Macollègue De Travail, Et, Sa Copine
La porte dentrée souvrit
Une femme splendide entra et vint vers nous. Armelle nous présenta :
- Ariane, ma voisine, Roland, mon collègue de bureau.
Ariane était vraiment superbe, des longs cheveux blonds, des yeux pétillants, une bouche fine dessinée. Elle portait un chemisier rose, légèrement transparent, une jupe en cuir fendue sur sa jambe gauche, qui laissait voir quelle portait des bas et un porte-jarretelles noir. Elle avait chaussé des escarpins à talons dont les lacets étaient noués autour de ces mollets.
Elle se servit un verre et vint sasseoir à ma droite sur le canapé. Armelle lui demanda :
- Tu restes avec nous ce soir ?
- Oui,
- Alors tu ne vas garder cette tenue,
- Non mais, peut être que Roland peut faire quelque chose ?
- Il va soccuper de toi, pendant que je vais aller nous préparer quelque chose à manger.
Armelle se leva et alla à la cuisine. Je restais seul avec Ariane. Je passais mon bras autour de son cou et nos lèvres sunirent dans un baiser passionné. Sa langue était délicieuse, elle se nouait à la mienne comme un serpent. Je posais ma main sur la soie recouvrant sa cuisse et lentement je remontais en retroussant sa jupe. Arrivé entre ses jambes, je découvris quelle ne portait rien. Elle écarta ses jambes pour me laisser accéder à sa chatte. Comme Armelle, elle était totalement épilée. Sa peau était merveilleusement douce. Je glissais mes doigts entre ses lèvres et je vins titiller son clitoris du bout de mon doigt. Je le pinçais doucement puis je le faisais rouler sous mon doigt. Javais très envie de la découvrir.
Je me suis mis à dégrafer son chemisier. Son soutien-gorge souvrait sur le devant (mon rêve), et je louvrais rapidement pour libérer deux seins fermes dont les tétons étaient hérissés. Je les pris lun après lautre entre mes lèvres, les suçant goulûment. Elle se leva et retira sa jupe.
Elle avait écarté ses jambes, les tenant avec ses mains par les chevilles. Je me mis à quatre pattes et je posais ma bouche sur cette chatte offerte, et déjà perlée de sa liqueur. Je passais et repassais ma langue entre ses lèvres, puis je pris son clitoris entre mes lèvres, le suçant délicatement. En même temps je glissais deux doigts dans sa grotte. Elle hurla :
- Oui, fouille-moi, suce-moi, fort
- Tu aime ça, hein ma salope, lui cria Armelle depuis la cuisine,
- Oui, je veux jouir, je veux faire ruisseler ma sève entre les lèvres de Roland, mon Dieu quil suce bien.
Je m'activais de lui brouter sa chatte doù coulait un doux ruisseau de sève. Javais hâte quelle explose pour la boire. Alors je la fouillais de plus en plus fort avec mes doigts, plantés profondément en elle. Elle se tordait, puis elle lâcha ses chevilles et se mis à masser ses seins avec rage. Je sentais monter son orgasme. Sa tête pendait de la table. Armelle quittant la cuisine, vint poser sa chatte sur la bouche dAriane en lui disant : « Tient lèche-moi, je sais que tu adore ça aussi ». Ariane se mis en devoir de lui explorer sa fente avec sa langue si agile. En même temps, Armelle se masturbait son clitoris de plus en plus vite. Je nattendais plus quelles jouissent. Lorgasme arriva. Se fût Ariane qui explosa dans ma bouche, libérant un torrent de sève que ma bouche bût goulûment. Puis se fût au tour dArmelle de jouir. Sa sève coulait sur la bouche dAriane et sur ses joues.
Armelle se retira et vint passer sa langue sur le visage dAriane pour lessuyer.
- Je nous ai préparé une petite bouffe
Nous annonça Armelle. Nous avons été à la cuisine pour manger, puis nous sommes revenus au salon. Armelle ouvrit une bouteille de Champagne.
Et la suite, fût encore plus merveilleuse
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