Le Patron De Ma Femme

Cette histoire est peu banale. Et, pourtant, elle m’est arrivée.
Sans vouloir me vanter, j’ai eu la chance d’épouser il y a deux ans, Mélanie, une belle italienne, pas très grande, assez mince, bien fournie point de vue poitrine, toujours bronzée et, vu le regard des autres hommes, je pense désirable !
Moi, c’est Gregory. Nous avons, tous les 24 ans et mariés depuis deux ans. Je suis expert- comptable. Ma femme, elle, travaille chez un bijoutier.
Celui- ci approche la cinquantaine. Néanmoins, il a su rester bien de sa personne et fait toujours jeune. C’est, d’ailleurs, un célibataire endurci qui aime courir les jupons. Mélanie m’avait d’ailleurs confié qu’au départ, il avait tenté des approches mais sans succès !

Ce samedi, soir, Robert, son patron, nous l’invitons justement à dîner.
Mélanie est plus désirable que jamais, même excitante. Elle a revêtu une robe en cuir, collante qui lui arrive mi- cuisse et de hautes bottes, aussi en cuir. Elle avait longtemps hésité trouvant que ça faisait un peu osé, mais j’avais réussi à la convaincre du contraire !

Robert arrive aux alentours de 19h00. Sans gêne, comme à son habitude, il reluque ma femme de haut en bas. Je dois avouer que ça ne me gêne pas. J’ai toujours apprécié le regard des hommes sur mon épouse. Elle le sait. Et il est arrivé qu’elle me signale quand un homme la regardait avec insistance.

J’invite notre hôte à prendre l’apéritif pendant que ma femme achève le repas.
Celui- ci fut d’ailleurs excellent. Mon épouse s’était surpassée.
Après, tous les trois assis dans le divan, nous sirotons un petit digestif. Moi assis à côté de mon épouse, j’observe son patron la mâter sans pudeur. Il faut dire que je ne l’ai jamais vue aussi bandante que ce soir.

Robert doit être excité d’ailleurs car il nous propose une virée dans une discothèque de la ville et nous avoue qu’il y a des strip- tease. Moi, sans savoir pourquoi, je lâche : « Si c’est juste pour le strip, Mélanie nous en fera bien un ! » Qu’ai-je dit ? Je sens le regard de ma femme et de Robert sur moi.

Ils semblent abasourdis, mais pas fâchés.
« Ah non ! Proteste Mélanie en rigolant, si j’en fais un, c’est juste à Robert ».
Sur ce, nous rigolons tous les trois et partons vers la boite.
Là, c’est rempli de mecs, beaucoup observent ma femme mais aucun n’a un geste déplacé. Robert nous propose de prendre une petite loge et appelle une strip teaseuse.
« Celle là, je te l’offre » me dit- il en me désignant un fauteuil simple. Lui prend place en face à côté de mon épouse. J’avoue ne plus trop me préoccuper d’eux. Ma strip- teaseuse est très jolie et excitante. Ca ne dure malheureusement pas plus de cinq minutes. Quand elle s’en va, Robert s’absente cinq minutes aux toilettes.
- Tu veux que je te dise un truc ? me demande ma femme.
- Vas y.
- Robert m’a demandé pour me toucher et le sucer ?
- Pardon ? Comment ça ? (je tombe des nues)
- Oui, tu as bien entendu.
- Et tu as répondu quoi ?
- Que je devais avoir ton avis.

Moi qui pensais qu’elle dirait non, j’étais beau. En même temps, j’avoue qu’il m’était arrivé de l’imaginer avec un autre mec pendant nos débats et ça m’avait fait de l’effet. J’accepte donc mais précise qu’elle est libre de refuser.
Mais, à peine son patron se rassoit- il qu’elle retrousse sa jupe jusqu’à sa taille et s’agenouille autour de se jambes Lui, ne semble pas surpris. Il pose ses mains sur ses fesses et la laisse faire. D’après ce que je vois, ils doivent être en train de se rouler un patin de fou !

Un moment, elle recule, s’agenouille à même le sol et tient en mains sa bitte bandante. Je ne l’avais même pas vue la sortir. J’attends ce moment avec impatience. Le moment où elle va poser ses lèvres autour. Elle est consciente que je dois aimer ça car elle m’observe au moment même où le sexe intègre sa bouche. J’ai cru que mon sexe allait exploser. Je l’ai sorti et me suis masturber en observant la scène. Elle se déchaînait véritablement dessus. Des va et vient, des coups de langue, des caresses, elle léchait les couilles,…

Elle se releva ensuite, abaissa son string et se repositionna les jambes autour des siennes.
Je revois sa main saisir le pénis et le rentrer en elle. Elle n’avait plus qu’à sautiller sur lui et se laisser aller.
Il la prit encore dans une position : elle assise sur le divan, les jambes écartées.
Il eut quand même la gentillesse de s’extraire au moment de l’éjaculation. Je tiens à préciser que j’ai joui deux fois d’affilée rien qu’en les regardant, ce qui ne m’étais jamais arrivé.

Le soir dans le lit, nous en avons discuté. Elle m’a avoué en avoir eu envie assez vite.
Depuis, elle a souvent des rapports avec lui, mais plus jamais devant moi, sur le lieu de travail. Par contre, ils nous arrive de sortir en boite et qu’elle drague un autre mec, avant de le ramener passer la nuit chez nous. Là, je suis là !

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