Marie - Agathe - Monsieur Charles
Agathe
monsieur Charles
Marie sest installée confortablement dans son lit et , le journal dAgathe entre les mains, elle entame la lecture du quatrième récit écrit par son arrière grand-mère
Monsieur Charles
Voilà bien un de mes fidèles « réguliers »monsieur Charles, le docteur, la cinquantaine, dégarni et un peu bedonnant. Avec lui tout est réglé comme du papier a musique. Tous les mardi , comme sa bourgeoise est partie chez sa mère,il est la a 15 heures tapante.Je connais ses habitudes par cur, madame Louise mappelle, il commande du champagne et assis sur un canapé , il me parle, en caressant mes cuisses, de ses petits tracas quotidien.
Pour la gaudriole aussi , cest toujours la même chose, la même chambre, et ...les mêmes positions. Un missionnaire et une levrette, sans oublié que je dois lui crier quil baise comme un étalon et voila il est content !
Mais un jour il a fait a madame Louise une demande un peu particulière, minvitez au restaurant et passer laprès midi chez lui, sa femme étant absente plusieurs jours.
Ce nest pas courant que nous nous déplacions chez un client, mais comme monsieur Charles est un vieil habitué, elle a accepté moyennant finance évidement.
Madame Louise ma prêté une robe de sa garde robe, une robe très belle, mais très classique, car ici au Chabanais, nous sommes plutôt en petite tenue !
11h30 Je suis a lheure et lui aussi. Il est venu en voiture ! On nen voit pas beaucoup.
Cest une Citroën Type B2 décapotable ( jaime ce nouveau mode de déplacement) jaune pétante ! Il est un peu surpris et ravi que je my connaisse un peu en véhicules automobile, cest rare en 1923.
Monsieur Charles ne sest pas foutu de ma tronche, il a réservé dans le meilleur restaurant de la ville !
Ça fait tout drôle que lon mappelle « Madame » et que lon ait de égards pour moi.
Après cet excellent repas, Monsieur Charles ma conduite chez lui, Je me suis dit , ça va être comme dhabitude, un coup ou deux puis fini ! Mais je me trompais !
Elle est superbe la baraque, au fond dune allée dans un grand parc, stationnées devant quelques voitures, mais comme je suis un peu pompette, je ny prête pas attention. Monsieur Charles minvite a entrer.
Mazette, Monsieur Charles a du goût et de largent !Je le suis, au fond du couloir une grande double porte, il louvre et toujours aussi courtois, me fait entrer.
La pièce nest éclairée que par quelques chandeliers. Dans la pénombre, je distingue une croix de st André dressée au milieu de la pièce et plus loin un chevalet. Sur les murs de nombreux râteliers garnis d « objets » bizarres.
Monsieur Charles a refermé la porte a clé derrière moi ! Mais je ne suis pas seule, deux hommes , torses nus, habillés de pantalons de cuir et cagoulés apparaissent dans la faible lumière.
Je nai pas le temps de réagir et crier ne sert a rien, les volets sont fermés, me voila a leur merci ! Ils mempoignent , me déshabillent brutalement. Les yeux bandés, je suis attachée a la croix. Sans un mot, lun deux sapproche , et accroche une pince a chacun de mes tétons . Ohh ! Quelle drôle de sensation, un peu douloureux mais en même temps ça mexcite ! Un fouet claque sur mon ventre, sur les seins, la chatte, je serre les dents.Je découvre que jaime ce nouveau plaisir mélange de douleurs et de plaisirs ! Hummm !!
les coups de fouet pleuvent!a chaque fois, un peu plus de plaisir !
Soudain , je ressent une présence devant moi, un souffle sur ma peau, des mains, une bouche, une langue qui me lèche, qui s insinue entre mes lèvres trempées. Oh cest bon !!
Et puis on me pénètre,dun coup, mon corps tressaute sous les va et vient brutaux de lhomme qui me défonce encore et encore ! il enlève mon bandeau et surprise, celui qui me prend ainsi nest autre que monsieur Charles !Sacré monsieur Charles, il cachait bien son jeu !
Il ma reconduite au Chabanais, je lui ai dit avec un regard coquin « A mardi ! » Il ma sourit « je suis impatient » Et les mardis nont plus étés les mêmes !!
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