Le Chemin
Le chemin.
Le long chemin de lapprentissage de son corps et de ses pulsions.
Depuis le temps que javais envie de mesurer la part de féminité en moi, depuis le temps quexistaient ces conflits internes entre éducation (« tu niras pas voir les filles »), et envie sexuelle (le plaisir de caresser un joli sein), depuis le temps que je cherchais à comprendre ce que pouvais ressentir une fille qui se trouve face à un garçon, un jour je me suis lancé.
Il fallait un cadre danonymat total, où corps et pulsions seuls parlaient.
Après de longues hésitations je suis enfin allé faire un petit tour dans un sauna local, lieu idéal pour tout apprendre sur lautre côté de lêtre humain, le côté caché et animal.
Je pousse la porte et ressens une odeur de chaud, dhumidité. Je regarde la déco, il sagit essentiellement de posters dhommes nus qui vous regardent dans les yeux, de publicités pour préservatifs, dincitations à fréquenter des lieux libertins. Je suis à la bonne adresse, mon cur bat à 200. Je suis persuadé de ne rien montrer de mon appréhension, et lorsque le patron me dit « tu sais vraiment où tu mets les pieds, il sagit dun lieu essentiellement gay, ici. Tu es sûr de toi ? ». Je lui mens le plus naturellement du monde « oui, je connais, merci ».
Les vestiaires. Un homme , la quarantaine, est déjà en train de se désaper, il range ensuite ses affaires et ferme son casier à clef. Je fais pareil.
Serviette autour de la taille, déambulant dans les couloirs, la sensation est étrange. Mi-habillé, la moindre érection se voit , endroit visiblement pas très sain puisque personne ne parle et les regards sont plus de lordre du prédateur que de lamitié , cest le jeu et ce que je voulais voir.
Après avoir visité, jose franchir le second pas, tomber la serviette. Je fais comme si personne ne me regardais et entrais dans le hammam. Jouer à se faire peur, jouer à la bête traquée, jouer juste avant la limite de se faire violer, cest jouissif et permet de franchir toutes les barrières de léducation reçue.
Lambiance y est malsaine au possible, toutes les pensées perçues restent en dessous de la ceinture, on ny voit rien et ça sent lhomme lourd. Javance un peu, trouve un bout de banc libre, massois et observe. Mes yeux shabituent, jen vois deux plus loin qui sont visiblement en train de se toucher, ça donne le ton !
Je reste encore un peu, lambiance reste globalement sage dextérieur, tout le monde sobserve. La porte souvre, un type rentre et vient sasseoir, pas très loin de moi. Sa main bouge et me frôle ! Je ressens son instinct de mâle en quête de chair fraîche mais nai pas envie de me faire toucher, je me lève et quitte la pièce, calmement. Une légère érection cependant trahit un manque dhabitude de me trouver nu. Jignore ma serviette et vais à la douche, le plus naturellement du monde...
A poil en train de se savonner, avec plusieurs qui matent, je navais jamais fait , ça permet de travailler léloignement de lesprit de son corps ! Je regarde la morphologie des différentes personnes sous les douches : quarantaine bien tassée, globalement enveloppés, des petites bites au repos, et aussi des plus jeunes, moins blasés par le sexe et qui nhésitent pas à se la toucher devant toi : la faune est hétéroclite.
Je remets ma serviette autour de la taille, direction le sauna. Il fait trop chaud, il ne se passe rien, et quand on sort on a froid. Pas intelligent. Je me sèche, et retourne dans les couloirs. Je croise des personnes, que je ne regarde pas dans les yeux mais qui sécartent à peine et cherchent le contact physique. Tiens, une femme ! cest nouveau ! elle je la regarde dans les yeux, mais ce nest pas réciproque, elle sécarte. Bizarre, je viens de passer de létat de proie à celui de prédateur !
Il fait de plus en plus sombre dans le couloir, puis on ny voit plus rien , il y a des murs partout, des virages, des recoins, des ombres, des mains qui traînent. Jen profite pour mettre la serviette sur lépaule, profiter pleinement de cette situation dobscurité donc danonymat total.
Jentends des petits cris de jouissance et me dirige alors vers une pièce, assez grande. Je vois un tas, cest le terme. Je mapproche et vois la femme de tout à lheure en train de se faire mettre de tous les côtés par au moins une dizaine dhomme. De la viande avec des mouches autour. Elle est belle la race humaine quand elle joue à se dépraver ! Sur le dos, les pattes écartées, un qui lui bouffe la chatte, un sur chaque sein, un sur chaque jambe, une bite dans chaque main et une dans la bouche. Et ça bouge dans tous les sens ! Elle a lair de prendre un pied denfer, je suis content pour elle.
Puis une salle vidéo , les sièges sont en espèce de plastique, ce nest pas très agréable. Cest froid et ça colle. Lun se caresse sous sa serviette, un autre me regarde.
Je prends doucement conscience dêtre dans un autre monde, spectateur dabord puis de plus en plus présent.
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Jai envie de retourner au hammam, me poser sans cette serviette. Je ne retrouve plus mon coin, il y a trop de monde cependant je distingue un espace entre deux personnes. Maintenant il sagit de se décider, accepter lexpérience ou renoncer. Je nai pas à hésiter longtemps, à peine assis je sens mon voisin de gauche bouger un pied, toucher le mien, puis sa main touche « par hasard » ma jambe, puis carrément remonte le long de ma cuisse. Je suis tétanisé : déjà je nai pas lhabitude de me faire toucher par une fille, mais alors par un mec ce nest même pas de lordre du pensable ! Maintenant je comprends ce quune gamine de quatorze ans peut ressentir quand, en boîte, au ciné ou ailleurs elle se fait tripoter : électrisant, malsain, ... mais troublant dans le fond de soi, par linterdit dabord, par la découvertes de sensations étrange ensuite.
Je lui dis « non ! », en me décalant maladroitement et en écartant sa main.
Ce nest plus du lâcher prise, cest de labandon de corps ! Arrêter maintenant ne serait pas cohérent, en quelques minutes je subis ma première fellation. Je me tords sur moi-même, lui dire « attention cest pour bientôt », il persévère et avale tout. Beuh, moi je ne pourrais pas. Il continue à me caresser, mais autant quand il y a une certaine excitation sexuelle se faire manipuler son corps est troublant, mais après un orgasme cest franchement désagréable. Je me lève et pars prendre une douche, me laver de ces mains qui ont traîné partout. On lit beaucoup quaprès un viol une femme ressent le besoin express de se laver complètement, longuement, mettre tous ses habits à la machine , là cest pareil. Me retrouver moi-même et détruire tout qui ma sali.
Cest toute la différence entre des contacts physiques avec des sentiments et une séance de baise. Dans un cas il y a transfert de désir sexuel et démotions (voire démotions uniquement), dans le second cas il ny a quun transfert de bestialité. Cest agréable, mais après lacte il y a rejet du mâle.
Douche, puis sauna, puis re-douche. Je mattarde ensuite au coin salon à feuilleter des revues, affalé et la serviette ouverte. La même attitude que lautre, tout à lheure, devant le film. Je viens de passer de lautre côté, présent et actif dans cette débauche de corps et de sens.
Retour au chaud, au sauna, pour faire sécher un peu la serviette. Songeur, je suis en limite de me considérer dans la peau dune fille nue qui découvre l« homme » : son odeur, ses mains râpeuses, ses poils, sa brutalité, son manque de finesse.
Allongé sur le ventre je sens une main qui me touche la jambe, remonte, et sattarde sur les fesses. Les yeux fermés et ma sexualité non définie jécoute cette caresse, espère quelle passera un peu sur le dos, ça fait du bien. Je me détends, et pense que je me serais alors abandonné, mais ce con, après avoir passé ce cap du premier accord tacite, cherche alors à me retourner pour me sucer. Jai dis non, me suis levé et suis parti. Aller trop vite en besogne, quelle erreur ! Cest vrai que quand on invite une fille au ciné, certes potentiellement elle acceptera daller plus loin, mais lui mettre une main sur la chatte dentrée de jeu nest pas très bien ressenti. Cest dommage pour nous les hommes parce que cest là quon veut en venir ! Maintenant jai compris pourquoi il faut patienter et laisser venir les choses : le même acte est soit franchement désagréable et casse toute relation humaine, soit ouvre les portes du délice suprême. On retrouve la dualité homme/femme, lun veut planter sa queue et en finir, lautre rêve de douceur, tendresse, caresses et mignardises en tout genre , ça fait bizarre de jouer le rôle de femelle, mais cest super instructif (et plaisant, ce qui ne gâte rien).
Labyrinthe, backroom. On ne voit rien, on ressent des présences, des mains qui se baladent, des effleurements , au début cest marrant, en tant que spectateur, on devine les choses. Puis dautres arrivent derrière, je me retrouve plus devant, la densité est plus forte, les corps se collent par la force des choses. Des mains me touchent, me palpent, le torse, les fesses. Ma serviette glisse, je la pose sur lépaule, je me laisse toucher et cest bon. Mes mains sont légèrement relevées, pour ne pas toucher toute cette viande, mais ça donne libre accès à lintégralité de mon corps. Je sens des caresses sur tout le corps, puis une bouche sempare directement de ma bite. Nu, la bite au chaud, des dizaines de mains qui vous touchent, cest bon cette sensation de ne rien contrôler et de se laisser violer par le plaisir ! Je me retire de sa bouche, jouir mettrait fin au désir. Je baisse les mains, et sens des queues pas si molles que ça à côté de moi. Je me baisse sans réfléchir et en prends une dans la main. Une seconde se présente à moi, je la prends aussi. Et une troisième. Je mets la première en bouche, comme on ma fait. Je me retrouve ainsi accroupi, une queue dans chaque main, à tailler une pipe à un type que je ne vois pas. La dépravation totale, jai touché le fond de linterdit. Finalement cest pas bon une queue. Je me lève, tente de faire un pas , des mains me retiennent, jesquive, me fais toucher, puis suis enfin en zone libre. Le bain de mains. Bestialement bon.
Jai aussi essayé les cabines, pièces carrées avec un matelas en plastique. Je rentre pour visiter, le matelas est mou et froid. Une main me pousse délicatement à lintérieur, un mec tout ce quil y a de plus banal me regarde avec un sourire un peu niais. Je le regarde aussi, me mets sur le dos mais au bout de quelques minutes je ne trouve aucun intérêt à la situation. Le voir casse complètement lambiance, et il est ici réalité. Ne pas voir le visage, ne pas entendre de parole permets de prendre le corps humain comme objet de fantasmes , dans le noir on est seul face à soi-même, et donc toucher et se faire toucher ne sont que des réalisations de rêves que lon se projette. Dans la lumière, on sort du rêve, et autant il est agréable de recevoir et donner un sourire à une jolie fille à demi-nue, autant se trouver face à un beauf plein de poils, bedonnant et pas rasé à quelque chose de ragoûtant.
Retour au hammam , jentends des bruits de succion, je vois un regroupement : jy vais, tout transpirant et sans cette serviette quand même un peu embêtante. Je plonge devrais-je dire ! Des poissons fraîchement péchés, dans une caisse : ça frétille de partout, cest gluant, des mains partout, des bites de toutes les tailles et en pagaille. Lun se met derrière moi, me tripote les seins et plaque sa queue contre mes fesses pendant quun autre devant me prend les hanches avec les mains et menfourne , un de chaque côté, on soccupe de moi et jaime. Je jouis, laisse ma place à dautres et vais prendre une douche.
La serviette maintenant est franchement mouillée. Je vais au bar avec ma tête de petit garçon sage, ignore tous ceux qui, attablés, me regardent et me reconnaissent probablement puisquau moins une bonne moitié ma tripoté dans les recoins aujourdhui , jignore lesquels. Je demande sil est possible davoir une serviette sèche, il me dis « pas de soucis », avec un grand sourire. Jenlève donc celle que jai sur moi, faisant du même coup un strip tease complet à lassemblée. Nu, je plie rapidement le morceau de tissu, tend les bras par-dessus le bar pour lui donner, prend celui quil me tend, et tranquillement le remets à ma taille. Je lève les yeux, tout le monde me mate et jaime ça.
Lexpérience fut sympa, la jouissance physique au rendez-vous , jai eu envie de jouer à la jeune femelle qui découvre les interdits du monde extérieur, ça libère et on prend un sacré pied !
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Lintérêt de cette démarche est double : mettre fin à cette psychose « je suis seul avec un homme, il a ment des intentions malsaines ! » , en acceptant quil se passe des choses, la peur tombe. Et second point : comment ça fait de se faire draguer par un mec, dêtre « de lautre côté » ?
Il y en a eu des plans foireux, de celui qui temmène dans une maison abandonnée, te met à poil, te suce et repart , de celui qui dit à sa femme quil va travailler et te donne rendez-vous dans une salle de classe... de maternelle ! (véridique) , et il y a eu François.
Responsable de production dans une usine à 700 km dici, en déplacement professionnel. Marié, 2 s, la quarantaine, bien élevé, de compagnie agréable. Le grand classique ! Mesdames si vous connaissiez le nombre dhommes bien établis qui senvoient en lair avec un petit minot, vous vous affoleriez !
Javais envie de me mettre dans la peau dune jeune fille qui se fait draguer par un homme plus âgé , génialement bon !
Ballade dans les rues piétonnes pour trouver un resto sympa, discussion de tout sauf de sexe, amabilités, il mouvre la porte pour me laisser passer, cest lui qui goûte le vin, cest lui qui paie le repas... Le grand jeu de la midinette qui se fait entretenir par son prince charmant !
Evidemment le repas a été bien arrosé, évidemment il ma emmené dans sa chambre dhôtel après, évidemment il ma caressé durant tout le trajet !
Je maffale sur le grand lit propre pendant quil téléphone à sa femme pour la rassurer : « surtout ne fais pas de bruit jappelle ma femme ! » mort de rire, jai en plus le rôle de la maîtresse illégitime.
Et zou on passe à la casserole !
Toutes les rencontres où le sexe arrivait dans les 5 premières minutes de discussion se sont soldées par un échec. Messieurs, vous voulez emballer une gonzesse : ne parlez pas de sexe, elle fuira ! Parlez dautre chose : en temps et en heure vous en ferez ce que vous en voulez.
Et là jai pris mon pied : désinhibé par lalcool, pas eu de masturbation pendant 10 jours pour bien faire monter lenvie, envie de jouer à la chienne : Putain que cétait bon ! Il ma pris(e) en levrette, en 69, je lai chevauché, en missionnaire : le grand jeu ! Cest bon dêtre une salope et de se faire prendre de tous les côtés ! ça a duré 3 heures, intenses, de baise, de cri, de râles : je me suis lâché comme jamais. Enfin le rôle « tu es lamant, tu contrôles la situation, tu organises la soirée » que jai avec toute gonzesse, a été aboli ici. Le laisser-faire. Jaurais appris des choses pendant cette soirée.
Il ma rappelé 6 mois plus tard, mais jétais casé avec femme et . Cest dommage jy serais bien retourné.
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Juillet, plein soleil, envie dun sexe de mâle. Je trouve un candidat sur minitel, il me propose un rendez-vous chez lui. Je le vois dici ça va être comme dhabitude, je décide donc de modifier les données...
Jarrive et sonne chez lui, comme convenu je me retourne et ferme les yeux. Je ne connais absolument rien de lui, cest ça lexcitant ! Je lentends ouvrir la porte, son souffle dans le cou, il me bande les yeux, me retourne et me fait entrer. Ensuite il me met des boules Quies. Je ne vois rien, je nentends rien, tout est dans la perception tactile, dans le ressenti !
Il mentraîne dans une pièce avec un lit, me déshabille demblée et me fais mettre la main sur une pile de tissu : dautres habits. Dabord un tee-shirt mais qui ma lair très moulant, en réalité il sagit dune brassière ! Je lenfile, ça serre , il me glisse deux petits ballons sur les seins. Je tâte, ce con est en train de me travestir, mais ça fait partie de son jeu. Je mattends à la suite : une petite culotte. Cest super doux ce truc dailleurs : les vêtements de filles ont plus de délicatesses que les nôtres. Puis une petite jupe par dessus. Jimage la scène ! Il me prends par la main et mamène sur un sofa, je massoie, la jupe remonte sur le haut des cuisses, cest encore pire que dêtre à poil. Il me tend un verre. Whisky, ça promet !
ment je le sens sasseoir près de moi, il promène sa main sur une cuisse, remonte. Cest agréable ces fringues de fille, mais il ny a pas de place pour bander. Sa main se met sur mon nombril, ment dégagé, et me tatouille les seins. Cest bon. Puis je sens une autre personne qui sassoit de lautre côté et commence aussi à me toucher : ça ce nétait pas prévu ! Mais cest trop tard. Jai une main prise avec le verre, lautre avec un biscuit apéro, et quatre mains jouent sur mon corps, habillé avec je ne sais quoi. Jadore ! Le troisième whisky commence à faire son effet, je suis affalé dans ce sofa à me faire tripoter. Mes mains deviennent actives, je commence à en caresser un, le déshabille , puis lautre. Ils aiment visiblement me voir dans cette tenue, et ça ne me déplaît pas non plus. Commencent alors les relations sexuelles proprement dites, fellations, attouchements, 69. Lun assis jécarte cette petite culotte et viens mempaler, lautre se présente pour une gâterie ! Jouer à la collégienne pas sage.
Puis sans prévenir lun jouit sur mon ventre, puis essuie avec la jupe , il y en a partout et en plus jai envie de faire pipi... Cest le seul mot que je prononce de laprès-midi, et cest vachement bizarre de parler avec les oreilles bouchées !
Ils me redonnent un verre et me dirigent dans un couloir, puis une pièce deau. Jentends le bruit caractéristique de quelquun qui monte dans une baignoire. Une main me pousse délicatement, je monte aussi. Les caresses reprennent, et je sens derrière moi un liquide chaud dans le dos, puis qui descend. Le ton est donné ! Il me semblait que le jeu allait sarrêter pour lincident, mais non. Déjà essayer de pisser en pleine érection cest dur, mais en plus pisser dans ses fringues ça faisait au moins 20 ans que ça nétait pas arrivé. Lambiance, les bruits deau, la dépravation, le whisky : je me lâche. Evidemment ça bloque, puis une goutte, puis un petit jet , et finalement je me vide dans ces fringues de poupée. Ça fait froid, ça pue, ça colle. Encore quelques minutes de ce petit jeu et on me fait tout enlever et me savonne. Serviette, je sors, on mamène sur un lit et on finit la débauche pendant une bonne heure, toujours les yeux bandés, dans tous les sens et dans toutes les positions.
Et enfin on me redonne mes vêtements, je les renfile, redonne les boules Quies. On memmène à la porte, elle souvre, je sors. On menlève le bandeau, le soleil fait mal ! Quand jouvre les yeux la porte est refermée, je descends lescalier et rejoins ma voiture. Je nai rien vu, rien entendu, mais au niveau sensations ce fut fabuleux !
Comprendre un peu mieux les réactions féminines, ne plus être tétanisé dès quun homme me parle avec le sourire, équilibrer le Yin du Yang , quest ce que ça fait du bien dêtre à laise dans sa peau !
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