Amour Interdit
Cette histoire est peu banale et sans doute peu recommandable. Pourtant, cette histoire mest arrivée et, sans en être particulièrement fière, javoue avoir éprouvé sans doute mon plus grand plaisir.
Tout dabord, je me présente : je mappelle Derya, je suis turque, 26 ans, cheveux noirs, assez mince, taille normale, yeux marrons. Voici quatre ans, je me suis mariée avec Joris, dun an mon aîné. Le mariage fut compliqué en raison des différences dorigine et de religion. Mais mes parents ont fini par laccepter.
De son côté, la famille de Joris ma demblée apprécié et a tout fait pour que je me fonde dans leur famille.
Ce mercredi matin, jai pris congé. Je suis surmené par le boulot et jai pris un repos bien mérité. A dix heures passée, je fainéantise toujours dans mon lit quand on sonne à la porte. Jenfile vite une robe de nuit et court ouvrir. Je suis un peu gênée de me retrouver dans cette tenue. On ne voit rien mais la chemise de nuit nest quand même pas très longue.
Heureusement, quand jouvre, je vois, face à moi, Pierre, le père de Joris. Ca me soulage. Je linvite à rentrer, à sinstaller dans la cuisine et prendre un café. Il accepte mais mexplique la raison de sa présence. Depuis quelques jours, nous avons un robinet qui fuite dans la salle de bain. Joris nétant pas manuel du tout a demandé à son père de passer ce mercredi, sachant que jétais en congé. Il ne mavait même pas prévenu.
Jemmène donc Pierre jusquà la salle de bain. Là, honteuse, je vois mes sous- vêtements dhier soir qui traîne devant le panier à linge. Je veux le ramasser mais Pierre bloque ma main.
- Laisse- le. Tu me paieras avec ça ! rigole- t il.
Je rigole aussi. Pierre a toujours eu la plaisanterie facile et est loin dêtre un pervers.
Il commence alors à sépoumoner sur le robinet. Ca ne doit pas être évident car il a lair concentré et ne relâche rien de son travail.
Pourtant, un moment, en plein travail, il sarrête, sort son sexe, là, devant moi et urine au WC, situé dans la salle de bain. Puis la range comme si de rien nétait.
Pourtant, je ne suis pas choquée. Pas excitée non plus ! Disons plutôt amusée davoir vu ainsi le pénis de mon beau- père.
Finalement Pierre sen sort ! Leau coule à nouveau parfaitement.
Je lui propose de descendre à la cuisine, lui refaire un café le temps quil achève les derniers trucs. Il accepte et me rejoint deux minutes plus tard. Il arrive dans mon dos.
- Ca te dérange si jemporte ça en guise de remerciement ?
Je me retourne et le vois, comme triomphant, avec mon string en mains.
Je ne peux mempêcher de rigoler.
- Et que voulez- vous faire avec ça ?
- Je ne sais pas. Le regarder, peut- être le toucher de temps en temps.
Je dois éclater de rire. Pourtant je me retiens. Mais je dois mal le cacher.
- Vous navez quà aller en acheter un.
- Non, ce nest pas le même. Savoir que tu las porté
- Dites cava aller. Je suis la femme de votre fils, hein.
Même si je me retiens de rire, jai le sourire aux lèvres et ça le fait prendre confiance.
Il monte le string à sa bouche et le lèche à hauteur du vagin.
Moi, je nai quune idée en tête : mettre fin à tout ça.
- Bon ok, gardez le. Je vous raccompagne.
Je lamène, jusquà la porte. Il semble me suivre. Mais une fois que je veux ouvrir cette porte, il la claque et me coince entre ses bras. Ni une ni deux, il pose ses lèvres sur les miennes et membrasse. Et moi conne, je le laisse faire. Il saisit ma main et la pose à hauteur de son pénis. Il est dur, trop dur. De lui- même, il le sort alors et me fait le masturber. Il a sa main sur la mienne et fait lui- même les allers- retours. Je en sais trop pourquoi je reste là. Il y a sans doute de lexcitation, cest vrai. Ca reste un sexe dhomme. De la peur aussi. Qui me paralyse.
En plus, cest vrai quil est doux et embrasse bien.
Tout à coup, il mabaisse. Me voilà accroupie devant lui, son sexe à hauteur de mon visage. Il ne le dit pas mais veut que je le suce. Je reste à le regarder. Il me fait un petit mouvement de la tête. Je me lance et lavale. Quelle connerie, je fais. Je le sais, jy pense. Et pourtant, je nai pas envie de marrêter. Sa bitte est bonne. Cest con de dire ça, mais cest vrai. Elle est fine, longue, douce et trempée.
Jaccélère mon mouvement. Il risque déclater à tout moment. Je le sens. Son gland est gonflé.
Et cest ce qui arrive. Tout coule dans ma bouche. Mais, comme avec mon mari, je recrache. Je lentends soupirer de plaisir. Sa bitte redescend et, pourtant, je continue à la frotter sur mon visage, sur ma langue. Javoue, jéprouve un manque. Tout est venu trop tôt pour moi.
Il me relève, membrasse malgré le sperme.
- tu es divine, dit- il. En plus de^tre excitante, tu suces trop bien. Tu veux que je te dise un truc ?
- vas y.
- Ca fait des années que tu mexcites, que jai envie de te toucher. On recommencera, tu crois ?
- Beuh, on verra.
On se roule un patin et je le laisse regagner sa voiture.
Depuis, on a plus rien fait, mais jai vraiment limpression davoir un deuxième amour. On sembrasse dés que lon peut, on se tient la main ou se caresse la jambe sous la table. Parfois, jai même limpression de laimer et, pourtant, je vous assure, je suis sure detre toujours amoureuse de mon mari.
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