Les Années Soixante 02
Elisabeth au cinéma
Je me souviendrais toute ma vie de cette première fois avec Elisabeth, de ce contact avec une autre personne qui donne du plaisir et à qui on donne du plaisir.
Des nouvelles sensations étaient nées pour marquées toutes ma vie.
A dix huit ans, jétais évidemment amoureux fou delle mais avec le recul je pense que cela était purement sexuel.
Javais bien caché sa petite culotte que je respirais de temps en temps, quel parfum !
Un jour, le petit frère dAnnick mappela par la fenêtre (on habitait au rez-de-chaussée) pour me donner quelque chose..
Vite je le retrouvais dehors et il me donna un petit mot de la part dElisabeth
Mon chéri,
Depuis une semaine je ne pense quà toi
Toutes mes pensées vont vers toi
Jai hâte de te revoir
Quand je repense à tout ce que lon a fait tous les deux
Je suis folle de ton sexe et de ton corps
Toutes tes caresses, comment les oublier
On est complètement fou mais que cest bon
Tu me manques mais hélas, je ne suis pas là jeudi prochain
Je taime
Ton Elisabeth
Je me suis fais disputer par ma mère pour ma culotte
Je lui ai dis que javais pisser dedans et que je lavais jeté
Je sais que cest toi qui la et tu peux la garder
Réponds-moi vite
Comment rester insensible à une telle lettre ?
Je devais lui répondre car cette première expérience devait se poursuivre.
Javais des sentiments pour Elisabeth et je devais lui dire et lui écrire
Ma chérie,
Tu mas fait découvrir le véritable amour et jamais je noublierais cette journée.
Je pense à toi moi aussi tout le temps et rien que den parler mon sexe bande.
Il bande pour toi, pour celle que jaime et jai hâte de parcourir ton corps.
Jai hâte de tembrasser et de te faire du bien comme lautre fois.
Cest dommage pour jeudi prochain,
Aurais tu la permission daller au cinéma avec moi si je demande à tes parents
On ira avec Annick et Hervé voir « Ben Hur ».
Je taime
Patrice
Je donnais ce petit mot le lendemain au petit frère dAnnick pour quil le remette à Elisabeth.
Il était dans la même école privée catholique.
Je devais donc préparer la sortie cinéma et aller voir les parents dElisabeth.
Ils me connaissaient bien et ils savaient que jétais un garçon sérieux
De plus javais fais ma communion et cela avait beaucoup dimportance pour eux.
Ils étaient un peu « cul bénis » et ce que mavait raconté Elisabeth concernant leur vie sexuelle mavait surpris.
Elisabeth avait une sur bien plus jeune, très curieuse et une vraie pipelette.
Après en avoir discuté avec mon frère et Annick, je demandais à mes parents si je pouvais emmener Elisabeth au cinéma.
Pas de problème si ces parents sont daccord.
Le samedi suivant je demandais donc lautorisation aux parents dElisabeth de lemmener voir « Ben Hur »au cinéma de quartier.
Ceux-ci me recommandèrent de bien faire attention à elle (ce que je manquerais pas de faire) et quils me faisaient confiance.
Jattendais le jeudi avec impatience pour emmener ma belle au cinéma.
Le jeudi à treize heures, je frappais à sa porte et sa mère vint mouvrir.
Bonjour
cest Patrice qui vient te chercher
dépêche toi !
Elle me dit bonjour en membrassant sur les joies et le rouge de confusion gagna mon visage.
Patrice, je te la confie, prends soin delle et ne la ramène pas trop tard car demain elle a cours !
A peine la porte fermée derrière nous que je ne pu mempêcher de lui prendre la main pour lentraîner dans le hall dentrée.
Cela faisait si longtemps que je ne lavais pas sentie et serrer dans mes bras.
Elle était adorable dans sa petite jupe plissée, son corsage blanc et un petit gilet quelle portait sur le bras.
Jétais très excité de la revoir en pensant aux merveilleux moments passés.
Nous nous embrassions comme des fous et nos langues se chatouillèrent comme au premier jour.
Elle sent bon la fraise et jai envie de la manger.
Mon amour
comme je suis contente de te voir ! Dit-elle
Mon frère entra à ce moment mais ne pu voir ce que nous faisions.
Alors dépêchez-vous, on vous attend, on va rater la séance de cinéma si ça continu ! Dit Hervé
Nous nosions pas faire voir notre « attirance » aux yeux des autres et sagement nous sommes partis main dans la main vers le cinéma.
Hervé et Annick marchaient ensemble et rigolaient de nous voir ainsi : oh les amoureux ! Chantaient-ils ensemble
Je serrais sa main et mon cur battait la chamade.
Arrivés au cinéma, nous avons demandés quatre balcons pour voir « Ben Hur ».
En entrant dans la petite salle, je fus pris dune forte envie de pisser et je dis à Elisabeth de mattendre car je devais aller aux toilettes.
En revenant dans la salle, je remarquais le peu de monde mais surtout mon frère qui sétait mis à coté dElisabeth.
Cela ne me laissait dautre choix que de minstaller près dAnnick, ce qui ne me plaisait pas du tout.
Mon frère voyant ma tête rigola et me dit : je vais pas te la prendre, tiens je te laisse la place !
Le film nétait pas commencé et je minstallai près dElisabeth.
Dès lobscurité faite, nos mains se joignirent et sa bouche chercha la mienne.
Je passais alors mon bras autour de son cou pour mieux la serrer contre moi.
Depuis un moment déjà mon sexe avait pris de lembonpoint au simple contact dElisabeth.
Profitant de la pénombre, sa main se posa sur ma cuisse puis remonta doucement jusquà effleurer la bosse sur mon pantalon.
De mon coté, ma main explorait sa poitrine et je sentais sous son corsage ses petits seins et son cur battre très fort.
Elle me murmura à loreille : Jai tellement envie de toi !
Mon frère dit tout haut à Annick : Regarde les tous les deux, ils ne regardent même pas le film il ne pensent quà se bécoter !
Cela eu un effet immédiat et elle retira brusquement la main posée sur mon sexe et ainsi que moi-même quittant sa chaude poitrine.
Alors il me vint lidée de nous éloigner un peu pour avoir un peu plus de tranquillité.
Je demandais à Elisabeth de me suivre dans un endroit plus discret et un peu moins éclairé.
Nous étions de nouveau au paradis des amoureux et nous pouvions reprendre nos échanges de caresses et de baisers.
De temps en temps les images du film me faisaient découvrir le visage dElisabeth illuminé et rayonnante de bonheur.
Ma main repris le chemin quelle avait déjà parcouru et malaxa à travers le tissu sa poitrine.
Je sentais ses tétons devenir tout durs sous lexcitation puis je décidais de mettre ma main sous sa petite jupe plissée.
Elle me dit : tu es fou, si quelquun nous voit !
Pour la rassurer, je lui confirme que lon risque rien, que lendroit est vraiment idéal.
Ma main remonte doucement le long de sa cuisse et je touche la culotte que je sens bien humide.
Elle écarte un peu plus les cuisses pour que je puisse mieux passer ma main et écarter sa culotte.
Je sens sa petite chatte mouillée bien excitée et quand mon doigt effleure son bourgeon, sa main se crispe sur ma cuisse.
Nos bouches ne se décollent plus et nos langues papillonnent.
Elle a mis sur sa jupe son gilet pour cacher ma main qui la fouille et qui lui donne tant de plaisir.
Soudain le faisceau dune lampe électrique interrompt nos ébats.
Ce nest rien, juste un nouveau spectateur, nous reprenons alors quelle na pas bougée.
Je porte ma main à mon nez pour respirer son parfum et je lèche mon doigt pour goûter ce mets délicat.
Tu aimes mon odeur ? dit-elle, oui jadore et le goût de ton sexe aussi ! Je lui réponds
Je replonge ma main dans cette chaude moiteur et je sens quelle mouille abondamment,
Je joue avec son clitoris et ses lèvres, elle ouvre encore plus les cuisses pour mieux apprécier mes caresses.
Sa respiration est rapide et sa bouche qui sent bon la fraise est toujours aussi avide de ma langue
Je sens sa main se poser sur mon pantalon.
Elle trouve la fermeture éclair de mon pantalon et masse mon sexe à travers mon slip.
Ca devient vraiment drôle quand elle sort mon engin qui se dresse comme un diable qui sort de sa boite.
Il est vraiment gonflé par le plaisir, il est ruisselant et juteux et prêt à exploser.
Je retire ma main de sa chatte car je comprends quElisabeth veut me donner du plaisir.
Après avoir regardé sur les cotés, elle se penche vers mon sexe et lenveloppe dans sa chaude bouche.
Je ne vois que sa chevelure châtain, sa tête est posée contre mon ventre et elle sactive sur ma raide tige brûlante de désir.
Je nen peux plus, cela fait trop longtemps que je me retiens et je lui signale par une petite tape que je vais jouir.
Elle continue quand même et je me retiens pour ne pas lui « balancer la purée » dans la bouche.
Impossible de me retenir et elle doit vouloir mon sperme sinon elle se serait déjà arrêtée.
Je sens mon cur battre et le sang dans mes veines semble être en ébullition.
Sur lécran je vois une course de chars, cest tout ce que je me souviens du film.
Ca y est, je lâche une giclée qui ne fait pas relâcher la prise dElisabeth, puis une autre encore plus forte vient inonder sa bouche, elle me presse le sexe de sa main pour savourer jusquà la dernière goutte mais je ne sais pas encore si elle a avaler ma semence.
Je vois quelle relève la tête en sessuyant les lèvres du revers de sa main.
Tu sais que ton sperme a le goût de noisette ? dit elle dun air canaille.
Elle a donc bu mon sperme et en plus cela lui a plut, je nen reviens pas
un goût de noisette.
Le film nest pas encore terminé quand elle me dit quelle veut aller aux toilettes.
Jen profite pour faire un peu le ménage et marranger mais déjà je pense au retour et de lattente dune prochaine fois.
Alors ny tenant plus je me lève à mon tour pour aller aux toilettes et en passant je remarque que mon frère nest resté inactif avec Annick.
Ils sont blottis lun contre lautre, les yeux fermés et les mains je ne sais où.
Jarrive devant les toilettes femmes et je vois Elisabeth qui se lave les mains.
Mais quest ce que tu fais là ? Tes complètement dingue ! dit-elle en rigolant
Viens suis moi dit-elle en me prenant par la main et elle mentraîna vers des WC quelle referma derrière nous.
Jai trop envie de toi et je sais que tu dois rentrer bientôt, quand pourrons nous nous revoir ?
Nous étions seul dans ce lieu public mais à labri des regards, je la serrais contre moi et nos bouches se recollèrent à nouveau.
Son haleine avait changée et le parfum de fraise avait fait place à une autre odeur moins agréable due à ma décharge de sperme.
Je lui reposais la question pour être bien sur : tu as vraiment aimé mon sperme ?
Oui, cest la première fois que jy goûte et cest avec toi que je veux goûter à tout ! dit-elle
Elle me demanda si javais des préservatifs, hélas non jen avais pas
Les seuls que javais eu entre mes mains avaient terminés en ballons, si javais su !
Elle me dit : ça ne fait rien, mes copines mont dit que par derrière il ny avait aucun risque
Si tu veux je me donne toute à toi !
Puis elle se retourna pour me monter ses fesses qui étaient magnifiques.
Comme je ne les avais pas bien vues la première fois dans le cabanon, jen profitais pour les admirer et les caresser.
On était là tous les deux complètement fou mais heureux et plein de désir lun pour lautre.
Je lui fit glisser sa petite culotte blanche (comme la précédente mais avec un liseré bleu) tout en caressant ces deux fesses douces et soyeuses.
Une de mes mains se frayait un chemin pour atteindre sa petite chatte bien mouillée tandis que lautre commençait à sintroduire dans son petit trou.
Tu es sur de vouloir par ce coté ? Ça ne va pas te faire mal ? Lui dis-je
Lèche bien mon cul et après tu pourras y mettre ton zob ! répondit-elle
Elle se penchait en avant en prenant appui sur la cuvette des WC
Ses deux fesses étaient bien écartées et je voyais bien le petit rond dans lequel je devais mintroduire.
Ma langue commença par lécher sa raie qui avait un goût salé puis je mattaquais à cette petite partie toute nouvelle pour moi.
Même dans mes rêves je navais imaginé une pareille fête. Et les autres qui regardent Ben Hur !
Ma langue allait et venait, tournait autour avant de sintroduire dans ce petit orifice brun orné de petits plis
Du coté de mon sexe, sétait à nouveau le beau fixe, et je nétais pas à laise dans mes vêtements.
Je laissais pour un court moment ce joli petit cul afin de laisser tomber mon pantalon et mon slip.
Je salivais onctueusement et mon index senfonça de quelques centimètres dans le derrière dElisabeth
Javais une trique denfer à la place de mon index je mis mon pouce bien enduit de salive qui senfonça aussi de quelques centimètres.
Soudain elle recula pour le faire pénétrer entièrement. Ah
que cest bon ! fit-elle
Mon pouce allait et venait dans son cul pendant que mon index sintroduisait dans sa chatte.
Le mouvement des deux doigts provoquait des gémissements et des soubresauts incontrôlés.
Maintenant vas y mets le dedans vite !
Javançais donc mon gland devant cette région inexplorée et vierge de toute visite
Mon gland est de bon calibre et devant ce petit trou, jai des doutes sur la suite de lopération.
Cest alors quelle intervient en prenant les choses en main (cest le cas de le dire)
Prenant mon sexe dans sa main pour le guider au mieux vers son cul, Elisabeth continuait de gémir.
Mon sexe commença tout doucement à écarter le petit trou qui semblait se dilater au passage de mon gland.
A ma stupéfaction, il fut bientôt happé complètement dans ce cul où je me sentais bien au chaud et serré.
Vas y encule moi mon cochon
bouge !
Comment ne pas répondre à une telle demande, je mexécutais mais tout doucement car javais peur de laisser partir la vapeur que je sentais monter. Quel spectacle !
Jaccélérais le mouvement qui provoqua sur Elisabeth des petits cris bien difficiles à .
La jouissance qui la gagnait faisait flageller ses jambes et son corps.
Des mouvements de va et vient suivaient ma cadence en venant au devant de moi pour mieux sempaler sur mon sexe.
Mon sexe sengouffrait jusquà la garde et le sentais près à exploser dans le cul dElisabeth qui se trémoussait de partout.
Quel pied ce fut pour nous deux quand la grande secousse arriva en déversant ma semence par grosses giclées dans ce joli petit cul.
Mes jambes ne pouvaient plus me porter et je mécroulais sur Elisabeth
Jétais mort.
Après un long moment de tendresse, de baisers sur le dos, les oreilles et le cou, il fallait reprendre nos esprits avant la fin du film,
Je laissais Elisabeth se remettre de ces émotions et après avoir rangé mon sexe épuisé, je me suis rhabillé pour regagner ma place comme si rien ne cétait passé.
Quelques minutes après, Elisabeth me rejoignait pour nous enlacer tendrement après une séance de cinéma bien particulière.
La séance de cinéma avait été un moment inoubliable et déjà sur le chemin du retour, jappréhendais le moment où je devais la quitter, sans savoir quand je pourrais la revoir.
A suivre
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