Mon Premier Travail 03
Maria
Après cette surprise de taille, et une bonne douche, je regagnais ma place à latelier et je jetais un coup dil à la pendule, elle indiquait déjà onze heures un quart et dans trois quart dheure je retrouverais Maria.
Si elle savait tout ce qui cest passé ici depuis mon arrivée, jamais on ne me croira !
Les clins doeils et les sourires fusaient de partout, jétais assez fier de ma prestation et à en juger par les mines réjouies de mes collègues, je ne me trompais pas.
Emilie revenue aussi narrêtait pas de me regarder en me souriant, cela commençait à me gêner sérieusement.
Javais hâte de prendre lair pour me changer les idées mais les images de la réserve étaient si fortes que je ne pouvais penser à autre chose.
Javais encore lodeur de tous ces sexes et je portais instinctivement mes doigts discrètement vers mon nez pour les renifler. Javais limpression que tout mon corps était baigné par cette odeur de femelles en chaleur, malgré les essences de parfums multiples qui nous entouraient.
Ah il était midi, une sonnerie retentie et je me dirigeais vers les vestiaires pour me préparer quand Emilie minterpella : Tu manges avec nous Patrice ? je lui répondis : Non pas aujourdhui, jai autre chose de prévu !
Dehors le temps était splendide tout comme Maria dans sa robe blanche qui mattendait, assise sur un banc sur le trottoir den face. Elle lisait un livre en attendant et quand elle releva la tête elle maperçu, elle me lança un immense sourire en me faisant signe de venir la rejoindre.
Son sourire était éclatant et ne pouvais détacher mes yeux de sa bouche et de ses belles dents blanches.
Alors, cette première journée, pas trop dur ? dit-elle, Ah si elle savait, mais je me contentais de lui dire :
Non ça cest bien passé, et les personnes avec qui je travaillent sont très sympa, et les chefs aussi, il ny a que des femmes ! Ah bon ! fit-elle, dun air étonné, moi je travaille dans les bureaux et les gens aussi sont très gentils ! Continua t-elle.
Je lui dis : Jai très faim, tu connais un endroit ? (Lexercice du matin mavait ouvert lappétit)
Elle répondit : Et bien si tu veux, on peu prendre un bon sandwich au café du coin et aller manger dans le parc !
Elle pris un sandwich à la salade avec une bouteille deau et moi un sandwich au jambon avec de leau également.
Après cela, nous étions arrivé dans ce magnifique par et après avoir marcher quelques temps, elle me dit :
On va sinstaller par là, on sera tranquille ! En me désignant un petit carré de pelouse loin des passages piétons et des regards indiscrets. Elle sassis la première et dune drôle de façon, en écartant sa robe blanche pour éviter de la salir. On set bien là, cest sympa comme coin ! dit-elle en regardant autour delle. En tournant la tête, son corps pivota et sa jambe sécarta, relevant la robe et découvrant sa cuisse. Elle mordait à belles dents dans son sandwich.
Elle avait posé son sac dans lherbe près de moi et je pu voir quelle lisait un roman damour.
Je lui posais la question : Moi aussi jadore lire, cest bien ce que tu lis ?
Oh tu sais, jaime bien lire ce genre de roman où il y a des sentiments et des histoires damour, ça me fait rêver ! dit-elle dun air penseur.
Après avoir bu une gorgée deau, elle sinstalla plus confortablement et regarda ses jambes.
Tu trouves pas mes jambes un peu blanches, regarde ? dit-elle en les massant
Non elles sont très bien comme elles sont, et je les trouve très belles ! Rajoutais-je rapidement
Cest gentil, tu les trouves belles mais jai envie de profiter du soleil et les faire bronzer un peu ! dit-elle
Sur ce, elle remonta sa robe légèrement pour découvrir ses cuisses.
Je devinais sous cette robe blanche sa petite culotte qui faisait une légère marque sous le tissu.
Ses cuisses étaient de plus en plus dégagées pour profiter de la chaleur du soleil et ça chauffait dur en ce mois de juillet.
Ah ça fait du bien ! dit elle en renversant sa tête en arrière pour que son visage soit lui aussi inondé de soleil.
Je vais mallonger un peu pour faire un bain de soleil, tu veux faire pareil ? Continua-t-elle en se couchant dans lherbe. Oui tu as raison je vais en faire autant ! Répondis-je.
Jétais assis en face delle et je basculais mon corps sur le coté de façon que ma tête soit en pleine ligne avec ses jambes. Ses cuisses étaient bien serrées lune contre lautre et je guettais le moindre de ses mouvements.
Le soleil devait lui procurer du plaisir, car elle se mit à desserrer doucement son entre jambe.
Soudain, une fourmi la chatouilla et elle fit un geste brusque pour la chasser et dévoilant en même temps le trésor que je cherchais à découvrir.
Elle avait gardé les cuisses dans cette position et je pouvais ainsi profiter du spectacle qui soffrait à moi.
Au fond de ses deux cuisses, on pouvait voir se dessiner nettement une culotte blanche qui contrastait avec la pelouse et ses jambes.
Je mimaginais être la petite fourmi pour mintroduire dans la petite culotte et pénétrer dans sa petite fente.
Je commençais à fantasmer un max devant la position de Maria et ma queue déjà bien sollicitée gagna en volume au point de me gêner dans mon jean.
Je regardais fixement le centre de la petite culotte ou je devinais les lèvres et son clitoris.
Jétais en train de mimaginer en train de lui lécher la chatte quand une abeille pénétra sous sa jupe pour se poser sur sa cuisse. Un cri me fit sursauter et Maria se mit brusquement debout
Une bête ma piquée ! Cria-t-elle tu las vue, quest ce que cétait ? demanda t-elle
Je nosais lui avouer que javais vu une abeille se faufiler sous sa robe.
Non jai rien vu, tu es sure quelle ta piquée ? Lui répondis-je
Tiens, regarde ! dit-elle en me montrant lendroit où labeille avait piquée.
Elle me montrait lintérieure du haut de sa cuisse et elle avait relevée sa robe au ras de sa culotte.
Je mapprochais de sa cuisse pour voir une trace rouge laissée par linsecte.
Ah oui elle ta piquée, il doit y avoir le dard à lintérieur ! (Je pensais en disant cela à mon dard qui serait bien aussi à lintérieur)
Ma main touchait lintérieur de la cuisse, à cet endroit, sa peau était dune douceur exceptionnelle et je jetais furtivement un coup doeil en direction de sa culotte, laubaine était trop belle.
Tu vois quelque chose, il faut retirer le dard, sinon ça risque de saggraver ! demanda-t-elle
Elle sentait bon le miel (normal quune abeille fut attirée)
Ce que je voyais était superbe, tout en regardant la trace de linsecte, jadmirais les environs et je nétais pas déçu.
Mon sexe était de nouveau dur comme une barre de fer et javais du mal à cacher mon excitation.
Comment veux tu que je fasse, je te coupe la jambe ? Répondis-je pour la faire rigoler mais aussi la rassurer.
Moi je ne peux rien faire, tu dois sucer le venin et retirer le dard ! dit elle en me regardant dans les yeux alors que jétais à ses genoux.
La situation était vraiment gênante pour elle et je faisais celui qui nosait pas
Allez dépêche toi cest pas si compliqué ! Implorait-elle
Attends si quelquun nous vois, que vont-ils penser, allons ailleurs ! dit elle en mentraînant derrière les buissons.
Là personne ne peu nous voir, allez lèche mon dard ! dit-elle en portant sa main à sa bouche et se retrouvant toute bête avec sa robe relevée. Trop tard elle avait prononcé ces paroles sans sen rendre compte.
Cnest pas ce que je voulais dire mais ta compris ! Continua-t-elle morte de confusion et rouge de honte.
Cétait un appel ou je ne my connaissais pas en femmes, japprochais ma tête de sa cuisse et posa ma main sur lendroit à traiter, ma bouche effleura sa peau de satin et ma langue sapprocha de la zone boursouflée.
Je respirais sa peau qui sentait le miel, sa petite culotte était à dix centimètres à peine de ma bouche.
Je sentais aussi le haut de ma tête qui frottait sa culotte, elle sursauta.
Je lui dit : ne bouge pas, je dois localiser le dard pour le retirer ! Pour la maintenir, mon autre main se plaça derrière sa cuisse pour bien limmobiliser.
Je ne savais pas vraiment où étais la priorité, mais je mappliquais à retirer le dard que je sentais bien maintenant du bout de ma langue. Je pressais en aspirant en même temps et à ce moment elle me passa ses doigts dans mes cheveux pour les caresser, puis elle appuya sur ma tête pour la serrer contre son corps.
Tu me fais mal ! Me dit elle en se crispant sur ma tête enfoui entre ses jambes
Javais retiré le petit morceau du dard et je lavais entre les dents, je nosais lui annoncer de peur que tout sarrête.
A travers sa robe je voyais la clarté du soleil et en relevant ma tête je pouvais voir distinctement sa culotte dont un coté sinfiltrait dans sa chatte. Quest ce que je risque, pensais je en mettant mon nez sur le renflement de son sexe. En même temps je reniflais les effluves de ce merveilleux endroit. Ses mains appuyèrent davantage et mon nez était maintenant complètement écrasé sur sa culotte.
Javais le feu vert !
Je me relevais pour la prendre dans mes bras, elle se laissait faire, je lembrassais tendrement dans le coup et je lui murmurais que javais retiré le dard et quelle était guérie.
Elle me dit : je serais guérie quand tu mauras embrassé ! Je la renversais sur le coté pour lui rouler une pelle denfer, mes mains sactivaient sous sa robe, jaurais voulue la coucher sur le sol mais avec sa robe blanche il fallait pas trop y penser. Mes mains pétrissaient ses fesses, je relevais sa robe pour mieux sentir sa peau, ses fesses étaient douces comme de la soie et je sentais à mes caresses quelques contractions de ses muscles fessiers.
Nos langues ne se détachaient pas et continuaient leurs petits jeux pour mieux faire connaissance de lautre.
Une de mes mains sattaquait maintenant à la culotte, elle réussie à sinfiltrer pour atteindre sa petite raie qui était trempée de sueur ou dexcitation.
Je sentais maintenant une de ses mains glisser son mon polo, elle me caressait le ventre et le torse.
Mon sexe était bandé à mort et javais encore une grosse envie de jouir malgré les prouesses matinales.
Debout, nous étions dans une position inconfortable mais tant pis, une main dans les fesses lautre attaquait maintenant la petite chatte qui devait être bien mouillée. Je passais sur le coté de la culotte comme je lavais vu tout a lheure quand jétais sous la robe. Mon doigt écarta lélastique et ma main trouva lentrée de ce sexe qui provoqua un gémissement et un plaisir immense à Maria.
Lentrée de sa chatte était chaude et gluante, je lui demandais si elle avait déjà fait lamour, elle me fit signe que non et que pour elle sétait une première fois mais que dès quelle mavait vu, je lui avais plut.
Elle voulait faire lamour avec moi, que je sois le premier.
Je continuais à la caresser et mes doigts passaient inlassablement de lintérieur de sa chatte à son petit bouton.
Brusquement, elle plaqua sa main sur ma main et la pris pour mieux guider la manuvre et arriva bientôt à la jouissance qui la plia en deux.
Je la redressais doucement en lembrassant et en la caressant, je sais pas pourquoi mais dans cet assaut, javais complètement oublié sa poitrine. Je sentis pendant que nous étions enlacés sa main explorer lavant de mon jean et caresser mon sexe à travers le tissu. Jen pouvais plus et elle devait le savoir.
Je lui caressais la poitrine à travers la robe et le soutien gorge, jeu pas de difficultés pour dégager les quelques boutons qui mempêchait datteindre le soutien gorge que javais vu le matin même dans le bus.
Jarrivais à le dégrafer sans peine pour libérer ses deux fruits qui ne demandaient que cela, quon soccupe deux.
Je plongeais alors ma tête pour la noyer dans cette poitrine alors quau même moment je sentis la manoeuvre de la fermeture éclair vers le bas pour libérer ma queue, ses doigts étaient maintenant posés sur mon slip et recherchaient louverture pour le baisser.
Maria avait quelques difficultés pour sortir lobjet, alors je laidais à extirper mon sexe qui se retrouva vite dehors.
Lexcitation était à son comble, depuis le matin je navais cesser de bander, mes couilles étaient gonflées à bloc.
Quelques aller et retour eurent raison de cette terrible érection.
Elle regarda ma queue déverser quelques jets de sperme et décharger le reste dans sa main et me dit :
Tu ma fais super jouir et jespère que pour toi cétait bon aussi !
Demain jamènerais une couverture
A suivre
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!