Sortie Entre Amies
Cela fait quelques mois mois que je n'avais pas vu leïla.
Nous nous étions recroisées rapidement à une petite soirée qu'organisait un copain
commun.
C'était le mois suivant notre escapade à l'hotel.
Ce fut, d'ailleurs, un bon sujet de discussion entre nous.
Elle m'avait apprit qu'elle ne fréquentait plus cet homme, avec qui elle était allée loin
dans ses désirs, pour la simple et bonne raison qu'il s'était attaché à elle.
C'était la chose à ne pas faire avec Leïla.
S'i doit y avoir une attache, dans ce cas, c'est que c'est-elle qui en aura décidé ainsi.
Du coup elle m'avait parlé d'une nouvelle conquête, rencontrée quelques jours
auparavant, dans le cadre de son boulot.
Elle aimait mélanger plaisir et business alors je ne fut pas étonnée lorsqu'elle
m'énuméra en détail tout ce qu'elle avait déja fait avec lui, bien au contraire...
C'était, à chaque fois, un vrai plaisir de la revoir car notre entente était sincère sur
tous les points.
Comme souvent lorsqu'elle monte sur Paris, elle m'envoit un mail pour me prevenir
de son arrivée et prendre rendez-vous.
D'entrée, elle m'avait promis un "excellent plan", selon ses dires, que l'une de ses
collègues lui avait conseillé.
Nous avions convenue d'un rencard dans une brasserie vers Gare de Lyon.
Elle est arrivée à 15 heures.
Je vous passe les retrouvailles et tous les potins que l'on peut se raconter lorsque
l'on ne se voit pas pendant une certaine période, pour vous emmener directement
vers ce qui vous interresse, petits cochons.
Elle m'avait mise en bouche en me parlant rapidement de l'idée qu'elle avait en tête.
C'était donc l'une de ses collègues qui lui avait conseillé d'expérimenter ce qu'elle
avait elle même vécue aux alentours de Lyon.
Pour ce faire, je devais retourner chez moi, me faire belle, comme il se doit chaque
fois que l'on se voit, et ne m'habiller que d'une longue veste par dessus des bas et
un soutien-gorge, uniquement.
Comme à ses habitudes, lorsqu'elle m'embarque dans ses combines, elle maintenait
cette atmosphère mystérieuse autour de notre projet du jour, ce qui avait la
particularité de me mettre dans tout mes états.
Et comme d'habitude, pour profiter pleinement de la situation, je me laissais
entièrement guider et écoutais attentivement les recommandations.
Elle est venu me chercher, une heure et demi plus tard, en bas de chez moi avec la
voiture qu'elle avait loué pour le week-end.
J'étais dans la tenue adéquate.
Elle aussi.
Elle était vraiment très belle et irrésistiblement attirante.
Nous sommes alors partis pour une nouvelle expérience à deux.
Pour nous mettre en "appétît", elle avait décidé que nous allions prendre un café
dans un beau restaurant parisien.
C'était particulièrement excitant de se retrouver dans cet endroit relativement chic,
nue sous notre longue veste.
Quelques personnes nous regardèrent étrangement du coin de l'oeil, au bout de
quelques minutes, en voyant que nous ne nous étions pas deshabillées.
Ce qui ne se fait pas dans ce genre de restaurant.
Alors pour leur faire comprendre la raison et, en même temps, pour satisfaire ceux
qui auraient pu entrevoir ou deviner quelque chose, elle se mit un peu plus à l'aise,
dénouant le noeud de sa ceinture, ce qui laissa légèrement glisser sa veste sur ses
épaules, dévoilant ainsi un joli décolleté de ses petits seins.
Elle en profita pour entrouvrir délicatement le bas de sa veste, laissant apparaitre
une belle partie de ses cuisse.
Certain clients ne se sont apperçuent de rien du tout.
d'autre, plus curieux peut-être, ne loupèrent rien de ce show.
Pour couronner le tout, elle lança à ces derniers des regards plutot équivoque et se
leva prétextant qu'elle devait aller se repoudrer le nez.
Elle disparu dans le fond du restaurant.
Cela fait maintenant un quart d'heure que je l'attend, seule, accoudée a la table,
essayant d'esquiver les regards des vicieux qui n'attende qu'une chose, que je leur
offre le même spectacle.
Ouf, elle revient enfin.
Souriante.
Elle m'att par la main.
Nous nous en allons.
Nous remontons en voiture, pour une destination qui m'est encore inconnue.
Cela fait un petit moment que nous roulons.
Nous avons quitté Paris pour sa banlieue.
Mais quelle banlieue!
Nous voila dans une belle et vaste fôret.
Il fait tres sombre et l'endroit est tres calme.
C'est ici que Leïla décide que nous nous arrêtons.
Etonnée, je me demande ce que nous faisons là car il n'y a personne.
-"Patience" me dit-elle.
En effet, au bout de quelques minutes, une, puis deux, puis trois voitures se garent
sur le bas côté.
Discrêtement, quatre hommes sortent des véhicules et s'éloigne un peu plus loin.
-"Tu vas voir, ça va commencer" a-t-elle lancé.
Une grosse berline aux vitres teintées s'approche de ces quatre hommes.
L'un deux se présente devant la vitre avant, côté passager.
Nous sommes à une cinquantaine de mêtres et comme il fait très noir, je ne
distingue pas très bien se qui se trame là-bas.
Après quelques minutes, cet homme s'éloigne de la voiture et un deuxième prend
sa place.Lui, reste moins longtemps et un troisième ne tarde pas à arriver, puis un
quatrième.
Ce ballet d'aller et venue a duré une grosse demi-heure au bout de laquelle le
chauffeur du bolide a remit le moteur en marche et s'en est allé dans un strident
crissement de pneu sur le bitume.
Me voyant très interressée et curieuse de savoir exactement ce qu'il s'était passé,
elle m'a regardé et m'a demandé si je voulais savoir.
Cette fois, contrairement a mes habitudes, il n'y eu pas de temps de reflexion et ma
réponse fut positive.
Heureuse de me l'entendre dire, elle se pencha vers moi et me roula une formidable
pelle.
Après cela, elle se remit bien droite dans son siège et ouvrit entièrement sa veste,
laissant pleinement voir ses si jolis petits seins et son sexe totalement rasé.
-"On peut y aller, maintenant!" dit-elle très décidée.
Elle mit, à son tour le moteur en marche, roula sur les cinquante mêtres qui nous
séparaient de la scène précédente et fit une manoeuvre pour que je me retrouve du
côté des bois.
Il n'y eu pas à attendre.
Quelques secondes ont suffit pour que l'un des quatre hommes se présente face à
ma portière.
-"Ca va être à toi, ma chérie" dit-elle, souriant jusqu'aux oreilles.
Un bel homme d'une vingtaine d'années s'était posté devant ma fenêtre et me
regardait droit dans les yeux.
Il tâta rapidement du regard le corp dénudé de Leïla et mit sa main dans son
pantalon pour en sortir une verge en totale érection.
Il s'est mit à se branler devant moi.
Mes yeux, écarquillés, ne loupaient pas un instant du spectacle offert.
Soudain, ma vitre se baissa toute seule.
C'était Leïla qui venait de l'ouvrir grâce au bouton placé côté conducteur.
Du coup, le jeune homme s'est approché plus près de moi.
-"Touche toi" me demanda-t-il
A ces mots, Leïla s'est penchée vers moi et a entreprit de me deshabiller.
-"Tu as entendu le monsieur, ma chérie, il veut que tu te touches"
Le temps de prononcer cette phrase, elle avait complètement ouvert ma veste,
offrant au regard avide de notre nouvel ami mon opulente poitrine, encore à l'étroit
dans son soutien-gorge, mes bas noirs, qui allongeaient joliment mes jambes, mais
surtout, une vue plongeante et directe sur ma petite toison d'amour.
Elle placa sa main sur mon sexe et commenca à le caresser du bout de ses doux
doigts.
Ne perdant toujours aucune image, j'accédais à sa requête et passa mes mains sur
mes seins, tout en le regardant.
Il semblait apprécier grandement ce qu'il voyait.
Il accèléra sa masturbation et éjacula contre la portière.
Il s'éloigna, sans un mot.
A peine le temps d'échanger un baiser avec mon amie qu'un deuxième homme
apparu à ma fenêtre.
Il était plus agé que le premier.
Environ la quarantaine mais assez séduisant tout de même.
(De toute façon, je pense que dans ces moments là, pour Leïla et moi, ils sont tous
séduisant.)
Il fit la même chose que son prédécesseur.
Il sortit un engin de moyen calibre, très touffu.
-"Allez, touchez-vous, salopes" nous ordonna-t-il autoritairement.
Très obéissantes, nous ne nous sommes pas faites priées.
Leïla libéra mes seins de leur prison de lycra pour me les lécher.
De sa main gauche, elle continuait à me visiter le sexe.
Je gémissais de plaisir.
Notre ami branleur s'était tellement rapproché pour mieux voir, que sa queue était
carrément dans la voiture, à quelques centimêtres de moi.
Elle lacha mes tétons et remonta ses lèvres a hauteur de mon oreille et me sussura :
-"Je veux que tu le branles, ma chérie.
Je veux que tu le fasses jouir avec ta main."
Joignant le geste à la parole, elle saisit ma main droite et la mena jusquà la tige en
érection.
Elle était dur comme du bois.
-"C'est ça, salope, branle moi!"
J'étais complêtement excitée et m'appliquais à bien lui faire plaisir à ce salaud.
Il ne tarda pas à jouir au bout de quelques instants, tant l'excitation l'avait envahit.
Il sortit sa semence avec tellement de pression qu'il m'arrosa le bras tout entier.
Lui aussi s'en alla sans dire un mot à notre égard.
J'attendais avec impatience le troisième.
Lui aussi devait être impatient, car il arriva rapidement.
Je le reconnu tout de suite.
C'était l'un des serveurs du restaurant, un beau métisse, bien batit et bien membré,
à ce que je voyais.
En effet, il était arrivé le sexe à la main, déja dur , prêt à l'emploi.
Leïla s'était adossée à sa portière, les jambes écartées, prête à se toucher.
-"Agenouilles toi dos à moi, ma belle." me demanda-t-elle.
Je m'excécutais, comme à l'accoutumé et me retrouvais nez à nez avec ce bel engin,
que son propriétaire continuait de flatter.
Elle releva ma veste, qui lui cachait la vision de mes fesses et les prit en main pour
bien les pétrir.
-"Maintenant, ma chérie, tu vas le sucer.
Tu vas le sucer jusqu'à le faire jouir dans ta bouche.
Je veux que tu n'en perdes pas une goutte!"
C'était tout ce que je voulais entendre.
Je n'attendais que cela.
Je me jetais donc, sans ménagement, sur cette belle queue qui ne demandait qu'une
seule chose, que l'on s'occupe d'elle.
Je l'ai prise en bouche avec volonté.
Pendant ce temps, Leïla s'amusait à passer de ma fente à mon petit trou avec sa
douce langue, prenant soin de la faire pénétrer dans l'une et l'autre de temps en
temps.
C'était exquis!
Je prenais un pied terrible à sucer cet homme dans cette situation.
C'était vraiment "enrichissant" comme expérience.
Je prenais un malin plaisir à faire varier les moments pendant lesquels je le sucais et
ceux ou je lui léchais le gland ou les boules.
Mais il était exigeant.
Plus que les autres.
Il me prit par les aisselles pour me soulever un peu vers lui.
Du coup, je me retrouvais accoudée à la fenêtre, les seins à l'extérieur de la voiture,
les fesses à l'intérieur.
-"caresses moi le cul." me dit-il.
Je m'exécutais à nouveau, ne pouvant de toute manière pas dire grand chose, car
ayant la bouche pleine.
Ses fesses étaient fermes et rebondies (ce qui est trop rare chez les hommes en
général!!!), un vrai régal.
Il appréciait ce traitement.
De ce fait, il était si enervé que ce n'était plus moi qui le sucait mais bien lui qui me
faisait l'amour à la bouche.
Il me remplissait complètement, pendant que cette cochonne de Leïla continuait à
s'amuser avec mes orifices.
Mais il en voulait vraiment plus apparemment.
Il prit ma main droite et la dirigea vers son anus.
-"Tu vas me mettre un doigt maintenant, mais sans arrêter de me sucer,
compris!?"
J'acquiessais d'un simple regard.
Mon doigt rentra comme dans du beurre.
Son petit trou était tellement dilaté que l'on aurait pu y mettre plus qu'un simple
doigt, croyez-moi!
Cela dura quelques minutes et sentant que notre appollon allait se libérer, Leïla se
placa acrobatiquement derrière moi, de façon à pouvoir me tenir fermement la tête
pour que je ne puisse pas me retirer au dernier moment.
Les râles de mon "hôte" devenaient plus pressant, les va-et-vient de mon doigt dans
son cul étaient de plus en plus enivrant et ses coups de butoirs dans ma bouche me
faisaient sentir sont gland, enorme, prêt à exploser.
Ce qui ne loupa pas.
Dans un dernier cri de plaisir, il dechargea sa semence dans ma bouche à grosses
saccades.
-"Avales tout, me criait Leïla, avales tout!"
Ce que je fit sans sourciller.
Mon beau métisse se retira et s'éloigna à son tour en nous gratifiant d'un :
-"Merci, mes petites salopes"
Que j'acceptais comme un remerciement, voir même comme un compliment.
Les voitures de ces messieurs se sont éloignées dans la nuit.
Nous sommes rentrées chez Leïla pour finir cette soirée qui m'avait plus excitée
qu'assouvie sexuellement.
Sur le chemin du retour, elle m'expliqua que cette rencontre n'était pas anodine, car
préméditée.
Elle avait tout organisé depuis le restaurant du debut de soirée.
Et je compris rapidement pourquoi elle avait disparu un bonne vingtaine de minutes
à ce moment là, quand je vis, chez elle, le quatrième homme du bois, qui n'était
autre que le patron du restaurant, à savoir, son nouvel ami.
Nous avons donc passés la nuit à trois pour éteindre ce feu que Leïla avait attisé en
moi.
Ce fut une nouvelle fois, formidable.
Gros bisous.
Bonbonroz
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