La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1404)
Kate au Château (devenue Chloris) - Saga se passant au Moyen-Age) (suite de l'épisode N°1399) -
Exécution salope !
Quelques jours plus tard, Louise devait revenir de son séjour au Manoir de Maisondieu, elle voulait absolument être de retour car cétait bientôt lanniversaire du Seigneur dEvans et pour que tout soit parfait il y aurait beaucoup de travail et voulait être là pour aider. Cette année, en concertation avec Angélique, il fut décidé que toutes les soumises, même les plus novices, participeraient car elles avaient eu lidée quelles pourraient elles-mêmes servir de plateaux alors que les plus expérimentées soccuperaient du service et de léventuel plaisir des Invités Dominants
Le Château était donc en effervescence telle une ruche pleine dabeilles affairées. Même si le soir de lanniversaire, elles seraient invitées, Chloris, Clémence et leurs filles (Félicienne et Blanche) décidèrent de soccuper de la composition florale et du décor. Tandis que les hommes, chargés par leurs épouses, de trouver le cadeau le plus parfait pour loccasion
Un soir, Chloris en parlait avec Antonin.
- Alors ce cadeau, vous avez trouvez ?
- Evidemment ! Mais ça na pas été simple. Le Seigneur dEvans a déjà tout. Et cest notre fils qui a eu lidée, Ronan et moi-même, avons fait faire le nécessaire.
- Et quest-ce donc?
- Ça, tu ne le sauras pas avant Sa soirée danniversaire.
- Tout cela est bien mystérieux, mais jai confiance en Adrien, il a toujours dexcellentes idées et il tient cela de sa mère évidemment, dit-elle dun air espiègle.
- Par ailleurs, aurais-tu une idée géniale en ce moment précis?
Chloris se mit nue et sagenouilla devant son mari et Maître.
- Celle-ci vous convient-elle, Maître ?
- Oui certes mais pas tout à fait, va me chercher ton collier et ta laisse, jai bien envie dune promenade avec ma chienne.
- Bien Maître, tout de suite.
Chloris revient avec son collier et sa laisse quelle présenta agenouillée à Antonin. Ce dernier installa le collier autour du cou et y accrocha la laisse. Puis ils quittèrent leur chambre pour se rendre dans le vaste parc du Château. Chloris telle une vraie chienne animale se tenait à quatre pattes aux pieds dAntonin. Leurs pas les menèrent du côté de la chapelle au fond du parc. Là, près du mur de pierres, exposé toute la journée en plein soleil, il faisait très agréable. Antonin décida de sy arrêter et dit à Chloris.
- Ce soir dans ce parc, tu es ma soumise. Tout à lheure, quand nous serons de retour au Château et pour le reste de la nuit, tu seras ma femme.
- Bien Maître, tout ce quil vous plaira.
La situation les excitait tous les deux, être là dans le parc. Et quiconque passerait par-là, les verraient, mais cela leur était bien égal, car rien de plus banal en ce Château quun Maître prenne sa soumise.
- Ne vois- tu pas, que je suis à létroit sous mes chausses ?
Chloris se hâta de libérer cette queue déjà en semi érection. En théorie, Chloris savait comment agir mais Antonin lui ayant bien précisé quelle était, en ce moment, sa soumise, alors elle préféra attendre ses ordres.
- Fait-moi bander, sans tes mains je ne veux que ta bouche.
La belle Chloris sexécuta en le léchant de bas en haut passent la langue sur ses bourses puis remontait jusqu'à titiller son méat urinaire, embrassant toute cette bite tendue et surtout le gland si bien, quelle la senti se raidir et se durcir de plus en plus sous ses délicieux et savants coups de langue et baisers. Ensuite elle la prit totalement en bouche alternant la pression de ses lèvres buccales et la vitesse parfois très lentement, centimètre par centimètre, en enroulant sa langue tout autour et parfois plus rapidement avec toujours un coup de langue sur le gland de plus en plus violacé et gonflé de désir
Soudain, Antonin la stoppa.
- Tu es toujours aussi bonne, mais je ne veux pas jouir, pas tout de suite. Met-toi en levrette, salope !
- Oui Maître.
Antonin lui baisa la chatte, après avoir vérifié de sa main son niveau dhumidité plus que satisfaisant, dun coup de reins puissant et précis puis il se retira et recommença mais très lentement cette fois, voulant faire durer le plaisir le plus longtemps possible. Chloris gémissait de plaisir et denvie de jouissance mais elle savait quelle pouvait encore tenir bien plus longtemps et ne demanda rien. Tout en la besognant, à présent, à grand coups rapides ou lents il dilatait son anus, dont il adorait prendre possession, en vue dune sodomie proche, Chloris coulait littéralement.
- Je vais te prendre par le cul et surtout ne jouit pas, compris chienne ?
- Bien Maître, répondit elle légèrement frustrée.
Antonin enfonça sa queue dure, raide et tendue à lextrême doucement dans le cul de sa belle soumise adorée qui gémissait de plus belle. Antonin ny tenant plus accéléra la cadence quand le passage fut fait par des va-et-vient lents et profonds
- Ahhhhhhh
Maî
Maître
puis je jou
jouir, sil vous
plait ?
- Non je te linterdis, suis-je claire ?
- Ouiiiiiii Maître, cest très
.clai
claire.
Au bout de quelques coups de reins menant sa grosse bite de nouveau bien profond, Antonin jouit au fond du cul de Chloris et resta planté en elle plusieurs secondes en un bestial coït animal. Ensuite, la belle soumise nettoya le Maître, quelle aimant plus que tout, avec application et amour même si elle était terriblement frustrée et sur le point dexploser. Après avoir repris leur souffle, Antonin repris la laisse et ils repartirent. Puis arrivé, près dun gros arbre, il lui ordonna :
- On ne va pas tarder à rentrer, tu vas pisser ici.
Chloris se mit plus ou moins accroupie pour uriner dans la position dune chienne, même si elle neut aucune difficulté à le faire car il commençait à faire frais en cette nuit dété, elle eut toutes les peines du monde à ne pas jouir car la situation lexcitait énormément.
- Je sais que tu es frustrée mais je le voulais ainsi, car tout le reste de cette nuit tu pourras jouir à volonté quand tu le souhaiteras et donc sans me demander lautorisation. Tu mas entièrement satisfait car si tu avais fauté, je ne taccorderais pas ce privilège.
Pour toute réponse, Chloris lui sourit amoureusement et lembrassa. Et la nuit se passa ainsi entre ébats torrides et amoureux et câlins tendres jusquà ce quils sendorment épuisés mais heureux et enlacés, Chloris blottie dans les bras rassurants dAntonin, la tête reposant sur son torse... Trois jours plus tard, la soirée danniversaire du Seigneur dEvans arriva. Tous Ses amis et connaissances étaient présents et pour loccasion même les s devenus adultes, ayant passé leur initiation, étaient présents. Après avoir tous bu (on appellerait cela aujourdhui lapéritif) divers alcool, les convives passèrent à table. Des jeunes femmes et hommes entièrement nus à lexception de leur collier et pour les hommes de cage de chasteté, servaient les boissons. Les entrées et plat furent servis à foison, la nourriture disposée sur les plus novices soumises servant de plateaux et il nétait pas rare quun petit coup de fourchette se perdent, sans jamais blesser, cela va de soi. Si les soumises mouillaient abondement, les Dominants convives pouvaient récolter la cyprine pour faire lécher par leur soumis ou soumises respectifs.
Ceux servant à table pouvaient servir dessuie-tout avec leur cheveux ou durinoir dans leur bouche par qui voulait sauf celle ou ceux portant une chaine rouge à la cheville ou au poignet. Car ceux-là étaient exclusivement réservés au Seigneur dEvans Lui-Même ou Sa famille et amis très proches. Enfin, chacun connaissait les règles et les limites du Château, il y avait notamment Marion Sa favorite mais aussi Louise et Emilie fraichement dépucelées du cul qui portaient ces marques distinctives
Juste avant le dessert, ce fut le moment doffrir les cadeaux au Seigneur dEvans.
- Mon ami, cest bien le moins que je puisse faire après tout ce que Vous avez fait pour moi et pour nous.
- Messire Léon, je veux que vous vous en occuper, ordonna le Seigneur.
- Bien volontiers, Sire.
Messire Léon emmena la jeune femme dans la pièce dite des soumises où elle serait, plus tard, préparée et apprêtée pour être présentée officiellement comme nouvelle soumise du Maître. Ensuite en dernier, ce fut le tour de Ronan qui lança à son père :.
- Père, Antonin, Enguerrand et moi-même ainsi que nos fils, avons un seul et même cadeau, celui-ci étant assez
imposant, il est dehors et nous Vous proposons de le découvrir après le dessert ?
- Pourquoi pas ! jaccepte sexclama le Seigneur dEvans, enjoué...
(A suivre
)
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