Ma Cousine Amandine 03.
Ce dimanche qui me fait imaginer tant de belles choses est là, cette nuit même jai encore rêvé et je ne vous raconte pas mes songes ce serait trop cochon, mais je me réveille la chatte humide car je nai pas pu mempêcher de jouer avec, je saute en bas du lit, je suis seule avec Théo dans la maison, il fait très beau, je quitte mon T-shirt de nuit et je vais prendre mon petit déjeuner sur la terrasse, toute nue, même pas de claquettes aux pieds.
Je passe devant la chambre de Théo, la porte est entrouverte, je jette un il, il ny a personne, bon signe, lui aussi il doit attendre ce moment, dans la cuisine non plus il nest pas là, je soupçonne quil doit se préparer dans la salle de bain et bichonner sa Bibiche ( cest comme ça quil appelait sa queue étant petit ). Il me paraît très motivé, et vous, chers lecteurs, voudriez-vous être à sa place ?
Tranquillement je bois mon jus dorange et mon café avec deux croissants. Jai grande envie de voir ce quil fabrique, en faisant la vaisselle, jentends soudain sa voix :
- Marion, tu pourrais venir dans la salle de bain ?
- tout de suite réponds-je.
THEO
Ce dimanche matin, je suis réveillé de bonne heure et je tourne dans mon lit, impossible de me rendormir, je suis trop énervé, alors je me lève et je file dans la salle de bain pour préparer ma bite comme ma demandé Marion, il faut quelle soit impeccable, jai pris lhabitude de la raser régulièrement une fois par semaine et quand je sais que jai une chance de la montrer à une fille, je la rase juste avant, donc je nai aucun mal à le faire ce matin.
Jhumidifie toutes les parties qui doivent devenir glabres et polies, je caresse ma queue car cest plus facile de passer le rasoirsur une tige bien tendue, en général je bande facilement et pour obtenir ce résultat sans peine, rien que par la pensée, je réussi à rendre dure ma pine, ayant entendu du bruit, je pense que Marion sest levée et comme la porte est grande ouverte, jimagine quelle mespionne dans le couloir.
Ce nest pas la première fois quelle le ferait, je lai déjà aperçue qui me regardait nu me doucher par exemple, et je fais chaque fois semblant de ne pas le remarquer, mais jadore cela, et ce matin devant le lavabo, la bite tendue, blanche de crème à raser je me place de trois quarts de profil pour quelle la voit en entier si elle passe devant la porte.
Le rasoir fait son uvre pendant que ma teub est bien disposée, je passe et repasse partout pour éliminer tout résidu de poilset avoir une peau bien blanche douce lustrée et satinée, je me contorsionne pour voir si en dessous des poils font de la résistance, mais je ratiboise à laveugle, jai besoin de quelquun pour vérifier que le travail est terminé, et la seule personne qui soit disponible : cest Marion, et ce nest bien sûr pas désagréable de la faire venir pour inspecter mon travail.
Je nai pas eu la chance quelle vienne delle-même, donc je dois prendre mon courage à deux mains pour lui dire de venir.
Rien quà lidée de lappeler, ma bite se redresse de plus belle, et jattends un peu en essuyant proprement, avec une serviette, les reliquats de crème pour faire briller au max mon zob et il est presque à la verticale, jespère quil va lui plaire.
Cest très jouissif de retarder le moment de lappeler pour profiter de ces instants si excitants précédant le basculement vers le délicieux plaisir de oser la convier à venir me voir tout nu et en forme et sans possibilité de retour en arrière.
Avant de lancer mon cri, je me positionne bien de face à la porte pour quelle voit mon oiseau déplumé mais heureux, jhésite encore un peu ma gorge est serrée, mais il est temps de maventurer car ma bite hypertendue est au maximum de mes possibilités.
Je mencourage : allez vas-y. Et cest parti.
- Marion, tu pourrais venir dans la salle de bain.
La réponse est immédiate.
- tout de suite.
Je suis aux anges de me montrer dans cet état.
A suivre.
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