Le Fantasme Des Livreurs
Ce mercredi-là,un meuble devait nous être livré.
Laprès-midi arriva ainsi que lheure damener les s au centre de loisirs.
De retour à la maison, ma femme lisait tranquillement allongée sur le canapé et des images excitantes flashèrent dans ma tête en la regardant.
Ma femme est très timide mais je métais rendu compte en quelques occasions quen la forçant un peu, elle était capable de faire des choses quelle disait ne pas vouloir faire, pour lesquelles elle se disait inintérêssée.
Je pris son magazine des mains, la regardai, et lui dis : « et si tu mettais ta jolie petite robe courte blanche et noire sans rien dessous cet après-midi pour accueillir les livreurs ? ».
Elle me regarda, étonnée et à priori inintéressée et même rebutée par lidée et répondit : « cest cela, oui !!! dans tes rêves !! » Puis elle reprit son magazine, me faisant ainsi comprendre que la discussion était close et quaucune négociation nétait envisageable.
Je fus résigné quand soudain, je montai dans la chambre du haut et pris cette fameuse robe dans la penderie, puis redescendis la cacher sous notre lit.
Jattirai ma femme dans notre chambre,lembrassai tout en la pelotant et glissant ma main dans sa culotte à la recherche de son sexe qui était déjà bien humide.
Je la déshabillai lentement.
Une fois nue, elle dit soudain : « non, pas maintenant, les livreurs peuvent arriver dune minute à lautre ! ». Elle se baissa pour ramasser son soutien-gorge et le remettre lorsque je men emparai brusquement et je la regardai droit dans les yeux : « non, non, pas ça ! ». Elle sourit et me dit : « tu es un sacré coquin, toi, alors ! ».
Elle tenta alors de ramasser sa petite culotte mais je mis mon pied sur celle-ci afin de lempêcher.
Elle releva la tête, hocha celle-ci tout en soupirant et haussant les épaules. Je lui dis : « non, non, pas ça non plus, je suis désolé chérie ! ».
Cest alors que je me baissai et lui tendis la robe que javais caché sous le lit.
Elle la saisit dun geste brusque et lair fâché et me lança : « Sache que je le fais mais ça ne me fait rien ! ».
Elle enfila sa jolie robe sur sa nudité et partit dans le salon, comme en colère. Son attitude ne fit quaccen mon excitation.
Ne voulant pas la faire changer davis, je me gardai bien de lui parler de ce qui allait se passer et de ce qui mexcitait ou bien de ce quelle ressentait.
Les minutes sécoulèrent lentement, je me demandais bien comment tout cela allait se passer. Jeus alors lidée de mettre en vitrine de notre bibliothèque une photo de mon épouse totalement nue prise cet été en plein air mais je me gardai bien de le lui dire. Une heure passa. Puis un camion se gara devant notre maison. « Les voilà », lui dis-je.
Elle me regarda et je vis se dessiner un petit sourire timide sur son doux visage avant quelle ne baisse les yeux. Par contre, je devais être pâle, à la fois inquiet et excité. On sonna.
Elle me fit signe daller ouvrir, je fis signe que non et lui intima lordre de le faire. Sans hésitation, elle s exécuta et prononça un « bonjour messieurs, enfin vous !
Nous étions impatients !
Entrez et bienvenus à vous deux ».
Je ne lavais jamais entendue aussi loquace et assurée.
« Je vous présente mon mari », dit-elle étrangement.
Je les saluai sans rien dire.
Ils se regardèrent , étonnés, avec un petit sourire au coin des lèvres.
Le plus âgé avait la cinquantaine, le visage buriné, lallure dun ancien militaire, et était large dépaules et musclé avec un léger embonpoint.
Lautre était jeune, environ 25 ans, grand et plutôt mignon.
Leurs regards sarrêtèrent sur ses pieds nus, sur le carrelage glacial (on était un 13 novembre !)puis remontèrent lentement le long de sa robe qui cachait son beau corps nu.
Je vis lhomme plus âgé donner un coup de coude au plus jeune et du menton, lui indiquer le corps de ma femme et sans doute avait-il remarqué quelle était nue sous celle-ci.
La seconde daprès, ils me regardèrent et comme je les regardais, je leur souris dun air entendu. Puis, ils dirent : « nous allons chercher le meuble dans le camion ».
Ce à quoi elle répondit : « Allez-y mais revenez vite, JE vous attends ! ».
Je lui jetai un coup dil, étonné et incrédule auquel elle me répondit par un clin dil et un sourire coquin.
Je ne la reconnus plus !
Ils mirent pas mal de temps à revenir. Sans doute avaient-ils discuté entre eux et parlé de cette femme bandante et très cochonne qui jouait à un drôle de jeu en présence de son mari qui semblait lui-même séduit par cette mise en scène.
Quand ils revinrent, ma femme avait retrouvé sa timidité et sa pudeur habituelle et se fit très discrète.
Tandis quils installaient le meuble, elle sétait réfugiée dans la cuisine.
Lun deux me demanda : « mais où est votre charmante petite femme ? Elle nest pas allée se changer au moins, jespère ? » Nous nous mîmes à rire puis jappelai : « Chérie, ces messieurs te demandent !!! » Elle répondit : « Je viens tout desuite ! »
Je me dirigeai alors devant la vitrine de la bibliothèque tout en leur parlant de ma femme, leur disant quelle était typée car dorigine hispanique, leur demandant comment il la trouvait lorsque soudain leurs regards se posèrent sur la photo que je me mis à leur commenter. Ils se lâchèrent peu à peu, me disant quelle avait lair chaude.
Ce que je mempressai de leur confirmer.
Je compris alors quils étaient prêts à prendre linitiative. Elle revint. Je proposai daller chercher à boire dans la cuisine.
Je les entendis parler de ses origines espagnoles, de sa fraîcheur, de son joli corps.
En revenant, je les invitai à sasseoir de part et dautre de ma femme.
Elle me regarda, les yeux à la fois pleins de reproche et dexcitation. Je suggérai de leur montrer quelques photos de ma femme un peu osées et lui demandai son accord.
« Si tu veux » répondit-elle avec un sourire gêné.
Je vis quelle frottai imperceptiblement ses genoux lun contre lautre et la pointe de ses têtons ressortaient sous le tissu fin de sa robe.
Ils regardèrent les photos et firent des commentaires flatteurs.
Lun deux dit alors :« vous êtes déjà très bandante sur les photos, jimagine quen vrai ce doit être grandiose ! ».
Je tendis la main à ma femme pour linviterà se lever et lui dis : « es tu daccord pour quils te voient en vrai ? ». « Oui » , répondit elle dans un soupir.
Je la tournai alors face aux deux livreurs et fit glisser les bretelles de sa robe le long de ses épaules.
La robe tomba soudainement à ses pieds.
Elle fit un pas sur le côté pour libérer ses pieds.
Elle était nue, face à ces deux inconnus.
Et elle leva les bras derrière sa nuque.
Ses seins pointaient comme jamais.
Un grand silence envahissait la pièce. Je bandai comme jamais.
Elle tourna sur elle même pour faire apprécier les courbes de son fessier. Elle avait les yeux fermés. Je la saisis par les hanches, lapprochai tout contre moi et me mis à lui caresser son sexe tout humide et elle se tortillait de plaisir en poussant des soupirs entre ses dents. Je lallongeai sur la table et fis signe aux deux livreurs dapprocher. Ce quils firent.
Je magenouillai et commençai à lui lécher la chatte pendant que les deux livreurs lui caressaient les seins.
Lun défit son pantalon et offrit son sexe tendu à ma femme pour quelle le suce.
Elle garda la bouche fermée en signe de refus mais le saisit de sa main gauche.
Son collègue fit la même chose de lautre côté et ma femme saisit son sexe de la main droite.
Je me relevai pour observer la scène.
Elle se cambra pour me faire comprendre quil fallait continuer à soccuper de ses parties intimes et cest avec mes doigts que je moccupai de son clitoris puis de son anus.
Elle fut prise de spasmes et poussa des cris de jouissance.
Les deux livreur sapprochèrent leurs sexes de ses seins et les touchèrent tandis que ma femme leur malaxait les couillles.
Lun éjacula sur le torse de ma femme en poussant un râle en lui disant : « Prends-ça, espèce de salope ».
Son collègue me demanda dun geste sil pouvait la pénétrer.
Je ne my opposai pas et lui cèdai ma place entre les cuisses de ma femme. Elle se releva et dit simplement : « non, pas de pénétration, je ny suis pas prête » puis se retira dans la salle de bain.
Le deuxième livreur, le plus âgé au look dancien para qui navait pas encore éjaculé, cria : « et moi, il faudrait peut-être penser à moi, reviens ici tout de suite, petite chienne ».
Je lencourageai gentiment à revenir.
Ce quelle fit.
Il sassit sur le canapé et demanda à ma femme de sagenouiller devant lui.
Elle obéit docilement.
Il la saisit par la nuque et la pressa contre son membre dur et impressionnant et lui ordonna : « OK, pas de pénétration, mais alors suce-moi, salope ! ».
Elle se recula et prévint :« daccord mais vous ne me crachez pas dans la bouche ! ». Il donna sa parole. Et elle sexécuta. Voir ma femme à genoux et nue devant cet homme à lallure militaire avec son sexe dans la bouche finit par avoir raison de moi et jéjaculai un long jet sur le tapis en lui hurlant : « cest trop bon, ma chérie, tu es trop bonne, trop perverse, je taime !! ». Elle relevait les fesses invitant quelquun à la pénétrer en levrette.
Or, je nétais plus en état de lefaire.
Alors, je lui caressai les deux orifices ainsi présentés et ouverts avec la main et dun signe de la tête, invitai le jeune livreur à venir goûter de sa langue lintimité de ma femme.
Je me reculai et me servit un Martini, spectateur incrédule de ce spectacle de haute qualité.
Le livreur quelle suçait commençait à se crisper et relâcha la pression sur la nuque de ma femme juste avant déjaculer.
Son sperme jaillit sur ses seins. Elle continua àcaresser son membre devenu flasque et brillant, la tête posée sur la cuisse velue et musclée du livreur laissant lautre jouer avec son clitoris.
Puis elle se retourna sur le dos et se finit seule, alors quelle avait toujours refusé de se masturber devant moi, poussant des hurlements comme je navais plus entendus depuis bien longtemps. Elle se releva et repartit dans la salle de bains. Elle dit simplement : « Maintenant, au revoir messieurs ».
Ils repartirent , me serrant la main et me félicitant pour ma « belle salope ».
Lun me glissa son numéro de téléphone (le plus ancien).
Ma femme ressortit de la salle de bain un peu plus tard , comme si rien ne sétait passé et jai compris quil valait mieux ne pas parler. Le soir même, alors que les s étaient au lit, je lai baisé sur cette table et là jai compris que cette expérience ne lavait pas écoeurée, ni emplie de honte. Jai compris que ce genre dexpérience extrême pourrait se reproduire mais quil ne fallait pas en parler avant. Cest dans laction quelle se révèle. Les paroles linhibent.
Mais laction spontanée la désinhibe totalement. Donc, il me faudrait faire preuve dimagination pour créer des situations propices à cet abandon.
Jai redécouvert ma femme et ses mystères.
Et cest ces mystères là qui mexcitent.
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