Le Pote De Mon Frère

A 18 j'étais malheureusement encore vierge. Je me masturbais souvent en carresant mon clitoris ou entrant un ou plusieurs doigts dans mon vagin. Mais l'envie de quelque chose de plus gros se faisait de plus en plus pressante. N'ayant pas de petit ami sous la main et n'osant pas me rendre dans un sex-shop je décidais d'utiliser fruits et légumes comme substitut phallique. J'accompagnais ma mère faire les course et elle fut très étonnée que je pris un régime de banane, des courgettes et un comcombre (ce que je detestais avoir dans l'assiette, peut être que dans mon cul ce sera meilleur). Discrètement je pris également une boite de préservatifs.

Un jour ou j'étais tranquile dans ma chambre j'eus envie d'essayer, je descendis cherche une banane, une courgette et un comcombre. Je mis un préservatif sur la banane pour éviter que ses quelques aspérités me blessent le vagin et je commençai à penser à quelques chose d'excitant. Je m'imaginais sucer un type, sentir son gros membre dans ma bouche. Très vite un flot de cyprine coula. J'entrai doucement la banane dans mon vagin, de plus en plus profond, je senti une vive douleur: mon hymen c'était déchiré. Confiante j'entrepris des mouvements de va-et-viens. Je commençai à ressentir un grand plaisir quand soudain ma porte s'ouvrit et je vis Seb, un copain de mon frère, il s'était manifestement trompé de chambre. Nullement gêné il me dit qu'une bite serait mieux. Il entra et ferma la porte. Une bosse se dardait dans son jean. Il enleva son T-shirt sous mes yeux incrédule et j'aperçu son torse aux abdominaux sailants, il devait avoir une vingtaine d'années et semblait très sûr de lui. Il enleva son jean laissant apparaitre une érection phénoménale dans son boxer. Il monta sur le lit et plaça son entrejambe à quelques centimètres de mon visage. Je laissai la banane et fit descendre son boxer et en profitai pour lui lécher le gland. Il sourit. Il s'allonge alors sur moi et carressa de haut en bas l'entrée de mon vagin avec son gland, il allait même jusqu'au clitoris, je ne resistai pas longtemps et eu un premier orgasme.

Mon vagin et se contractait en rythme et ça avait l'air de l'exciter car il plongea sa verge dans mon vagin qui se contractait toujours, ce qui provoquait un massage particulièrement délicieux pour Seb. Puis quand mes muscles se calmèrent il commença ses mouvements. Il sortait son gland et renfonçait sa queue jusqu'aux couilles, d'abord lentement puis toujours plus vite. C'était bon, c'était délicieux de sentir se membre gonflé en moi aller et venir. Ca se passait de plus en plus vite, nos pubis se cognaient, j'allai presque jouir lorsque les yeux de Seb virent le comcombre par terre. Il s'arreta, sourit, pris le légume, lui enfila un préservatif et me dit:
"Tu vas vraiment jouir comme une dingue".
Il plaça le comcombre à l'entrée de mon vagin, le lubrifia de ma cyprine puis le porta au bord de mon anus. J'étais inquiète mais curieuse égalemnent. Il poussa un peu et mon cul commença à souvrir, il arriva à enfoncer le légueme d'environ 5 cm puis attendit que je me décontracte. Une à deux minutes après il poussa de nouveau, le tout devait être rentré de 10 cm. J'avais un peu mal mais mon anus se décontractait mieux. Puis, il poussa violamment et le légume me pénétra profondément. Je criai, sur le coup ça m'avait fait mal mais maintenant ça allait mieux, mon cul s'habituait. Seb, qui avait gardé une belle érection, remit sa verge dans mon vagin et repris son travail avec encore plus d'ardeur, il s'enfonçait plus loin et plus vite. Je jouissais de me sentir comblée par sa bite d'un coté et un autre gros truc de l'autre. Seb pris le comcombre et commença à le bouger en rythme avec son pénis, de plus en plus vite. C'était bon, puissant. Je sentais 2 plaisirs différents qui m'enveloppaient, grandissaient, puis, je me mis à jouir du cul et du vagin en même temps, c'était incroyable, tous mes muscles se contractèrent. Seb se retira et vient se branler près de mon visage et je reçu 3 grandes giclées de sperme chaud qui coulèrent le long de mes joues. J'entrepris de lui nettoyer la bite avec ma langue, après tout, je lui devais bien ça.