Le Pacte Des Cinq.
Javais 17 ans alors. Jétais en 1ere au lycée.
Depuis qq temps, mon infirmité avait fait le tour de létablissement. En cours de Gym, javais été démasqué. Perché sur la barre fixe, malgré mon tee shirt long et mon bermuda, mon pénis sétait fait remarquer. Vingt personnes à me regarder, ma classe
silence.. mon prof. Je ne métais pas rendu compte tout de suite de lincident.
En cours, mon prof me demande, pour montrer à la classe, de me suspendre à la barre fixe et de basculer pour me retrouver avec celle ci en appui.
Je me suspend, je bascule difficilement
et là
tee shirt relevé, bermuda large (obligé) remonté en haut de la cuisse
Bout dehors, gros, enflé, à mi- cuisse. Surprise ! Qq rires fusent, le prof sérieux me demande de redescendre. Cest en voyant la tête des filles que jai compris. Rouges et confuses.
Les gars se marraient
jeunes cons quon était.. jai souri et me suis rangé avec eux. Je ne savais pas alors ce quils avaient vu vraiment. Le cours fini, un ami ma raconté précisément la tragédie
Lambiance a changé radicalement pour moi depuis cette affaire. Les fille ne mabordaient plus seules ou en public
elles me souriaient de loin, de peur que lon me voies avec elles.
Elles évitaient de se retrouver seules avec moi. A chaque fois quon en surprenait une avec moi, il était évident pour tout le monde que cétait sexuel. Alors.. mis à lécart.. craint.. moqué des fois.. le vilain petit canard noir.
Et lhistoire a débuté. Il courait des bruits dans les couloirs.. véhiculés principalement par les filles. Celles qui avaient vu la bête.. celles qui avaient imaginé la bête
celles qui lavaient supposé à travers mes vêtements.
Heureusement que mon physique était assez avenant et que jétais assez sociable.. , je nai pas été mis trop à lécart. Peut être que ce motif là ninspirait pas de la haine de la part de mes semblables.
A chaque fois quon parlait sexe, que la discussion sapprochait du sujet, les regards se tournaient vers moi comme pour voir ma réaction.
Lors des boums organisées entre nous, jétais le premier invité. Surtout celles organisées par des filles.
A chaque fois, on me demandait de ne pas le crier sous les toits.. dêtre faire la surprise .. Cest là que jai vraiment commencé à bien mattacher, à trouver des solutions.
Je nai jamais pu avoir une petite amie comme on lentendais tous à nos ages. Aucune ne voulait safficher avec moi. Mais en secret, je recevais pas mal davances.. , des petits mots sympas, souvent anonymes.. des dessins, récits et fantasmes..
Un mercredi après midi, jai ainsi été invité à une boum.. invitation de dernière minute par une amie de classe.
Elle me fit passer un petit mot en cours, me donnant rdzv à 14h à une adresse pour une après midi dansante. Sans motif, anniversaire ou autre. Le billet me précisait de venir seul et de nen parler à personne. Lorsque jai levé les yeux sur celle qui lavait écrit, elle avait une mine détachée, ne me regardant que furtivement, visiblement confuse au rouge de ses joues. Elle nétait pourtant pas du genre à ça. Timide, effacée, rarement de sortie, elle ne saffichait jamais avec les garçons, sérieuse et travailleuse. Elle avait déjà 18 ans et devait être doyenne de la classe. Assez grande de taille et plutôt masculine.
Jai beaucoup fantasmé sur ce rdzv, jai pensé que nous allions nous retrouver tous seuls.. , et je me demandais pourquoi ce stratagème..
Personne navait entendu parler de cette boum, et lorganisatrice nen était pas une habituée.. était louche et très excitant à la fois.. Jai dû à lépoque me masturber pour pouvoir aller à ce rancart sans boiter et sans me faire repérer. Assez fin à lépoque, jétais vite trahi par ma jambe volumineuse jusquau genou.
A lheure dite, jarrive au pied de limmeuble comme prévu. Jattend
Assis sur ma bécane.. Arrive une voiture qui me klaxonne. Cétait elle. Elle me demande de monter.
Elle ne ma pas dit où nous allions, nous roulions simplement. Cétait bizarre de parler avec elle. Nous nous connaissions depuis plusieurs années pour avoir fréquenté les mêmes classes, nous nous étions toujours tenus à lécart lun de lautre, dans un respect indifférent.. et mutuel. Nous navions pas réellement lié damitié et rarement discuté tous les deux.
Elle était bien moins timide quen classe et je la découvrais. Au bout dun quart dheure, elle me dit enfin que sa boum était bidon et quelle voulait simplement passer une après midi avec moi. Ce que jespérait se concrétisait. Sur la route, nous avons échangé qq mots, sur tout et rien. Je sentais quelle mentraînait qq fois sur des thèmes amoureux, ce qui me mit dans tous mes états
(encore..) Alors, poser le coude sur la cuisse et la main sur le genou.. discret.. pas vu.. mais le bras est mobilisé.. faut travailler avec lautre..
Nous avions quitté la ville et longé les plages.. Nous nous sommes arrêtes au bout dune des nombreuses pistes qui mènent de la route à la mer. Lendroit était peu fréquenté en cette saison.. Elle ne savait pas quoi faire
elle mavait amené là.. , et ne savait comment débuter notre relation. Moteur calé, regards fixés sur la plage, doigts croisés et nerveux, nos paroles se firent rares. Seul un fond musical troublait le silence.. pesant.
Elle me dit alors que jétais la curiosité des filles du lycée. Toutes avaient entendu parler de moi.. , la rumeur.. , Elle en connaissait pas mal sur ce qui se disait de moi.
Il courait des bruits disant que jétais un violeur.. (les mômes) que jagressait celles qui étaient isolées
quaprès on les retrouvait mortes. Les boules. Jétais discrédité. Bien sûr, ceux là ne me connaissaient pas du tout et ne mavaient jamais côtoyé. Bien sûr, elle savait que cétait des histoires à dormir debout. Des copines à elle rêvaient ce quelle avait fait
minviter qq part et être seuls tous les deux.
Jétais très gêné par le sujet, terriblement dur et difficile à cacher. Alors je lui ai demandé ce qui lavait décidé à menvoyer le petit mot.
Elle ne pouvait me le dire facilement. Elle a dû faire un effort pour me répondre. Elle faisait partie de ceux qui mavaient vu en cours de gym. Depuis, ma t elle dit, elle sétait fait un film. A chaque quelle pensait sexe, elle imaginait le mien. Dans son esprit, elle voyait qq chose de gros et long sinsinuer dans son corps. Elle en éprouvait du désir. Elle avait pris le taureau par les cornes pour se décider à lécrire et minviter. Elle était très curieuse et attendait ce moment là avec impatience.
Je lai rassurée, infirmant les accusations de violeur et dassassin. Elle a ri. Je lui ai dit que je nétais pas le monstre quon décrivait, que jétais doux et tendre, câlin et affectueux. Je lui ai demandé alors si elle voulait satisfaire sa curiosité. Elle a souri, nos regard se sont croisés, on sest rapprochés et embrassés. Jai dû me servir de mes deux mains pour la caresser, essayant de garder mon sexe gonflé à bloc entre mes jambes pour lempêcher de se joindre à nous
Longtemps, nous nous sommes embrassés. A aucun moment nous navons cherché autre chose que des caresses au visage, les épaules, le buste. Elle et moi nosions aller plus loin. Respect. Je pensais quà la moindre bêtise ou décision de ma part, elle me refuserai et aurait eu peur.
Cest elle qui mit sa main dessus sans sen rendre compte. Elle la posa sur ma jambe et senti la chaleur qui de mon pénis tout proche.
Elle me demanda alors de lui montrer la chose. Très excitée et regardant alentours si nous étions seuls.
Son regard sest ensuite posé sur ma jambe. Elle voyait bien que jétais coincé, le souffle court, les mains tremblantes, mes jambes essayant de contenir mon excitation.
Ne pouvant sortir mon membre du pantalon sans le baisser aux mollets, je lui ai proposé de dy toucher dabord. Trop émotive, jai du prendre sa main et la promener le long de mon sexe.
Elle continua seule à promener sa main et voulu mettre lautre dans mon pantalon . Elle sinsinua par ma braguette, découvrant la base du monstre. Inexpérimentée, elle essaya de le faire sortir par là.. tirant dessus et forçant sur le tissus. Je décidais alors de baisser enfin mon pantalon. Dans mes mouvements, je lui cachait en partie mon sexe avec mes bras. Elle penchais la tête, impatiente de me découvrir enfin. Son rêve se réalisait.
Pantalon baissé au genou, elle ne lavait encore quentre aperçu. Ses mains étaient nerveuses mais elle les gardait devant elle, tout à ses sens visuels.
Jai coincé la bête sous ma jambe, lui ai demandé de ne pas sursauter. Jai les ai brusquement écarté, laissant surgir mon pénis en érection, enfin libéré de ses entraves. Il sest levé brusquement et est venu me frapper la poitrine avec un bruit mat. Elle avait joint ses deux mains et se pinçait le nez et la bouche.
Elle réalisait que ses rêves minimisaient la chose. Elle mimaginait plus court, plus lisse, moins gros. Même dans mon pantalon, même après y avoir touché, sa vue lintimidait. Elle me demanda alors comment je faisait pour cacher ça si bien. Elle et ses copines navaient jamais imaginé aussi monstrueux. Lhabitude. Le balancement des hanches, les gestes calculés.
Je lui ai dit quelle navait pas encore servi, que jétais encore puceau à ce niveau. Je navais été violé que par des mains à lépoque, par des yeux aussi.
Nous narrêtions pas de surveiller les abords de la voiture.
Elle navait pas dexpérience non plus. Je lui ai dit qu jallais faire son éducation. Lui montrer comment sen servir..
Sans dégâts.. Jai dirigé lappareil vers elle. Jai saisi ses deux mains, les ai mises à la base de mon gland.
Je me suis masturbé avec mes deux mains aussi, doucement, devant elle. Je nosait pas la regarder en face.
Son regard allai de mon visage à mon sexe.. Je me suis mis également à me lécher, membrasser.
Je vis dans son regard une lueur de jalousie et aussitôt elle mattira vers sa bouche. Jadore ces moment là.
Je regarde et cest très excitant. Dautant plus que tout se passe devant mes yeux. Je mapproche delle et membrasse encore. Nos visages se croisent autour de moi. Elle descend plus bas, me léchant et mordillant tendrement. Je ne peux la rejoindre aussi bas... alors je moccupe de frotter la base de mon gland.. , très excitant..
Elle joue avec mes testicules, les comptes.. lol euh.. , deux ? ah oui ! cest bien ça..
Je lui ai demandé si elle avait envie de moi, physiquement. Elle navait pas trop envie de me pratiquer.
Je lui ai demandé de minitier aussi. Elle néprouva aucune gêne à baisser son pantalon. Elle était mince. Ses cuisses étaient de la taille de mon sexe. Elle a porté une de mes mains sur lèvres. Jai senti leur humidité et les poils de son pubis. Gonflé aussi et dur. Elle a imprimé un mouvement à ma main, parcourant sa fente, insistant avec mon majeur sur son clitoris. Puis elle ma laissé faire et a repris ses léchouilles.
Nous étions assis, tous les deux à lavant du véhicule. Nos bras se tendaient lun vers lautre et nous nétions pas dans une position avantageuse.
Jai malgré tout ressenti les premiers frissons de ma partenaire. Elle remuait le bassin pour me donner du rythme et imprimait le même avec ses mains et sa bouche sur moi.
Dès quelle se mit à me frotter de tout mon long, jai aussi ressenti un fourmillement sous mes jambes.
Toujours en bon instructeur, je lui dit de sattendre à mon éjaculation. Cela la excitée. Elle a soutenu ses caresses et se balançait de plus belle sur le siège conducteur. La voiture remuait..
Jessayais de la satisfaire également, mais mon plaisir venait, violemment. Mon urètre sest gonflé à la base, une longue contraction sen est suivie. Jai senti un liquide chaud remonter le long de mon sexe et gicler bruyamment sur elle. Sy attendant mais pas avec autant de vigueur, elle me dirigea vers le pare brise où ma deuxième contraction vint envoyer plus de flots que la première. Elle sarrêta pour regarder
malheureuse.. Jai fini seul en essayant de ne pas en mettre partout, préférant tâcher mon pantalon que sa voiture. Elle me regardait mastiquer.
Mes bras parcouraient de bas en haut mon pénis qui se contractait et sur lequel on peut distinguer, à la manière dun cur, les battements de celui ci. Son volume augmente avec mes contractions. Sa raideur aussi et elle donne limpression à ceux qui me regardent que je me bat avec elle
Jai ralenti. Des coulées de sperme descendaient encore le long de mon sexe, sur les mains, mes testicules, la raie de mes fesses.. , et le fonde mon pantalon.
Le pare brise
pas dessuie glace à lintérieur.. tableau de bord
mmmm certainement la voiture de sa mère..
Elle ma demandé de la caresser encore. Inexpérimenté, car avec vous, cest plus précis, elle ma beaucoup aidé et a pu arriver a saturation. Elle sest contractée petit à petit. Puis, le visage crispé, elle a serré fort les jambes sur nos mains. Elle a cessé de respirer, parcourue de tremblements. Pendant un long moment, elle resta ainsi. Puis elle recommença à bouger avec un petit souffle rauque. Son autre main sapprocha de mon sexe enfin reposé.
Il pendait sur le côté et gouttait sur le siège
(crade
mais le plaisir dune femme attendait..)
Elle la pris, a souri à le sentir comme ça, moins dur mais encore consistant.
Elle ma dit quelle était plus endurante que moi. Jai souri. Acquiescé. Je lui ai dit que javais déjà pris mes précautions avant de venir au rdzv. Elle ma avoué quelle aussi avait pas mal pratiqué depuis le cour de gym, en pensant à moi
(euh, à mon sexe) Elle rêvait de grands sexes et imaginait des tas de garçons comme moi.
Cela peuplait ses nuits.. elle se caressait beaucoup. Aimait les jours de cours de gym.. Ressentait qq chose tout les matins en me voyant.
Ses copines, confidentes bien sûr.. éprouvaient selon elles les mêmes sensations. Sans jalousie aucune, elles avaient décidé de satisfaire leur curiosité. Elle était la première désignée pour le faire sur une liste de cinq noms. Elle ne voulu pas me donner le nom de ses copines, préférant me laisser deviner. Seule une était de notre classe je devinais difficilement que ce fut elle. Une nonne. Une bigotte, à nattes, jupes longues et mocassins. Les lunettes cul de bouteille, lappareil en bouche pour de gros travaux, et, exceptionnellement intelligente. Genre le Tête du lycée alors quelle nétait quen première.. Elle na jamais voulu me dire qui cétait. Plus tard je la guettais dans la cour pour voir qui elle fréquentait, quel était ce clan qui mavait dressé sur son tableau de chasse.
Le clan des cinq. Jai par la suite et jusquà mon départ du Maroc lannée suivante traqué ce clan, cherchant en chacune de mes conquêtes des traces de complicité avec ma collègue de classe.. jamais trouvé.. mais je ne suis pas parano.. pas dans ces moments là..
Nous avons par la suite eu qq autre relations du même type. Mais nous ne nous considérions pas comme sortant ensembles. Ni jalousie , ni obligations de toutes sortes.. le pied.. , (lol.. , pour un homme bien sûr..)
En classe, elle se mettait en face, légèrement sur le côté, pour remarquer la moindre de mes érections. Nous en sourions ensemble et rarement leçons de math ou déconomie mont paru plus motivantes.
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