sa tête à la hauteur de ma braguette qui devait être gonflée vu létat dans lequel jétais. Jen revenais pas, je rêvais où quoi !
Je nosais bouger, et je voyais bien quelle avait du mal à se relever, avait-elle remarqué quelque chose ?
Alors, pour laider, je lui ai tendu la main pour la relever.
Ses petites joues étaient roses (sûrement la confusion)
Merci Patrice ! Me dit-elle avec un regard évocateur, (alors là elle méchauffait vraiment) ou était ce un jeu ?
Nous nous retrouvions donc plaqués lun contre lautre et je sentais la main qui tenait son sac sur ma cuisse.
Jai rien pour me tenir, tu permets que je me tienne à toi ? Me dit elle en me faisant une moue, un mouvement de la tête lui fit comprendre que jétais daccord (Et comment)
Maria posa donc sa main libre sur mon bras pour se tenir et sagrippa fermement.
Nous étions à mi-chemin du trajet mais nous avions déjà sans le savoir fait un bon bout de chemin.
A chaque virage, nos corps se frottaient, sa poitrine sécrasait sur mon corps, sa chevelure envahissait mes narines, sa main serrait mon bras, son autre main effleurait ma bosse, lavait-elle sentie ?
Quelques stations après, un flot de voyageurs descenda du métro et nous pûmes alors nous assoire lun en face lautre, ouf, cétait chaud !
Je passais le reste du trajet à la dévisager et à repenser a ces contacts furtifs qui mavaient procuré autant dexcitation.
Le midi, nous avons une cantine ou alors on peu manger dehors en se promenant, cest comme tu veux ? Me dit-elle en me sortant de mes pensées les plus intimes.
Oui bonne idée, comme il fait beau, il faut en profiter, tu connais bien le coin ? Lui répondis-je du tac au tac.
A 8 heures 20, nous étions devant le lieu de travail, javais rendez-vous dix minutes plus tard au service du personnel.
Elle me laissa alors en me disant : à toute à lheure devant la porte dentrée !
Oui on sort à midi, cest bien ça ? lui dis-je, Oui oui ! fit-elle en séloignant
Je la regardais, jétais « aux anges » et elle disparut par la porte de coté
Cétait une usine de production de parfum et je fus tout dabord accueilli par le responsable du service du personnel.
Il me demanda quelques formalités et documents à remplir puis appela Mme Cécile
Quelques instants plus tard apparu Mme Cécile, une blonde (vraie ou fausse) sculpturale dune trentaine dannées se présentant comme étant la contremaître de léquipe de conditionnement..
Elle me demanda de la suivre jusquaux vestiaires, pour me changer, ma surprise était de taille car dans les vestiaires, il ny avait que des femmes plus ou moins habillées.
Elle me dit : Tinquiètes pas, ici il y a cinquante femmes et trois hommes, toi, tu es le quatrième ! en faisant un clin dil aux autres.
Donc ici cest les vestiaires avec les douches, tu nauras quà choisir le tien, tu nas pas daffaires pour le travail, je vais te donner une blouse, viens suis-moi !
Je la suivais en entendant derrière nous quelques propos et rires étouffés.
Elle sorti de sa poche une clé et ouvrit une porte qui donnait sur une petite pièce sans fenêtres.
Ici cest la réserve, entre, que je trouve une blouse à ta taille, cest comment ton prénom ! Me dit-elle
Son tutoiement mavait surpris au début mais il était plutôt rassurant et je lui répondis : moi cest Patrice !
Elle me dit : tiens on a déjà eu un Patrice et on en garde un bon souvenir !
Dans la pièce, il y avait des cartons, une table avec quelques chaises empilées, et deux grandes armoires.
Elle ouvra lune dentre elles et me demanda ma taille, heu, je ne sais pas ! Bredouillais-je
Pas grave essaye cette blouse pour voir ! dit-elle en souriant car la blouse était rose
La plupart des blouses sont roses mais je sais quil y en a des bleues !
Je crois savoir où elle sont, aide moi, passe moi une chaise ! répondit-elle
Elle monta sur la chaise en écartant au passage la blouse laissant apparaître une cuisse parfaite.
Evidemment elles sont rangées sur létagère la plus haute et jy arrive pas, donne moi lescabeau !
Un escabeau était rangé derrière le tas de carton et je lui amenais aussitôt.
Elle colla lescabeau à larmoire et commença à monter mais arrivée à la deuxième marche elle me dit :
Patrice, tu devrais le tenir car il nest pas très stable !
Je mapprochais donc de lescabeau pour le maintenir fermement et elle pu en toute tranquillité commencer a monter pour atteindre létagère où se trouvait les blouses bleues.
Cest vrai que lescabeau nétait pas stable et quil se mit à tanguer dangereusement, ce qui fit crier Cécile.
Mais tiens le donc, tu vas me faire tomber
Je navais pas encore osé regarder vers elle de peur quelle surprenne mon regard mais son interpellation me fit lever la tête et le spectacle était grandiose, décidemment cétait mon jour de chance.
La vue est belle den bas ? Me lança-t-elle, je ne savais que faire, coller à cet escabeau avec au dessus de ma tête une vraie femme qui me dévoilait ses trésors et mon sexe qui me démangeait.
Hello y a quelquun en bas, tu pourrais me regarder quand je te parle ! Insista-t-elle
Doucement, je levais la tête vers elle en prenant soin de ne pas regarder sous la blouse, mais cétait impossible vu la position quelle avait prise, je nen ratais pas une miette,
Sous la blouse, elle ne devait porter que ce minuscule petit slip et un soutien gorge
Ca te plait de me regarder, ça texcite, moi aussi, regarde encore !
Une de ses mains remonta alors la blouse pour bien dégager ses fesses, jétais complètement excité et mon sexe était gonflé à bloc, près à exploser après toutes les émotions que javais vécues depuis le matin.
Tiens att les blouses, il y en a sûrement une a ta taille ! dit elle brusquement en rompant le charme.
Maintenant il faut se dépêcher, on a du boulot ! Lança-t-elle
Elle avait mis le feu en moi et mon sexe était aussi dur que la barre de lescabeau.
Je passais une blouse et on referma la porte de la pièce en remettant la clef dans sa poche.
Je gardais en mémoire la vision de cette femme, les jambes écartées au-dessus de ma tête.
En arrivant dans latelier, elle sadressa à lensemble du personnel présent :
Mesdames et mesdemoiselles, je vous présente Patrice qui va travailler avec nous pendant un mois et je vous demande dêtre gentilles avec lui, maintenant au travail !
La chef déquipe sappelait Michelle, cétait une petite brune boulotte avec des lunettes qui lui allaient à ravir.
Elle me présenta les autres femmes qui se trouvaient sous ses ordres : Mélanie, Pascale, Emilie et Rolande.
Le travail était simple à réaliser, car on devait monter les boites et mettre les flacons de parfum dedans.
Lodeur et lambiance qui régnait étaient agréables.
Pendant cette première matinée de travail, certains regards furent échangés, des sourires aussi témoignaient dune grandes complicité comme je pu men apercevoir par la suite.
Rolande, la plus âgée, environ la cinquantaine chantait des chansons dautrefois et dotée dune très belle voix.
Je remarquais également, le décolleté de la blouse dEmilie qui travaillait à deux mètres de moi,
Cétait une petite rousse aux yeux verts avec une peau très claire et je pouvais voir quelle avait la manie de se caresser les cheveux dune manière très sensuelle.
Tout en travaillant, nous avons bien sur engagé la conversation, elle devait avoir entre vingt trois ou vingt cinq ans et elle me dit quelle avait un petit garçon de deux ans, et quelle était divorcée.
Les yeux dEmilie, vert clair étaient magnifiques tout comme sa chevelure, pendant les petits déplacements nécessaires à la réalisation des tâches, je pouvais voir quelle navait pas de soutien-gorge, car les boutons espacés de sa blouse laissaient apparaître sa pale poitrine.
Michelle vint plus tard me voir pour me demander si tout allait bien, et si les filles ne me posaient pas de problème.
Non, non, tout va bien ! Je lui répondis
Ah oui, elles ton pas prévenu quà dix heures il y a une pose denviron un quart dheure ? Dit-elle
Elle interpella Emilie : Tu iras cet après midi avec Patrice chercher de la paille pour les envois fragiles !
Bien Michelle ! Répondis Emilie en souriant
Patrice, va voir Pascale, elle a besoin de toi, il nous faut un homme fort ! dit Michelle tout fort
Jarrivais de lautre coté et je demandais à Pascale en quoi je pouvais laider.
Il fallait décharger les lourds paquets de la remorque du camion qui était à coté du quai.
Merci, toute seule je ny serais sûrement pas arrivée ! Me dit Pascale
Elle aussi était petite, brune la trentaine les cheveux coupés très courts avec de belles boucles doreilles.
Elle avait de beaux yeux noisette très maquillés.
Elle maidait du mieux quelle pouvait en me passant les paquets stockés dans la remorque.
Mon regard fut attiré comme un aimant quand Pascale voulu saccroupir pour ramasser les paquets les plus bas.
Décidemment je pensais quelles avaient toutes le feu au cul, cest pas possible.
Ses deux cuisses ouvertes moffraient la vision dune culotte rose, elle me regardait, elle lavait fait exprès.
Une sonnerie retentie pour nous prévenir de la pose, mais je men serais bien passé.
Elle me dit : je toffre un café si tu veux ou bien autre chose ?
Je ne sais pas ce qui ma pris quand je lui ai dit comme par réflexe : et cest quoi autre chose ?
Tu verras bien, suis moi ! Me dit-elle
A suivre
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