Comédie Romantique
Jaime bien aller au cinéma le matin en pleine semaine dans un grand complexe où je peux choisir nimporte quel film et savoir que je serais presque seul dans une grande salle. Ce matin là, je prenais une place pour un film de comédie romantique comme on aime bien les faire en ce début de siècle. Il ny a rien de réaliste mais cest amusant et on ressent des sentiments dont tout le monde rêve sans pouvoir vraiment les toucher du doigt de lesprit. Le nombre de fois où lon se dit en sortant de la projection - mais si je pouvais vivre ne serait-ce quun moment de la même façon - il suffit parfois dun déclic et en sortant de la salle de rencontrer celle ou celui qui vous attend, surtout lorsque vous êtes encore totalement imprégné de lhistoire. Un simple frôlement de mains lorsque la personne qui vous précède retient la porte, des regards qui se croisent, un sourire, cest pour la vie.
Jentrais dans la salle, personne, cest dans ces moments quun frisson dexcitation vous parcourt le corps de penser que vous allez être seul dans une grande pièce, vous vous imprégnez de tout lespace, le film ne sera que pour vous. Le silence ne vous est pas insupportable, il vous repose et la pénombre vous fait ressentir une douce quiétude. Je me plaçais au centre dune des rangées de sièges et masseyais confortablement. En attendant la première partie publicitaire, je me mis à penser à tous ces moments érotiques que javais pu vivre dans une salle de cinéma avec mes précédentes compagnes. Je métonnais de penser à cela, sûrement limpression dêtre seul dans ce grand espace. On sarrangeait toujours pour choisir un film que personne nallait voir, comme cela on était sûr dêtre vraiment seuls. Avec ma dernière on aimait bien ce petit jeu. Nous aurions pu nous retrouver normalement chez elle ou chez moi, mais ça nous excitait de nous retrouver dans un endroit public pour faire lamour.
Juste lorsque je commençais à ressentir un début dérection, jentendis une des portes de la salle sentrebâiller.
La dernière histoire que javais eue dans un cinéma remontait à quelques mois. Jétais alors avec une jolie femme, grande, avec des cheveux blonds, longs et bouclés, de superbes yeux bleus dans lesquels on pouvait se noyer dans un désir déternité, elle me faisait un effet fou et javais toujours envi de faire lamour avec elle. Une fois assis, nous navions pas attendu pour nous embrasser éperdument. Elle était tout autant excitée que moi. Nos langues se mêlaient dans un ballet fougueux et nous émettions de petits soupirs qui nous excitaient encore plus. Cette attraction jubilatoire nous amenait à nous caresser mutuellement le corps. Je commençais toujours par les fesses, jadorais ces fesses, jadorais les caresser à travers sa jupe, puis à remonter tout doucement le tissu pour faire augmenter son excitation et ensuite pouvoir ressentir sa peau soyeuse. Je mettais ensuite ma main dans la raie de ses fesses et en écartant le fil de sa petite culotte, je venais toucher son petit trou du cul en tournant délicatement autour de la rondelle. Elle adorait ça et je sentais sa langue saccélérer dans ma bouche et ces soupirs devenir plus longs. Ensuite en prenant un peu de mouille de sa petite chatte, jélargissais tout doucement son petit trou par des mouvements circulaires de plus en plus rapides.
Je ne me rendis pas compte que le film avait déjà commencé, tellement perdu dans mes pensées quand je crus entendre à côté de moi des petits soupirs. Je tournais la tête et dans la pénombre, je vis ma voisine qui était entrain de se masturber discrètement. Quel joli spectacle, elle se trémoussait doucement en caressant ses seins à travers son petit chemisier et en ayant une main au niveau de son sexe, les jambes serrées. Je nen crus pas mes yeux et je la regardais faire. Je trouvais cela très beau et je ne pus mempêcher de profiter de la scène en sortant mon sexe et en me masturbant également. Je sus que je ne la toucherais pas, elle ne me regardait pas, elle préférait garder les yeux fermés et gémir de plus en plus fort. Elle déboutonna quelques boutons de son chemisier, ce qui découvrit en partie ses seins qui se trouvaient en totale liberté. De beaux petits seins quelle caressa de plus en plus fougueusement tout en écartant de plus en plus ses jambes. Elle remonta sa jupe et découvrit son antre sombre qui lui aussi ne possédait pas dentrave. Décidément, elle naimait pas les dessous. Mais tant mieux, cétait encore plus excitant. Je sentais les effluves de son sexe jusquà moi et jaurais adoré lui lécher sa petite chatte pour pouvoir men enivrer totalement. Je sentais sa jouissance montée, car ses gémissements devenaient de plus en plus profonds et son corps était parcouru de spasmes rapides et secs.
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