Baby-Sitting
Je mappelle Sandy, jai 20 ans. Je suis étudiante en marketing et pour arrondir mes fin de mois je suis baby-sitter chez les Dubreuil, des amis à mes parents. Ce sont des gens remariés qui ont de jeunes s. Jean, le fils du premier mariage de M. Dubreuil pourrait les garder du haut de ses 18 ans mais tout cela est bien loin de ses préoccupations. Il préfère largement soccuper à trousser les jupes de ses jeunes camarades plutôt que de soccuper de Max et Léa .
Il ne sest jamais intéressé à moi, ni vraiment moi à lui. Je mintéressais peu aux garçons : pas par rage, pas par haine mais plutôt par dépit. Sandy, 20 ans, 1m 60, 110 kg, ce nétait pas vendeur. Et même si les garçon aimaient a regarder mon 120 D quand je portais un décolleté dévoilant mon seul atout physique, safficher avec « la grosse », « la baleine », « le cageot », « le thon de haute mer », « le centre daccueil pour désespéré sexuel »,
« ça le faisait pas ».
Jean néchappait pas à la règle. Cétait un vrai séducteur, malgré ses 18 ans il avait déjà un magnétisme presque animal en plus dun physique de rêve. Même avec mon dépit qui empêchait toute illusion, je me mettais parfois à rêver que ce séducteur entouré des plus jolies créatures de la ville ait une envie de soccuper de ma lourde poitrine, de mes énormes fesses, et de ce qui semblait destiné à être un sexe de vieille fille.
Tout cest passé lors dune de ces soirées de baby-sitting. Javais déjà croisé Jean en arrivant. Comme jétais en retard cest lui qui mattendait. Visiblement, ça ne lenchantait pas. Il me fit entrer. A son regard je me sentais déjà nue malgré mon jeans et mon haut juste un peu décolleté. Je me repris très vite, ça restait quun simple gamin prétentieux
.et terriblement craquant
Sa voix me sortit de sa rêverie :
-Bon, je suis attendu, mes parents sont partis pour le week-end, moi je reviens vers 2h. Fais comme dhabitude.
-Merci Jean, tout ira bien.
Il désigna mon décolleté en clignant de lil et ajouta :
-Et garde tout ça bien rangé, Max est trop jeune pour se servir de si beaux engins
-
-Coquine
ajouta-t-il avant de partir rejoindre ses amis
La soirée se passa bien, les petits étaient calmes et à 21h, ils dormaient, jétais seule au salon. Les images défilaient sur lécran de télévision, je somnolais. Vers minuit et demi, je me réveillai. Après avoir vérifié que les petits dormaient bien, je retournai au salon. Sur un meuble étaient posée les photos de la famille. La photo de Jean me troublait. Je gardais sur mes seins lempreinte de son geste. Ses doigts avaient furtivement pincé mes tétons, il avait excité mes sens sans me faire mal. Il devait aimer caresser les seins.
Je rêvais a présent sur le canapé en regardant sa photo. Cétait sur, ce jeune gamin rêvait de ma lourde poitrine, mes « si beaux engins » lexcitaient. Il devait parfois se caresser dans sa chambre en pensant à mes seins. En tout cas, moi jétais déjà a me caresser en pensant a lui, sans trop men rendre compte javais passé mes mains sous mon haut, les yeux mi-clos, je caressais ma poitrine à travers mon soutien. Sur la photo, Jean semblait me couvrir de son regard. Je me sentais délicieusement perverse, je me caressais les seins en pensant aux mains de ce gamin. Je voulais être la grosse salope de service dans ses bras.
Jai retiré mon haut, mon soutien pour sentir mes caresses directement sur ma peau. Jimaginais les mains de Jean à la place des miennes, jouvris mon jeans dune de mes mains et je caressai mon sexe qui était trempé. Le tableau en aurait fait rire plus dun : la grosse Sandy frustrée qui se caresse sur la photo du gamin dà côté. Moi je men foutais à ce moment, dans mes rêveries jappartenais à Jean, je gémissais sous ses caresses imaginaires les yeux fermés.
-mmmh, Jean
encore
jai envie depuis si longtemps
je suis ta grosse cochonne.
Je rouvris les yeux pour retrouver la douceur de ses beaux yeux et ce que je vis me pétrifia.
- Salope
murmura linconnu
-Pat, je te présente Sandy : la plus belle paire de loche de toute la ville.
Jean se mit à genou sur le canapé à côté de moi, il écarta mes mains pour mieux dévoiler mon corps et sans vraiment me regarder il passait distraitement sa main sur mes seins, les soupesant, jouant avec, les faisant trembler. Je ne bougeais pas, jétais pétrifiée, mon rêve se réalisait et ça me laissait terrorisée.
Pat, lui, était debout et caressait la bosse que faisait son pantalon au niveau de lentrejambe.
-Il faut excuser cette petite coquine, mais vu son physique, cest pas tous les jours quelle en voit une dressée pour elle. Mon père la foutrait dehors sil la trouvait dans cet état alors que les deux mioches peuvent débarquer a tout moment. Mais nous on est sympa, hein Pat. ?
Pat sagenouilla sur le canapé de lautre côté, il caressa mon visage, mon cou, passa sur un sein descendit le long de mon bras pour attr ma main.
-Tu crois quelle sait comment une fille présente des excuses chez nous ?
-Tas quà lui montrer. lui dit Jean
Ces deux ados étaient bien décidés à profiter de moi. Moi, entre ma peur et ma fierté qui me disait de fuir et mes années de frustration et de manque qui me disaient den profiter, je restais immobile.
Jean avait commencé à me faire des petits bisous dans le cou tout en caressant un de mes seins. Il nétait pas doux mais pas brutal non plus. Il me murmura à loreille :
-Puisque tes vraiment chaude, autant en faire profiter les amis, petite égoïste.
Pat, lui, avait retiré son pantalon et son slip pour être « plus à laise ». Il prit ma main et la plaça sur son sexe. Il lutilisa pour se masturber.
Pat sapprocha de mon oreille, jentendais ses soupirs de plaisir.
-Oui, branle-moi bien la grosse
on va bien samuser petite salope
Je commençais à être sérieusement excitée par ces deux jeunes pervers. Jean sétait attaqué à mes seins. De sa bouche gourmande il goûtait à mes seins. Ses mains les malaxaient, les pressaient lun contre lautre, les tapotaient pendant que sa langue courait dun sein à lautre.
-hmm quelle paire de loches Sandy !
Il pinçait et il mordillait mes tétons, javais un peu mal mais cette situation mexcitait sans que je le comprenne. Ce mélange de peur et denvie fasse à Jean qui commençait à mettre des petites claques sur mes seins tout en suçant et mordant avec appétit. Cette soumission à Pat, le sexe durci dans ma main, ses baisers dans mon cou, sur ma joue
Pat membrassa fougueusement, dabord des lèvres puis sa langue pénétra ma bouche et vint se mêler à la mienne. Ce baiser, mon premier, était passionné. Lexcitation lemportait, je caressais son sexe de plus en plus vite et lui membrassais avec encore plus de passion.
Jean, sans cesser de déguster mes seins, descendit sa main vers mon pantalon ouvert. Je sentais ses doigts sur la peau de mon ventre descendre inexorablement vers louverture de mon jeans, vers ma culotte, vers mon sexe trempé dexcitation. Jentendais en même temps les soupirs excités de Pat, à genou, membrassant le cou, les joues, les lèvres. Il ondulait du bassin,il murmurait à mon oreille :
- Cest bon ma grosse, je te baise la main, et on va te faire jouir, je suis sur que tu vas gueuler comme une grosse pute.
Les doigts sinsinuaient sous ma culotte, je commençais à prendre peur, malgré lexcitation je refermai mes cuisses.
Ils sécartèrent et se remirent tous les deux à genou autour de moi. Pat me caressa le visage puis se tourna vers Jean en laissant descendre sa main
- En plus elle est farouche, encore une pucelle.
Il caressait mes seins comme Jean précédemment mais avec une infinie douceur. Je sentais la peur redescendre, je devenais plus calme. Jentendis la voix de Jean.
- Jai de quoi la faire changer davis, cest nous ou mon père
Pat continua ses caresses délicates. Il dit à Jean.
- Tais-toi, cest comme avec Julie, je vais te montrer, tes pas fait pour les première fois.
Jean recula, et alla sasseoir devant moi sur le fauteuil. Il ne me quittait pas des yeux. Son regard et la douceur de Pat ravivaient mon trouble. Moi, leur aînée, jétais en position de faiblesse.
Tout en laissant descendre sa main sur mon ventre il membrassa dans le cou et murmura :
- Ferme les yeux, tout ira bien. Je vais faire de toi une femme.
Il membrassa avec douceur, ses lèvres caressaient tendrement les miennes. Son baiser me détendait tellement que je ne me souciais pas de ses doigts qui passaient à présent sous lélastique de ma culotte, qui caressaient les poils de mon pubis, qui écartaient mes lèvres pour sinsinuer les premiers dans mon sexe vierge. Pat me doigtait, cétait le premier homme qui accédait à mon sexe. Il était doux, ses baisers descendirent vers mon cou, il approcha sa bouche de mon oreille pendant que ses doigts allaient et venaient en moi me donnant un délicieux et doux plaisir.
-Tu peux rouvrir les yeux Sandy.
Jouvris les yeux et je vis Jean qui me fixait en caressant sa queue que je voyais pour la première fois, elle était plus grosse que celle de Pat et devait intriguer beaucoup de jeunes filles. Je nétais plus effrayée, la douceur de Pat me rassurait face à la lubricité de Jean.
Jétais trempée pourtant je sentais mon sexe continuer à couler.
-Ca à lair de te plaire ma grosse. Tu en veux plus ?
Je mapprêtai à répondre mais je ne pouvais que gémir le plaisir quil me donnait.
Cest sans doute le signal que Jean attendait. Nu, il se leva, il vint vers moi, le sexe dressé. Il souleva mes jambes et enleva mon pantalon et ma culotte.
-Je prends le relais Pat, je veux que cette grosse salope jouisse sur ma langue.
Pat sécarta et Jean se mit à genou entre mes grosses cuisses. Il entra deux doigts en moi. Il était fougueux presque brutal mais je me sentais excitée à nouveau, de plus , comme pour éviter que je ne reprenne peur, Pat, la queue au creux de ma main, membrassait en me caressant les cheveux. Jean parlait de moi avec Pat comme si jétais absente, je nétais quun objet sans importance. Ces remarques me concernant sans mêtre adressée, mexcitaient autant quelles mhumiliaient.
-Elle mouille a fond. Elle est chaude, tu vas voir comment je vais la faire hurler la grosse. Je vais te montrer comment on dresse une pute.
Il plaqua ses lèvres contre mon sexe et lécha de façon désordonnée. Tantôt le clitoris, tantôt lintérieur du sexe. Mes fesses en main pour mieux mattrer sur le bord du canapé pour mieux me lècher, il allait parfois même jusquà mon autre trou. Jétais excitée, je mouillais de plus en plus de ma main libre, je caressais les cheveux de mon fougueux Jean. Pat le regardait et semblait de plus en plus excité, il pinçait mes gros tétons en regardant faire Jean. Il écoutait mes soupirs accélérer, se transformet en gémissement
-hmm
Jean
Pat dit à Jean :
-Tu vois, la voilà devenue une bonne petite salope.
Il me lacha, se leva sur le canapé, son sexe dressé était à la hauteur de mon visage. Il me caressa les joues et les lèvres avec son gland. Moi je gémissais sous la langue de Jean qui avait réussi a entrer un doigt dans mon anus, la sensation était étrange mais agréable. Je repris la bite de Pat en main, javais besoin de la chaleur de son excitation. Jétais léchée doigtée et je branlais Pat qui frottait son gland sur mes lèvres. Pat et moi gémissions.
-Oui Jean, rend moi folle. Fait mouiller ta grosse Sandy.
-Taimes ce quil te fais salope. Allez branle moi que je te jute en pleine tronche.
Pat avait perdu sa douceur, il voulait prendre son pied et je devenais son outil à lui aussi. Jaimais pourtant ça. Ma main dans les cheveux de Jean appuyait encore plus sa tête sur mon sexe. Mon bassin allait à la rencontre de son doigt et de sa langue. Ma main branlait Pat sur mes lèvres. Pat poussait sur mes lèvres.
-Allez ouvre grand cochonne, je veux finir dans ta bouche
Jouvris la bouche et la queue de Pat entre dans ma bouche. Pat pris ma tête à deux main et senfonça jusquau bout. Jessayais de faire aller ma langue autour de sa bite et sur sin gland pendant quil allait et venait dans ma bouche de plus en plus vite.
Je sentais le plaisir que Jean me donnait me submerger je serrais sa tête entre mes cuisses, mes gémissements étaient puissants étouffés par le sexe de Pat. Je ne sentis pas les claques de Pat emporté par sa jouissance sur ma joue Je lentendis à peine gémir et me dire assez fort :
-Je vais jouir grosse salope je vais te repeindre la gueule
Je ne sentis pas le sexe sortir de ma bouche. Je jouissais.
-Oui Jean, je jouis, oui cest tellement bon
Je fermais les yeux pour savourer mon orgasme lorsque jentendis Pat crier
-Oui grosse pute, prends ça
Et jouir sur mon visage et sur mes seins. Jean qui navait pas joui me fit mettre à 4 pattes devant le canapé, la tête entre les jambes de Pat et me pénétra sans ménagement. Pat relevait ma tête pour que je le regarde dans les yeux pendant que Jean me mettais dample coup de bite. Je gémissais de plaisir et de douleur. Pat me regardait dans les yeux me disant :
-Allez, jouis salope, je veux te voir prendre ton pied baisée comme une chienne.
Jean lui grognait en me pénétrant de plus en plus fort, je sentais un deuxième orgasme arriver malgré le peu de délicatesse de mon jeune amant, je criai mon plaisir en regardant Pat dans les yeux.
Ils mobligèrent à le sucer pour « nettoyer leurs queue » puis menvoyèrent à la douche en me disant :
-A demain.
Pat ajouta :
-Ce sera à mon tour de moccuper de ton petit cul.
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