Avec Une Femme De 64 Ans

Il était 21 heures quand je quittais le travail. Un problème informatique m’avait retenu et Armelle n’était pas là.

Je décidais d’aller prendre un verre dans un petit bistrot à deux pas de chez moi. Quand j’y entrais, une femme, assise seule à une table au fond du bistrot me regarda et me fît un sourire, comme pour m’inviter à sa table. Je vins vers elle et elle me proposa de m’asseoir.

Elle devait avoir plus de 60 ans, mais elle était magnifiquement « bien conservée ». Des cheveux mi-longs châtain, des yeux bruns, une bouche fine et bien dessinée. Elle portait un tailleur, veste et jupe gris avec des rayures blanches, un chemisier très échancré et ses jambes étaient gainées de soie couleur chair. Elle avait chaussé des souliers à talons.

Elle se présenta : « Je me nomme Véronique, mais appelez-moi Véro. J’ai le magasin de dessous féminin au coin de la rue ». Nous avons pris un verre tout en discutant de tous et de rien et elle me proposa d’aller en prendre un autre chez elle. J’acceptais avec plaisir.

Une fois chez elle, nous avons pris place sur le canapé du salon. Elle nous servit un verre et vint s’installer près de moi en disant : « Je vous ai déjà vu souvent et j’avais très envie de prendre un verre avec vous ». Je lui répondis que je regrettais de ne pas avoir fait sa connaissance plus tôt et que j’étais ravi de passer un moment avec une femme aussi ravissante. « Vous savez, j’ai 64 ans alors merci pour le compliment » me répondit-elle et elle m’embrassa sur la joue. Je la fixais dans les yeux et lentement nous bouches se joignirent dans un baisers torride.

Je posais une main sur son genou et remontait lentement le long de sa cuisse. Elle avait des bas avec un porte-jarretelles. Elle écarta ses jambes pour mieux me laisser arriver sur son string. Je lui caressais doucement sa chatte au travers de la soie. Elle me murmura à l’oreille : « J’ai très envie de baiser, prend-moi ».

Joignant le geste à la parole, elle me déshabilla rapidement. Elle se mit à genoux entre mes jambes et se mit à me sucer avec vigueur. Elle glissait sa bouche tout le long de ma queue, sa langue jouant avec mon gland. Ses doigts me caressaient et ils venaient titiller mon anus. Quand elle sentit que j’allais exploser, elle retira sa bouche et me masturba avec frénésie en me disant : « Jouit sur mon visage, j’aime quand une queue me gicle ». Sous ses caresses j’explosais et je me vidais en longues saccades, mon jus se répandant sur ses lèvres et ses joues. Elle s’essuya d’un revers des doigts qu’elle suça ensuite.

Elle se leva et lentement se déshabilla devant moi. Elle ne garda que ses bas et porte-jarretelles et ses souliers. Elle était splendide. Elle avait des seins fermes dont les tétons étaient tout durcit, une peau fine et sans presque aucunes rides, des jambes élancées. Elle porta une main à son sexe totalement épilé, qu’elle ouvrit en me disant : « Tu aime les femmes mûres ? ». Je lui répondis que oui. « Alors je veux être ta salope, fait-moi ce que tu veux, prend-moi comme tu veux, où tu veux. Tous mes trous sont là pour toi ».

Je lui dis de s’allonger sur la table à manger. Je pris une chaise et je vins m’asseoir entre ses cuisses. Elle écarta ses jambes et posa ses pieds sur le dossier de ma chaise. J’étais bien installé pour m’occuper d’elle un long moment. Pour commencer, je promenais un doigt lentement entre ses lèvres, puis je pinçais son clitoris entre mes doigts. Je n’avais jamais vu un aussi gros, il faisait presque plus d’un bon centimètre. Je glissais un doigt, puis deux dans sa fente. Elle était déjà pleine de mouille. Sa grotte se dilatait rapidement et sans aucune peine je finis par y enfiler toute ma main.

Pendant que j’allais et venais en elle, elle se massait ses seins, pinçant fortement ses tétons et elle criait : « Oui, tourne ta main dans ma chatte, pistonne-moi plus fort. J’adore, je veux jouir ! ». Je m’activais encore un moment, puis je ressortis ma main et je posais ma bouche sur sa chatte.
Je lui léchais ses lèvres, glissant ma langue profondément dans sa vulve. Déjà sa sève coulait à flot. Je lui pris son clitoris entre mes lèvres et je le suçais avidement. En même temps, je glissais mon pouce dans sa grotte et mon index au fond de son anus. Elle se mis à gémir : « Oui, suce bien mon bouton, glisse fort tes doigts dans mon cul, dans ma chatte, je veux éjaculer comme une fontaine », Je me mis à lui sucer son clitoris de plus en plus fort, faisant aller mes doigts dans ses deux orifices. Soudain elle se cabra et un torrent de sève coula dans ma bouche. Une vraie femme fontaine. J’en avais partout. Je me suis mis à la lécher, sa chatte, son anus.

Elle descendit de la table et alla se mettre à quatre pattes sur la table basse de salon. « Vient m’enfoncer ta bite dans mon cul et encule-moi comme une chienne », me dit-elle. Je suis venu me mettre derrière elle. Pour humidifier la queue, je l’enfonçais dans sa chatte, puis je guidais ma queue dans son anus. J’entrais facilement. Je lui ai agrippé ses hanches et je me suis mis à aller et venir profondément dans son cul. A chaque pénétration, mes couilles lui frappaient sa chatte où elle avait glissé deux doigts et elle se masturbait avec frénésie. Je la sodomisais de plus en plus vite et de plus en plus fort. Au bout d’un moment je me vidais planté profondément dans son cul.
Quand je me suis ressortit, elle me pris dans sa bouche pour nettoyer ma queue.

Nous avons repris un verre et en partant, elle me dit qu’elle aimerait bien que je revienne et que la prochaine fois elle me présenterait son employée.

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