La Combinaison De Tatie Malou

J'étais fou amoureux de Marie-Claude. C'était une fille magnifique, très jolie et très gentille. Son mètre soixante, ses cheveux bruns et longs, ses formes splendides faisaient fureur dans la région. Nous sortions ensemble depuis deux mois et j'étais très fier de me montrer avec elle. Nous n'étions pas encore "passés à l'acte", mais nous en avions déjà parlé et cela n'allait sûrement pas tarder. Nous avions à peine vingt ans et dans les années 70, il n'y avait rien de honteux d'attendre un peu et de mieux se connaître avant de se donner.

Un dimanche soir, nous étions, comme souvent, en train de contempler la mer dans ma voiture, avant de rentrer chacun chez soi jusqu'au week-end prochain. Je venais de jouer un match de rugby assez dur, la troisième mi-temps avait été un peu arrosée et j'étais vanné. Elle, par contre était d'humeur particulièrement câline, baisers torrides, caresses sur ma queue, jupe relevée et chemisier ouvert. Elle m'excitait un maximum, alors que je n'avais vraiment envie que de calme. Voyant que je ne répondais pas assez à ses sollicitations, elle s'écarta de moi, se cala dans son siège et m'annonça tout de go qu'elle m'avait trompé la veille. Evidemment, j'éclatai de rire... Et elle se mit à me raconter...

Comme je restais généralement à la maison le samedi soir, veille de match. Elle était sortie avec ses amies en boîte de nuit. Là, elles avaient fait la connaissance d'un groupe d'hommes et elle avait dansé plusieurs slows avec le même inconnu. Peu à peu, il s'était enhardi, se collant à elle et il avait fini par lui rouler une pelle fabuleuse. A la fin du morceau, il lui a proposé sans complexes de sortir et de finir la soirée avec lui. La crudité de la demande la troubla tellement qu'elle en devint toute rouge et qu'elle lui a simplement répondu "Oui", elle a prétexté une migraine auprès de ses copines pour s'éclipser. Ils prirent chacun leur voiture et elle le suivit. Elle hésita, par peur et par honte quand elle vit où il l'emmenait, mais elle ne put résister à l'intense curiosité sexuelle.



Dix minutes plus tard, elle se trouvait dans sa chambre d'hôtel.

C'était un homme qui avait la trentaine, brun, de taille moyenne, ingénieur en stage dans la région, ni beau ni laid, mais avec un certain charme et pas mal de classe.

Il la fit asseoir sur le lit, près de lui et commença à l'enlacer, l'embrasser, puis à la peloter sans qu'elle réagisse. Son chemisier de soie était tendu par ses seins et sa jupe était courte. Quand il commença à caresser la cuisse dénudée et à remonter, elle poussa un gloussement qui en disait long sur ses intentions. Elle se laissa aller et écarta largement les jambes, laissant à la main caressante l'accès libre vers la culotte fine. Il avait compris que la voie était libre. Il la déshabilla sans s'attarder et sans un mot. Le chemisier et le soutien-gorge volèrent, laissant libres ses deux jolis seins aux tétons dressés. Il ne prit que peu de temps pour les caresser, il était plus intéressé par ce qui se trouvait plus bas. Il la fit relever, dégrafa la jupe et la fit glisser en même temps que le slip sur les jambes fines, découvrant son sexe frisé aux poils ras et la fente rose qui brillait déjà. Toujours sans un mot, il entreprit de se déshabiller à son tour. Et là, le regard de Marie-Claude fut irrésistiblement attiré et resta rivé un moment sur ce sexe qui n'en finissait pas de grossir. Sa chatte se mit à couler comme une fontaine. Tétanisée, elle vit l'homme la repousser pour qu'elle s'allonge, tout en lui écartant les cuisses. Il colla la main sur le sexe de Marie-Claude, se rendit compte de sa moiteur, et sans préavis, lui enfonça deux, puis trois doigts, élargissant l'orifice au maximum. Elle se mit à gémir. L'homme lui prit la main et la posa sur la queue turgescente. En fait, elle n'était pas si longue, mais grosse. Doucement, elle enserra le manche et fit coulisser sa main le long du pieu dressé.

Soudain, il n'y tint plus et se coucha sur elle. Tenant sa queue dans la main, il caressa la raie dégoulinante de cyprine de son gland.
Puis d'un coup, il la saisit par les hanches et s'enfonça en elle jusqu'à la garde. Elle ne put retenir un cri. Revenue à elle, elle commença à donner des coups de reins pour qu'il s'enfonce davantage. Pendant ce temps, il lui pelotait sauvagement les seins, serrant entre ses doigts les mamelons durcis...

Pendant qu'elle me racontait cette histoire, vieille de la veille, je ressentais une jalousie et une souffrance brûlantes, ajoutées à une énorme humiliation. Je descendis de voiture, ouvris sa portière et la tirai violemment sur le parking désert balayé par le vent marin. Je redémarrai et rentrai chez moi.

Je n'ai plus parlé à Marie-Claude pendant vingt ans, elle était partie à Paris où elle s'est mariée. Le jour où nous nous sommes adressés à nouveau la parole, elle m'a avoué que tout ce qu'elle m'avait raconté était faux, c'était simplement pour me rendre un peu jaloux, tellement elle avait envie de faire l'amour avec moi. Et puis c'était aussi pour que je comprenne comment elle n'aurait pas aimé que cela se passe.



Pendant les quelques jours qui ont suivi la rupture avec Marie-Claude, j’ai renoué avec mes habitudes d’adolescent. La petite branlette quotidienne était devenue routine, mais cela n’avait vraiment rien de rigolo. C’est alors que je me mis à penser que quelques années plus tôt, j’avais trouvé, avec quelques copains du collège, une façon agréable de pratiquer nos petits jeux solitaires. Nous avions alors une douzaine d’années et nos seuls livres érotiques étaient les catalogues où l’on pouvait sans crainte admirer de magnifiques femmes en sous-vêtements affriolants de toute les couleurs. Nous avions une préférence particulière pour les jolies combinaisons. L’apparition du nylon faisait que ce tissu très doux était parfaitement adapté à nos masturbations. Notre jeu favori était donc « d’emprunter » ces combinaisons à nos mères, nos grands-mères, etc. et de nous les prêter. Nous les rendions ensuite à leur propriétaire.
Quelquefois, même, nous nous réunissions chez l’un d'entre nous : chacun amenait une combinaison et on tirait au sort. C’était génial, c’était comme si on faisait l’amour avec la mère du copain et cela a bien alimenté nos fantasmes. Mais évidemment, cela n’a pas pu durer, car nous les rendions maculées de sperme et les propriétaires n’étaient pas dupes… Le scandale fut heureusement étouffé et nous nous sommes contentés ensuite de faire cela chacun pour soi. Quant à moi, j’avais carrément arrêté au moment où j’ai rencontré des filles, il y avait tellement d’autres solutions !
J’en étais là de mes réflexions et je me rendis compte que ma bite était énorme ! Ces souvenirs m’avaient donné une trique d’enfer et tout d’un coup, j’avais envie de recommencer, de sentir cette douceur sur les couilles, sur le torse, sur les cuisses, ce plaisir de juter dans ce joli tissu, de s’essuyer doucement le gland et de voir ces grosses gouttes blanches s’étaler sur le noir de la combinaison ou dans la dentelle de la poitrine. Et pourquoi pas ! Je me précipitai dans la chambre de ma mère. Je savais parfaitement où chercher. Mais là, je sentis naître un sentiment de culpabilité : je n’allais pas encore lui faire ça, à mon âge ! Il fallait trouver une autre solution, j’en avais vraiment envie et rien que de voir toutes ces beautés empilées devant mes yeux, ma queue faillit exploser seule. Je me finis tristement aux toilettes, sans avoir ce plaisir dont je rêvais encore.
La solution m’est venue totalement par hasard. A cette époque, toute la famille amenait son linge à la buanderie qui se trouvait à l’écart des maisons. Les femmes faisaient la lessive à la main, en commun, tous les lundi matin. Le dimanche après-midi, tout le linge avait été amené là. Dans la propriété, il y avait quatre maisons, donc quatre couples : mes parents, mes grands-parents et mes deux oncles et tantes. C’est en portant mon linge sale, le dimanche matin, que je tombai nez à nez avec une adorable combinaison rose avec des volants, qui se trouvait dans une bassine.
Je crois que ma bite a bondi dans mon pantalon. J’ai jeté mon linge et j’ai saisi l’objet de mes rêves. Je l’ai frottée sur mon visage, elle sentait la femme, c’était chaud, c’était doux ! J’ai ouvert ma chemisette, dégrafé ma ceinture et baissé mon pantalon et mon caleçon. Et je me suis caressé le torse, les cuisses, les fesses, évitant mon sexe que je voyais tout rouge, gonflé et prêt à exploser sans même que je le touche. J’ai ôté ma chemisette et j’ai enfilé la combinaison. L’extase !! Elle m’allait à la perfection, jusqu’à mi-cuisses, la jolie dentelle de la poitrine titillait agréablement mes tétons. Ma queue faisait comme un mât sous le fin tissu qui la caressait. Décidé à profiter au maximum de l’instant présent, je me mis à fouiller la bassine d’où venait ce trésor. Ce sous-vêtement appartenait à ma tante Malou, je reconnaissais les habits. Je trouvai également un soutien-gorge rose légèrement rembourré, c’est vrai qu’elle avait une poitrine minuscule ! Puis deux culottes blanches en nylon, très douces et un peu tâchées. Tout cela n’arrangeait pas mon état, il fallait absolument que je crache mon jus. Là, je ne risquais rien, le linge serait lavé le lendemain ! Je pris une des culottes, passai la main sous la combinaison et entamai ma branlette, le corps tendu, la tête en arrière, la main gauche caressant mes tétons sous la dentelle. En à peine quelques secondes, je sentis un flot de sperme partir de mes couilles douloureuses, grimper le long de la hampe et jaillir dans la culotte qui ne put tout contenir. Je dus m’asseoir tant le plaisir fut énorme. Les doigts poisseux, je contemplai le spectacle : la culotte était dégoulinante, la combinaison aussi. Je l’enlevai et essuyai les dégâts. Une fois rhabillé, je cachai tant bien que mal les sous-vêtements souillés au milieu du linge sale et je sortis tranquillement de la buanderie.
Couché dans mon lit, j’étais heureux, j’avais retrouvé ce plaisir oublié, c’était même encore mieux. Ces pensées me redonnèrent envie. Je courus jusqu’à la buanderie, recherchai la jolie combinaison de tatie Malou, et, sans me déshabiller, sortis ma queue de ma braguette. A peine trois mouvements et je giclai dans le doux tissu.
Je sus à ce moment-là que quelque chose venait de se passer…


Ma tante s’appelle Malou, à l’époque, elle avait 37 ans, moi 19. Cela n’allait pas très fort avec son mari, le frère de ma mère, je l’entendais dans les conversations familiales. Pourtant, elle était très gentille, avec une voix douce. Moi je la trouvais très belle, car elle portait de jolis sous-vêtements. Je les voyais sur le fil à linge et je m’étais déjà masturbé dans ses douces combinaisons parfumées, dans la buanderie. Comme nous étions voisins, je la voyais tous les jours et bien sûr, j’en étais secrètement amoureux. Je passais mon temps à la regarder, à surprendre le volant de sa combinaison, à guetter l’ouverture de son décolleté pour apercevoir un morceau de dentelle. Bref, elle m’intéressait bien plus que mes petites copines qui ne portaient plus ces sous vêtements qu’elles trouvaient ridicules à l’heure de l’adoption du pantalon par les femmes.
C’étaient les grandes vacances. J’étais chargé de la garde de mes cousins plus jeunes, ce qui m’ennuyait d’abord au plus haut point, mais qui m’offrait l’avantage de m’ouvrir sans aucun risque la maison de ma tante et qui me permettait de profiter de ses absences pour pouvoir fouiller son coffre à linge sale et mes les tiroirs de sa chambre pour y trouver ses merveilleux trésors de nylon et de dentelles. Je pouvais à loisir, après avoir organisé un jeu qui me permettait de m’éloigner de mes cousins, me délecter de ces douceurs et me branler de tout mon saoul dans tout ce qui me tombait sous la main et qu’elle avait porté. Je finissais les après-midi sur les rotules !! Et lorsque je le pouvais, sans crainte d’être vu et donc dénoncé par les deux diables, je me glissai dans la chambre pour admirer la magnifique collection de tatie Malou. Je ne salissais pas le linge propre, je me contentais de toucher, de contempler et surtout d’imaginer le corps de ma tante là dedans. Son soutien-gorge étaient tout petits et possédaient un léger rembourrage, c’est vrai qu’on voyait bien qu’elle n’avait pas de gros seins. Mais cela ne me gênait pas. J’avais aperçu en vrai ceux de ma mère qui étaient énormes, qui pendaient, et j’avais trouvé cela laid. Donc tatie Malou avait de beaux seins et qu’est-ce que j’aurais aimé les voir ! Ses petites culottes étaient plutôt fantaisie, des blanches, des noires, des rouges, elles venaient sûrement d’un catalogue. Elle avait beaucoup de culottes larges, flottantes, en nylon presque transparent. Ce sont celles que je préférais, elles étaient douces sur ma queue et mes boules quand je les mettais. Bien sûr, il y en avait aussi en coton, mais j’aimais moins. Ce qui m’étonnait le plus, c’était le porte-jarretelles : c’était très long, d’enfiler des bas et souvent, je n’avais pas le temps, en plus, ils se grillaient ! (J’en ai retrouvé des tas dans une poche, dans son placard, qu’elle jetait à mesure, j’en récupérais pas mal) Elle possédait également quelques jupons, souvent plissés qu’elle ne portait que l’été. Mais le plus précieux, à mon avis, c’étaient ses combinaisons. Il y en avait bien une vingtaine, souvent des nouvelles. Elle devait adorer les porter. Quelquefois, elle en changeait même dans la journée. Que d’heures passées en leur compagnie, que de branlettes longues, douces, toujours terminées par des éjaculations au bord de l’extase, la peine de quitter ce tissu humide devenu moins doux, la joie d’essuyer les dernières gouttes de sperme avec un morceau sec, le bonheur de caresser une dernière fois les couilles rabougries et le regret de remettre sauvagement l’objet magique dans le panier de linge sale. J’allais jusqu’à noter dans un carnet le jour, le nombre de masturbations et l’objet dans lequel je m’étais branlé. J’arrivais à dialoguer avec une combinaison.
Mais il me manquait encore une chose importante : voir ma tante nue. Toutes les occasions, je les ai tentées, je ne voulais surtout pas manquer cet instant. Et il est enfin arrivé.
Elle travaillait à l’époque dans une usine à bois et son premier travail, en arrivant, c’était la douche. Mais jamais je n’ai pu rien voir. Rien ne permettait de voir sans être vu dans la salle de bain. Et puis ce jour là, panne de chauffe-eau, il a fallu couper l’eau pour réparer. Ma tante est rentrée avant la fin du chantier. Mon oncle lui a conseillé d’utiliser la douche artisanale constituée d’un seau d’eau suspendu qui permettait de se doucher après les travaux des champs en été. Je la vis se diriger vers la grange, avec ses affaires. Là, je courus pour arriver avant elle, je savais que c’était le grand jour, j’avais une planque qui m’avait déjà permis de voir ma mère et ma grand-mère. Bien installé, je la vis arriver. Son déshabillage me donna une trique d’enfer. Elle avait ôté sa blouse et se retrouva en combinaison noire. Délicatement, elle dégagea ses bretelles de ses épaules. Sans qu’elle fasse un geste, le fin tissu glissa doucement le long de son corps et s’étala en corolle à ses pieds. Elle portait un petit soutien-gorge mauve. Elle passa ses mains dans son dos, le dégrafa et l’enleva en tenant ses seins. La surprise ! De tous petits globes blancs, pas plus gros que mon poing. Ils semblaient fermes, en tout cas, ils ne tombaient pas comme ceux que j’avais vus jusqu’à présent ! Mais la chose extraordinaire : des tétons gros et longs, très foncés. Elle se caressa lentement le dessous des seins, puis se pencha pour descendre sa culotte. D’abord, je ne vis pas grand’chose, elle était de profil et je ne pouvais détacher mes yeux de ses tétons, mais quand elle se tourna un peu pour jeter son slip, je vis une toison noire, bouclée au bas d’un petit ventre rond. Qu’elle était belle, même si elle était un peu maigre surtout ses fesses et ses cuisses !
Soudain, je me réveillai. Sortant de mon rêve, je me rendis compte que j’avais juté dans mon short. Mais alors bien, et sans même me branler.
Elle commença à se doucher. L’eau était froide, cela fut rapide. Mais j’avais sous mes yeux l’objet de mes rêves qui se savonnait partout où moi j’aurais aimé avoir les mains.
Lorsqu’elle se rhabilla, je remarquai qu’elle changea de combinaison, qu’elle en mit une rose que je connaissais bien, mais qu’elle ne mit pas de culotte ni de soutien-gorge. Elle remit une blouse et sortit.
J’ai attendu d’être sûr de ne pas être vu et je suis sorti à mon tour. En rentrant chez moi pour me changer (la tache était visible), des images plein la tête, j’entrai à tout hasard dans la buanderie. Jour de chance : son linge sale était là. Je pris la combinaison noire, la roulai en boule et la mis dans ma poche. Je la ramènerai demain, mais c’était sûr, ce soir je dormirai avec tatie Malou, je caresserai ses petits seins, je sucerai ses jolis tétons et je lui ferai l’amour. La preuve sera là, dans sa douce combinaison noire.

J’ai évidemment passé une nuit merveilleuse avec la petite combinaison noire de tatie. Je l’ai revêtue, et toutes les images de l’après-midi sont revenues : les minuscules seins, les longs tétons noirs, ses jambes fluettes et sa toison foncée qui cachait son abricot fendu. J’ai lutté pour ne pas me branler, j’ai seulement profité de la douceur du nylon sur ma queue tendue, de la sensation unique des bretelles sur mes épaules. J’ai fini par m’endormir en souhaitant vivement que ma mère se contenterait de m’appeler à travers la porte de ma chambre. Le lendemain matin, lorsque je me rendis compte que j’avais dormi ainsi vêtu, j’eus une trique d’enfer et là, j’enlevai la combinaison et enveloppai ma bite et mes couilles durcies dans le tissu chaud. Quelle sensation merveilleuse ! Je serrai mon paquet bien fort, fermai les yeux et me remémorai les images de la veille. Cela suffit : je sentis mon sperme bouillonner dans mes couilles, remonter en gonflant ma hampe et jaillir avec une force inouïe dans le doux nylon. Je mis de longues minutes à me remettre de cette jouissance en me demandant s’il pouvait y avoir un plaisir plus fort que celui-là. Lorsque le liquide brûlant commença à transpercer le tissu, je démaillotai délicatement mon sexe ramolli et essuyai avec une partie sèche de la combinaison la goutte translucide qui perlait de mon méat et les traces gluantes. Je me jurai alors que jamais je ne me priverai de ce bonheur aussi intense.

Le temps passa. Effectivement, à chaque occasion, je me branlais dans une combinaison. Et, le comble, c’était que je n’éprouvais de fortes jouissances qu’avec ce qui appartenait à tatie Malou. Avec les autres, c’était doux, bien sûr, mais pas aussi violent. Sans doute parce que c’était la seule que j’avais vue complètement nue. (Mais jamais l’occasion ne s’était reproduite). Et puis, il y avait cette odeur intime, ce léger parfum que j’aurais pu reconnaître les yeux fermés. Je pouvais également associer une image vraie au soutien-gorge, à la culotte : je revoyais ses petits seins tout ronds, ses tétons incroyables et sa touffe noire.

Et bien sûr, je dus partir, m’éloigner de mes compagnes de tissu. Les études, l’armée, le début de la carrière, les copines …Je réussis à m’en passer, mais je pensais parfois à ces heures passées dans la buanderie, à guetter le moindre bruit pour ne pas me faire pincer, à ces éjaculations formidables, aux parfums si caractéristiques du linge sale féminin. Mais j’ai dû apprendre à m’en passer, ne serait-ce que quelques petites incartades dans les culottes de mes copines - mais il n’y avait pas la même saveur-.

Des années plus tard, au cours d’un repas de famille (fête du village), je me suis trouvé bien par hasard placé à côté de tatie Malou. Je pensais m’ennuyer ferme, comme d’habitude, quand, en me tournant vers elle, je m’aperçus que sa jupe droite avait remonté sur ses cuisses gainées de noir et dévoilait le fin volant de nylon blanc d’un jupon ou d’une combinaison. Tout le passé est revenu d’un coup dans ma tête et non seulement ça, mais ma queue n’a fait qu’un bond dans mon caleçon et je me suis retrouvé au milieu du repas avec une trique d’enfer. Je crois que j’avais perdu toute notion du temps, je n’entendais plus rien, une impression atroce. Je repris mes esprits et, prétextant l’envie de fumer, je quittai la table. Dehors, je me sentis mieux, mais le trouble était là. De retour à table, je remarquai que ma tante n’avait rien changé, au contraire, on pouvait même apercevoir le bout d’une jarretelle blanche. La situation allait devenir atroce, je bandais comme un fou.

Après le dessert, nous avons trinqué et c’est là que j’ai vu le petit sourire que m’adressa ma tante. Peu après, tout le monde se leva de table pour aller dehors prendre l’air. Je décidai d’aller me promener sous les chênes. Je ne pouvais m’empêcher de me dire que j’étais idiot. C’est alors que je passai devant la buanderie : sans réfléchir, un coup d’œil circulaire, personne en vue, j’entrai et trouvai aussitôt la bassine de linge de ma tante et dessus, une culotte noire ! Cette odeur ! La même, envoûtante, âcre, épicée ! Le bonheur retrouvé ! Je ne pus que m’asseoir et m’enivrer de ce parfum, l’esprit parti ailleurs, très loin, vers cette fin d’après-midi où j’avais enfin mis des images sur mes fantasmes.

C’est le grincement de la poignée de la porte qui m’a tiré de ma rêverie. Malou ! Elle était là, dans l’embrasure de la porte, une brassée de serviettes sales dans les mains … et moi, blanc comme un linge, sa culotte sous le nez.
Elle me regardait, mais je ne voyais ni colère ni animosité dans son regard, simplement de la gentillesse, elle avait l’air navrée d’être arrivée au mauvais moment.

- Je suis désolé, tatie.
- Quand j’ai vu ton regard sur mes cuisses, à table, je savais que je te trouverai là. Tu as eu de la chance que ce soit moi qui soit venue. Il y a longtemps que cela ne t’était pas arrivé !
- Trois ans, je n’y pensais plus autant, c’est la dentelle et ta jarretelle !
- J’ai fait exprès !
- Quoi ? Et pourquoi ?
- J’avais envie de savoir si cela te faisait encore de l’effet ?
- Eh bien ?
- Ma foi, je crois que oui ! Et qu’est-ce que c’est, au juste, qui te fait autant d’effet ? Si tu savais comme j’ai râlé de trouver du sperme dans mes combinaisons, sans compter les sous-vêtements qui disparaissaient et qui revenaient par enchantement.
- Je te demande pardon. Mais le nylon, la dentelle, la douceur, … Je ne pouvais plus m’en passer ! Et puis il y a aussi … toi !
- Moi ? Et en quel honneur ?
- Je t’ai vue nue à la douche, dans la grange.
- Mais je ne suis pas belle, je n’ai pas de poitrine !
- C’est surtout de te voir en combinaison qui m’intéressait. Elles étaient douces, mais je voulais savoir qu’est-ce que ça donnait sur toi ! Et après c’était fini, je ne pouvais plus vivre sans, je dormais même avec. Je n’ai jamais pensé que je faisais du mal.
- En fait, non ! Mais il a fallu quelquefois que je me retienne pour ne rien dire à personne quand il me manquait quelque chose ou quand je me retrouvais avec les mains poisseuses. Mais je savais que c’était toi.
- Merci, tu as été gentille.
- Maintenant, rejoignons les autres. Je suis contente de savoir. Tu viendras me voir quand tu voudras, nous en reparlerons. Tu sais, tu peux finir ce que tu avais commencé, ça me ferait plaisir de savoir que c’est pour moi.
Et c’est ce que fis, avec un grand soulagement, physique et surtout moral. Elle ne m’en voulait pas trop. Elle avait été vraiment gentille et le reste de la journée fut des plus agréables. Pendant le dîner, elle renouvela sa petite exhibition et alla même jusqu’à la lisière de son bas.

Je ne revis pas ma tante de trois mois. Je passai comme chaque année lui présenter mes vœux, avec évidemment trois jours de retard. Je la trouvai seule chez elle, en train de faire son ménage. Elle était heureuse de me voir et après les banalités d’usage, elle me proposa un café et m’envoya l’attendre au salon. Elle vint avec son plateau et s’assit à côté de moi. Pendant qu’elle me servait, j’observai qu’elle portait un tablier boutonné devant. Entre chaque bouton j’apercevais le tissu mauve d’une combinaison que je connaissais. Elle portait certainement des collants, de couleur chair et des jolies mules fourrées roses.

- Je parie que tu as déjà regardé ce que je portais ?
- Euh …
- Tu crois que je ne vois pas ton regard ? Cela ne te passera jamais ?
- Ecoute, on ne va pas revenir là-dessus, j’essaie de m’en passer.
- Est-ce que tes copines portent des combinaisons ?
- Certainement pas, c’est ringard, elles n’aiment plus les dentelles !
- Moi, j’adore ! Quelquefois, je me change même pendant la journée !
- Je m’en doute, à un moment, j’ai compté que je m’étais masturbé dans quinze différentes sans compter les jupons.
- Tu veux voir ?

Sans attendre ma réponse, elle se leva, prit ma main et m’entraîna dans sa chambre. Elle ouvrit son armoire.

- Voilà, c’est mon trésor !

Je ne savais plus où poser mon regard, il y avait des piles de combinaisons et de jupons, des tas de petites culottes et de soutiens-gorge rembourrés, des bas, des collants : la caverne d’Ali Baba pour quelqu’un comme moi. Je reconnaissais certains de ces sous-vêtements, je les avais utilisés dans mes branlettes solitaires. Abasourdi, je m’assis sur le lit et contemplai sans dire un mot. Malgré tout, j’avais la bite en feu devant ces merveilles.

- Alors ?
- Merveilleux, simplement merveilleux ! Mais bon, tu n’aurais pas dû me montrer tout ça !
- Je me doute que cela te fait de l’effet. Mais tu es le seul ! Ton oncle s’en fout ! Choisis ce que tu veux et je vais le mettre pour toi. J’ai envie de faire une folie !

Je mis du temps à me remettre. Pendant ce temps, elle enleva ses collants et sa culotte .

- Allez, vas-y, n’aies aucune crainte. Tu as vingt-cinq ans, moi vingt de plus. C’est ça qui te gêne ?
- Non, mais c’est grave !
- T’occupe, choisis, après on verra !

Je pris dans la pile une combinaison noire, courte, avec juste un liseré à la base et un plastron de dentelle à la poitrine. J’hésitai pour le reste, et en fait, c’est comme cela que je voulais la voir.

- C’est tout ?
- Oui !
- D’accord, je vais me changer ! Déshabille-toi, je reviens !
- Quoi ? …

Avant que j’aie pu ajouter quelque chose, elle avait disparu dans la salle de bains. Avais-je bien entendu ? Elle était décidément encore plus folle que moi ! J’hésitai …

- Alors, tu es prêt, j’arrive ! Allonge-toi sur le lit et ferme les yeux.

En un tour de main, je fus nu. Ma virilité était mise à rude épreuve, un coup je bandais comme un âne, un coup ses décisions me faisaient peur et avaient un effet désastreux sur ma bandaison. Advienne que pourra ! Je fis ce qu’elle m’avait demandé. Je l’entendis arriver et sentis soudain sa présence contre moi, sa tête se posa sur mon torse et sa main entoura mes hanches. Elle passa une jambe entre les miennes, entourant ma cuisse du velouté de combinaison. Elle écrasa enfin ses petits seins pointus sur mon ventre et ne bougea plus. J’étais aux anges, ma bite se mit à gonfler toute seule, alors que je n’avais encore rien vu ! Doucement, je la sentis bouger. Elle s’allongea sur le dos.

- Ouvre les yeux, bébé !

Devant mes yeux hagards, je vis le plus beau spectacle qui m’ait été donné de voir. Cette femme en combinaison noire jusqu’à mi-cuisses, un ventre plat, des petits seins dont on ne voyait que les pointes qui dépassaient de la dentelle. J’étais fou de joie, elle me regardait en souriant.

- C’est mieux que dans tes rêves, ou tu es déçu ?
- Arrête !!
- Bon, alors, tu comptes regarder longtemps ?

Je m’agenouillai près d’elle, la bite tendue et je commençai à passer mes mains sur ce corps offert. Ce qui m’intéressait surtout, c’étaient les parties recouvertes du fin tissu. Ses seins en particulier, je ne me lassais pas de tenir entre mes doigts les pointes extraordinairement développées et elle appréciait en gémissant doucement. En fait, je ne savais plus quoi lui faire. Moi qui avais passé tant d’années à imaginer toutes sortes de scénarios possibles où je la prenais dans tous les sens, j’étais incapable de lui donner quoi que ce soit. J’en avais les larmes aux yeux et j’avais complètement débandé.

Heureusement, elle prit les choses en main.

- Ce n’est rien, calme-toi, mon biquet, je vais d’abord m’occuper de toi. Allonge-toi et laisse-moi faire, tu vas voir, ça va être bon.

Elle commença par venir m’embrasser. Un baiser plein de douceur, sa langue jouait doucement avec la mienne. Puis ce furent des baisers et des suçons sur mes tétons. Elle écha tendrement mon ventre qui frémissait. Ses mains jouaient avec mes cheveux ou caressaient mes joues. Mon sexe reprit du volume. Elle se mit à genoux, et tout en me regardant se saisit de ma tige turgescente.

- Tu es gros ! Elle est belle ! Je vais me régaler ! Tu veux que je te suce ?
- Oui … !
- D’accord, mais tu jutes dans ma bouche, il ne faut pas gaspiller ! Je veux que tu te laisses aller, comme quand tu te branlais dans mes combines ! Et puis, tu me caresses les seins, mais tout doucement, ils sont très fragiles.

J’étais prêt à tout, évidemment et je me mis à la tripoter à travers la dentelle. Elle me laissa faire un moment sans lâcher ma bite, comme pour tester mes capacités à exécuter ce qui lui plaisait.

- Parfait, continue comme ça ! Et maintenant, en avant, jusqu’au bout.

Sans attendre, elle se pencha et avala ma hampe jusqu’à la garde. Elle commença un va et vient ample en grognant de plaisir chaque fois que je pinçais un téton. Puis elle saisit mes couilles dans une main, mit le gland entre ses lèvres et entreprit de me branler tendrement de l’autre main. C’était le paradis. Je sentis mon corps se tendre, ma respiration s’arrêter, et tout d’un coup, la délivrance. Le feu partit de mes couilles, se propagea le long de la hampe gonflée et éclata en trois giclées puissantes qu’elle avala en hoquetant. Elle attendit la fin de mes soubresauts, nettoya le tout, vint s’allonger près de moi et m’embrassa violemment, me faisant goûter à mon sperme.

- Je l’avais déjà goûté dans mes combinaisons, mais là, il est bien frais et bien chaud !!!


Ce que je venais de vivre n’avait rien à voir avec mes fantasmes. La réalité, c’était bien la réalité ! Je n’arrivais pas à me réveiller. Elle était là, elle s’était habillée comme dans mes rêves, elle venait de me faire une fellation de rêve, elle m’embrassait tendrement dans le cou en me disant des mots doux. Comme si on était un vieux couple. Qu’est-ce que je faisais là ? Je n’étais pas à ma place ! J’allais me réveiller ! Je me soulevai sur un coude pour la regarder. Elle était allongée, les jambes écartées, la combinaison retroussée laissait voir quelques poils bruns frisés en haut de ses cuisses fines. Que devais-je faire ? Fuir ? Elle n’allait tout de même pas me donner plus que ce qu’elle m’avait déjà donné ? Et puis, je ne savais pas ce qu’il fallait faire. Elle me regarda.
- N’aies crainte, personne ne saura rien ! Mais il faut me promettre de ne rien dire non plus. Et à personne ! Et il faut aussi me promettre de revenir !
- Mais toi, tu n’as rien eu ?
- On n’a pas le temps. Ne t’inquiètes pas, reviens, c’est tout !
- Quand ?
- Samedi matin. Ton oncle part à la pêche pour la journée. Il emmène les s. Je t’en prie, viens !

Je me rhabillai sans pouvoir la quitter des yeux. Quand je fus prêt, elle se retourna, enleva sa combinaison et passa son peignoir. Elle me tendit le morceau de tissu noir.
- Tu penseras à moi. Mais interdiction de juter dedans, tu me la ramènes intacte ! Allez file et ne te montre pas !

Je glissai la fine combinaison dans mon slip et quittai la maison en faisant attention de ne pas être vu.

L’attente jusqu’au samedi suivant fut atroce. La compagnie du doux sous-vêtement n’arrangeait pas les choses, puisque je n’avais pas le droit de me branler avec. Mais le matin décisif, j’étais prêt. J’ai vu partir mon oncle et mes cousins avec tout leur barda. Ma tante les a accompagnés jusqu’à la voiture pour leur donner les dernières recommandations et est repartie vers la maison en regardant aux alentours. Elle m’attendait vraiment ! Je patientai encore quelques minutes, sortis de ma cachette et courus vers la porte de la cuisine que je refermai derrière moi. Je l’entendais s’affairer dans la salle de bain. Je m’avançais, la petite combinaison à la main.
- Je t’ai entendu rentrer ! Vas m’attendre dans la chambre et profites-en pour te déshabiller et enfiler la combinaison que je t’ai prêtée. Je veux voir ce que ça donne !

Alors là ! Je n’étais vraiment pas en mesure de refuser. Et puis après tout, je le faisais bien tout seul ! Mais je n’en menais pas large ! Une fois nu, j’enfilai la combinaison en me regardant dans la glace de l’armoire. Comme d’habitude, l’effet ne se fit pas attendre et ma queue se tendit avant même que le fin liseré de dentelle ne soit entièrement descendu le long de mes cuisses. La douceur, la fraîcheur du tissu, l’idée que tatie était là tout près, que c’était elle qui me l’avait demandé et surtout l’impression que ce qui allait se passer me marquerait à jamais, fit gonfler ma verge comme jamais encore. Au point que, perdu dans l’image que je voyais dans le miroir, je ne l’avais pas entendue arriver.

- Eh bien, ça te fait de l’effet !
- Je me sens ridicule, je vais enlever ça !
- Surtout pas, tu vas aller au bout maintenant ! Moi je veux que tu assumes ! Moi aussi, j’en ai rêvé de te voir comme ça ! Et si tu me regardais un peu, non ?

Effectivement je n’osais plus bouger, même pas mon regard, et mon érection avait baissé. Quand enfin je tournai la tête, ce que je vis fit bondir mon bâton de chair et retendre le fin tissu. Son soutien-gorge blanc était minuscule et elle ne portait qu’un jupon court de la même couleur si transparent que je voyais nettement sa toison brune juste au-dessous de l’élastique. Elle n’avait pas mis de culotte.

Sans un mot, elle me poussa sur le lit ouvert et me couvrit de son corps. Ses lèvres prirent possession des miennes et sa langue agile s’insinua dans ma bouche pour un baiser violent ponctué de soupirs de part et d’autres. Elle faisait onduler lentement son bas-ventre contre le mien, je sentais parfaitement sa touffe frotter contre ma hampe, à travers ma combinaison et son jupon. Son excitation faillit plusieurs fois me faire jouir prématurément. Sa langue était merveilleuse et son corps léger était vraiment d’une voluptueuse tiédeur animale. J’eus un peu de mal, mais je réussis à la repousser avant que survienne un accident qui m’aurait mis mal à l’aise.

- J’ai envie de te caresser !
- Vas-y mon cœur, je suis à toi ! Sois doux !

Et là, mon rêve devint réalité ! D’un seul doigt, je glissai sur ses lèvres, son menton, son cou, sa gorge, entre ses seins dont j’apercevais les pointes brunes à travers la dentelle fine du soutien-gorge, puis le ventre plat, le nombril et enfin le bord de l’élastique de son jupon, ses hanches. Je refis plusieurs fois le chemin, sa peau tressaillait et elle gémissait doucement. Je remplaçai mon doigt par ma main qu’elle saisit pour la porter sur son sein.

- Il est petit, hein ? Il te plaît ? Il faut le caresser doucement, la pointe est très sensible. Attends, je vais enlever le soutif !

Elle se releva et dégrafa le mignon soutien-gorge qu’elle me jeta à la figure en riant.

- Celui-là, tu ne pourras pas le mettre ! Et puis enlève ta combine, tu as raison, c’est nul.
- Et toi, ton jupon !

Enfin nus, elle se rallongea sur le dos et je continuai mon exploration. Ses seins étaient vraiment petits, mais ses tétons étaient tendus par le désir. Elle adorait que les frotte tout doucement sous la paume de ma main, dans un mouvement circulaire. Elle sursautait chaque fois que je prenais une pointe entre mes doigts pour la serrer un peu.

- Tête-moi, mon bébé !

Je me penchai vers sa poitrine et pris un tétin entre mes lèvres. Puis de la langue, j’entrepris un mouvement tournant, tout en aspirant. Elle se triturait l’autre sein et appuyait sur ma nuque pour que je ne lâche surtout pas. Je passai ainsi de l’un à l’autre pendant de longues minutes, sans qu’elle se lasse.

- Tu es adorable ! Maintenant, j’ai envie d’autre chose !

Elle me prend dans ses bras, m’embrasse. Je passe ma main sur son ventre et je m’aventure jusqu’à sa touffe. Je sens sous mes doigts un endroit chaud et moite. Je caresse ses poils en appuyant de plus en plus et l’humidité s’intensifie. Elle murmure :

- C’est bon, continue. Descends un peu, ma fente va s’ouvrir si tu es doux.

Et c’est vrai, je sens soudain une peau douce, humide, gonflée qui s’ouvre comme une fleur avec sa rosée. Mon doigt est comme aspiré par cette fente juteuse, il s’enfonce entièrement dans des profondeurs inconnues, lui arrachant des feulements à chaque pénétration. Elle glisse alors sa main entre nos deux corps, réussit à saisir ma bite et commence un lent massage de bas en haut. Tandis que nous échangeons ces caresses, elle vient au-devant de ma main, se presse contre elle quand mes deux doigts rencontrent cette petite excroissance que je presse en haut sa vulve inondée. Ses yeux s’écarquillent, sa peau devient fiévreuse, elle arque le dos pour se coller à moi. Elle prend ma main libre dans la sienne et la serre contre son sein. Puis renversant la tête en arrière, elle pousse un cri, la bouche grande ouverte. Elle se serre alors contre moi et je sens quelques larmes.

- J’ai joui.

Moi, je continue de la caresser, elle est complètement inondée.

- Viens, viens en moi !

Je me couche sur elle qui a largement écarté ses cuisses. Elle prend ma bite, la pointe à l’entrée de sa chatte, noue ses chevilles dans mes reins et se projette en avant, s’empalant littéralement sur mon pieu de chair. Nous sommes restés un moment à savourer cet instant.

- Allez, maintenant baise-moi, enfonce-toi loin !

Et je commence des va-et-vient dans son antre brûlant, visqueux. Elle s’accroche à mon cou, m’embrasse furieusement, sa langue est de feu. Quand elle me relâche, c’est pour triturer un sein ou m’agripper par les hanches pour me maintenir en elle. Ses cuisses sont brûlantes, son jus d’amour qui n’en finit plus de couler détrempe nos toisons et mes couilles. Je sens la mouille qui gicle chaque fois que ma bite s’enfonce. Je veux maintenant atteindre le cœur de la fournaise. Je la sens qui s’ouvre et qui m’aspire dans son puits sans fond.

- Viens, c’est bon ! Vide-toi, n’aies pas peur, mon bébé ! C’est que du bonheur ! Allez, viens, je veux ton jus, tout ton jus !

Je me sens devenir incandescent, j’accélère la cadence et la force de mes poussées. J’ai l’impression de tomber, je ferme les yeux, je m’abandonne sur son corps, je sens ses petits seins tout durs, elle me berce sur elle, dépose mille baisers sur mon visage. Je suis sur une immense vague, le flot m’emporte, m’engloutit, je crie, elle aussi !

- Oui, ton jus, ton jus ! oh, que c’est bon !

Je me suis vidé. Quand j’ouvre les yeux, je vois le visage cramoisi de Malou qui me regarde. Ses yeux sont embués, les cheveux sont collés.

A regret, je me sépare d’elle. La sensation du retrait de mon pénis me chagrine, je ne voudrais pas la quitter. Dans ses mains, elle a le joli jupon blanc. Elle entoure ma bite un peu meurtrie dans le fin tissu. Elle me prend dans ses bras et me berce doucement.







Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!