La Combinaison De Tatie Malou
J'étais fou amoureux de Marie-Claude. C'était une fille magnifique, très jolie et très gentille. Son mètre soixante, ses cheveux bruns et longs, ses formes splendides faisaient fureur dans la région. Nous sortions ensemble depuis deux mois et j'étais très fier de me montrer avec elle. Nous n'étions pas encore "passés à l'acte", mais nous en avions déjà parlé et cela n'allait sûrement pas tarder. Nous avions à peine vingt ans et dans les années 70, il n'y avait rien de honteux d'attendre un peu et de mieux se connaître avant de se donner.
Un dimanche soir, nous étions, comme souvent, en train de contempler la mer dans ma voiture, avant de rentrer chacun chez soi jusqu'au week-end prochain. Je venais de jouer un match de rugby assez dur, la troisième mi-temps avait été un peu arrosée et j'étais vanné. Elle, par contre était d'humeur particulièrement câline, baisers torrides, caresses sur ma queue, jupe relevée et chemisier ouvert. Elle m'excitait un maximum, alors que je n'avais vraiment envie que de calme. Voyant que je ne répondais pas assez à ses sollicitations, elle s'écarta de moi, se cala dans son siège et m'annonça tout de go qu'elle m'avait trompé la veille. Evidemment, j'éclatai de rire... Et elle se mit à me raconter...
Comme je restais généralement à la maison le samedi soir, veille de match. Elle était sortie avec ses amies en boîte de nuit. Là, elles avaient fait la connaissance d'un groupe d'hommes et elle avait dansé plusieurs slows avec le même inconnu. Peu à peu, il s'était enhardi, se collant à elle et il avait fini par lui rouler une pelle fabuleuse. A la fin du morceau, il lui a proposé sans complexes de sortir et de finir la soirée avec lui. La crudité de la demande la troubla tellement qu'elle en devint toute rouge et qu'elle lui a simplement répondu "Oui", elle a prétexté une migraine auprès de ses copines pour s'éclipser. Ils prirent chacun leur voiture et elle le suivit. Elle hésita, par peur et par honte quand elle vit où il l'emmenait, mais elle ne put résister à l'intense curiosité sexuelle.
Dix minutes plus tard, elle se trouvait dans sa chambre d'hôtel.
C'était un homme qui avait la trentaine, brun, de taille moyenne, ingénieur en stage dans la région, ni beau ni laid, mais avec un certain charme et pas mal de classe.
Il la fit asseoir sur le lit, près de lui et commença à l'enlacer, l'embrasser, puis à la peloter sans qu'elle réagisse. Son chemisier de soie était tendu par ses seins et sa jupe était courte. Quand il commença à caresser la cuisse dénudée et à remonter, elle poussa un gloussement qui en disait long sur ses intentions. Elle se laissa aller et écarta largement les jambes, laissant à la main caressante l'accès libre vers la culotte fine. Il avait compris que la voie était libre. Il la déshabilla sans s'attarder et sans un mot. Le chemisier et le soutien-gorge volèrent, laissant libres ses deux jolis seins aux tétons dressés. Il ne prit que peu de temps pour les caresser, il était plus intéressé par ce qui se trouvait plus bas. Il la fit relever, dégrafa la jupe et la fit glisser en même temps que le slip sur les jambes fines, découvrant son sexe frisé aux poils ras et la fente rose qui brillait déjà. Toujours sans un mot, il entreprit de se déshabiller à son tour. Et là, le regard de Marie-Claude fut irrésistiblement attiré et resta rivé un moment sur ce sexe qui n'en finissait pas de grossir. Sa chatte se mit à couler comme une fontaine. Tétanisée, elle vit l'homme la repousser pour qu'elle s'allonge, tout en lui écartant les cuisses. Il colla la main sur le sexe de Marie-Claude, se rendit compte de sa moiteur, et sans préavis, lui enfonça deux, puis trois doigts, élargissant l'orifice au maximum. Elle se mit à gémir. L'homme lui prit la main et la posa sur la queue turgescente. En fait, elle n'était pas si longue, mais grosse. Doucement, elle enserra le manche et fit coulisser sa main le long du pieu dressé.
Soudain, il n'y tint plus et se coucha sur elle. Tenant sa queue dans la main, il caressa la raie dégoulinante de cyprine de son gland.
Pendant qu'elle me racontait cette histoire, vieille de la veille, je ressentais une jalousie et une souffrance brûlantes, ajoutées à une énorme humiliation. Je descendis de voiture, ouvris sa portière et la tirai violemment sur le parking désert balayé par le vent marin. Je redémarrai et rentrai chez moi.
Je n'ai plus parlé à Marie-Claude pendant vingt ans, elle était partie à Paris où elle s'est mariée. Le jour où nous nous sommes adressés à nouveau la parole, elle m'a avoué que tout ce qu'elle m'avait raconté était faux, c'était simplement pour me rendre un peu jaloux, tellement elle avait envie de faire l'amour avec moi. Et puis c'était aussi pour que je comprenne comment elle n'aurait pas aimé que cela se passe.
Pendant les quelques jours qui ont suivi la rupture avec Marie-Claude, jai renoué avec mes habitudes dadolescent. La petite branlette quotidienne était devenue routine, mais cela navait vraiment rien de rigolo. Cest alors que je me mis à penser que quelques années plus tôt, javais trouvé, avec quelques copains du collège, une façon agréable de pratiquer nos petits jeux solitaires. Nous avions alors une douzaine dannées et nos seuls livres érotiques étaient les catalogues où lon pouvait sans crainte admirer de magnifiques femmes en sous-vêtements affriolants de toute les couleurs. Nous avions une préférence particulière pour les jolies combinaisons. Lapparition du nylon faisait que ce tissu très doux était parfaitement adapté à nos masturbations. Notre jeu favori était donc « demprunter » ces combinaisons à nos mères, nos grands-mères, etc. et de nous les prêter. Nous les rendions ensuite à leur propriétaire.
Jen étais là de mes réflexions et je me rendis compte que ma bite était énorme ! Ces souvenirs mavaient donné une trique denfer et tout dun coup, javais envie de recommencer, de sentir cette douceur sur les couilles, sur le torse, sur les cuisses, ce plaisir de juter dans ce joli tissu, de sessuyer doucement le gland et de voir ces grosses gouttes blanches sétaler sur le noir de la combinaison ou dans la dentelle de la poitrine. Et pourquoi pas ! Je me précipitai dans la chambre de ma mère. Je savais parfaitement où chercher. Mais là, je sentis naître un sentiment de culpabilité : je nallais pas encore lui faire ça, à mon âge ! Il fallait trouver une autre solution, jen avais vraiment envie et rien que de voir toutes ces beautés empilées devant mes yeux, ma queue faillit exploser seule. Je me finis tristement aux toilettes, sans avoir ce plaisir dont je rêvais encore.
La solution mest venue totalement par hasard. A cette époque, toute la famille amenait son linge à la buanderie qui se trouvait à lécart des maisons. Les femmes faisaient la lessive à la main, en commun, tous les lundi matin. Le dimanche après-midi, tout le linge avait été amené là. Dans la propriété, il y avait quatre maisons, donc quatre couples : mes parents, mes grands-parents et mes deux oncles et tantes. Cest en portant mon linge sale, le dimanche matin, que je tombai nez à nez avec une adorable combinaison rose avec des volants, qui se trouvait dans une bassine.
Couché dans mon lit, jétais heureux, javais retrouvé ce plaisir oublié, cétait même encore mieux. Ces pensées me redonnèrent envie. Je courus jusquà la buanderie, recherchai la jolie combinaison de tatie Malou, et, sans me déshabiller, sortis ma queue de ma braguette. A peine trois mouvements et je giclai dans le doux tissu.
Je sus à ce moment-là que quelque chose venait de se passer
Ma tante sappelle Malou, à lépoque, elle avait 37 ans, moi 19. Cela nallait pas très fort avec son mari, le frère de ma mère, je lentendais dans les conversations familiales. Pourtant, elle était très gentille, avec une voix douce. Moi je la trouvais très belle, car elle portait de jolis sous-vêtements. Je les voyais sur le fil à linge et je métais déjà masturbé dans ses douces combinaisons parfumées, dans la buanderie. Comme nous étions voisins, je la voyais tous les jours et bien sûr, jen étais secrètement amoureux. Je passais mon temps à la regarder, à surprendre le volant de sa combinaison, à guetter louverture de son décolleté pour apercevoir un morceau de dentelle. Bref, elle mintéressait bien plus que mes petites copines qui ne portaient plus ces sous vêtements quelles trouvaient ridicules à lheure de ladoption du pantalon par les femmes.
Cétaient les grandes vacances. Jétais chargé de la garde de mes cousins plus jeunes, ce qui mennuyait dabord au plus haut point, mais qui moffrait lavantage de mouvrir sans aucun risque la maison de ma tante et qui me permettait de profiter de ses absences pour pouvoir fouiller son coffre à linge sale et mes les tiroirs de sa chambre pour y trouver ses merveilleux trésors de nylon et de dentelles. Je pouvais à loisir, après avoir organisé un jeu qui me permettait de méloigner de mes cousins, me délecter de ces douceurs et me branler de tout mon saoul dans tout ce qui me tombait sous la main et quelle avait porté. Je finissais les après-midi sur les rotules !! Et lorsque je le pouvais, sans crainte dêtre vu et donc dénoncé par les deux diables, je me glissai dans la chambre pour admirer la magnifique collection de tatie Malou. Je ne salissais pas le linge propre, je me contentais de toucher, de contempler et surtout dimaginer le corps de ma tante là dedans. Son soutien-gorge étaient tout petits et possédaient un léger rembourrage, cest vrai quon voyait bien quelle navait pas de gros seins. Mais cela ne me gênait pas. Javais aperçu en vrai ceux de ma mère qui étaient énormes, qui pendaient, et javais trouvé cela laid. Donc tatie Malou avait de beaux seins et quest-ce que jaurais aimé les voir ! Ses petites culottes étaient plutôt fantaisie, des blanches, des noires, des rouges, elles venaient sûrement dun catalogue. Elle avait beaucoup de culottes larges, flottantes, en nylon presque transparent. Ce sont celles que je préférais, elles étaient douces sur ma queue et mes boules quand je les mettais. Bien sûr, il y en avait aussi en coton, mais jaimais moins. Ce qui métonnait le plus, cétait le porte-jarretelles : cétait très long, denfiler des bas et souvent, je navais pas le temps, en plus, ils se grillaient ! (Jen ai retrouvé des tas dans une poche, dans son placard, quelle jetait à mesure, jen récupérais pas mal) Elle possédait également quelques jupons, souvent plissés quelle ne portait que lété. Mais le plus précieux, à mon avis, cétaient ses combinaisons. Il y en avait bien une vingtaine, souvent des nouvelles. Elle devait adorer les porter. Quelquefois, elle en changeait même dans la journée. Que dheures passées en leur compagnie, que de branlettes longues, douces, toujours terminées par des éjaculations au bord de lextase, la peine de quitter ce tissu humide devenu moins doux, la joie dessuyer les dernières gouttes de sperme avec un morceau sec, le bonheur de caresser une dernière fois les couilles rabougries et le regret de remettre sauvagement lobjet magique dans le panier de linge sale. Jallais jusquà noter dans un carnet le jour, le nombre de masturbations et lobjet dans lequel je métais branlé. Jarrivais à dialoguer avec une combinaison.
Mais il me manquait encore une chose importante : voir ma tante nue. Toutes les occasions, je les ai tentées, je ne voulais surtout pas manquer cet instant. Et il est enfin arrivé.
Elle travaillait à lépoque dans une usine à bois et son premier travail, en arrivant, cétait la douche. Mais jamais je nai pu rien voir. Rien ne permettait de voir sans être vu dans la salle de bain. Et puis ce jour là, panne de chauffe-eau, il a fallu couper leau pour réparer. Ma tante est rentrée avant la fin du chantier. Mon oncle lui a conseillé dutiliser la douche artisanale constituée dun seau deau suspendu qui permettait de se doucher après les travaux des champs en été. Je la vis se diriger vers la grange, avec ses affaires. Là, je courus pour arriver avant elle, je savais que cétait le grand jour, javais une planque qui mavait déjà permis de voir ma mère et ma grand-mère. Bien installé, je la vis arriver. Son déshabillage me donna une trique denfer. Elle avait ôté sa blouse et se retrouva en combinaison noire. Délicatement, elle dégagea ses bretelles de ses épaules. Sans quelle fasse un geste, le fin tissu glissa doucement le long de son corps et sétala en corolle à ses pieds. Elle portait un petit soutien-gorge mauve. Elle passa ses mains dans son dos, le dégrafa et lenleva en tenant ses seins. La surprise ! De tous petits globes blancs, pas plus gros que mon poing. Ils semblaient fermes, en tout cas, ils ne tombaient pas comme ceux que javais vus jusquà présent ! Mais la chose extraordinaire : des tétons gros et longs, très foncés. Elle se caressa lentement le dessous des seins, puis se pencha pour descendre sa culotte. Dabord, je ne vis pas grandchose, elle était de profil et je ne pouvais détacher mes yeux de ses tétons, mais quand elle se tourna un peu pour jeter son slip, je vis une toison noire, bouclée au bas dun petit ventre rond. Quelle était belle, même si elle était un peu maigre surtout ses fesses et ses cuisses !
Soudain, je me réveillai. Sortant de mon rêve, je me rendis compte que javais juté dans mon short. Mais alors bien, et sans même me branler.
Elle commença à se doucher. Leau était froide, cela fut rapide. Mais javais sous mes yeux lobjet de mes rêves qui se savonnait partout où moi jaurais aimé avoir les mains.
Lorsquelle se rhabilla, je remarquai quelle changea de combinaison, quelle en mit une rose que je connaissais bien, mais quelle ne mit pas de culotte ni de soutien-gorge. Elle remit une blouse et sortit.
Jai attendu dêtre sûr de ne pas être vu et je suis sorti à mon tour. En rentrant chez moi pour me changer (la tache était visible), des images plein la tête, jentrai à tout hasard dans la buanderie. Jour de chance : son linge sale était là. Je pris la combinaison noire, la roulai en boule et la mis dans ma poche. Je la ramènerai demain, mais cétait sûr, ce soir je dormirai avec tatie Malou, je caresserai ses petits seins, je sucerai ses jolis tétons et je lui ferai lamour. La preuve sera là, dans sa douce combinaison noire.
Jai évidemment passé une nuit merveilleuse avec la petite combinaison noire de tatie. Je lai revêtue, et toutes les images de laprès-midi sont revenues : les minuscules seins, les longs tétons noirs, ses jambes fluettes et sa toison foncée qui cachait son abricot fendu. Jai lutté pour ne pas me branler, jai seulement profité de la douceur du nylon sur ma queue tendue, de la sensation unique des bretelles sur mes épaules. Jai fini par mendormir en souhaitant vivement que ma mère se contenterait de mappeler à travers la porte de ma chambre. Le lendemain matin, lorsque je me rendis compte que javais dormi ainsi vêtu, jeus une trique denfer et là, jenlevai la combinaison et enveloppai ma bite et mes couilles durcies dans le tissu chaud. Quelle sensation merveilleuse ! Je serrai mon paquet bien fort, fermai les yeux et me remémorai les images de la veille. Cela suffit : je sentis mon sperme bouillonner dans mes couilles, remonter en gonflant ma hampe et jaillir avec une force inouïe dans le doux nylon. Je mis de longues minutes à me remettre de cette jouissance en me demandant sil pouvait y avoir un plaisir plus fort que celui-là. Lorsque le liquide brûlant commença à transpercer le tissu, je démaillotai délicatement mon sexe ramolli et essuyai avec une partie sèche de la combinaison la goutte translucide qui perlait de mon méat et les traces gluantes. Je me jurai alors que jamais je ne me priverai de ce bonheur aussi intense.
Le temps passa. Effectivement, à chaque occasion, je me branlais dans une combinaison. Et, le comble, cétait que je néprouvais de fortes jouissances quavec ce qui appartenait à tatie Malou. Avec les autres, cétait doux, bien sûr, mais pas aussi violent. Sans doute parce que cétait la seule que javais vue complètement nue. (Mais jamais loccasion ne sétait reproduite). Et puis, il y avait cette odeur intime, ce léger parfum que jaurais pu reconnaître les yeux fermés. Je pouvais également associer une image vraie au soutien-gorge, à la culotte : je revoyais ses petits seins tout ronds, ses tétons incroyables et sa touffe noire.
Et bien sûr, je dus partir, méloigner de mes compagnes de tissu. Les études, larmée, le début de la carrière, les copines
Je réussis à men passer, mais je pensais parfois à ces heures passées dans la buanderie, à guetter le moindre bruit pour ne pas me faire pincer, à ces éjaculations formidables, aux parfums si caractéristiques du linge sale féminin. Mais jai dû apprendre à men passer, ne serait-ce que quelques petites incartades dans les culottes de mes copines - mais il ny avait pas la même saveur-.
Des années plus tard, au cours dun repas de famille (fête du village), je me suis trouvé bien par hasard placé à côté de tatie Malou. Je pensais mennuyer ferme, comme dhabitude, quand, en me tournant vers elle, je maperçus que sa jupe droite avait remonté sur ses cuisses gainées de noir et dévoilait le fin volant de nylon blanc dun jupon ou dune combinaison. Tout le passé est revenu dun coup dans ma tête et non seulement ça, mais ma queue na fait quun bond dans mon caleçon et je me suis retrouvé au milieu du repas avec une trique denfer. Je crois que javais perdu toute notion du temps, je nentendais plus rien, une impression atroce. Je repris mes esprits et, prétextant lenvie de fumer, je quittai la table. Dehors, je me sentis mieux, mais le trouble était là. De retour à table, je remarquai que ma tante navait rien changé, au contraire, on pouvait même apercevoir le bout dune jarretelle blanche. La situation allait devenir atroce, je bandais comme un fou.
Après le dessert, nous avons trinqué et cest là que jai vu le petit sourire que madressa ma tante. Peu après, tout le monde se leva de table pour aller dehors prendre lair. Je décidai daller me promener sous les chênes. Je ne pouvais mempêcher de me dire que jétais idiot. Cest alors que je passai devant la buanderie : sans réfléchir, un coup dil circulaire, personne en vue, jentrai et trouvai aussitôt la bassine de linge de ma tante et dessus, une culotte noire ! Cette odeur ! La même, envoûtante, âcre, épicée ! Le bonheur retrouvé ! Je ne pus que masseoir et menivrer de ce parfum, lesprit parti ailleurs, très loin, vers cette fin daprès-midi où javais enfin mis des images sur mes fantasmes.
Cest le grincement de la poignée de la porte qui ma tiré de ma rêverie. Malou ! Elle était là, dans lembrasure de la porte, une brassée de serviettes sales dans les mains
et moi, blanc comme un linge, sa culotte sous le nez.
Elle me regardait, mais je ne voyais ni colère ni animosité dans son regard, simplement de la gentillesse, elle avait lair navrée dêtre arrivée au mauvais moment.
- Je suis désolé, tatie.
- Quand jai vu ton regard sur mes cuisses, à table, je savais que je te trouverai là. Tu as eu de la chance que ce soit moi qui soit venue. Il y a longtemps que cela ne tétait pas arrivé !
- Trois ans, je ny pensais plus autant, cest la dentelle et ta jarretelle !
- Jai fait exprès !
- Quoi ? Et pourquoi ?
- Javais envie de savoir si cela te faisait encore de leffet ?
- Eh bien ?
- Ma foi, je crois que oui ! Et quest-ce que cest, au juste, qui te fait autant deffet ? Si tu savais comme jai râlé de trouver du sperme dans mes combinaisons, sans compter les sous-vêtements qui disparaissaient et qui revenaient par enchantement.
- Je te demande pardon. Mais le nylon, la dentelle, la douceur,
Je ne pouvais plus men passer ! Et puis il y a aussi
toi !
- Moi ? Et en quel honneur ?
- Je tai vue nue à la douche, dans la grange.
- Mais je ne suis pas belle, je nai pas de poitrine !
- Cest surtout de te voir en combinaison qui mintéressait. Elles étaient douces, mais je voulais savoir quest-ce que ça donnait sur toi ! Et après cétait fini, je ne pouvais plus vivre sans, je dormais même avec. Je nai jamais pensé que je faisais du mal.
- En fait, non ! Mais il a fallu quelquefois que je me retienne pour ne rien dire à personne quand il me manquait quelque chose ou quand je me retrouvais avec les mains poisseuses. Mais je savais que cétait toi.
- Merci, tu as été gentille.
- Maintenant, rejoignons les autres. Je suis contente de savoir. Tu viendras me voir quand tu voudras, nous en reparlerons. Tu sais, tu peux finir ce que tu avais commencé, ça me ferait plaisir de savoir que cest pour moi.
Et cest ce que fis, avec un grand soulagement, physique et surtout moral. Elle ne men voulait pas trop. Elle avait été vraiment gentille et le reste de la journée fut des plus agréables. Pendant le dîner, elle renouvela sa petite exhibition et alla même jusquà la lisière de son bas.
Je ne revis pas ma tante de trois mois. Je passai comme chaque année lui présenter mes vux, avec évidemment trois jours de retard. Je la trouvai seule chez elle, en train de faire son ménage. Elle était heureuse de me voir et après les banalités dusage, elle me proposa un café et menvoya lattendre au salon. Elle vint avec son plateau et sassit à côté de moi. Pendant quelle me servait, jobservai quelle portait un tablier boutonné devant. Entre chaque bouton japercevais le tissu mauve dune combinaison que je connaissais. Elle portait certainement des collants, de couleur chair et des jolies mules fourrées roses.
- Je parie que tu as déjà regardé ce que je portais ?
- Euh
- Tu crois que je ne vois pas ton regard ? Cela ne te passera jamais ?
- Ecoute, on ne va pas revenir là-dessus, jessaie de men passer.
- Est-ce que tes copines portent des combinaisons ?
- Certainement pas, cest ringard, elles naiment plus les dentelles !
- Moi, jadore ! Quelquefois, je me change même pendant la journée !
- Je men doute, à un moment, jai compté que je métais masturbé dans quinze différentes sans compter les jupons.
- Tu veux voir ?
Sans attendre ma réponse, elle se leva, prit ma main et mentraîna dans sa chambre. Elle ouvrit son armoire.
- Voilà, cest mon trésor !
Je ne savais plus où poser mon regard, il y avait des piles de combinaisons et de jupons, des tas de petites culottes et de soutiens-gorge rembourrés, des bas, des collants : la caverne dAli Baba pour quelquun comme moi. Je reconnaissais certains de ces sous-vêtements, je les avais utilisés dans mes branlettes solitaires. Abasourdi, je massis sur le lit et contemplai sans dire un mot. Malgré tout, javais la bite en feu devant ces merveilles.
- Alors ?
- Merveilleux, simplement merveilleux ! Mais bon, tu naurais pas dû me montrer tout ça !
- Je me doute que cela te fait de leffet. Mais tu es le seul ! Ton oncle sen fout ! Choisis ce que tu veux et je vais le mettre pour toi. Jai envie de faire une folie !
Je mis du temps à me remettre. Pendant ce temps, elle enleva ses collants et sa culotte .
- Allez, vas-y, naies aucune crainte. Tu as vingt-cinq ans, moi vingt de plus. Cest ça qui te gêne ?
- Non, mais cest grave !
- Toccupe, choisis, après on verra !
Je pris dans la pile une combinaison noire, courte, avec juste un liseré à la base et un plastron de dentelle à la poitrine. Jhésitai pour le reste, et en fait, cest comme cela que je voulais la voir.
- Cest tout ?
- Oui !
- Daccord, je vais me changer ! Déshabille-toi, je reviens !
- Quoi ?
Avant que jaie pu ajouter quelque chose, elle avait disparu dans la salle de bains. Avais-je bien entendu ? Elle était décidément encore plus folle que moi ! Jhésitai
- Alors, tu es prêt, jarrive ! Allonge-toi sur le lit et ferme les yeux.
En un tour de main, je fus nu. Ma virilité était mise à rude épreuve, un coup je bandais comme un âne, un coup ses décisions me faisaient peur et avaient un effet désastreux sur ma bandaison. Advienne que pourra ! Je fis ce quelle mavait demandé. Je lentendis arriver et sentis soudain sa présence contre moi, sa tête se posa sur mon torse et sa main entoura mes hanches. Elle passa une jambe entre les miennes, entourant ma cuisse du velouté de combinaison. Elle écrasa enfin ses petits seins pointus sur mon ventre et ne bougea plus. Jétais aux anges, ma bite se mit à gonfler toute seule, alors que je navais encore rien vu ! Doucement, je la sentis bouger. Elle sallongea sur le dos.
- Ouvre les yeux, bébé !
Devant mes yeux hagards, je vis le plus beau spectacle qui mait été donné de voir. Cette femme en combinaison noire jusquà mi-cuisses, un ventre plat, des petits seins dont on ne voyait que les pointes qui dépassaient de la dentelle. Jétais fou de joie, elle me regardait en souriant.
- Cest mieux que dans tes rêves, ou tu es déçu ?
- Arrête !!
- Bon, alors, tu comptes regarder longtemps ?
Je magenouillai près delle, la bite tendue et je commençai à passer mes mains sur ce corps offert. Ce qui mintéressait surtout, cétaient les parties recouvertes du fin tissu. Ses seins en particulier, je ne me lassais pas de tenir entre mes doigts les pointes extraordinairement développées et elle appréciait en gémissant doucement. En fait, je ne savais plus quoi lui faire. Moi qui avais passé tant dannées à imaginer toutes sortes de scénarios possibles où je la prenais dans tous les sens, jétais incapable de lui donner quoi que ce soit. Jen avais les larmes aux yeux et javais complètement débandé.
Heureusement, elle prit les choses en main.
- Ce nest rien, calme-toi, mon biquet, je vais dabord moccuper de toi. Allonge-toi et laisse-moi faire, tu vas voir, ça va être bon.
Elle commença par venir membrasser. Un baiser plein de douceur, sa langue jouait doucement avec la mienne. Puis ce furent des baisers et des suçons sur mes tétons. Elle écha tendrement mon ventre qui frémissait. Ses mains jouaient avec mes cheveux ou caressaient mes joues. Mon sexe reprit du volume. Elle se mit à genoux, et tout en me regardant se saisit de ma tige turgescente.
- Tu es gros ! Elle est belle ! Je vais me régaler ! Tu veux que je te suce ?
- Oui
!
- Daccord, mais tu jutes dans ma bouche, il ne faut pas gaspiller ! Je veux que tu te laisses aller, comme quand tu te branlais dans mes combines ! Et puis, tu me caresses les seins, mais tout doucement, ils sont très fragiles.
Jétais prêt à tout, évidemment et je me mis à la tripoter à travers la dentelle. Elle me laissa faire un moment sans lâcher ma bite, comme pour tester mes capacités à exécuter ce qui lui plaisait.
- Parfait, continue comme ça ! Et maintenant, en avant, jusquau bout.
Sans attendre, elle se pencha et avala ma hampe jusquà la garde. Elle commença un va et vient ample en grognant de plaisir chaque fois que je pinçais un téton. Puis elle saisit mes couilles dans une main, mit le gland entre ses lèvres et entreprit de me branler tendrement de lautre main. Cétait le paradis. Je sentis mon corps se tendre, ma respiration sarrêter, et tout dun coup, la délivrance. Le feu partit de mes couilles, se propagea le long de la hampe gonflée et éclata en trois giclées puissantes quelle avala en hoquetant. Elle attendit la fin de mes soubresauts, nettoya le tout, vint sallonger près de moi et membrassa violemment, me faisant goûter à mon sperme.
- Je lavais déjà goûté dans mes combinaisons, mais là, il est bien frais et bien chaud !!!
Ce que je venais de vivre navait rien à voir avec mes fantasmes. La réalité, cétait bien la réalité ! Je narrivais pas à me réveiller. Elle était là, elle sétait habillée comme dans mes rêves, elle venait de me faire une fellation de rêve, elle membrassait tendrement dans le cou en me disant des mots doux. Comme si on était un vieux couple. Quest-ce que je faisais là ? Je nétais pas à ma place ! Jallais me réveiller ! Je me soulevai sur un coude pour la regarder. Elle était allongée, les jambes écartées, la combinaison retroussée laissait voir quelques poils bruns frisés en haut de ses cuisses fines. Que devais-je faire ? Fuir ? Elle nallait tout de même pas me donner plus que ce quelle mavait déjà donné ? Et puis, je ne savais pas ce quil fallait faire. Elle me regarda.
- Naies crainte, personne ne saura rien ! Mais il faut me promettre de ne rien dire non plus. Et à personne ! Et il faut aussi me promettre de revenir !
- Mais toi, tu nas rien eu ?
- On na pas le temps. Ne tinquiètes pas, reviens, cest tout !
- Quand ?
- Samedi matin. Ton oncle part à la pêche pour la journée. Il emmène les s. Je ten prie, viens !
Je me rhabillai sans pouvoir la quitter des yeux. Quand je fus prêt, elle se retourna, enleva sa combinaison et passa son peignoir. Elle me tendit le morceau de tissu noir.
- Tu penseras à moi. Mais interdiction de juter dedans, tu me la ramènes intacte ! Allez file et ne te montre pas !
Je glissai la fine combinaison dans mon slip et quittai la maison en faisant attention de ne pas être vu.
Lattente jusquau samedi suivant fut atroce. La compagnie du doux sous-vêtement narrangeait pas les choses, puisque je navais pas le droit de me branler avec. Mais le matin décisif, jétais prêt. Jai vu partir mon oncle et mes cousins avec tout leur barda. Ma tante les a accompagnés jusquà la voiture pour leur donner les dernières recommandations et est repartie vers la maison en regardant aux alentours. Elle mattendait vraiment ! Je patientai encore quelques minutes, sortis de ma cachette et courus vers la porte de la cuisine que je refermai derrière moi. Je lentendais saffairer dans la salle de bain. Je mavançais, la petite combinaison à la main.
- Je tai entendu rentrer ! Vas mattendre dans la chambre et profites-en pour te déshabiller et enfiler la combinaison que je tai prêtée. Je veux voir ce que ça donne !
Alors là ! Je nétais vraiment pas en mesure de refuser. Et puis après tout, je le faisais bien tout seul ! Mais je nen menais pas large ! Une fois nu, jenfilai la combinaison en me regardant dans la glace de larmoire. Comme dhabitude, leffet ne se fit pas attendre et ma queue se tendit avant même que le fin liseré de dentelle ne soit entièrement descendu le long de mes cuisses. La douceur, la fraîcheur du tissu, lidée que tatie était là tout près, que cétait elle qui me lavait demandé et surtout limpression que ce qui allait se passer me marquerait à jamais, fit gonfler ma verge comme jamais encore. Au point que, perdu dans limage que je voyais dans le miroir, je ne lavais pas entendue arriver.
- Eh bien, ça te fait de leffet !
- Je me sens ridicule, je vais enlever ça !
- Surtout pas, tu vas aller au bout maintenant ! Moi je veux que tu assumes ! Moi aussi, jen ai rêvé de te voir comme ça ! Et si tu me regardais un peu, non ?
Effectivement je nosais plus bouger, même pas mon regard, et mon érection avait baissé. Quand enfin je tournai la tête, ce que je vis fit bondir mon bâton de chair et retendre le fin tissu. Son soutien-gorge blanc était minuscule et elle ne portait quun jupon court de la même couleur si transparent que je voyais nettement sa toison brune juste au-dessous de lélastique. Elle navait pas mis de culotte.
Sans un mot, elle me poussa sur le lit ouvert et me couvrit de son corps. Ses lèvres prirent possession des miennes et sa langue agile sinsinua dans ma bouche pour un baiser violent ponctué de soupirs de part et dautres. Elle faisait onduler lentement son bas-ventre contre le mien, je sentais parfaitement sa touffe frotter contre ma hampe, à travers ma combinaison et son jupon. Son excitation faillit plusieurs fois me faire jouir prématurément. Sa langue était merveilleuse et son corps léger était vraiment dune voluptueuse tiédeur animale. Jeus un peu de mal, mais je réussis à la repousser avant que survienne un accident qui maurait mis mal à laise.
- Jai envie de te caresser !
- Vas-y mon cur, je suis à toi ! Sois doux !
Et là, mon rêve devint réalité ! Dun seul doigt, je glissai sur ses lèvres, son menton, son cou, sa gorge, entre ses seins dont japercevais les pointes brunes à travers la dentelle fine du soutien-gorge, puis le ventre plat, le nombril et enfin le bord de lélastique de son jupon, ses hanches. Je refis plusieurs fois le chemin, sa peau tressaillait et elle gémissait doucement. Je remplaçai mon doigt par ma main quelle saisit pour la porter sur son sein.
- Il est petit, hein ? Il te plaît ? Il faut le caresser doucement, la pointe est très sensible. Attends, je vais enlever le soutif !
Elle se releva et dégrafa le mignon soutien-gorge quelle me jeta à la figure en riant.
- Celui-là, tu ne pourras pas le mettre ! Et puis enlève ta combine, tu as raison, cest nul.
- Et toi, ton jupon !
Enfin nus, elle se rallongea sur le dos et je continuai mon exploration. Ses seins étaient vraiment petits, mais ses tétons étaient tendus par le désir. Elle adorait que les frotte tout doucement sous la paume de ma main, dans un mouvement circulaire. Elle sursautait chaque fois que je prenais une pointe entre mes doigts pour la serrer un peu.
- Tête-moi, mon bébé !
Je me penchai vers sa poitrine et pris un tétin entre mes lèvres. Puis de la langue, jentrepris un mouvement tournant, tout en aspirant. Elle se triturait lautre sein et appuyait sur ma nuque pour que je ne lâche surtout pas. Je passai ainsi de lun à lautre pendant de longues minutes, sans quelle se lasse.
- Tu es adorable ! Maintenant, jai envie dautre chose !
Elle me prend dans ses bras, membrasse. Je passe ma main sur son ventre et je maventure jusquà sa touffe. Je sens sous mes doigts un endroit chaud et moite. Je caresse ses poils en appuyant de plus en plus et lhumidité sintensifie. Elle murmure :
- Cest bon, continue. Descends un peu, ma fente va souvrir si tu es doux.
Et cest vrai, je sens soudain une peau douce, humide, gonflée qui souvre comme une fleur avec sa rosée. Mon doigt est comme aspiré par cette fente juteuse, il senfonce entièrement dans des profondeurs inconnues, lui arrachant des feulements à chaque pénétration. Elle glisse alors sa main entre nos deux corps, réussit à saisir ma bite et commence un lent massage de bas en haut. Tandis que nous échangeons ces caresses, elle vient au-devant de ma main, se presse contre elle quand mes deux doigts rencontrent cette petite excroissance que je presse en haut sa vulve inondée. Ses yeux sécarquillent, sa peau devient fiévreuse, elle arque le dos pour se coller à moi. Elle prend ma main libre dans la sienne et la serre contre son sein. Puis renversant la tête en arrière, elle pousse un cri, la bouche grande ouverte. Elle se serre alors contre moi et je sens quelques larmes.
- Jai joui.
Moi, je continue de la caresser, elle est complètement inondée.
- Viens, viens en moi !
Je me couche sur elle qui a largement écarté ses cuisses. Elle prend ma bite, la pointe à lentrée de sa chatte, noue ses chevilles dans mes reins et se projette en avant, sempalant littéralement sur mon pieu de chair. Nous sommes restés un moment à savourer cet instant.
- Allez, maintenant baise-moi, enfonce-toi loin !
Et je commence des va-et-vient dans son antre brûlant, visqueux. Elle saccroche à mon cou, membrasse furieusement, sa langue est de feu. Quand elle me relâche, cest pour triturer un sein ou magripper par les hanches pour me maintenir en elle. Ses cuisses sont brûlantes, son jus damour qui nen finit plus de couler détrempe nos toisons et mes couilles. Je sens la mouille qui gicle chaque fois que ma bite senfonce. Je veux maintenant atteindre le cur de la fournaise. Je la sens qui souvre et qui maspire dans son puits sans fond.
- Viens, cest bon ! Vide-toi, naies pas peur, mon bébé ! Cest que du bonheur ! Allez, viens, je veux ton jus, tout ton jus !
Je me sens devenir incandescent, jaccélère la cadence et la force de mes poussées. Jai limpression de tomber, je ferme les yeux, je mabandonne sur son corps, je sens ses petits seins tout durs, elle me berce sur elle, dépose mille baisers sur mon visage. Je suis sur une immense vague, le flot memporte, mengloutit, je crie, elle aussi !
- Oui, ton jus, ton jus ! oh, que cest bon !
Je me suis vidé. Quand jouvre les yeux, je vois le visage cramoisi de Malou qui me regarde. Ses yeux sont embués, les cheveux sont collés.
A regret, je me sépare delle. La sensation du retrait de mon pénis me chagrine, je ne voudrais pas la quitter. Dans ses mains, elle a le joli jupon blanc. Elle entoure ma bite un peu meurtrie dans le fin tissu. Elle me prend dans ses bras et me berce doucement.
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