Les Années Soixante 03

Chez Elisabeth

Un soir de la semaine alors que je sortais la poubelle, je tombe face à face avec Elisabeth qui promenait son petit chien.
C’était inespéré car cela faisait plus de dix jours que nous nous n’étions vus.
L’endroit où nous étions n’était pas beaucoup éclairé et sur le trottoir, il n’y avait personne.
Nous nous sommes embrassés et j’espérais que le temps s’arrête pour profiter de ce moment intense.
J’étais heureux de la serrer contre moi, et je respirais son parfum.
Sa bouche était fraîche et avait toujours ce goût de fraise
Elle me dit : Jeudi ma mère emmène ma sœur chez le dentiste et elle veut que je reste à la maison !
Je lui dit : Comme tu me manques ma chérie, j’arrête pas de pensez à toi !
Elle répondit : Moi aussi je repense au cinéma et à tout ce que nous avons fait !
Si tu veux, tu pourras venir me voir jeudi je serais seule avec le chien !
Pendant que je la serrais dans mes bras, une de mes mains se mis à parcourir son corps, j’avais envie de toucher sa petite chatte mais elle repoussa ma main.
Non pas ici, et en plus je ne suis pas bien ! dit-elle. Je pensais que peut être était elle indisposée.
Soudain on pu entendre sa mère qui l’appelais de la fenêtre.
Je suis avec Patrice, on discute Maman ! Répondit Elisabeth
Pas trop longtemps, demain tu te lèves de bonne heure ! dit sa mère.
Je pensais aux trois jours qui restaient avant ce jeudi et j’imaginais les folies que nous allions pouvoir faire.
Elle me dit : j’ai envie de toi et je suis pressée d’être à jeudi !
Je la quittais à regret après une longue étreinte et un baiser interminable
Le jour tant attendu arriva enfin et j’avais dit à ma mère que j’allais chez un copain
J’avais mis mon frère Hervé dans la confidence mais je pouvais lui faire confiance.
A travers la fenêtre de la salle à manger, je vis passer la mère d’Elisabeth avec sa fille.


Bon j‘y vais, à plus tard !
Je savais que ma mère me regarderait partir et je devais prendre le chemin de la rue.
Arrivé au coin de la rue j’escaladais la palissade qui séparait la cour du terrain vague où nous jouions souvent quand nous étions plus jeunes.
Ce n’était qu’un jeu d’ et je me retrouvais devant le bâtiment, le cœur battant pour aller rejoindre Elisabeth.
Arrivé devant chez elle, j’eu un moment d’hésitation quand brusquement la porte s’ouvrit, elle était devant moi rayonnante et heureuse de me voir.
Je te guettais, allez entre !
Elle se jeta sur moi pour m’enlacer et m’embrasser, son chien aussi me fit la fête à sa manière.
Elle portait une petite jupe à fleurs et un chemisier blanc, elle avait nouée ses cheveux en arrière pour se faire une queue de cheval, cela lui allait à ravir.
Je sentais le désir m’envahir comme à chaque fois où Elisabeth était près de moi.
Pour l’occasion, j’avais passé du temps dans la salle de bains, bien lavé de partout, parfumé, pour plaire à Elisabeth.
Pendant que je l’embrassais dans le cou, elle me dit : comme tu sens bon ?
C’était de l’eau de toilette de mon père, mais elle aussi sentait bon, je la respirais, l’embrassais, et l’attirait contre moi de plus en plus fort, je la serrais si fort qu’elle me dit : tu m’étouffes !
Nous étions toujours debout et elle me proposa de la suivre dans sa chambre, son lit n’était pas fait .
Voilà ma chambre ! dit-elle en rigolant
Assied toi sur le lit, tu as soif ? Attends je vais chercher ce qu’il faut.
Je regardais autour de moi la chambre de celle que j’aimais et j’examinais les moindres détails.
Elle revint quelques minutes plus tard avec deux verres de limonade qu’elle posa sur son petit bureau.
Elle s’assis à mes cotés sans rien dire mais son regard en disait long sur ses intentions.
Elle se renversa en arrière comme pour m’appeler a venir la rejoindre.
Je la pris dans mes bras en commençant à l’embrasser à nouveau, sa langue avait toujours ce goût de fraise qui m’excitait, mes mains exploraient ce corps offert à tous mes désirs.

N’y tenant plus, je remontais sa robe à fleurs et surprise, elle n’avait pas de culotte, elle éclata de rire.
Elle écarta largement ses jambes pour que je puisse facilement me frayer un passage dans son jardin secret rempli de ce doux jus du désir et portait mes doigts à ma bouche en sentant sa bonne odeur.
Ma tête roula sur son ventre et ma bouche se colla sur sa chatte grande ouverte, je pouvais voir en détails toute son intimité.
J’étais toujours habillé et j’avais encore mes baskets aux pieds.
Mets toi à l’aise, tu sais qu’on a tout notre temps, ma mère en a pour trois bonnes heures et mon père rentre vendredi !
Néanmoins, je n’étais pas à l’aise du tout de cette situation mais le corps d’Elisabeth qui s’offrait à moi eu raison de mes tourments.
En un éclair, je fus nu comme un ver et plongea ma langue dans la petite chatte d’Elisabeth qui sautait comme une grenouille.
Elle s’empara de mon sexe, le mit dans sa bouche et pour la première je connu la joie de faire un soixante neuf, donner du plaisir et en recevoir en même temps. C’était extraordinaire.
Elle avait gardé sa robe et son chemisier et je lui dit: tu devrais te mettre à l’aise toi aussi, ta robe va être toute froissée !
Elle dégagea mon sexe de sa bouche puis se déshabilla tranquillement devant moi.
Elle dégrafa bouton après bouton et ôta son chemisier, elle ne portait pas de soutien gorge, elle n’en n’avait pas besoin, sa petite poitrine bien dessinée et ses petits tétons dressés ne demandaient qu’à être caressés.
Elle se mit debout sur le lit pour retirer sa robe à fleurs qu’elle jeta à l’autre bout de sa chambre en riant.
J’étais à ses pieds et la contemplais de bas en haut, je me mis sur le dos pour mieux voir ses formes.
Elle plaça ses deux pieds près de mes épaules pour m’offrir le spectacle de sa chatte béante à chaque fois qu’elle écartait les cuisses. Elle se mit à danser au dessus de moi pour me provoquer et m’exciter davantage.

Sa petite chatte venait de plus en plus près de mon visage et j’avais envie de la bouffer.
Je la suppliais : Allez viens, j’en peux plus !
Elle s’assis alors complètement sur ma bouche et ma langue pu fouiller bien à fond cette chatte juteuse.
Je la saisi par les fesses pour l’obliger à se pencher vers mon sexe qui demandait une attention particulière.
Il était dur comme un morceau de bois, et au contact des lèvres sur mon gland décalotté, je ne pu retenir un petit cri de jouissance.
Mes yeux ne quittaient pas la vue de cette petite moule, oui c’est vrai cela ressemble à un coquillage, les petites lèvres, le clitoris, des replis aux couleurs rose, rosé, brun orangé et le tout baignant dans ce jus d’amour.
Mon nez vient buter sur son cul toujours aussi petit malgré le passage de l’autre jour où j’ai pris un pied d’enfer.
Ah tu me fais du bien, vas y …fouille bien dans ma chatte avec ta langue…bien à fond ! dit elle en haletant.
Elle avait envie de jouir et avait cesser les mouvements de sa bouche sur mon sexe, elle avait relevé la tête et commença à se masturber le clitoris pendant que je la suçais avidement.
Elle gémissait en poussant des : Oui…oui…oui ! Ce qui intrigua le chien qui aboya
Je lui dit de faire attention et de pas trop crier mais son plaisir était trop fort et le chien continua lui aussi a aboyé.
Elle s’écroula sur mon corps et nous sommes resté inertes quelques instants.
Puis elle repris mon sexe dans sa bouche, elle descendait et montait doucement, sa langue tournait autour de mon gland, on aurait dit qu’elle suçait une glace.
Sa chatte vient s’écraser une nouvelle fois sur mon visage comme si elle en voulait encore, ma langue replonge dans la caverne humide et je commence à caresser son petit cul.
Sa main me fait comprendre qu’elle ne veut pas et me dit : Non pas par derrière, le dernière fois j’ai eu mal au cul pendant trois jours et j’avais du mal à m’assoire !
Pas grave pensais je en moi-même en écartant largement les lèvres de sa chatte pour mieux lui lécher l’intérieur.

Elle était encore toute excitée et moi aussi je sentais du coté de mon sexe quelques picotements caractéristiques.
Tu vas pas jouir dans ma bouche je te veux dans ma chatte ! Dit elle subitement
Regarde, j’ai des préservatifs, je les ai pris à mes parents tout à l’heure ! Me dit elle fièrement
Elle déchira le petit paquet et me tendit le préservatif.
Vas y, mets le sur ton zob, après tu pourras me faire l’amour !
Jamais je n’avais posé ce ridicule morceau de plastique mou qui ressemblait à un ballon mais très fin.
Mon sexe était toujours en super forme et je me mis à dérouler le préservatif qui habilla mon membre d’une nouvelle peau.
Bah voila, je vais voir comment que ça fait, car c’est la première fois que je fais l’amour ! dit elle sérieusement.
Elle était encore vierge et c’était un honneur pour moi d’être le premier
Elle m’offrait sa virginité comme un gage d’amour
Tout doucement elle commença une lente descente en écartant bien sa chatte avec ses doigts, d’abord ce fut l’extrémité de mon sexe qui entra dans sa chatte puis très doucement, je n’osais bouger, Elisabeth faisait tout le travail en contrôlant l’avancée des travaux.
Millimètres par millimètres, mon sexe s’enfonçait en elle et je voyais son visage se crisper en se mordant les lèvres.
Etait ce du plaisir ou de la souffrance, encore des gémissements, des petits cris étouffés, puis elle s’activa tout à coup pour faire aller et venir mon sexe dans le sien.
Elle était toujours sur moi mais je voulais maintenant contrôler la situation en me mettant sur elle.
Je veux venir sur toi, pour te prendre et te faire l’amour ! Lui murmurais je à l’oreille.
Je fis un mouvement sur le coté et mon sexe se dégagea du sien, elle se mit alors sur le dos et j’allais remettre mon sexe emballé quand je vis des traces de sang.
Je lui dis un peu surpris : tu saignes, je t’ai fais mal ?elle me répondit : non c’est normal, tu m’as pas fais mal mais maintenant aimes moi et fais moi l’amour !
Attends je vais mettre une serviette pour pas tacher !
Je me remis en position, et j’avançais mon sexe vers cette entrée meurtrie, après quelques mouvements de va et vient, Elisabeth lança ses jambes dans mon dos pour mieux me serrer contre elle, mon sexe était en elle complètement, jusqu’à la garde, les mouvements de ma belle commençaient à s’accélérer et ses jambes se raidir pour se serrer l’une contre l’autre, sa respiration était forte.
Oh…je jouiiiiiiiis !!! Cria t-elle comme une folle,
De la voir dans cet état me provoqua une excitation intense qui déclencha une pression incontrôlée de mon sexe et je ne sais plus bien ce qui s’est passé après.
J’étais dans un état second ou rêve et réalité se mélangeaient, nous ne faisions qu’un.
Etait ce cela l’Amour ?
Je ne sais plus combien de temps nous sommes resté l’un dans l’autre , l’un contre l’autre, mais quand j’ai regardé son réveil, il indiquait 16 :30, sa mère n’allait pas tarder, il fallait s’activer,
Nous nous sommes levés d’un bond, le préservatif était resté sur mon sexe et pendait comme une guimauve se qui nous fit bien rire.
Un p’tit brin de toilette, se rhabiller pendant qu’Elisabeth remettait un peu d’ordre dans sa chambre, je me dépêchais pour ne pas tomber sur sa mère, j’embrassais encore une fois Elisabeth qui me dit : Merci mon chéri !
Je lui repondais : Moi aussi je te remercie pour tout, je t’aime mon amour !

A suivre…

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