Perrine Et Jennifer

L’histoire que j’ai à confesser est celle qui m’est arrivée il y a de ça quelques mois. Je m’appelle Fabien et j’ai 26ans. A l’époque je fréquentais Jennifer une bonne amie avec laquelle nous suivions les cours de notre fac de médecine. Nous étions sur le même banc lors de nos cours, nous étions inséparable et ensemble nous fréquentions un groupe d’amis avec lequels nous écumions bars et boites de nuit. Avec Jennifer qui était plus jeune que moi d’un an je me comportais comme un grand frère, elle me disait tout et je la maternais un peu.





Un soir d’avril alors que nous avions l’habitude de nous retrouver de temps en temps chez elle pour bosser nos poly d’exos. Elle était là comme d’habitude au rendez-vous et nous avons commencé nos révisions. Notre conversation a bien vite dérapé sur les choses de la vie, chose assez peu habituelle entre nous. Moi personnellement je n’avais jamais connu de femme et elle avait des relations floues. Floues, c’était peu dire au fil de la conversation je fini par comprendre que Jennifer était homosexuelle. Ca ne m’a pas surpris et encore moins choqué, malgré tout c’était une bien belle fille au physique très féminin. De longs cheveux blonds qui tombaient sur une poitrine de petite taille mais très ferme.





Le temps passa suite à cette révélation, et nous devenions de plus en plus proche, je commençais à côtoyer ses amis ses conquêtes. Au moment où tout bascula elle fréquentait une demoiselle de 19ans du nom de Perrine. Comme souvent je me rendais chez Jennifer et mes livres sous le bras je pénétrais dans son appartement. C’est Perrine qui m’accueillit, elle et son amie semblaient tirés d’une occupation. Peu importait pour moi et nous voilà partis dans nos révisions Jennifer et moi. Vers les une heure du matin alors que Perrine regardait la télévision, je décidais de m’en aller, laissant les amoureuses ensemble. Arrivé chez moi je me rendit compte que j’avais oublié une partie de mes affaires chez Jennifer.

Puisque c‘était ainsi je me rendis chez elle et pour ne pas la déranger je pris les clés qu’elle m’avait confié auparavant. En me glissant à l’intérieur de chez elle je surpris des bruits venant du salon, en oubliant mes livres je jetais un Œil.





A ma grande stupéfaction, je découvrit Perrine nue massant ses deux énormes seins, jambes écartées et Jennifer à quatre pattes léchant la moule humide de sa compagne. A cette vue je ne pu m’empêcher de crier. Ce qui apparemment n’alerta aucune des deux protagonistes de la scène que je contemplais. Je déboutonnais mon jeans entreprenant de me masturber devant ces deux coquines. Je vis les deux lesbiennes se mettre l’une sur l’autre afin de se déguster la chatte. Je sentais que mon plaisir arrivait a force de voir ces deux salopes se doigter sous mes yeux. Et les cris de jouissance de l’une et de l’autre. Je décidais de jouir sur le parquet. Ce que je fis avant de m’enfuir.





Quelques jours plus tard je lui avouait tout. D’abord vexé et énervé elle le prit mal puis finalement coquine elle me demandait si j’avais aimé. Affirmatif je lui dit que oui, j’avais adoré. Elle m’invita alors à en voir plus. Le plan était simple j’arriverai comme la dernière fois alors qu’elle auraient commencé.





J’arrivais donc la fameuse nuit. Mais je ne pus me retenir, voyant perrine cheveux bruns tétons lourds et chatte touffue d’une toison noisette se doigter en me fixant. Sa voix était douce et me disait « tu aimes ça me matter »… Je passais ma main dans mon slip pour me caresser. Jennifer arriva par derrière et glissa sa main dans mon slip afin de m’aider.



« branle toi salop »

« oui Jennifer c’est bon continue »



Perrine la plus jeune léchait ses doigts pleins de mouille et caressait un peu son anus. Moi déjà très dur je sorti mon sexe, les deux femmes se mirent à genoux et me sucèrent. Mes deux lesbiennes gobaient abondamment mon sexe et s’embrassaient. En même temps elles se masturbaient.

Pris d’une rage folle je pris Jennifer et dans un long râle je la pénétrais, elle était chaude et accueillante. Je m’activais dans son intimité en léchant la chatte de cette salope de Perrine. Tout devenait flou, je me rappelle avoir écarté les fesses de Perrine alors qu’elle ne le voulait pas et mis ma grosse verge de force à l’intérieur de son anus pour entendre ses cris de douleur. Sa douleur fut de courte duré puisqu’elle gémit bien vite. Quand je sentis ma sève venir je m’empressais de sortir pour déverser une grande quantité de fouttre épais dans la bouche de Jennifer qui gardait tout en bouche et le recracha sur les seins de sa compagne. Elle léchèrent mon fouttre avec avidité me remerciant.





Je rentrais chez moi rassasié et heureux….





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